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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

"« l’histoire des sociétés suit en effet une évolution sur laquelle la raison des hommes n’a aucune emprise »."

 

Donc qui a une emprise dessus ?

 

"Les Anciens pensaient que la société devait être une communauté indivisible et involontaire"

 

Si ça c'est pas le début du totalitarisme...

 

"L’Etat est le fruit d’une longue accumulation de règles et de coutumes politiques éprouvées dans les faits"

 

Lol.

 

"Les rédacteurs de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen ont voulu lui donner une portée universelle. Elle tend à recenser les principaux droits et libertés qui seraient inhérents à la nature humaine. Toutefois, Burke, exposant la diversité des hommes, trouve ici un terrain pour critiquer cet universalisme. Ce ton humaniste nécessitera une rédaction abstraite de la Déclaration, ce qui la rend inapplicable. Enfin, Burke, et ses successeurs, critiqueront les dérives des rédacteurs et les dérives provoquées par l’utilisation de cette Déclaration.

Rappelant la pensée de Montesquieu, Burke freine la pensée universaliste des droits de l’homme en évoquant la diversité et la spécificité des droits de chaque peuple. Montesquieu estimait que les peuples édictaient leur droit en fonction de leur climat, du contexte et du milieu imprégnant ce peuple. Burke, face à l’universalisme, rappelle que chaque peuple est le produit d’une histoire singulière et qu’on ne saurait l’envisager indépendamment des particularités sociales et culturelles de la société dans laquelle il vit."

 

Le monde d'aujourd'hui prouve que c'est n'importe quoi.

 

"Il critique l’universalisme en ce qu’il dépouille l’homme de ses appartenances, ce qui rend les peuples interchangeables puisque dénués d’identité historique"

 

L’identité est individuelle.

 

" Les libertés et les restrictions varient selon les époques et avec les circonstances"

 

WTF ?

 

"C’est là un tort que ne manque pas de soulever Burke. Ces droits ne sont pas effectifs, car ils ne sont pas garantis. Cette non-effectivité se comprend, car comment les révolutionnaires pouvaient-ils promettre l’égalité absolue effective ? Burke développe l’idée selon laquelle « Le tort des droits de l’homme est de trop promettre ». Les rédacteurs ont promis des droits abstraits, inapplicables, non-garantis, voire même contradictoires."

 

Ce n'est pas parce-que l'état ne les reconnaît pas que tu n'as pas de droits.

 

"Michel Villey pose ainsi la question de savoir si le droit à la santé doit impliquer une greffe de cœur à toutes les personnes atteintes de déficience cardiaque. Certains droits ont été développés dans la Déclaration mais seulement de manière abstraite, théorique, métaphysique ; ils n’ont pas été pensés vis-à-vis de l’application qui pouvait en être faite. Burke considère que « autant ils sont vrais métaphysiquement, autant ils sont faux moralement et politiquement ». « A quoi peut bien servir de discuter dans l’abstrait du droit de chacun à se nourrir ou à se soigner ? », la seule question est de savoir comment se procurer de la nourriture ou des médicaments. « Et en pareille circonstance, je conseillerai toujours de faire appel au cultivateur ou au médecin plutôt qu’au professeur de métaphysique »."

 

Les droits de l'homme ne parlent pas de ça...

 

"Enfin, Burke, ainsi que les auteurs qui reprirent sa pensée par la suite, critiqua les dérives les plus marquantes de la Déclaration des droits de l’homme : l’égalitarisme et l’individualisme."

 

Fouyaya

 

"Le premier article de la Déclaration des droits de l’homme est un principe d’égalité absolue entre tous les hommes. Burke considère cet égalitarisme impossible, mais que, s’il venait à s’appliquer, une hiérarchie sociale informelle, clandestine et contre-nature se mettrait en place. Il fait une critique de l’égalité comme utopie naïve et dangereuse pour la société."

 

L'égalité en droit, un truc pour les gros débiles.

 

"« la société n’est plus un corps en général mais une réunion d’individus : comme la volonté générale n’est plus qu’une somme de volontés particulières, la conservation générale […] n’est plus que le bonheur individuel ». Marx reprendra cette critique dans son ouvrage « La question juive ». Hannah Arendt, prolongeant la pensée de Burke, verra, en la Déclaration des droits de l’homme, la porte ouverte aux totalitarismes futurs. « C’est seulement à des hommes réduit à leur pure humanité par la destruction de leurs formes naturelles et politiques de solidarité que l’on peut imposer une servitude et une oppression absolues ». Les droits de l’homme paraissent dès lors moins magnifiques."

 

Lol.

 

http://chevaliersdesgrandsarrets.caom/2011/11/01/les-droits-de-lhomme-une-oeuvre-critiquee-par-edmund-burke/

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Dans cet article l'auteur explique la critique d'Edmund Burke des droits de l'Homme. Si tu penses être plus intelligent que Burke vas y. Par contre ta production sur ce forum ne laisse pas présager ta formidable puissance intellectuel supérieure à celle de Burke!

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"« l’histoire des sociétés suit en effet une évolution sur laquelle la raison des hommes n’a aucune emprise »."

 

Donc qui a une emprise dessus ?

 

"Les rédacteurs de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen ont voulu lui donner une portée universelle. Elle tend à recenser les principaux droits et libertés qui seraient inhérents à la nature humaine. Toutefois, Burke, exposant la diversité des hommes, trouve ici un terrain pour critiquer cet universalisme. Ce ton humaniste nécessitera une rédaction abstraite de la Déclaration, ce qui la rend inapplicable. Enfin, Burke, et ses successeurs, critiqueront les dérives des rédacteurs et les dérives provoquées par l’utilisation de cette Déclaration.

Rappelant la pensée de Montesquieu, Burke freine la pensée universaliste des droits de l’homme en évoquant la diversité et la spécificité des droits de chaque peuple. Montesquieu estimait que les peuples édictaient leur droit en fonction de leur climat, du contexte et du milieu imprégnant ce peuple. Burke, face à l’universalisme, rappelle que chaque peuple est le produit d’une histoire singulière et qu’on ne saurait l’envisager indépendamment des particularités sociales et culturelles de la société dans laquelle il vit."

 

Le monde d'aujourd'hui prouve que c'est n'importe quoi.

 

"Il critique l’universalisme en ce qu’il dépouille l’homme de ses appartenances, ce qui rend les peuples interchangeables puisque dénués d’identité historique"

 

L’identité est individuelle.

 

 

Je me suis mis au niveau de "Lol.", "WTF ?" et "Fouyaya"

 

Tiens tu peux commencer par les points la haut, j'expliciterais les raisons des lol, WTF ?, et fouyaya plus tard.

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Je préfère répondre petit à petit et point par point, ça permet de savoir ou on en est et d’être précis. Les trois points au dessus étant indispensables à la théorie défendue par l'article il suffit d'en invalider un (autre raison pour laquelle j'évite d'écrire des grands textes, car on se piège vite tout seul, c'est une technique simple que tout le monde connais, tu invalides juste un point et le grand texte ne sert plus à rien).

 

Aussi j’attends de PABberryer qui défend cette thèse de me démontrer que:

-Les hommes n'ont pas d'emprise sur l'histoire

-Les hommes n'ont pas tous les mêmes droits

-Il n'y a rien d'universel qui transcende les sociétés et les cultures

-L'identité est collective, l'individu ne peut choisir sont identité

 

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Il faut peut-être plus qu'une vingtaine de mots pour faire une critique d’un article et d'un raisonnement...

 

 

Mes critiques sont nombreuses. 

 

Un exemple: le fait que les auteurs de l'article considèrent que la DDHC est un texte bien structuré et organisé, or on sait qu'il a été écrit à la vas vite. Le 1er projet faisait 10 articles et ils l'ont bricolés. Ils sont stoppé à 17 articles pour ne pas avoir un texte trop long. 

 

Autre exemple: le fait qu'ils s'acharnent à éliminer toute référence à Rousseau. Ils ont monté un bel argumentaire pour arriver à dire que "La Loi est l'expression de la volonté générale" n'a pas la signification que Rousseau en donnait. Le soucis est que leur argumentaire est bancale. Ils affirment que les députés du Tiers État étaient très cultivés. Dans les fait oui et non, cela variait beaucoup et le niveau moyen n'était pas aussi bon que cela. par contre ce qui est sur c'est qu'ils étaient pétri de rousseauisme. Cela se traduit nettement dans la Constitution de 1791. Or s'ils connaissaient leur Rousseau par coeur il est évident que s'ils rué utilisent mot pour mot la définition de Rousseau cela a clairement un lien avec la pensée de celui-ci. Effectivement cela va poser un problème pour les auteurs de l'article car Rousseau considère que si une minorité du peuple s'élève contre la volonté générale alors cette portion se révolte contre ses intérêts et si elle n'est pas convaincu elle doit être exterminée. Ce que la Révolution ne se gênera pas pour faire.

 

 

Bref les auteurs de l'article proposent une analyse très intéressante mais ils tordent trop l'Histoire pour servir leur argumentaire.

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Je préfère répondre petit à petit et point par point, ça permet de savoir ou on en est et d’être précis. Les trois points au dessus étant indispensables à la théorie défendue par l'article il suffit d'en invalider un (autre raison pour laquelle j'évite d'écrire des grands textes, car on se piège vite tout seul, c'est une technique simple que tout le monde connais, tu invalides juste un point et le grand texte ne sert plus à rien).

 

Aussi j’attends de PABberryer qui défend cette thèse de me démontrer que:

-Les hommes n'ont pas d'emprise sur l'histoire

-Les hommes n'ont pas tous les mêmes droits

-Il n'y a rien d'universel qui transcende les sociétés et les cultures

-L'identité est collective, l'individu ne peut choisir sont identité

 

 

Alors j'avoue que l'argumentaire de Burke me parait infiniment plus juste que l'article de Contrepoints mais je vais te répondre.

 

1) tu reprends l'argumentaire de Nozick sur le vote, un individu ne compte pour rien dans une élection. L'Histoire fonctionne pareil.

 

2) Burke explique que les droits individuels en Angleterre sont mieux défendus car il s'agit des droits des anglais dont les garanties ont été négociées avec le pouvoir politique et transmis en héritage. La version française est universaliste. Au vu des histoires comparées depuis 2 siècles, globalement la version anglaise est plus solide que la version française. Burke ne dit pas que des droits consubstantiels à la nature humaine n'existent pas, il affirme juste que la volonté française de prononcer Urbi et Orbi des droits de l'Homme (un Homme qui n'existe pas), ne sert pas la cause des droits individuels.

 

3) Explicite ce point.

 

4) Tu peux décider de vivre selon une culture et une identité qui n'est pas celle où tu es né, cela ne fera pas disparaitre ta culture d'origine.

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Tes critiques historiques ne changent rien à l'analyse qu'ils en font, si on on utilise le sens des mots tel qu'ils sont défini elle reste très libérale.

 

 

Ce texte a été adopté par des hommes qui l'on ensuite systématiquement violé et nié au nom même de ce texte. 

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Bonjour, 

Je souhaiterais vous partager non pas une phrase qui m'a fait hérisser le poil mais une séquence entière d'une vidéo (10mn) sur le conflits entre capitalisme productif et capitalisme spéculatif.

 

Comment suis je arriver à regarder cette vidéo ?

 

-> Je discutais avec quelqu'un à propos de l'article de contrepoints sur "La critique anticapitaliste et ses sophismes" .

 

Cette personne pense que, je cite: "Cet article est insuffisant, il ne souligne pas la différence subtile entre la critique du capitalisme spéculatif et la critique du capitalisme productif."

 

Elle renvoie donc à cette vidéo de Soral qui comme à son habitude, reste très approximatif dans ses démonstrations, suggère, enfume, sans aucune preuve, ses théories ici en l’occurrence ça théorie est qu'il y aurait une lutte interne au capitalisme entre productifs (entreprises, créateurs d'emplois et de valeur ajoutée) et financiers (destructeur, parasites, banques, juifs (Soral quoi -_-).  Avec en bonus une légère éloge du national socialiste allemand (Soral quoi  :icon_redface2: )

 

Vous pouvez voir la vidéo en cliquant ici

(je vous suggère, si vous voulez écouter toute la vidéo sans vous faire trop mal, d’accélérer la vitesse au moins à 1,5x)

 

 524920speedYoutube.jpg

 

Le genre de vidéos qui clos instantanément une discussion car trop dure à détricoter, trop d'approximations, trop de fumée, trop de suggestions, indémontrable et indémontrées.

 

 

Ça vous évoque quoi ?

 

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c'est un outil pour pouvoir continuer a critiquer le catipalmisme en l'absence de legitimite.C'est encore une fois une approche morale avec une maturite de niveau cm2.On est pile-poil dans le carcan mental francais qui les empeche de decoller de la moralisation.

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Aussi j’attends de PABberryer qui défend cette thèse de me démontrer que:

1/-Les hommes n'ont pas d'emprise sur l'histoire

2/-Les hommes n'ont pas tous les mêmes droits

3/-Il n'y a rien d'universel qui transcende les sociétés et les cultures

4/-L'identité est collective, l'individu ne peut choisir sont identité

 

1/ Tu sais, c'est ce que disais Sank, c'est compliqué. Imagine que tu as le Président de la République, le Roy, un Rothschild et un mercenaire armé dans une pièce ; et que chacun des trois premiers demandent au quatrième de tuer les deux autres, en invoquant respectivement la légitimité démocratique, le droit divin et une grosse somme d'argent. Qui est-ce qu'il va écouter ? Qui a le vrai pouvoir ici ? Mao te dirais que le pouvoir est au bout du fusil, mais pourtant une armée entière a plus de fusil qu'un général, et pourtant c'est le général qui commende. 

Ce sont les citoyens qui votent pour les dirigeants, et pourtant, est-ce que tu pense qu'ils ont une emprise sur l'histoire ? Est-ce qu'une foule a la moindre emprise sur quoi que ce soit ?

 

2/ Là c'est simple, il parle droits positifs, pas Droits au sens du droit naturel.

 

3/ Il ne dit pas qu'il n'y a rien d'universel, mais qu'il n'y a pas de droits universels (si on lit entre les lignes). Il se trompe, mais c'est une erreur assez facile à faire, et il a raison de dire que le gros de la DUDH c'est des droits qu'il a plut à la fantaisie des révolutionnaires à l'instant T d'écrire, pas l'essence du Droit extraite de la Nature Humaine.

 

4/ La Faute De La Culture, tu peux pas test  :stuart:

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1) tu reprends l'argumentaire de Nozick sur le vote, un individu ne compte pour rien dans une élection. L'Histoire fonctionne pareil.

 

2) Burke explique que les droits individuels en Angleterre sont mieux défendus car il s'agit des droits des anglais dont les garanties ont été négociées avec le pouvoir politique et transmis en héritage. La version française est universaliste. Au vu des histoires comparées depuis 2 siècles, globalement la version anglaise est plus solide que la version française. Burke ne dit pas que des droits consubstantiels à la nature humaine n'existent pas, il affirme juste que la volonté française de prononcer Urbi et Orbi des droits de l'Homme (un Homme qui n'existe pas), ne sert pas la cause des droits individuels.

 

3) Explicite ce point.

 

4) Tu peux décider de vivre selon une culture et une identité qui n'est pas celle où tu es né, cela ne fera pas disparaitre ta culture d'origine.

 

1.C'est bien les actions des individus qui font l'histoire ? On viens d'en débattre sur 5 pages.

 

2.La DDHC explicite les droits naturels à tout homme, on se doute bien que cela ne va pas permettre à tout les humains de disposer de leurs droits, mais plutôt qu'il faut voir un monde ou les droits naturels sont universellement reconnu comme un idéal.

 

Aussi je cite le texte:

 

"Burke freine la pensée universaliste des droits de l’homme en évoquant la diversité et la spécificité des droits de chaque peuple. Montesquieu estimait que les peuples édictaient leur droit en fonction de leur climat, du contexte et du milieu imprégnant ce peuple. Burke, face à l’universalisme, rappelle que chaque peuple est le produit d’une histoire singulière et qu’on ne saurait l’envisager indépendamment des particularités sociales et culturelles de la société dans laquelle il vit.""

 

Cela se rattache à son idée que l'on ne choisi pas sa culture et que suivant son lieu de naissance un individu a des droits différents, l'inégalité en droit est donc souhaitable et indépassable car l'individu passe après la société (Ici en tant qu'entité supérieure) dans laquelle il est né.

 

On voit bien qu'il défend l'idée que l'Homme n'existe pas et qu'il n'y a pas de droits consubstantiels à la nature humaine. Ce qui est cohérent avec sa thèse car les droits universels c'est justement de l'universalisme.

 

3.Les sociétés évolue et les cultures changent, se mélangent, disparaissent, se créent... Aujourd'hui chaque pays (sauf peut être le Bhoutan) a plusieurs cultures en sont sein. Il y a aussi de moins en moins de territorialité de la culture, j'ai plus de point communs avec des gens à l'autre bout de la terre qu'avec mon voisin. Si on considère la "société" comme les gens qui nous entourent dans notre quotidien il y a bien plusieurs cultures dans une société et des cultures universelles car on retrouve des gens qui se reconnaissent dedans partout sur terre.

 

4.Mon point 3 est plutôt vague sur la définition de mot culture, que je pourrais remplacé par "traits culturels" peut être, chaque individu empile des bout de plusieurs cultures comme bon lui semble, son identité est plurielle. Chaque individu choisi sa propre culture, car c'est avant tout un construction personnelle.

 

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1/ Tu sais, c'est ce que disais Sank, c'est compliqué. Imagine que tu as le Président de la République, le Roy, un Rothschild et un mercenaire armé dans une pièce ; et que chacun des trois premiers demandent au quatrième de tuer les deux autres, en invoquant respectivement la légitimité démocratique, le droit divin et une grosse somme d'argent. Qui est-ce qu'il va écouter ? Qui a le vrai pouvoir ici ? Mao te dirais que le pouvoir est au bout du fusil, mais pourtant une armée entière a plus de fusil qu'un général, et pourtant c'est le général qui commende. 

Ce sont les citoyens qui votent pour les dirigeants, et pourtant, est-ce que tu pense qu'ils ont une emprise sur l'histoire ? Est-ce qu'une foule a la moindre emprise sur quoi que ce soit ?

 

Dans tout les cas l'histoire est bien une somme d'action individuelle non ? Comment comprendre "la raison des hommes" autrement que comme "la volonté humaine" dans sa phrase ?

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