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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

J'ai plus comique.

 

J'ai des collègues qui viennent de pondre ce truc (inutile de dire que tout le monde en parle) :

 

 

L'égalité entre homme et femme n'est pas qu'une utopique chimère puisqu'elle a été une réalité dans certaines civilisations. Une étude va même jusqu'à suggérer que l'inégalité serait, au regard de l'évolution, une aberration due à l'avènement de la propriété.

 

http://www.levif.be/actualite/sciences/l-inegalite-entre-l-homme-et-la-femme-est-recente/article-normal-395575.html

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Ok, mais dans quel but ?

Je ne peux pas parler pour Drake, mais pour moi diviser par le nombre total d'habitants du pays en parlant de la dette qu'on laisse à un nouveau né n'a aucun sens. Pourquoi inclure les plus de 60 ans dans l'équation? Ceux qui vont payer la dette ce sont bien les jeunes qui vont commencer à travailler, et puis la contribution va en diminuant avec l'activité qui est elle-même corrélée à l'âge, en général. Et évidemment ceux qui vont mourir dans 5 ans ne vont pas la rembourser des masses.

 

De toutes façons c'est un calcul qui n'a pas beaucoup de pertinence, c'est comme le PIB ou la ratio dette sur PIB: c'est bien pour le journal TV et les émission d'infotainment mais ce n'est pas sérieux du tout et même parfois carrément mensonger. 

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Un nouvel article vachement intéressant pondu par Jean-Baptiste Noé et repris par contrepoints sur les couteaux...les couteaux libéraux peut-être... Petite introduction:

 

http://www.contrepoints.org/2015/05/18/208111-le-couteau-dans-la-poche

 

 


Dans la France paysanne et rurale, tous les hommes avaient leur couteau. L’objet marquait, pour les enfants, le passage à l’âge adulte. Le couteau sert à tout. À table, bien sûr. On l’ouvre, et on le dispose à côté de l’assiette. Sur la table, seuls sont présents les autres couverts : fourchette et cuillère. On a le couteau dans la poche. Un couteau que l’on prend soin de bien aiguiser. Sur la pierre d’affûtage, avec un peu d’huile, en passant à plusieurs reprises le fil pour le rendre bien profilé et bien droit. Le couteau doit trancher de façon nette. Aujourd’hui on hésite à le sortir quand on est invité. Cela risquerait de mal passer, alors même qu’un Laguiole en corne, ou un Thiers en bois de buis sont particulièrement élégants. Au restaurant, le couteau est presque obligatoire. La plupart des bistrots et des restaurants ont en effet la tendance fâcheuse à servir des couteaux à lames dentées pour la viande. Ces couteaux ne conviennent absolument pas. Ils ne coupent pas la viande, ils la déchirent. C’est maltraiter une pièce de grande qualité et de grande valeur. Alors, même quand on est faubourg Saint-Honoré, il ne faut pas hésiter à sortir son couteau. Le manche est façonné par la main de son propriétaire. Avec le temps on voit qu’il prend des formes différentes. Le couteau, ustensile indispensable du paysan pourrait devenir l’apanage des urbains chics.

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J'avais commencé à lire hier.

 

J'ai arrêté a "la France paysanne", je doute que ce gogo de Versailles ait une quelconque idée non venue du cinéma nostalgique de que qu'est la France "paysanne".

 

Et puis bon te pointer avec ton Laguiole au restaurant, t'as l'air d'une clûte.

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Je ne peux pas parler pour Drake, mais pour moi diviser par le nombre total d'habitants du pays en parlant de la dette qu'on laisse à un nouveau né n'a aucun sens. Pourquoi inclure les plus de 60 ans dans l'équation? Ceux qui vont payer la dette ce sont bien les jeunes qui vont commencer à travailler, et puis la contribution va en diminuant avec l'activité qui est elle-même corrélée à l'âge, en général. Et évidemment ceux qui vont mourir dans 5 ans ne vont pas la rembourser des masses.

 

De toutes façons c'est un calcul qui n'a pas beaucoup de pertinence, c'est comme le PIB ou la ratio dette sur PIB: c'est bien pour le journal TV et les émission d'infotainment mais ce n'est pas sérieux du tout et même parfois carrément mensonger. 

 

En l'occurence il faut diviser la dette par le nombre de personnes qui la paient, c'est-à-dire les contribuables. Or tout le monde paie des taxes (TVA tout ça..) même les mineurs, certe un peu  moins.

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J'avais commencé à lire hier.

 

J'ai arrêté a "la France paysanne", je doute que ce gogo de Versailles ait une quelconque idée non venue du cinéma nostalgique de que qu'est la France "paysanne".

 

Et puis bon te pointer avec ton Laguiole au restaurant, t'as l'air d'une clûte.

 

Le couteau coupe tout : viandes, légumes, desserts. Tout, sauf le pain, qui se rompt. L’origine de cette coutume remonte peut-être à la Cène, quand l’Évangile nous dit que le Christ prend le pain et le rompt pour l’offrir à ses disciples. On peut supposer que si lui-même a rompu le pain, c’est que cette tradition se trouvait déjà dans la liturgie juive. On coupera éventuellement la baguette pour faire des morceaux pour le petit-déjeuner, mais jamais le pain posé sur la table.

 

Le couteau que nous connaissons aujourd’hui date essentiellement du XIXe siècle. Il est le fruit d’un double phénomène : l’amélioration de la qualité de l’acier, grâce aux progrès de la sidérurgie ; l’approfondissement de la culture régionale, sous l’effet du décloisonnement du territoire. C’est comme cela qu’est né le couteau Laguiole, fabriqué essentiellement à Thiers, dans le Puy de Dôme. Thiers a aussi son modèle de couteau, plus massif et plus trapu, bien qu’élancé. Mais on trouve aussi des modèles de couteau en Alsace, dans le Berry, dans le Rouergue, en Corse (le vendetta), dans le Jura. Si la forme du manche et de la lame diffèrent, la taille est toujours à peu près similaire. C’est le couteau de poche, que l’on plie et déplie au moment des repas, et que l’on porte toujours sur soi. Le couteau n’est pas immuable

:icon_ptdr:

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Je ne peux pas parler pour Drake, mais pour moi diviser par le nombre total d'habitants du pays en parlant de la dette qu'on laisse à un nouveau né n'a aucun sens. Pourquoi inclure les plus de 60 ans dans l'équation? Ceux qui vont payer la dette ce sont bien les jeunes qui vont commencer à travailler, et puis la contribution va en diminuant avec l'activité qui est elle-même corrélée à l'âge, en général. Et évidemment ceux qui vont mourir dans 5 ans ne vont pas la rembourser des masses.

 

De toutes façons c'est un calcul qui n'a pas beaucoup de pertinence, c'est comme le PIB ou la ratio dette sur PIB: c'est bien pour le journal TV et les émission d'infotainment mais ce n'est pas sérieux du tout et même parfois carrément mensonger. 

 

Dans ce cas autant n'inclure personne. De ce que je sache, personne ne rembourse la dette.

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En l'occurence il faut diviser la dette par le nombre de personnes qui la paient, c'est-à-dire les contribuables. Or tout le monde paie des taxes (TVA tout ça..) même les mineurs, certe un peu  moins.

 

 

Dans ce cas autant n'inclure personne. De ce que je sache, personne ne rembourse la dette.

:soddip:

 

Laissons donc ces pauvres mouches tranquilles!

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Dans ce cas autant n'inclure personne. De ce que je sache, personne ne rembourse la dette.

Bah l'Etat rembourse la dette et les intérêts grâce à la fiscalité (taxes et impôts) et l'inflation. Donc tout le monde paie sauf le morveux de 2 ans
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Un nouvel article vachement intéressant pondu par Jean-Baptiste Noé et repris par contrepoints sur les couteaux...les couteaux libéraux peut-être... Petite introduction:

 

http://www.contrepoints.org/2015/05/18/208111-le-couteau-dans-la-poche

J'en ai parlé hier dans les phrases qui vous font plaisir : http://www.liberaux.org/index.php/topic/50155-ces-petites-phrases-qui-vous-ont-fait-plaisir%E2%80%A6/page-97?p=1239566#entry1239566

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Bah l'Etat rembourse la dette et les intérêts grâce à la fiscalité (taxes et impôts) et l'inflation. Donc tout le monde paie sauf le morveux de 2 ans

 

On est d'accord, je voulais juste pointer du doigt le fait que diviser la dette par le nombre d'individus d'une certaine classe n'a aucun sens.

 

1. Ce n'est, en tous les cas, pas eux qui vont tout rembourser

2. On ne peut pas dire que la dette est en train d'être remboursée actuellement puisque les comptes continuent d'être déficitaires.

( si je rembourse 500 euros à mon créancier, que je réemprunte 510 euros à un autre créancier et que je paye 10 euros d'intérêt, je n'ai rien remboursé du tout au final, j'ai juste maintenu ma dette )

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On est d'accord, je voulais juste pointer du doigt le fait que diviser la dette par le nombre d'individus d'une certaine classe n'a aucun sens.

 

1. Ce n'est, en tous les cas, pas eux qui vont tout rembourser

2. On ne peut pas dire que la dette est en train d'être remboursée actuellement puisque les comptes continuent d'être déficitaires.

( si je rembourse 500 euros à mon créancier, que je réemprunte 510 euros à un autre créancier et que je paye 10 euros d'intérêt, je n'ai rien remboursé du tout au final, j'ai juste maintenu ma dette )

1. Qui d'autres alors?

2. Et bien en fait si ils en remboursent mais dans le même temps ils réempruntent encore plus. D'autre part les intérêts eux sont bien payés. Bon parfois l'Etat emprunte pour rembourser un emprunt.

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Un nouvel article vachement intéressant pondu par Jean-Baptiste Noé et repris par contrepoints sur les couteaux...les couteaux libéraux peut-être... Petite introduction:

 

http://www.contrepoints.org/2015/05/18/208111-le-couteau-dans-la-poche

 

 

J'avais commencé à lire hier.

 

J'ai arrêté a "la France paysanne", je doute que ce gogo de Versailles ait une quelconque idée non venue du cinéma nostalgique de que qu'est la France "paysanne".

 

Et puis bon te pointer avec ton Laguiole au restaurant, t'as l'air d'une clûte.

 

Il avait pondu un article sur la Chimay mais il n'a pas poursuivi dans sa lancée   :icon_frown:

 

http://www.contrepoints.org/2013/11/04/145051-chronique-gastronomique-la-biere-de-chimay

 

L’amateur laisse là ses préventions et ses craintes. Même en pays hostile et étranger il retrouve le bon goût de la civilisation. Il pourra rentrer chez lui enrichit de cette expérience culinaire et gastronomique unique : celle de déguster en son berceau la plus mûre des bières trappistes.

 

 

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1. Qui d'autres alors?

2. Et bien en fait si ils en remboursent mais dans le même temps ils réempruntent encore plus. D'autre part les intérêts eux sont bien payés. Bon parfois l'Etat emprunte pour rembourser un emprunt.

 

1. Tout le monde sur plusieurs générations, ou personne.

2. Donc ils ne remboursent rien du tout, comme je l'ai dit plus haut.

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Si ce type avait un peu de curiosité, il verrait que la Chimay bleue est présente par palette entière dans n'importe quel supermarché et dans tous les night shop.

C'est tellement courant que j'ai arrêté d'en boire.

 

Ca n'a rien "de la plus mure des trappistes", c'est même probablement la moins surprenante.

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Non mais je rêve !!!

 

Une Westvlé' dans la neige, quelle...quelle... je n'ai pas de mot.

 

Temperature cave bordel.

 

edit : ah ouais, les Rochefort, c'est assez rare aussi, j'aime beaucoup la 8 et la 10.

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Paris : Les enseignants défilaient pour dénoncer une réforme qui «libéralise» le collège

Mais les quelques milliers de mobilisés ce mardi après-midi redoublaient d’arguments pour dire leur colère. « Je suis là parce que cette réforme promet moins de moyens et plus de libéralisme de l’école », clame Raphaël. « On essaie de faire croire que ces changements se font au nom de l’égalité alors que c’est le contraire. En donnant plus d’autonomie aux établissements, on renonce au collège unique : on n’enseignera pas la même chose à Montreuil et à Henri IV. » En effet, la réforme donne plus de liberté au chef d’établissement pour la répartition des heures et le choix des projets.

http://www.20minutes.fr/societe/1611615-20150519-paris-enseignants-defilaient-denoncer-reforme-liberalise-college

 

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Y a pas longtemps j'ai fait un covoit' avec une prof d'un lycée professionnel et c'était le genre à ne jamais faire grève et à dire que l'école serait beaucoup mieux si elle était entièrement privatisée et que la plupart de ses collègues étaient des bons à rien (pas tous, mais la plupart s'en fichent de leurs élèves). On a eu de bonnes conversations pendant le trajet, c'était cool.

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Les profs de mon entourage (des vieux) n'évoquent jamais libéralimse ou socialimse en parlant de l'école et des réformes. Ils pensent en qualité de l'instruction (et carrière et sous, hein).

Comme je l'ai dit sur l'autre fil, donner plus de pouvoir aux chefs d'établissement actuels c'est aller très clairement vers le pire. (J'insiste sur actuel.)

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