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woketarian
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Oberon Zell-Ravenheart
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Quelqu'un a joué à "hyperbolica", le jeu en géométrie non-euclidienne de "code parade" ? C'est assez chouette comme concept. Mais je suis pour l'instant coincé vers la fin (je crois ?).
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Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Mégille a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Pourquoi ton frère ne s'inscrirait pas sur le forum pour poser directement ses questions, @Raffarin2012 ? Sur la question de l'utopisme... On pourrait en dire de même pour n'importe quel groupe politique un peu radical, même du coté des socialistes (ou des natios, etc). On a beau voir leur influence partout, on est loin de vivre dans le monde théorisé par eux, où même de suivre leur programme idéal. Et ça ne sera jamais le cas, parce que la réalité n'est jamais l'incarnation parfaite d'une idée, elle est toujours le fruit d'un compromis (pas forcément cohérent, ni nécessairement voulu par qui que ce soit) entre différentes intentions, plus encore d'autres facteurs échappant à la pensée des uns aussi bien que des autres. Pour faire bouger le monde, il faut évidemment des pragmatico-opportunistes capables d'assouplir leurs idées pour les glisser dans la réalité. Mais ce n'est pas pour autant que nous autres, les fanatiques, ne servons à rien. Sans nous (et sans lien avec nous), l'opportuniste n'a plus aucune direction à suivre, et risque (beaucoup plus que nous) de se transformer soit en tyran, soit en larbin. -
Bienvenue ! Tu peux t'adresser à moi si tu as des questions sur le fonctionnement du forum, ou besoin de médiation avec la modération.
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La clause concernant Israël me semble être une bonne chose en vue de la paix. Dommage que le coût soit de contribuer d'autant plus à la situation au Yemen.
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Une certaine idée de la liberté : ces clips que vous trouvez cool
Mégille a répondu à un sujet de Lameador dans Sports et loisirs
Je suis content d'être tombé sur un groupe de metal wokefriendly ET liberhallal. (malheureusement, c'est médiocre.) -
Une critique libérale du "fétichisme de la marchandise" de Marx?
Mégille a répondu à un sujet de LionceauArdent dans Forum des nouveaux
la valeur d'un bien ne lui est ni intrinsèque, ni due à son coût (en travail humain ou autre), elle est l'utilité qu'on lui trouve subjectivement. On peut tout à fait accorder une très grande valeur à quelque chose qui n'a pas, ou très peu, demandé de travail, tout comme on peut n'accorder presque aucune valeur au fruit d'un travail titanesque. Le marché de l'art est assez exemplaire de ça. Une grande majorité des artistes (musiciens et wannabe écrivains inclus) fournissent un travail énorme pour une valeur marchande minime, puisque bien souvent le résultat n'a pas beaucoup de valeur pour quiconque hormis eux-mêmes et leurs proches, alors que les oeuvres de quelques autres reçoivent une valeur énorme par l'appréciation subjective du public, et sans forcément qu'il n'y ait beaucoup de travail derrière. (il y a quelques cas extrêmes assez rigolos du coté de l'art contemporain...) Le marché de l'art n'est pas une exception, il est simplement là où la règle se voit le mieux. Si la règle était autre, comment expliquer une telle exception ? A l'inverse, la très approximative équivalence entre la valeur des marchandises et la quantité de travail (ou le coût en général) nécessaire pour les produire s'explique tout simplement par le fait qu'on ne produit quelque chose que lorsque l'on s'attend à produire plus de valeur que celle que l'on consomme (en travail notamment), et que dans un marché concurrentiel, il est rarement possible d'obtenir beaucoup plus de valeur que ça. Si fétichisation il y a, c'est plutôt de la part de Marx, qui fétichise le travail, en en faisant quelque chose comme une sorte de prolongation métaphysique de l'essence de l'homme dans la nature. Il le fait à la suite de certains des premiers penseurs libéraux, Locke et Smith en particulier, qui sont à l'origine de l'erreur, mais depuis, le libéralisme a dépassé ça. En tout cas, la théorie libéral s'en est largement débarrassé, même si la fétichisation du travail est toujours culturellement là, à l'inverse des socialistes, qui s'en sont débarrassés culturellement, mais qui en dépendent toujours intellectuellement. -
Guerre civile culture, IDW, SJW & co
Mégille a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Moi je l'aime bien, le calendrier révolutionnaire. Il aurait été étrange de réformer les mesures de distance, de volume, de masse... et pas celles de temps. Pour le temps comme pour les autres mesures, il s'agissait de remplacer un système vaguement en base 12 mais avec des tas d'exception, pour un système en base 10, beaucoup plus prévisible. Superposer le cycle des semaines avec le cycle des mois et des années aurait effectivement été très pratique au quotidien. Et les noms des mois révolutionnaires sont assez beaux, et d'une belle régularité. Je ne sais pas ce qui est le plus surprenant : que l'on a gardé, et que le reste du monde a adopté, nos mètres, grammes et litres, ou bien, que l'on a abandonné les mesures de temps qui allaient avec. Pour les fêtes religieuses, le calendrier liturgique catholique aurait très bien pu être conservé à coté par les concernés, comme le sont les calendriers musulmans ou chinois. Evidemment, le coté "contrôle planifié" est un peu dérangeant (quoi qu'encore une fois, on le pardonne pour les autres mesures...). Mais le calendrier grégorien est lui aussi le fruit d'une série de réformes politiques. Et autant les réformes de Grégoire XIII et de Jules César étaient assez mineures (quoi qu'entre temps, deux mois on changé de nom, et que le début de l'année et du décompte des années ont changés, et qu'avant César, il y avait encore parfois un treizième mois intercalaire) autant auparavant la réforme de Numa avait tout simplement ajouté deux mois à un calendrier de 10 mois et d'une période vague en hiver. Toutes ces réformes étaient décidés par une autorité centrale et dans un but de rationalisation scientifique. -
Je connais un "Albert" qui n'est pas content de voir son nom ainsi usurpé.
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Abstémie : les cent jours de Sodome et Gomorrhe
Mégille a répondu à un sujet de NicolasB dans La Taverne
J'imagine que ça peut être 1) ce qui te donne un sentiment d'appartenance à une communauté, à plus que toi seul, 2) les rituels et les codes moraux que tu es enclin à respecter même sans y réfléchir, et 3) les croyances fondamentales que tu es le moins disposé à remettre en question. -
Attaque du Hamas & répercussions
Mégille a répondu à un sujet de Freezbee dans Europe et international
Bon, et bien, Israel n'a pas l'air de vouloir régler ça à l'amiable. https://www.bloomberg.com/news/live-blog/2024-04-19/middle-east-latest -
C'est toujours moins chelou que les noahides : ces types qui ne se disent pas juifs, mais qui reconnaissent le judaïsme comme la bonne religion et respectent des lois religieuses fixées pour eux par les rabbins.
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Bonjour, je t'invite à te choisir une image de profil et à te présenter ici -> https://forum.liberaux.org/index.php?/forum/191-forum-des-nouveaux/
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Attention, Pigou, Mr externalité, était un néo-classique de la bande à Marshall, et pas du tout copain avec Keynes, donc pas de l'école de la synthèse ! Et hors de l'aspect historique, son approche me semble bien néo-classique et pas keynésienne, puisqu'elle consiste à analyser les problèmes que d'autres voudraient présenter comme irréductiblement collectifs en des termes individualistes et micro-économiques, et que la solution implique une planification minimale de l'état (fixation d'un seul prix qui n'est pas fixé par le marché) et de surtout faire confiance au marché. Maintenant, est-ce que le coût en inflation de la création monétaire peut être assimilé à une externalité... peut-être, mais le dire aux interventionnistes ne les convaincra probablement pas, puisque 1) ils considèreront la "relance" comme une externalité positive supérieure, et que 2) les coûts bel et bien internes que sont les taxes et les impôts ne les gênent déjà pas vraiment.
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Le phénomène est à mettre en parallèle avec la croissance de la bureaucratie privée et publique, qui est de plus en plus la classe dominante (au lieu des propriétaires et des élus). A la fois parce qu'elle émet des normes qui contraignent les autres à se diplômer, et parce que le diplôme est une condition pour la rejoindre. Que le bureaucrate n'ait pas nécessairement un niveau de richesse très élevé pour autant ne fait que nous montrer que la richesse tend à laisser la place à d'autres marqueurs de statut social. Fait intéressant, la Chine fait face à cette même dynamique depuis l'antiquité, et c'est de cette classe de savants inutiles qu'a émané le confucianisme, et c'est elle qui l'a entretenu, et a été entretenu par elle. Amusant de voire que notre classe de bureaucrate à nous produit une idéologie en tout point opposée à celle-là.
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Images fun et leurs interminables commentaires
Mégille a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Je découvre avec enthousiasme https://libraryofbabel.info/ Et quelle chance ! A en croire mon traducteur, je serai tombé sur une suite de lettre normale dans une langue européenne !