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Le lien entre charcuterie et cancer du colon démontré chez le rat


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Depuis quand les hommes et les rats ont-ils les mêmes besoins alimentaires et le même traitement biologique de la nourriture ? L'INRA ne nous l'expliquera pas.

PARIS - L'effet de la consommation de charcuteries sur le cancer colorectal chez le rat a été démontré dans une étude rendue publique mercredi par l'institut français de la recherche agronomique (Inra).

Des études épidémiologiques permettaient de supposer que les charcuteries ou la viande rouge pouvaient favoriser les cancers colorectaux, mais cela n'avait pas été prouvé.

http://www.romandie.com/ats/news/100707172359.wo2cicpp.asp

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Non mais de toute façon, on peut manger n'importe quoi, ça augmentera notre risque de maladie… le sel, le sucre, le gras…

La seule solution est de ne manger que des fruits, des légumes, et des graines… très peu pour moi ! :icon_up:

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La seule solution est de ne manger que des fruits, des légumes, et des graines… très peu pour moi ! :icon_up:

Justement, c'est l'inverse qu'il faut faire.

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Euh, j'ai vu tout à l'heure une actu similaire parlant de charcuterie ayant subi certains traitements spécifiques. C'est ptêt la source qui se plante ?

Sinon, bah le rat est habituel pour faire la comparaison avec les Hommes il me semble; organes similaires, tout ça…

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Sinon, bah le rat est habituel pour faire la comparaison avec les Hommes il me semble; organes similaires, tout ça…

Ah bon ? Les rats mangent 2000 calories par jour et de la viande de boeuf ?

Le fait qu'on ait quelques caractéristiques en commun ne fait pas de nous des gens identiques.

Beaucoup de traitements ont d'ailleurs échoué car ils fonctionnaient sur les rats et finalement pas sur les hommes.

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Les rats sont des mamifères. Leur métabolisme est assez proche de celui humain.

On fait des expériences sur les rats car:

1. Ils sont nombreux, se multiplient vite. Cela permet d'avoir assez facilement des "cohortes" de bonne puissance statistique.

2. Leur "cycle de vie" est rapide: cela permet d'avoir des relations "cause->conséquence" dans des délais convenables pour la recherche.

Les mêmes recherches, menées sur des chiens ou bien des singes, seraient malaisées car il est difficile d'avoir un nombre de sujets suffisants et il faudrait des délais d'étude parfois trop longs (ou alors concéder des coûts de recherche exorbitants)

3. Brigitte Bardot n'a pas encore pris la défense des rats (à la différence des chiens) :icon_up:

En revanche, il est évident qu'une étude menée sur des rats est moins "probante", justement du fait des différences assez marquées avec l'homme. Les résultats ainsi obtenus constituent donc un "faisceau de présomptions", pas plus…

Dans le cas particulier (influence des charcuteries sur le développement des cancers du colon), justement, on peut se poser des questions:

-l'alimentation habituelle des rats étant assez différente de celle des humains (et donc "l'éco-système" qu'est le tube digestif) peut-on extrapôler les résultats ? Trés probablement non, ce résultat n'est qu'une "vague indication" en ce qui concerne l'homme.

- justement, puisqu'on savait à l'avance que le seul résultat qui en découlera sera une "vague indication", était-ce utile de faire cette étude ? Nous disposons déjà de nombreuses autres raisons de "penser que"… les charcuteries sont favorables à l'évolution cancerigène, chez l'homme.

Donc… petite étude pour petit résultat. Pas de qui s'exciter comme des pucelles.

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Manger de la viande tout le temps et franchement jamais de légumes, il existe une probabilité supérieure à choper un cancer du colon, mais c'est pas automatique et ça veut pas dire qu'il faut modérer sa consommation de viandes comme un bourrin, il y a des éléments nutritifs importants dans la viande dont l'Homme a besoin, il faut juste varier avec des légumes, des féculents, du poisson etc…

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On peut franchement douter de l'utilité d'une telle étude, surtout que des études statistiques sur les humains ont d'une part déjà été faites et d'autre part ces études ont donné des résultats clairs.

Hmmm… Ce sont souvent des études retrospectives, donc pas aussi probantes. Les études prospectives sont nettement plus convaincantes. Mais elle sont souvent iréalisables chez l'homme.

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Manger de la viande tout le temps et franchement jamais de légumes, il existe une probabilité supérieure à choper un cancer du colon, mais c'est pas automatique et ça veut pas dire qu'il faut modérer sa consommation de viandes comme un bourrin, il y a des éléments nutritifs importants dans la viande dont l'Homme a besoin, il faut juste varier avec des légumes, des féculents, du poisson etc…

Je pense que des indicateurs généraux type espérance de vie, prévalence des cancers x ou y, suivant les pays/cultures peut donner de bonnes indications. Il y a des écarts assez significatifs :

source : http://www.hubrural.org/pdf/ofival_conso_viandes_monde.pdf

Japon : 44 Kg/hab/an

Argentine : 99

USA : 124

Afrique du Nord : 23

Union Européenne 90

En france c'est 33 000 cancer/an, donc sur 60M de personnes une incidence à la louche de 5 sur 10 000.

Pour les US c'est 140 000 cancers/an, donc sur 300 M on a un taux équivalent (un peu inférieur même car pour une population x 5 on n'a pas tout à fait x 5 à 10% près).

On peut trouver un tableau d'incidence ici pour l'europe : http://info.cancerresearchuk.org/cancersta…owel/incidence/

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On sèche et sale la viande depuis que l'homme est homme alors que l'épidémie de cancer date d'hier (un siècle à la louche).

Le lien entre les deux semble donc tout sauf évident.

A vérifier : quelle charcuterie? En particulier de quoi avait-on nourri les bêtes dont on l'a faite? Comment leur viande a-t-elle été traitée exactement? Quant aux rats, leur donnait-on aussi d'autres choses et si oui, quoi?

Sinon, la boboïtude des hypothèse qui méritent d'être testées par la science contemporaine, genre "le gras et la viande c'est mal, prouvez le" ou "l'homme détruit la planète, prouvez le" à la longue c'est agaçant.

Qui a testé l'hypothèse "farines raffinées"?

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On sèche et sale la viande depuis que l'homme est homme alors que l'épidémie de cancer date d'hier (un siècle à la louche).

Il y a aussi que la plupart des cancers se declarent tard. Comme l'esperance de vie a beaucoup augmente dernierement, et que les detections de cancer sont meilleures, le nombre de cancers explose… Le lien avec l'alimentation, s'il existe certainement, n'explique pas tout.

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Il y a aussi que la plupart des cancers se declarent tard. Comme l'esperance de vie a beaucoup augmente dernierement, et que les detections de cancer sont meilleures, le nombre de cancers explose… Le lien avec l'alimentation, s'il existe certainement, n'explique pas tout.

Taubes dit qu'en prenant le facteur age en compte il y a une épidémie de cancers qu'il n'y avait pas avant.

Je réalise bien que ton explication est l'explication habituelle mais je en la gobe plus tout cru. Taubes a-t-il raison sur cette analyse?

PS: si quelqu'un a le temps pour fusionner avec le fil nutrition?

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Taubes dit qu'en prenant le facteur age en compte il y a une épidémie de cancers qu'il n'y avait pas avant.

Je réalise bien que ton explication est l'explication habituelle mais je en la gobe plus tout cru. Taubes a-t-il raison sur cette analyse?

Pas seulement l'age, mais aussi les moyens de detections qui ont fait des bonds en avant phenomenaux…

En fait, la these de l' "explosion de cancer" est tres generalement recuperee tres vite par toute une horde de gentil fluffies boboides ecolos ce qui la rend immediatement suspecte.

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Pas seulement l'age, mais aussi les moyens de detections qui ont fait des bonds en avant phenomenaux…

En fait, la these de l' "explosion de cancer" est tres generalement recuperee tres vite par toute une horde de gentil fluffies boboides ecolos ce qui la rend immediatement suspecte.

Il y a eu un rapport de l'accadémie de médecine sur les causes du cancer. Il n'a pas eu bonne presse car en gros il dit que les causes des cancers sont plus liés aux comportements (bronzage intensif, tabac, alcool…) qu'à l'environnement et clairement ça ne plait pas trop car ça engage plus ou moins directement la responsabilité individuelle et il est très dur de trouver une machine à excuses.

Source : http://www.academie-sciences.fr/publicatio…er_13_09_07.pdf

le tabac reste, à l’orée du XXIe siècle, la principale cause de cancer (29 000

décès, soit 33,5% des décès par cancer chez l’homme, 5 500 décès, soit 10% des décès par cancer chez

la femme). La lutte contre le tabac, malgré les progrès effectués, reste prioritaire. L’alcool est à

l’origine d’environ 9% des décès par cancer chez l’homme et 3% chez la femme. Ainsi, malgré les efforts

effectués, tabac et alcool restent à l’origine de 28% des décès par cancer. L’excès de poids et

l’insuffisance d’exercice physique causent environ 2% des cancers chez l’homme et 5,5% chez la femme.

Les expositions professionnelles sont à l’origine de 3,7% des cancers chez l’homme et de 0,5% chez la

femme. Ce pourcentage a tendance à diminuer dans les pays industrialisés grâce, notamment, à une

meilleure hygiène du travail. Les chiffres trouvés pour la France sont voisins de ceux rapportés au

Royaume-Uni.

Contrairement à certaines allégations, la proportion de cancers liés à la pollution de l’eau, de

l’air et de l’alimentation est faible en France, de l’ordre de 0,5%, elle pourrait atteindre 0,85% si les

effets de la pollution de l’air atmosphérique étaient confirmés ; cette dernière valeur serait proche de

l’estimation faite au Royaume-Uni. Les recherches doivent se poursuivre et les efforts pour lutter contre

la pollution doivent continuer, notamment pour l’air atmosphérique, d’autant que celle-ci a, par ailleurs,

des effets nocifs sur les systèmes respiratoire et cardio-vasculaire.

Chez les femmes, les traitements hormonaux de la ménopause sont à l’origine d’environ 2% des

décès par cancer (essentiellement cancers du sein et de l’ovaire) ; ceci invite à limiter les indications et

la durée de ces traitements. L’exposition prolongée aux rayons solaires cause environ 1% des décès par

cancer dans les deux sexes.

On considère généralement que l’alimentation a une influence majeure sur le risque de cancer,

cependant l’effet des facteurs nutritionnels spécifiques, tels que la teneur en fibres des aliments, la

quantité de fruits et légumes ingérée, n’a pas été confirmée par les dernières enquêtes épidémiologiques.

De même, celles-ci suggèrent que la consommation de viande route et de charcuterie n’accroissent que

modérément les risques de cancer du colon-rectum (RR = 1,3). Cependant, ces études ont été effectuées

sur des adultes ; le rapport souligne la nécessité de poursuivre les recherches, car il est plausible que

l’alimentation de l’enfant, de l’adolescent et même de la mère pendant la gestation, puissent influencer

l’incidence des cancers à l’âge adulte. De plus, même si l’effet bénéfique d’une alimentation riche en

fruits et légumes pour le risque de cancer n’est pas établi, il ne faut pas mettre en cause les conseils

alimentaires donnés dans ce domaine car ils restent valables pour la prévention des maladies

cardiovasculaires et du diabète.

L’influence sur la fréquence des cancers de la richesse en calories de l’alimentation a été

constatée chez les animaux d’expérience, elle mérite des investigations plus approfondies chez l’homme

car elle pourrait expliquer les différences d’incidence de certains cancers entre pays en développement

et pays développés.

Il existe au cours de la cancérogenèse de nombreuses interactions entre différents agents

cancérogènes (tabac-alcool, tabac-radon, virus hépatite B et aflatoxine, etc…). Il en existe aussi entre

agents cancérogènes exogènes et endogènes. Peut-on arguer de ces interactions pour supposer un rôle

de la pollution ? Ceci est concevable si l’agent polluant a un pouvoir cancérogène même faible, donc

pour certains polluants atmosphériques qui pourraient accroître les effets du tabac ; cependant, les

études épidémiologiques, sans exclure cette éventualité, montrent que cette interaction n’aurait qu’un

impact limité, même pour les cancers du poumon. Par contre, quand les agents polluants n’ont pas

d’effet cancérogène établi (par exemple, nitrates, pesticides, etc.), cette hypothèse apparaît très peu

vraisemblable.

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On considère généralement que l’alimentation a une influence majeure sur le risque de cancer,

cependant l’effet des facteurs nutritionnels spécifiques, tels que la teneur en fibres des aliments, la

quantité de fruits et légumes ingérée, n’a pas été confirmée par les dernières enquêtes épidémiologiques.

De même, celles-ci suggèrent que la consommation de viande route et de charcuterie n’accroissent que

modérément les risques de cancer du colon-rectum (RR = 1,3).

les études épidémiologiques concernant l'alimentation et le cancer sont pratiquement inexploitable.

La quantité de fruit et légume n'a par elle même pratiquement aucun intérêt pour ce qui est de la maladie. Ce qui compte c'est:

La quantité de molécules actives effectivement assimilées

L'efficacité relative de chacune ces molécules

Les associations de ces molécules

Pour prendre un exemple, un seul petit câpre contient autant de quercetol que 2 kilos de pommes épluchée. Certaines combinaisons augmentent l'efficacité anticancéreuse de ces molécules par 10 ou 100 etc…

Pour ce qui est de la charcuterie il faudrait distinguer les charcuteries avec et sans nitrite mais de fait c'est un facteur beaucoup plus homogène que le très vague '' fruit et légumes''.

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Rappelons que beaucoup de fois, les cancers sont des maladies héréditaires.

Non vraiment pas. Les cas de prédispositions génétiques a la maladie type BRCA sont tres rares. Une predisposition genetique a develloper un cancer vous tue avant la puberté sans la possibilité de laisser une descendance. Pas la meilleur situation pour se repandre au sein d'une population.

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Ah bon ? Les rats mangent 2000 calories par jour et de la viande de boeuf ?

Le fait qu'on ait quelques caractéristiques en commun ne fait pas de nous des gens identiques.

faites l'experience:

laissez une entrecôte bien cuite près d'une berne a ordure peu eclairee

revenez une demi heure plus tard

constatez.

Les rats sont oportunistes et mangent a peu près tout ce qu'ils trouvent dans la nature ils n'hésiteront pas a s'attaquer a une charogne.

Beaucoup de traitements ont d'ailleurs échoué car ils fonctionnaient sur les rats et finalement pas sur les hommes.

Le cancer est une maladie cellulaire. A l'échelles cellulaire vous pouvez appeler un rat mon brother: le fonctionnement d'une cellule du foie ou du poumon d'une souris est pratiquement identique a celui d'un homme. Les rats ne sont pas des modèles parfait, mais l'oncologie est un domaine pour lequel ils sont particulièrement efficaces.

Et n'oubliez pas que l'on travaille de plus en plus sur des souris chimériques, pour se rapprocher encore du modèle humain.

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Tiens, si quelqu'un si connait : quid de la question de savoir si le plus gros risque est ce dont se nourissent préférentiellement les cancers plutôt qye ce qui le déclenche?

Est-il vrai qu'on trouve des cancers chez un grand nombre d'autopsiés, qui étaient donc restés tranquilles sans causer de tracas? (Les cancers)

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Non vraiment pas. Les cas de prédispositions génétiques a la maladie type BRCA sont tres rares. Une predisposition genetique a develloper un cancer vous tue avant la puberté sans la possibilité de laisser une descendance. Pas la meilleur situation pour se repandre au sein d'une population.

Tu prends un cas très particulier, là. Une prédisposition génétique à la cancérisation peut tuer après la puberté - tout comme la chorée de Huntington, au gène dominant, se déclenche après 40 ans. Un gène prédisposant à un problème de santé se répandra si l'avantage qu'il procure parvient à dominer ses inconvénients. Pense, par hasard, à la raison qui a fait que, même si la plupart des organismes unicellulaires sont immortels, la plupart des êtres pluricellulaires soient, eux, mortels (au sens de "capables de mourir de vieillesse").

Tiens, si quelqu'un si connait : quid de la question de savoir si le plus gros risque est ce dont se nourissent préférentiellement les cancers plutôt qye ce qui le déclenche?

Tu sais que je t'aime, quand tu sors ton gros Taubes ? :icon_up:

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Quoi, les cellules cancéreuses peuvent être affamées et mourir ?

L'hôpital de l'université de Würzburg a eu des résultats assez probants pour conseiller ce genre de régime aux cancéreux. L'idée de base date de 1924 :icon_up:

Tumour tissue prefers sugar for energy and often has problems burning fat for its energy demands. In contrast, the healthy cells of cancer patients often have a problem utilizing carbohydrates and the metabolism favours fat for energy. This phenomenon is predominantly caused by a typical cancer associated metabolism characterized by an increased insulin resistance of muscles and organs and an increased expression of sugar-uptake receptors on cancer cells.
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Tu prends un cas très particulier, là. Une prédisposition génétique à la cancérisation peut tuer après la puberté - tout comme la chorée de Huntington, au gène dominant, se déclenche après 40 ans. Un gène prédisposant à un problème de santé se répandra si l'avantage qu'il procure parvient à dominer ses inconvénients. Pense, par hasard, à la raison qui a fait que, même si la plupart des organismes unicellulaires sont immortels, la plupart des êtres pluricellulaires soient, eux, mortels (au sens de "capables de mourir de vieillesse").

Tu sais que je t'aime, quand tu sors ton gros Taubes ? :icon_up:

certes. Mais constate que la chorée de huntington touche une personne sur 1 million contre pratiquement 1 sur 3 pour les différents cancers. Une généralisation due a un avantage en heterozygotie sur le modèle de la drépanocytose ou de la mucoviscidose est exclue. Après on peut imaginer des modèles darwinien de sélection collective: le cancer touche un peu plus les individus physiquement les moins actifs, les femmes qui ne font pas d'enfants, les vieux, les individus qui mangent beaucoup etc… Bref on peut imaginer qu'un gène ou un combinaison de gènes favorisant l'élimination des bouches a nourrir inutile a une communauté favorise in fine l'expansion de cette communauté. J'avais essaye de défendre cette idée ''d'apoptose sociale'' devant des collègues médusés… Au bout de deux échange j'ai été compare a mengele ou galton, bref un bide.

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Quoi, les cellules cancéreuses peuvent être affamées et mourir ?

Oui c'est d'ailleurs une des pistes assez sérieuses parmis d'autres pour soigner, ou au moins réduire, les tumeurs. Parce les tumeurs se construisent un véritable réseau sanguin dédié pour se gaver en général.

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