Lameador

Non Le législatif c'est une chose. L'exécutif, et la politique pénale c'est autre chose. Là on a une décision de dire "vous me collez 500 balles d'amende aux porteurs d'armes blanches (solvables)" que vous trouvez C'ets un peu comme les PVs des radars routiers. Le fait que chaque cas ne fasse pas l'objet d'une saisie par le procureur pour établir un procès en vue d'une éventuelle condamanation pour excès de vitesse a des conséquences pratiques quantitatives absolument évidentes.

L'ingéniérie sociale produit des changements à deux générations. Et je ne veux pas que mes petits-enfants se nourrissent de foin et d'insectes.

Miles a pris sa tronçonneuse et commence à nettoyer les écuries d’Augias

Encore quelques mandats de Macron et on aura la cuisine anglaise, la musique espagnole, l'architecture allemande et la littérature italienne.

Un fois n'est pas coutume, un fabuleux article sur le site d'alternatives économiques (si si) posté par Gilles Raveaud https://blogs.alternatives-economiques.fr/system/files/inline-files/Fourquet - stato-consumérisme (Mai 2024).pdf

Au doigt mouillé, je dirais que c'est ce que les gens qui ont dépensé beaucoup de shekels pour la création de cette liste espèrent.

Quitte à mettre les pieds dans le plat, je dirais que, même en l'absence de coupe aux grandes oreilles, je trouve que le Qatar a créé un club prestigieux, et s'est offert une influence politique en France (et au Maghreb) et une popularité auprès de toutes les couches de la populations (de Z à Mélenchon) qui me paraissent bien plus efficaces, en termes de "bang for the buck" que la quasi-totalité de l'activité du quai d'Orsay. C'est plutôt cool de pouvoir croiser le politique français de son choix dans une loge VIP. Je ne suis pas sûr que la Qatar aurait pu obtenir d' organiser (avec le succès que l'on a vu) la Coupe du Monde 2022 sans cet investissement. Nasser Al-Khelaïfi peut se balader en kandulla n'importe où en France (hors Marseille) ou au Maghreb, et les gens lui demanderont des autographes. En termes d'investissement, QSI a joué un coup de maître. Quand au "coût" de l'investissement, la niche fiscale des investisseurs Qatari (négociée et/ou prorogée au Parc des Princes) le rembourse rubis sur l'ongle.

Etant pro-mythologie grecque, assez conservateur et très méfiant envers les "modernisations", je trouve le jeu, ses tons et ses histoires excellents, fidèles par leur ambiance à l'esprit de ce que peut véhiculer le folklore héllénnique. Le mode casual ne dénature pas le jeu, il l'adapte aux préférences du joueur (tout en gardant la boucle de gameplay et la notion de difficulté, certes ajustée). Atteindre l'acte 2, découvrir la scène musicale cachée et s'émerveiller mérite largement 20€ et (au plus) 5 heures de votre temps.

Chaque jour, le Brexit continue un peu plus ses ravages !

Bon, @Mégille et @Prouic. la difficulté à poncer Hadès, c'est come les troubles de l'érection, les fuites urinaires, ou l'ignorance du javascript : il ne faut pas hésiter à demander un conseil bienveillant. Il y a dans ce jeu un mode "relax" qui donne de TRES gros bonus, et les augmente à chaque défaite consécutive. Ce qui permet d'explorer le jeu en apprenant, en y jouant mais sans avoir besoin de devenir un dieu de l'esquive au poil de seconde. Cette première consultation était gratuite.

Le basket NBA est une industrie à plusieurs milliards de dollars. Le salaire annuel moyen d'un joeur de de 10 millions. Certains athlètes sont un peu cons, et d'autre le sont énormément. Mais pas tous, et tu as des dizianes de coachs, coordinateurs, assistants, payés pour réfléchir à ce genre de problème. Et t'inquiètent, ils ont réfléchi. Comem le disait Frédéric Bastiat, il y a ce qu'on voit (la position ridicule, le %age de réussite) et ce qu'on ne voit pas. Mon avis, c'est que ce qu'on ne voit pas c'est que ça oblige le joueur à maitriser deux types de shoots différents, deux postures différentes, deux états mentaux et proprioceptions différentes. Résultat des courses : celà fait baisser le niveau "dans le cours du jeu". Bref, la vidéo est intéressante, bien racontée et un peu smartass. Mais à mon avis, c'est aussi un peu du bullshit.

Ceci dit, la discussion récente (et les excellentes contributions de @Largo Winch et @Jean_Karim ) portaient plus sur les instituteurs que sur les profs de secondaire. Pour lesquels la question de la modulation des rémunération par spécialité mériterait d'être posée.

Ces considérations sont intéressantes, sincères et proches du terrain. J'approuve totalement le constat, je diffère sur les solutions. Le remède à l'inflation n'est pas d'imprimer plus de monnaie. C'est d'admettre le caractère masturbatoire des diplômes, et de proposer le même concours à quiconque postulera. Si les "mauvais Bac+5" sont authentiquement les moins pires, c'est de toute façon eux qui arriveront en tête du concours, n'est-ce pas ? Concernant la débureaucratisation, les diplômes virtuels, ou l'héritage de Savonarole Chevènement , j'ai toujours considéré qu'il fallait éliminer les conflits d'intérêts incestueux et autant que possible dissocier l'enseignement (transmettre, former, enseigner) de l'évaluation (certifier, évaluer, décerner des diplômes). C'est un principe simple, possible à mettre en oeuvre progressivement, et qui a long terme inversera les effets négatifs d'une gangrène socialiste qui a mis 40 ans à contaminer le mammouth.

Un niveau qui pour moi, avec deux and de cours intensifs et professionnalisants pour candidats motivés (en échange d'un statut de fonctionnaire) permettrait d'obtenir des insituteurs.ices TRES, TRES largement meilleurs que les rebuts bac+5 qui postulent à un "concours" qui leur est réservé et dans lequel tu as quasi autant de reçus que de candidats. Deux ans de cours avec un curriculum type, sur deux ans : * pédagogie, vie de l'enfant, gestion de classe (uniquement effectués par des formateurs bien rémunérés avec 20 ans de pratique face à une classe) : 600 h/an . De quoi arrondir les fins de mois des instits seniors. * orthographe et grammaire : 200h/an par des profs de français agrégés , justifiant de 10 ans d'enseignement au cours des 20 dernières annéesface à de vraies classes * Mise niveau disciplinaire (Maths, français, ... ) assurés par des professeurs agrégés ou certifiés 400h/an, sur les autres matières Tu rajoutes un an de stage avec un tuteur Et tu as des instits, qui ressembleront à des BTS ayant fait une année de compagnonnage, qui seront EN TOUS POINTS supérieur à ce qui se recrute actuellement.

Au risque de me répéter, je ne partage pas ton pessimisme sur cette solution sensée, et je pense que tu te trompes très lourdement. La réalité c'est qu'un instit n'a aucune raison d'être recruté Bac +5 , et que le système actuel de "brickwall bac+5" pour se présenter au concours parque le recrutement au pire de ce que peuvent produire les facs de socio. Rouvrir des écoles normales recrutant su concours post-bac, avec 2 ans de formation et 1 and de stage validant une licence serait en tout point la meilleure réforme possible (et permetrait aux insituteurs d'exercer 2 ans de plus avant la retraite) , et à défaut élargir le vivier du concours (qui rappelons le est le même pour tous els candidats) est une excellente idée sans aucun début d'inconvénient.

Sérieusement, je ne comprends pas qu'ils ne l'aient pas fait plus tôt https://www.zerohedge.com/geopolitical/ukraine-passes-bill-which-taps-prisons-fill-depleted-army-ranks

J'ai un pote qui travaille pour une entreprise rivale et a récemment eu une formation obligatoire bien gnangnan sur le harassment. Je ne peux m'empêcher de penser qu'une culture d'entreprise ne devrait pas exagérément prêcher la bienveillance. En fait, la bienveillance c'est un peu comme la tolérance, il est un niveau au delà duquel elle cesse d'être une vertu.

Le féminisme misandre, mais surtout celui en mode "on va faire chier un peu plus les pères divorcés". Essaie d'imaginer le rituel d'humiliation que sera la visite forcée d'un père privé de toute autorité parentale réelle, de tout pouvoir éducatif et sommé de garder les mouflets pour que son ex parte en WE. Ou l'effet de levier que va obtenir une mère divorcé qui pourra de facto interdire (ou gêner) la possibilité de démanager de son ex. Ou lui imposer de long trajets juste pour le faire chier. Et in fine, l'autre cible c'est les boomers, désormais non concernés par la mesure, qui sont content de faire chier les actifs et qui sont en plus se disent que l'insécurité est en partie causée par l'absence de père dans l'éducation des jeunes.

Il est urgent d'agir, de réfléchir si votre trajet ne pourrait plutôt pas être fait en bus. Face au réchauffement climatique, chaque petit geste compte.