Lameador

J'ai réinstallé KotoR récemment, mais j'ai pas pu passer la première scène. Les graphismes piquent vraiment trop les yeux. Une remastered edition, avec tant qu'à faire le 2et les scènes coupées du 2, par contre ...

J'ai trouvé Mass Effect 1 captivant avec une histoire super bien écrite. Mass Effect 2 prog, formulaïque (chaque PNJ a un archétype et sa quête associée qui définit s'il te suivra à la fin) et sans aucune crédiblité (cool, le meilleur fusil blaster du jeu traîne dans une poubelle d'un quartier pauvre en quarantaine pour cause de CoviD, aucun marchand ne le propose). Seule la plastique de domina Miranda sauvait un peu le jeu (plastique moins mise en valeur dans la remastered édition, donc). Mass Effect 3, j'en ai lu que la bonne fin est inaccessible sans des tonnes de DLC (à cause d'un système de points à farmer disponible en quantités insuffisants dans les quêtes secondaires du jeu de base), et j'ai fait l'impasse.

Même un macaque, assez petit, est surprenamment agressif.

Tu parles du vaccin ou des pilules bleues, qui sont leur best seller ? Ca serait préférable qu'ils soient déboutés, et condamnés pour procédure abusive a une très lourde amende. Histoire de dissuader les héritiers sordides d'encombrer les tribunaux. Ou des procédures envers telle ou tel aide-soignante en EHPAD. Question assez épineuse philosophiquement, mais pas sans mérite.

Bof, quel intérêt de se pourrir le fun pour gratter 100 à 150 elo en milieu de classement tout en n'apprenant rien. Aux échecs en ligne, tu peux effectivement toujours gagner quelque soit ta position. en espérant que ton adversaire aie un souci de connexion ou une urgence IRL (à table, petit chéri). La gagne à tout prix, c'est bien en tournoi et stérile ailleurs.

On veut le nom du frappeur de chimpanzé

Il est impossible d'atteindre un bon niveau aux échecs sans étudier les ouvertures, savoir évaluer une position et avoir une expérience de combat en milieu de partie. Mais je pense que beaucoup de joueurs confirmées (genre 1600+) ne savent pas jouer de finales, ou en tout cas pas à un niveau comparable à leur performance dans les autres compartiments du jeu. A titre d'exemple idiot, je me demande quel pourcentage de joueurs de club sauraient faire un mat avec Roi+Fou+Cavalier vs roi nu.

Je suis pas sur. Mais les 23% qui ont voté Cobra Royal se disent qu'ils peuvent frimer et n'auront jamais à "walk the walk" après avoir "talk the talk". Il aurait été musant de mettre l'hippopotame dans le sondage.

J'avoue que je ne comprends pas. Pourquoi t'infliges tu la lecture de bouquins que tu trouves chiants ? La bibliothèque est si pauvre qu'il n'y a rien d'autre à (re)lire ? Le cycle de la culture, par Banks ou la compagnie Noire sont d'excellents conseils de lecture. Les a tu lus ?

C'est surtout vrai pour les gens que la presse identifie comme hacker russes. Les hackers russes basés en Russie, je connais moins. J'allais oublier l'anglais dans les langues courantes, (ou les langues utilisant l'alphabet latin).

Les hackers russes sont parmi les groupes les plus multiculturels au monde. Au point qu'entre eux, ils s'échangent souvent des messages en mandarin ou en coréen, parfois même en hébreu.

Je pense que cette affaire est une chance énorme pour les Etats-Unis L'exposition au risque de cyber-attaque des infrastructures critiques va désormais être au coeur du design et/ou de stratégies d'infrastructure. Mieux vaut des hackers russes maintenant que des hackers chinois pendant l'invasion de Taïwan.

A mon avis, c'est surtout que le sujet déchaine des passions, et qu'on ne parle pas de l'affaire Dreyfus si on veut un repas de famille tranquille.

Pour Bill Gates, ca restreint quand même beaucoup le pool d'élues potentielles

On peut aussi en déduire que, d'un point de vue commercial, les femmes sont la cible marketing et le prescripteur d'achat de l'industrie de la thérapie de couple.

Je vois pas trop le rapport. Si Fidel Castro l'avait porté, par contre ...

Ce compte Twitter, prolifique (voire diarrhéique), a déjà été linké récemment sur le forum

Dans les conseils, je proposerais plutôt d'identifier et assigner des taches et des livrables, et de factualiser tes critiques quand il ratera ses livraisons. Ca, et une ou deux anecdotes (per)sifflantes à ton N+1 à son sujet lors d'un café.

Ca serait bien d'avoir une section "L'auberge des voyageurs". On y autoriserait les inscrits au forum, et quelques ex-membres ayant atteint les 100 messages, à y participer à des débats en dehors du point 1 de la charte (cad à soutenir des argumentaires/point de vue non libéraux). Ce serait un outil de formation intellectuelle intéressant, et puis ca permettrait d'éviter de polluer d'autres sections du forum avec des théories de Kékés

Le coverne ? un sous-forum où les Nonosse et autres libéraux "en devenir" ou "révolus" pourraient argumenter des débats de société, et qui serait seule exemptée du premier point de la charte du forum ?

Ce qui lui donne un petit coté poisson volant, c'est le fait que une majorité d'urbains n'en ont jamais croisé.

Taleb en dirait sans doute beaucoup de bien.

Ici, on est resté à @h16 Certes, mais ce faisant ils expliquent leur légitimité à être invités. Ils sont, du point de vue de ceux qui les invitent, des horloges cassées invitées sur le créneau horaire opportun. Exactement. Cela marche aussi souvent avec "catholique"

Je ne fais pas cette erreur, loin de là. Je pense toutefois que certains se trompent d'ennemis et choisissent mal leurs alliés. Et ce d'autant plus que les alliance "Gauche traditionnelle + Bobos EELV", c'est un peu comme les alliances "Droite + Centre vil". Les premiers apportent les électeurs, le seconds dirigent et font mettre en oeuvre exclusivement leurs choix politiques spécifiques et en cocufiant leurs alliés. Un shout pour nos amis Chirac et Sarkozy. Certes. Et ce d'autant plus que beaucoup sont conscients qu'une victoire électorale de la gauche "rassemblée" se traduirait politiquement par une hégémonie idéologique et législative EELV.

Pas forcément. Un message poli avait pourtant été déjà envoyé, et c'est donc la deuxième sommation.