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Droâdezanimos ?


Cédric

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il y a deux approches pour la question mais la, dans le titre du thread ca parle de droit.Donc l'approche philosophique n'a pas lieu d'etre.

 

Hin hin, même jim ignore ce truc ? ça devient très amusant... :lol:

 

ca fait deux pages que tu es hors sujet

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Qu'est-ce qui distingue le pingouin du reste des animaux ? Qu'est-ce qui distingue le pou du reste des animaux ? Ça n'est jamais un seul critère, c'est un ensemble de caractéristiques diverses et variées. 

 

Justement non : il n'existe pas de critère permettant de discriminer le pou de l'ensemble des autres races animales, mais il en existe un pour la race humaine. C'est ça qui est intéressant.

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1/ Je n'ai pas compris où vous vouliez en venir. Je disais simplement qu'il est normal d'abattre un animal qui vous attaque, que ce soit un lion affamé ou un virus mortel.

Tu écartes la remarque sur ce seul propos qui est insuffisant. Le fait que les animaux soient incapables de respecter les droits des humains est fondamental quand on envisage de leur donner des droits.

 

2/ Pourquoi chercher une égalité de droits entre des animaux et des humains ? Je crois que personne ne réclame cela ici. De même, je trouve absurde de juger avec son regard humain les actes des animaux qui n'engagent qu'eux mêmes (un lion qui chasse une gazelle).

Tu veux dire que juger qu'un humain qui promène un chien en laisse mériterait d'être lui-même domestiquer procède de l'anthropomorphisme ? Je suis d'accord, ça procède aussi de la pure connerie. Sinon, tant que les droits de mon poisson rouge ne m'empêche pas de le manger ou de le torturer si j'en ai envie, ça me va. Dans tous les cas, ton propos ne suffisait pas à "écarter la remarque".

 

Et merci pour votre énorme strawman, même au Burning Man ils en sont jaloux ! :icon_wink:

Quand on dénonce la pétition de principe de ces opposant, on évite de le faire en se basant sur une pétition de principe 10 fois plus con, (V) passe son temps à assimiler les animaux à des humains (toi tu n'es pas taré, no offense), je ne fais que développer son idée en toute cohérence. Je te rappel que gentil-débilos pense que je mériterais d'être promené en laisse, hein.

Maintenant dis moi quels sont précisément les droits qu'on réclame pour quels animaux exactement, et pourquoi eux et pas les autres. Pourquoi les chats et pas les insectes ? Pourquoi l'animal et pas le végétal ? C'est tout de même dommage de prôner la mise en laisse des méchants éleveurs d'animaux sur de simples intuitions, non ?

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Nope, trop vague et le cas des dauphins invalide ce critère de toute façon.

 

(pour l'instant personne ne s'est demandé pourquoi "deux ans et demi", et pourquoi l'auto-réflexivité n'est pas un critère d'humanité valable. Just sayin')

 

Pourquoi deux ans et demi ? On cherche bien à qualifier une espèce, pas des individus au cas par cas ?! :icon_eek:

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Si ça un rapport de près ou de loin avec Freud et les fuminites psychacaanalistes, je sors mon révolver.

 

Nope, rien à voir.

 

il y a deux approches pour la question mais la, dans le titre du thread ca parle de droit.Donc l'approche philosophique n'a pas lieu d'etre.

 

Une approche philosophique aurait beaucoup de mal à justifier les fameux "deux ans et demi". Ergo : c'est pas le cas.

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Pourquoi deux ans et demi ? On cherche bien à qualifier une espèce, pas des individus au cas par cas ?! :icon_eek:

 

Ah ben enfin un qui se pose la question (c'est juste la première hein).

 

Par contre il ne s'agit pas de "qualifier une espèce" mais de savoir qu'est-ce qui différencie l'humain de l'animal. Selon ce critère, les enfants de moins de deux ans et demi sont plus proches de l'animal que de l'humain (oui je sais que ça fait bizarre au début, mais rassurez vous le machin est tout à fait sérieux)

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code genetique humain = joker

your argument is invalid

C'est tout à fait le sens de mon troll. Si tout le monde s'accorde sur ce qui est un être humain ou non et que cet accord se base sur le patrimoine génétique, pourquoi diable reste-t-il un débat sur la question "un embryon est-il un être humain?"
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Ah ben enfin un qui se pose la question (c'est juste la première hein).

 

Par contre il ne s'agit pas de "qualifier une espèce" mais de savoir qu'est-ce qui différencie l'humain de l'animal. Selon ce critère, les enfants de moins de deux ans et demi sont plus proches de l'animal que de l'humain (oui je sais que ça fait bizarre au début, mais rassurez vous le machin est tout à fait sérieux)

 

Une dernière fois, pare que ça m'énerve et je veux en finir. C'est le sevrage ?

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C'est tout à fait le sens de mon troll. Si tout le monde s'accorde sur ce qui est un être humain ou non et que cet accord se base sur le patrimoine génétique, pourquoi diable reste-t-il un débat sur la question "un embryon est-il un être humain?"

 

 

a cause des gogols.

n'importe qui a passe plus de 5 minutes avec une vraie vache sait que y a pas moyens qu'on soit egaux et qu'il y a une raison si on les bouffe.

Pareil avec un vieux  chien.Il faut avoir passe du temps avec un vieux chien pour avoir une idee du vide integral qui habite leur boite cranienne.

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pourquoi diable reste-t-il un débat sur la question "un embryon est-il un être humain?"

 

C'est pas la question. On peut définir l'appartenance à l'humanité par un critère génétique, ou par un autre critère qui permet à peu près la même résultat (aux bébés près), et ce second critère est particulièrement intéressant en ce qu'il représente un cas assez unique dans l'histoire de la vie.

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Une dernière fois, pare que ça m'énerve et je veux en finir. C'est le sevrage ?

 

Nope, bon votre déficit en curiosité me navre alors je vais abréger vos souffrances.

 

 

Les animaux ne posent jamais de questions, ils ne peuvent pas concevoir "l'autre" comme une source d'information. L'humain est unique selon ce critère – à partir d'environ deux ans et demi. Les animaux et les bébés peuvent communiquer, exprimer des émotions, nommer "l'autre", utiliser des outils et caetera. Mais l'animal et le bébé ne posent jamais de questions – simple question de développement cognitif.

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Tu écartes la remarque sur ce seul propos qui est insuffisant. Le fait que les animaux soient incapables de respecter les droits des humains est fondamental quand on envisage de leur donner des droits.

 

Tu veux dire que juger qu'un humain qui promène un chien en laisse mériterait d'être lui-même domestiquer procède de l'anthropomorphisme ? Je suis d'accord, ça procède aussi de la pure connerie. Sinon, tant que les droits de mon poisson rouge ne m'empêche pas de le manger ou de le torturer si j'en ai envie, ça me va. Dans tous les cas, ton propos ne suffisait pas à "écarter la remarque".

 

Quand on dénonce la pétition de principe de ces opposant, on évite de le faire en se basant sur une pétition de principe 10 fois plus con, (V) passe son temps à assimiler les animaux à des humains (toi tu n'es pas taré, no offense), je ne fais que développer son idée en toute cohérence. Je te rappel que gentil-débilos pense que je mériterais d'être promené en laisse, hein.

Maintenant dis moi quels sont précisément les droits qu'on réclame pour quels animaux exactement, et pourquoi eux et pas les autres. Pourquoi les chats et pas les insectes ? Pourquoi l'animal et pas le végétal ? C'est tout de même dommage de prôner la mise en laisse des méchants éleveurs d'animaux sur de simples intuitions, non ?

 

Autant pour moi, je croyais que tu avais écris ça suite à ma réponse !

 

Et oui, j'écarte très facilement ces remarques car je considère très simplement que l'on ne peut pas attendre la même chose d'un animal (qui n'est pas doté d'une raison, qui ne conçoit pas le droit ou le devoir...) et d'un humain (qui au contraire possède une raison et peut concevoir des concepts abstraits). A partir de là on ne peut pas réclamer à un animal de respecter nos droits humains, puisque par définition nous les avons inventés pour nous. Par contre, rien n'empêche d'établir des devoirs que nous seuls devons respecter mais dont les sujets sont les animaux. Pour moi la réciprocité n'est valable qu'entre des individus dotés des mêmes capacités cognitives on va dire...

 

Après ce sont des principes que j'applique à moi même, qui reposent sur mon expérience, mon ressenti, mon empathie, ma vision de l'éthique, etc... Je me verrais mal les imposer par la coercition, par contre je m'imagine très bien interpeller les gens pour qu'ils raisonnent comme moi.

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Nope, bon votre déficit en curiosité me navre alors je vais abréger vos souffrances.

 

 

Les animaux ne posent jamais de questions, ils ne peuvent pas concevoir "l'autre" comme une source d'information. L'humain est unique selon ce critère – à partir d'environ deux ans et demi. Les animaux et les bébés peuvent communiquer, exprimer des émotions, nommer "l'autre", utiliser des outils et caetera. Mais l'animal et le bébé ne posent jamais de questions – simple question de développement cognitif.

 

Je ne vais pas m'aventurer en terre que je connais que peu mais il me semble que l'exemple des chimpanzés prouve le contraire.

 

Edit : par exemple sur la transmission des cultures propres aux différents groupes de chimpanzés.

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C'est normal, ils ne parlent pas. Quant à déchiffrer ce que se racontent les dauphins entre eux... Tout ça, pour ça.

 

Y'a pas que les dauphins, et c'est pas parce qu'on utilise nos cordes vocales pour communiquer que tout les animaux doivent faire de même. La notion d'interrogation peut passer par le regard également (par exemple), et les animaux ne peuvent 'neurologiquement' pas l'utiliser.

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Nope, bon votre déficit en curiosité me navre alors je vais abréger vos souffrances.

 

 

Les animaux ne posent jamais de questions, ils ne peuvent pas concevoir "l'autre" comme une source d'information. L'humain est unique selon ce critère – à partir d'environ deux ans et demi. Les animaux et les bébés peuvent communiquer, exprimer des émotions, nommer "l'autre", utiliser des outils et caetera. Mais l'animal et le bébé ne posent jamais de questions – simple question de développement cognitif.

 

 

Je ne vais pas m'aventurer en terre que je connais que peu mais il me semble que l'exemple des chimpanzés prouve le contraire.

 

Edit : par exemple sur la transmission des cultures propres aux différents groupes de chimpanzés.

 

Heu... Comme Poney, j'ai un doute pour certains primates, ça mérite que je me renseigne au moins ! Mais franchement, tu étais obligé de nous faire languir aussi longtemps pour ça ?! :aille:

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C'est nawak cette histoire de question.

Quand un bébé répète un mot des milliers de fois en secouant un truc dans sa main, c'est bien pour demander si c'est le bon mot. Et si il répète "papa papa papa" pendant ds heures c'est bien pour demander où est passé son père.

Les enfants posent des questions bien avant 2 ans et demi. Et même avant de parler si on prend en compte le langage gestuel. Un enfant est curieux dès ses premières semaines.

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Je ne vais pas m'aventurer en terre que je connais que peu mais il me semble que l'exemple des chimpanzés prouve le contraire.

 

Edit : par exemple sur la transmission des cultures propres aux différents groupes de chimpanzés.

 

Y'a plein de choses que les chimpanzés font, mais si tu en trouves un qui te pose des questions préviens moi :lol: Entre le mécanisme d'imitation et celui de l'interrogation il y a un monde.

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