Aller au contenu

Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

Tiens, je me demande si les actions qualifiables d'actes de terroristes au vu du code pénal tout en étant commises au sein d'une armée étatique sont toujours condamnables devant les juridictions françaises. Si on s'en tiens à la lettre du texte a priori oui, mais la question ne s'est jamais posée devant une juridiction de je sache.

 

Un militaire avec la double nationalité franco-X faisant un "acte de terrorisme" en étant dans l'armée de X, sera qualifié de crime de guerre, de crime contre l'humanité mais surement pas d'acte de terrorisme même si le but de l'action est "en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l'ordre public par l'intimidation ou la terreur, les infractions suivantes :

1° Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l'intégrité de la personne, l'enlèvement et la séquestration ainsi que le détournement d'aéronef, de navire ou de tout autre moyen de transport, définis par le livre II du présent code ;"

Lien vers le commentaire

Ok donc faut faire peur aux gens. Donc lorsque Hollande dit mon ennemi c'est la finance, c'est une forme de terrorisme. Mais quand des syndicalistes de la CGT/FO menacent de faire exploser des bonbonnes de gaz, c'est du dialogue social.

Lien vers le commentaire

L'état stratège.

 

 

Deux ans après, le triste bilan du « cloud français » Les revenus de Cloudwatt et Numergy restent limités. La question d’une fusion est toujours sur la table.

Certains anniversaires sont plus joyeux que d’autres. En ce mois de septembre, Cloudwatt et Numergy soufflent leurs deux premières bougies. Et pour l’instant, les débuts dans la vie des deux champions du « cloud français » ne sont pas enthousiasmants, c’est le moins que l’on puisse dire : en 2014, Numergy, la création de SFR et de Bull, vise six millions d’euros de chiffre d’affaires, tandis que Cloudwatt, détenu par Orange et Thalès, envisage d’en faire deux. L’an dernier, le premier avait enregistré 2 millions d’euros de recettes, le second quelques centaines de milliers d’euros à peine. Un bilan très maigre au regard de l’investissement consenti par l’Etat qui, via la Caisse des dépôts et consignations, a versé 75 millions à chaque attelage en 2012, en échange d’une participation de 33 % dans les deux entités.

Déjà, à l’époque, on jasait. Aujourd’hui, les jugements sont encore plus sévères, notamment au sein du gouvernement : « On ne crée pas de l’innovation dans un bureau à Bercy. Si Cloudwatt et Numergy finissent par proposer de bonnes offres commerciales et que ça fonctionne, tant mieux. Mais pour le moment, le retour sur l’investissement de l’Etat est très loin d’être satisfaisant ».

En open source

A vrai dire, les deux entreprises ne sont pas tout à fait dans la même situation. Celle de Cloudwatt est la plus préoccupante. « Ils ont surtout communiqué, mais sont en retard sur un tas de sujets. Mes clients regardent ça de très loin, d’un air amusé », constate un grand acteur des data centers. D’autres sont beaucoup plus agacés. « Ils ont reçu de l’argent public, et avec ils ont essayé de débaucher chez nous en proposant des hausses de salaire de 30 % ! », tempête-t-on chez un concurrent. Philippe Stark, le premier PDG de la société, a fait les frais de ce démarrage poussif au printemps . « Tout n’a pas été facile, reconnaît Philippe Laplane, le représentant d’Orange au conseil de surveillance de la société. Le changement de direction a permis de repréciser la stratégie, et de se concentrer sur la vente indirecte et la capacité informatique à la demande ».

A la décharge de Cloudwatt, le choix technologique initial était ambitieux. « Pour avoir une offre vraiment française, nous avons décidé de tout développer en open source sur Openstack», poursuit Philippe Laplane, qui se dit « fier » d’avoir enfin sorti l’offre au 1er juillet. « C’est vrai, on l’espérait quelques mois plus tôt », concède-t-il.

Le rachat de SFR rebat les cartes

Chez Numergy, on a préféré partir très vite, en s’appuyant sur l’architecture cloud - et les clients - de SFR. Et en commençant avec la technologie américaine de VMWare, la plus répandue. « Nous, on avance depuis le départ avec la même logique : de la vente indirecte et une implantation en région  », explique Philippe Tavernier, le président de la société. De fait, ce dernier compte aujourd’hui plus de 1.000 environnements clients et 130 revendeurs. Mais l’avance de Numergy sur Cloudwatt pourrait bien se réduire ces prochains mois, le rachat de SFR par Numericable rebattant les cartes chez les actionnaires et compliquant certaines décisions.

Dans l’affaire, l’Etat est aussi responsable. Personne ne sait précisément quel est le but du cloud à la française. Assurer le service pour le secteur public ? Viser les PME, les grands comptes ? Concurrencer les géants Amazon, Microsoft ou Google ? « On leur a donné des sous pour faire ce que d’autres faisaient déjà. Le problème, c’est qu’on laisse le cloud à la française dériver, et que cela peut faire des dégâts. Certains clients vont se dire : « comme les Français ne sont pas au niveau, je vais aller chez les Américains », s’inquiète-t-on chez un autre concurrent.

A Bercy, « on pousse pour une fusion » de Cloudwatt et Numergy, dit-on en haut lieu. Chez Numergy, on n’est « pas demandeur  ». Chez Cloudwatt non plus. Cette option semble également très délicate à réaliser d’un point de vue capitalistique, ne manquent pas de rappeler les deux parties. « Surtout, une telle fusion pourrait être vue comme un échec... », fait valoir une source proche de l’un des acteurs. Difficile de ne pas lui donner raison.

 

http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0203783638727-deux-ans-apres-le-triste-bilan-du-cloud-francais-1043833.php

Lien vers le commentaire

Rappelez-vous... http://www.silicon.fr/arnaud-montebourg-cloud-france-78299.html

 

 

Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, sa ministre déléguée en charge de l’Économie numérique Fleur Pellerin ainsi que le commissaire général à l’investissement Louis Gallois, se sont félicités jeudi du lancement des deux premières « centrales numériques de confiance » françaises.

 

Lien vers le commentaire

Lheaulle.

Un CA de l'ordre du million d'€. C'est le budget typique des plateformes que j'administre. Tu fais pas tourner une boîte de plus de 10 personnes sur ce genre de dimension.

 

Hé bien, à 7.5 millions le job, c'est du bon investissement pour l'emploi.

Lien vers le commentaire

C'est comme le Google Français. Je comprends pas pourquoi le Ministère de la Culture n'a pas encore sortit l'Amazon Français dont la devise serait "des prix élevés, tous les jours, pour tout."

Lien vers le commentaire

Sortie du nouveau Rifkin: un nouvel argumentaire anti-capitaliste à la mode.

 

Jeremy Rifkin : “Ce qui a permis le succès inouï du capitalisme va se retourner contre lui”

ENTRETIEN | Pour l’économiste américain Jeremy Rifkin, l’heure de la troisième révolution industrielle a sonné. La société va devoir s’adapter.

 

“Le soleil et le vent sont gratuits, il suffit de les capturer, et nous y arrivons de mieux en mieux.”

 http://www.telerama.fr/idees/jeremy-rifkin-ce-qui-a-permis-le-succes-inoui-du-capitalisme-va-se-retourner-contre-lui,117006.php
Lien vers le commentaire

Sortie du nouveau Rifkin: un nouvel argumentaire anti-capitaliste à la mode.

 

 http://www.telerama.fr/idees/jeremy-rifkin-ce-qui-a-permis-le-succes-inoui-du-capitalisme-va-se-retourner-contre-lui,117006.php

 

Le mec qui dit que le coût des énergies renouvelables (un truc non rentable sans subvention) et de l'impression 3D (un truc qui coûte une fortune par rapport à l'usinage classique dès qu'il faut produire en masse) va devenir nul :D

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...