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Je raconte my life II - Le retour


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Penses-tu qu'il y un risque qu'il devienne comme toi un jour?

Voyager en seconde ou en classe éco

1.edit: j'adore critiquer les francais il est vrai :icon_up:

2.c'etait en premiere. je voyage toujours en premiere.

j'aime aussi l'avion classe eco+toutes options: essayez les options, c'est super.

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Le fauteuil, un repas, une ceinture de sécurité.

Il y a aussi l'option "cul nu", disponible sur Fayçal Air: http://www.eturbonews.com/1087/nude-airline-take-germany

L'option "hôtesse sur les genoux", qui permet de gagner pas mal de place, est à l'étude.

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Suis-je donc le seul à bien aimer les transports en commun en région parisienne ? Je préfère prendre une demi-heure de plus et pouvoir lire — ou même laisser ma pensée vagabonder — dans le Transilien plutôt que de prendre un transport individuel qui me forcerait à perdre deux heures de ma vie chaque jour à me concentrer sur la circulation.

Disons que je n'aime ni la voiture individuelle ni les transports en commun dans Paris, mais que je ne vois pas l'intérêt de m'encombrer d'une tuture. :mrgreen:

(de toute façon, je n’ai pas le permis :icon_up: . Mais là n’est pas la question)

Moi non plus, précisément parce que j'ai toujours vécu à Paris (à quelques années près).

Ma famille se paie ma tête sur l'absence de permis. A l'époque où j'y songeais (18 ans), j'avais demandé à mes parents s'ils me prêteraient leur tuture à l'occasion, la réponse fut non. J'en ai conclu que je réfléchirais au permis le jour où la possibilité d'utiliser une bagnole un tant soit peu régulièrement se présenterait… j'attends toujours depuis 12 années. :doigt:

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Un enfant est par divers côtés un grand bébé. :icon_up:

Entre la phase "Ouiiiiin ! alerte alerte ! j'ai soif ! déshydratation en cours ! je pleure à pleins poumons" et la phase "mes chers parents, pardonnez mon impétuosité mais les souliers que vous m'avez offerts sont trop étroits, d'où une douleur à chaque pas", le processus de verbaliser clairement et calmement (comme un adulte) s'instaure très progressivement, sans compter la personnalité de chacun des parents et de chacun des mioches.

Par ailleurs, Skeg, ma mince expérience m'enseigne que les parents sont parfois de simples adultes un peu fatigués, n'ayant pas envie d'affronter un drame tous les quarts d'heure à tout propos alors qu'ils portent leurs soins du matin au soir envers leur marmaille, ils s'accordent un répit dirais-je.

Je ne dis pas que c'est bien ou mal. Eduquer un mouflet n'est pas mathématique, automatique et orthogonal, voilà tout.

Et un adulte serait donc aussi "par divers côtés un grand bébé" ? L'un des premiers objectifs d'une bonne éducation est de faire en sorte que l'enfant ne soit plus un bébé, justement, et force est de constater que la plupart des parents, au contraire, infantilisent leur bambin plus que de raison en les laissant se tortiller et brailler sans les remettre à leur place. Avec ce type de raisonnement, un parent peut laisser faire tout et n'importe quoi à son enfant, ce qui est déjà fait remarquez : quand vous voyez une mère regarder bêtement et mollement son gosse lécher la vitre d'un métro, vous avez de sérieux doutes sur les vertus éducatives de la mère. Après, oui, ce n'est ni mathématique, ni automatique, ni orthogonal, mais il y a tout de même un minimum : apprendre à l'enfant le calme et la propreté dans les lieux publics est une source d'apaisement pour les parents et un bienfait pour l'enfant. Sans compter que les personnes présentes n'auront pas à souffrir la marmaille des autres.

Votre exemple est d'ailleurs l'expression d'un besoin ou d'une douleur, et il est normal qu'un enfant l'exprime, même si je pense qu'apprendre la façon adéquate de l'exprimer est capital, mais passons. Les enfants que je vois dans les transports ne semblent manifester aucun besoin particulier, à moins que l'on inculque dès le berceau le besoin d'embêter les gens. Ces braillements, cris et gesticulations sont à la fois l'expression d'un ennui auquel le parent ne veut point apporter de remède, et la marque d'une mauvaise éducation dans le sens où strictement rien n'est tenté pour calmer l'enfant dans la plupart des cas. Je veux bien croire qu'élever un enfant est éreintant, mais je pense que mettre son enfant sur ses genoux pour le faire lire calmement est justement moins pénible que de l'entendre brailler à côté de soi. En ce qui concerne le fait pour les parents de prendre un répit dans les transports, il y a bien d'autre lieux plus adaptés, à maints égards.

Ce n'est pas une question de "dressage", a un age donne correspond un degres d'exigeance donne. Par exemple, on ne peut generalement pas attendre d'un enfant de 4 ans de se tenir 5 heures tranquille assis dans un train, sans trop bouger. A 7 ans, oui (ca depend aussi de l'enfant, certain sont plus precoce dans certain domaine que d'autre).

Beaucoup de personne sans enfants n'ont aucune notion de ca, et aussi de la fatigue possible du parent, d'ou une incomprehension parfois dans les lieu publique.

C'est un fait, on ne peut pas attendre d'un enfant de quatre ans de se tenir cinq heures tranquille. Mais on peut justement attendre d'un parent responsable qu'il ne fasse pas un voyage aussi long avec son enfant ne serait-ce que par égard pour les autres voyageurs et pour éviter de fatiguer son môme, car ces distances sont souvent éreintantes pour un enfant. De plus, les cas que je mentionne se sont réalisés dans des trajets fort courts, pas plus de trente minutes.

Le fait est que les parents avec enfants sont acceptés partout dans les lieux publics et que la plupart ne manifestent aucune volonté de se montrer dignes de cette acceptation. Apprendre à son enfant les règles de politesse et de tenue me semble être la condition la plus élémentaire. Après, cela ne dépend pas que de l'enfant, mais surtout des parents. Quand vous voyez vos voisins de table au restaurant littéralement harceler un serveur pour qu'il réchauffe la pâtée immonde du petit, sorte de produit généralement verdâtre et malodorant, et servir cuillerée par cuillerée l'espèce de bouillie qui dégouline de la bouche de l'enfant pendant que vous n'aspirez à rien d'autre que de manger votre plat sans assister à ce genre de spectacle, vous vous posez de sérieuses questions sur les manières des parents (n'était-il pas mieux de nourrir le bébé avant, ou de le faire garder à la maison, ou tout simplement de ne pas aller au restaurant et, au lieu, de se faire livrer de bons petits plats à la maison ?).

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Moi non plus, précisément parce que j'ai toujours vécu à Paris (à quelques années près).

Ma famille se paie ma tête sur l'absence de permis. A l'époque où j'y songeais (18 ans), j'avais demandé à mes parents s'ils me prêteraient leur tuture à l'occasion, la réponse fut non. J'en ai conclu que je réfléchirais au permis le jour où la possibilité d'utiliser une bagnole un tant soit peu régulièrement se présenterait… j'attends toujours depuis 12 années. :icon_up:

C'est relativement dommage. On apprend plus vite à conduire qu'on est jeune.

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S'ils font trop de bruit, il reste toujours la possibilité de les jeter aux requins.

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Je suis en train de choisir mes séminaires, si je n'étais pas d'un calme olympien, je m'arracherais les cheveux par poignées tant les formulaires sont incompréhensibles.

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Je suis en train de choisir mes séminaires, si je n'étais pas d'un calme olympien, je m'arracherais les cheveux par poignées tant les formulaires sont incompréhensibles.

J'ai enfin trouvé une faute d'orthographe de Skeggi, je peux mourir tranquille, le plus tard possible, mais je peux.

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J'ai enfin trouvé une faute d'orthographe de Skeggi, je peux mourir tranquille, le plus tard possible, mais je peux.

O me miseram ! Je ne me suis pas relue, et comme je ne suis pas dans mon état normal (tentez de vous mettre ne serait-ce qu'une seconde dans la tête de l'administration sorbonicole pour comprendre ce qu'ils veulent dire dans un formulaire de Master et vous comprendrez) j'ai pêché !

Je réclame un châtiment exemplaire…

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O me miseram ! Je ne me suis pas relue, et comme je ne suis pas dans mon état normal (tentez de vous mettre ne serait-ce qu'une seconde dans la tête de l'administration sorbonicole pour comprendre ce qu'ils veulent dire dans un formulaire de Master et vous comprendrez) j'ai pêché !

Je réclame un châtiment exemplaire…

:doigt:

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Pour le TGV dès qu'il est annoncé je m'y précipite pour prendre une des place entre les 2 wagon et ainsi bénéficier des prises électriques.

La carte 12-25 permet d'avoir de bonnes réductions, en 1 aller/retour elle est amortie.

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Vous devrez passer une heure de rang en ma compagnie.

Ce châtiment n'est pas exemplaire, il pourrait même être agréable suivant vos sujets de conversation :icon_up:

Pour un choix restreint d'une trentaine de séminaires en littérature française, il faut qu'il y en ait qui s'arrangent pour caser les deux séminaires qui m'intéressent le plus au même moment ! Adieu, séminaire prometteur sur Drieu La Rochelle :doigt:

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Je ne comprends rien, pourquoi puis-je choisir un séminaire de littérature en UE4 au premier semestre et ne puis-je pas prendre un séminaire de littérature en UE4 au second ? Oubli malencontreux ou incohérence intrinsèque ? Je ne puis même pas tenter de contacter le bureau des Masters à propos de cette question, ils me répondraient, au mieux, dans trois mois…

:icon_up:

Skeggie, qui vient de passer sa journée à tenter de comprendre un formulaire inepte de Paris IV…

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Ah dommage, c'est toujours plaisant le sujet de l'écrivain homo refoulé, facho passionné et socialiste de surcroît, ce qui ne gâte rien. Dans le genre, le cas Mishima est aussi très intéressant.

Je partage votre avis :icon_up:

Et Drieu La Rochelle a l'avantage de trancher avec ce que l'on étudie habituellement comme auteurs. Au bout du troisième séminaire sur Rimbaud et du quatrième cours sur Chateaubriand, c'est un soulagement que d'étudier, enfin, autre chose. Mais je ne me plains pas, le séminaire que j'ai préféré à celui sur Drieu est tout simplement dantesque : Barbey, Bloy, Balzac et Huysmans en un seul séminaire ! Skeggie en rêvait, la Sorbonne l'a fait !

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Si les gamins ne m'attendrissent ni ne m'attirent particulièrement a priori, j'avoue en revanche une franche curiosité. Dans environ une semaine, nous allons découvrir la trogne de mon cinquième neveu.

J'imagine qu'il ne sera pas très original ses premiers jours - et tant mieux ! Mais enfin, l'allure d'un petit humain présente des proportions tellement invraisemblables que je suis assez avide de les observer de près. Ca me surprend toujours de constater par quels stades le vermisseau se dessine vers sa forme d'adulte.

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