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Croisade contre le porno "obscène"


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Jurors Watch Extreme Sex Video During Obscenity Trial

Editor's note: This story contains graphic language that may offend some readers.

TAMPA - A panel of jurors saw an extreme hard-core pornographic movie today and is expected to see many more as it weighs whether a California porn producer, who uses the name Max Hardcore, has violated criminal obscenity laws.

Today, U.S. District Judge Susan Bucklew decided federal prosecutors can show excerpts of the movies, rather than the DVDs in their entirety, as they put on their case. Defense lawyers for Max Hardcore, whose real name is Paul F. Little, argued that jurors need to see the entirety of the movies because the repetition of the acts is a necessary component.

"Over a period of time, the shock is blunted," defense lawyer Jeffrey J. Douglas said. "That is part of the presentation. That is part of the DVD."

Federal prosecutor Lisamarie Freitas argued that the defense is trying to "desensitize" jurors.

Defense attorneys decided they will show the jurors the remainder of each movie as part of its cross examination.

Little and his company, MaxWorld Entertainment, face five counts each of distributing obscene materials over the Internet and five counts each of distributing obscene material through the mail. If convicted, each charge includes a maximum punishment of five years imprisonment.

A federal indictment alleges that Little, through his entertainment company, distributed pornographic films to post office boxes in Tampa. It also alleges that Little and MaxWorld promoted the films via a Web site by transmitting over the Internet five obscene video clips as promotional trailers.

The prosecutors were flown in from Washington where they work for the U.S. Department of Justice Child Exploitation and Obscenities Section.

To determine whether the material is obscene, jurors will have to use a test set up by the U.S. Supreme Court in 1972.

Jurors must determine:

Whether "the average person applying contemporary community standards" would find the work, as a whole, appeals to the prurient interest

Whether the work depicts or describes, in a patently offensive way, sexual conduct specifically defined by state law.

Whether the work, as a whole, lacks serious literary, artistic, political or scientific value."

For about 40 minutes Wednesday and for more than an hour this morning, the entire DVD "Max Extreme 20" was shown to jurors.

As the DVD began, the jurors sat mostly stone faced. Two women blushed and smiled slightly. One woman sat wide-eyed.

The DVD progressed, and the smiles vanished. Hands often covered mouths. Men and women fidgeted in their seats.

Expressions turned to concern as women onscreen screamed in pain during some scenes.

In one scene, Little slaps a woman repeatedly, curses at her and urinates on her. She vomits.

"That's OK," Little says in the film. "You look better with puke on your face."

As the rough sex continues, they discuss her fictional 12-year-old daughter. Little, playing the role of Max Hardcore, tells the woman he had sex with the "preteen."

In another scene, a younger woman says she is a virgin. The Hardcore character gives her a modeling job.

He grabs her neck and the back of her hair, and forces her into a sex act. The girl vomits.

Several of the jurors wince. One man rubs his closed eyes for several seconds.

During a sex act, the young woman begins to scream.

"I've got to move," she says. "Ow, ow, ow."

Hardcore slaps away her hands.

"Stop, stop, stop," she says. "Can we stop for a minute? Can we have a break?"

The scene ends abruptly but begins again and lasts for several more minutes.

At the end of the movie, Little interviews the woman, now clothed.

He asks her whether she did anything she didn't want to. She smiles and says she did not.

She says it was a difficult scene, but she thought it came out well.

"I'd love to work with you again," she says.

The screen fades to black.

http://www2.tbo.com/content/2008/may/29/ju…core-porn-case/

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Il faut savoir que les versions US de Max Hardcore sont déjà censurées par rapport aux versions européennes.

Je me souviens aussi d'un porno qui avait été interdit car il contenait une scène de fist-fucking…

Terre de liberté d'expression, les États-Unis ?

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Il faut savoir que les versions US de Max Hardcore sont déjà censurées par rapport aux versions européennes.

Je me souviens aussi d'un porno qui avait été interdit car il contenait une scène de fist-fucking…

Terre de liberté d'expression, les États-Unis ?

Ca fait mal au c** comme article …

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Hum…la question maintenant est de savoir si on est des ennemis de la civilisation si on est contre cette censure. A moins que les libéraux soient de parfaits gauchistes moutonniers et soixante-huitards aimant à défendre l'indéfendable en pronant un hédonisme destructeur !

:icon_up:²

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Hum…la question maintenant est de savoir si on est des ennemis de la civilisation si on est contre cette censure. A moins que les libéraux soient de parfaits gauchistes moutonniers et soixante-huitards aimant à défendre l'indéfendable en pronant un hédonisme destructeur !

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La liberté d'expression, c'est la liberté d'exprimer le pire, surtout le pire, avant tout le pire, ce qui dérange mon voisin du simple fait que je l'exprime. Pas de censure, pas de compromis, pas même en face de l'apocalypse !

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La liberté d'expression, c'est la liberté d'exprimer le pire, surtout le pire, avant tout le pire, ce qui dérange mon voisin du simple fait que je l'exprime. Pas de censure, pas de compromis, pas même en face de l'apocalypse !

Quand je disais que les libéraux étaient des gauchistes… :icon_up:

(je plaisante hein)

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La vraie question serait plutot, comment peut-on ne serait-ce que ne pas fuire devant ce type de trucs immondes et vulgaires… (i.e. il y a un public pour ca?)J'oubliais, nous sommes dans le (merveilleux) XXIeme siecle.

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Je note en tout cas que s'il n'y avait pas eu ni procès ni tapage, ce genre de production ne serait certainement pas passé dans le mainstream comme cela risque bien d'arriver avec une telle publicité.

On est exactement dans le même cas lorsque les banlieues brûlent : l'effet d'entraînement fait que les journaleux se précipitent, justement au nom de la liberté d'expression, pour bien expliquer à tout le monde l'existence du procès et sur quoi il repose.

Ceci a le douteux mérite de mettre en lumière des individus et des comportements qui ne sont en rien normaux, et de rendre cette normalité de plus en plus … anormale.

En clair, la liberté d'expression doit être respectée ; d'un autre côté, la liberté de la part d'un journaliste de ne pas se vautrer dans la fange facile des articles à sensation devrait être plus souvent mise en avant (ça vaut pour le sujet du porno extrême comme, d'ailleurs, pour les petites frappes de banlieue…).

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Enfin tout de meme, que peut-on trouver d'excitant la dedans?

Note que je cherche a comprendre parceque je suis sensible a l'erotisme ayant un certain esthetisme mais la franchement c'est du mauvais gout absolu en plus d'etre totalement anti-sexy.

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Je prends bonne note d'un creneau prometteur, le porno hard et son casting de petites frappes de banlieue.

Tiens, oui, en voilà une idée qu'elle est bonne : y'aurait une séquence "tournante" suivie d'une séquence "on brûle une voiture". Y'a un concept, là !

Le souci aujourd'hui est la facilité avec laquelle des gosses peuvent avoir accès à ça. C'est la seule vraie question qu'on peut se poser.

Un gamin, ça se surveille, non ?

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Enfin tout de meme, que peut-on trouver d'excitant la dedans?

Note que je cherche a comprendre parceque je suis sensible a l'erotisme ayant un certain esthetisme mais la franchement c'est du mauvais gout absolu en plus d'etre totalement anti-sexy.

La question n'est pas là.

Le mauvais goût ne doit pas être criminalisé, sinon il faut plaider pour la fermeture des kebabs qui en plus de proposer dans leur majorité une bouffé dégueulasse, fait courir des risques à la santé des clients.

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Un gamin, ça se surveille, non ?

Je suis d'accord avec toi.

Mais:

1. C'est très difficile d'être sur le dos d'un pré-ado qui est dans sa chambre et en sait plus sur l'informatique que ses parents.

2. Je trouve que des adultes ont un droit ABSOLU à regarder des cochonneries comme ça.(On ne transige jamais là-dessus). On peut néanmoins s'interroger sur une manière de protéger les enfants. Je ne trouve pas choquant qu'on interdise à un gamin de rentrer seul dans un bar.

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Enfin tout de meme, que peut-on trouver d'excitant la dedans?

A croire que certains aiment voir un peu de brutalité. Peut-être même parmi eux il y en a qui se comportent de manière un peu brutale avec leur "compagne".

Note que je cherche a comprendre parceque je suis sensible a l'erotisme ayant un certain esthetisme mais la franchement c'est du mauvais gout absolu en plus d'etre totalement anti-sexy.

Tous les réalisateurs de X n'ont pas le talent ou la sensibilité d'un Andrew Blake.

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Un gamin, ça se surveille, non ?

Ca se surveille très difficilement. Surtout que il y a pas qu' à la maison qu' il peut avoir accès au porno. Il peut spolier les ordis des bibliothèques des écoles, collèges, lycées, universités. Il peut regarder ça chez un pote. Bref tu vois quoi. Si le petit a en tête de voir du porno il le verra. Surveiller change pas grand chose.

En revance il vaudrait mieux lui expliquer pourquoi il ne faut pas regarder, pourquoi c' est pervers et que ce n' est pas la réalité que il y a tout un envers du porno. Ce qui se voit ce qui ne se voit pas ( Je conseille ce site pour ceux qui veulent en savoir plus: http://www.orroz.net/porno.htm) etc…C'est de l' éducation.

Evidemment c' est très dur d' expliquer tout ça à un enfant mais il faut trouver les mots. J' avoue que moi même je ne saurai comment lui expliquer mais je reste persuadé que cela reste possible.

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Je suis d'accord avec toi.

Mais:

1. C'est très difficile d'être sur le dos d'un pré-ado qui est dans sa chambre et en sait plus sur l'informatique que ses parents.

Je suis d'accord avec vous. C'est une question complexe pour laquelle certains sont prêts à proposer trop vite n'importe quoi comme mesure, souvent liberticide.

Et, en effet, l'impact de certains films de ce genre sur des jeunes peut les amener à tirer de fausses inférences sur la sexualité, ou croire qu'il s'agit de "normes". Je me souviens du cas d'un de mes patients qui n'arrivait pas à admettre qu'une fille n'aime pas la sodomie.

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nous sommes dans le (merveilleux) XXIeme siecle.

J'ai l'impression que tu idéalise un peu (beaucoup) trop le passé.

A croire que certains aiment voir un peu de brutalité. Peut-être même parmi eux il y en a qui se comportent de manière un peu brutale avec leur "compagne".

Et certains devraient comprendre même si ça leur est difficile, que parfois c'est la compagne qui demande.

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En plus que d'être intrisèquement injustifiable, la censure est dans le cas qui nous occupe parfaitement inutile, car venant beaucoup trop tard. Non seulement le porno est plus facile d'accès qu'il ne l'a jamais été, et sa prolifération quasiment incontrôlable, mais il a depuis longtemps pénétré (sans jeu de mot) notre culture. Les pornostars sont des stars tout court que l'on invite dans les émissions à la mode, les critiques s'extasient devant les films mainstream incluant des scènes de sexe non simulées et le Q est partout, même et surtout là où il n' a en principe rien à faire. Notre société est obsédée et vulgaire, et nous n'en sommes probablement qu'au tout début. Ce n'est pas par la censure que l'on y remédiera.

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Hum…la question maintenant est de savoir si on est des ennemis de la civilisation si on est contre cette censure. A moins que les libéraux soient de parfaits gauchistes moutonniers et soixante-huitards aimant à défendre l'indéfendable en pronant un hédonisme destructeur !

Merci je ne l'aurai pas mieux dit :icon_up:

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La vraie question serait plutot, comment peut-on ne serait-ce que ne pas fuire devant ce type de trucs immondes et vulgaires… (i.e. il y a un public pour ca?)J'oubliais, nous sommes dans le (merveilleux) XXIeme siecle.

Comment peut-on acheter des horreurs pareilles? Par manque de choix dans les vidéos pornos.

Difficile de trouver un film qui ne soit pas trop trash.

La question n'est pas là.

Le mauvais goût ne doit pas être criminalisé, sinon il faut plaider pour la fermeture des kebabs qui en plus de proposer dans leur majorité une bouffé dégueulasse, fait courir des risques à la santé des clients.

Plutot d'accord, sauf que j'aime bien les kebabs.

:icon_up:

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La vraie question serait plutot, comment peut-on ne serait-ce que ne pas fuire devant ce type de trucs immondes et vulgaires… (i.e. il y a un public pour ca?)

Et moi je comprends tout à fait que ce genre de pratique puisse exciter certains hommes (et femmes).

J'oubliais, nous sommes dans le (merveilleux) XXIeme siecle.

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Et certains devraient comprendre même si ça leur est difficile, que parfois c'est la compagne qui demande.

Souvent même.

Notre société est obsédée et vulgaire, et nous n'en sommes probablement qu'au tout début.

En parlant avec les jeunes d'aujourd'hui j'ai l'impression au contraire que notre société l'est de moins en moins.

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En plus que d'être intrisèquement injustifiable, la censure est dans le cas qui nous occupe parfaitement inutile, car venant beaucoup trop tard. Non seulement le porno est plus facile d'accès qu'il ne l'a jamais été, et sa prolifération quasiment incontrôlable, mais il a depuis longtemps pénétré (sans jeu de mot) notre culture. Les pornostars sont des stars tout court que l'on invite dans les émissions à la mode, les critiques s'extasient devant les films mainstream incluant des scènes de sexe non simulées et le Q est partout, même et surtout là où il n' a en principe rien à faire. Notre société est obsédée et vulgaire, et nous n'en sommes probablement qu'au tout début. Ce n'est pas par la censure que l'on y remédiera.

Rien de nouveau sous le soleil de ce point de vue. Si ce n'est la technologie qui permet une facilité d'accès quasi immédiate et mise à portée de tous grâce au doux commerce capitaliste. Quant à l'omniprésence de la vulgarité, c'est une conséquence inévitable de la démocratisation croissante des moeurs et de la perte du goût des formes, comme l'expliquait déjà Tocqueville.

D'accord sur le caractère dérisoire et inutile de la censure dans ce contexte, argument que j'avais évoqué dans l'affaire de la pub pour les matelas. Audelà du problème de la liberté, je suis convaincu qu'il faut accepter le monde moderne tel qu'il est, avec ses "bonnes" et "mauvaises" conséquences, sauf à épuiser ses forces dans une réaction stérile.

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Il faut savoir que les versions US de Max Hardcore sont déjà censurées par rapport aux versions européennes.

Je me souviens aussi d'un porno qui avait été interdit car il contenait une scène de fist-fucking…

Terre de liberté d'expression, les États-Unis ?

Non, à ma connaissance c'est censuré en passage télé (noamment la charte de Canal+ sur de domaine), mais pas en DVD ou projection privée. Le dernier John B. Root, que j'ai eu le plaisir d'aller visionner à son lancement, contient des scènes de fist, éjaculations féminines, etc. mais il sera coupé pour son passage sur Canal.

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En plus que d'être intrisèquement injustifiable, la censure est dans le cas qui nous occupe parfaitement inutile, car venant beaucoup trop tard. Non seulement le porno est plus facile d'accès qu'il ne l'a jamais été, et sa prolifération quasiment incontrôlable, mais il a depuis longtemps pénétré (sans jeu de mot) notre culture. Les pornostars sont des stars tout court que l'on invite dans les émissions à la mode, les critiques s'extasient devant les films mainstream incluant des scènes de sexe non simulées et le Q est partout, même et surtout là où il n' a en principe rien à faire. Notre société est obsédée et vulgaire, et nous n'en sommes probablement qu'au tout début. Ce n'est pas par la censure que l'on y remédiera.

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En plus que d'être intrisèquement injustifiable, la censure est dans le cas qui nous occupe parfaitement inutile, car venant beaucoup trop tard. Non seulement le porno est plus facile d'accès qu'il ne l'a jamais été, et sa prolifération quasiment incontrôlable, mais il a depuis longtemps pénétré (sans jeu de mot) notre culture. Les pornostars sont des stars tout court que l'on invite dans les émissions à la mode, les critiques s'extasient devant les films mainstream incluant des scènes de sexe non simulées et le Q est partout, même et surtout là où il n' a en principe rien à faire. Notre société est obsédée et vulgaire, et nous n'en sommes probablement qu'au tout début. Ce n'est pas par la censure que l'on y remédiera.

Non, cela me semble très exagéré. Pour quelques filles du porno ayant réussi à percer à la télé (Lahaie, Ovidie), l'immense majorité reste totalement inconnue. Accessoirement, elles se prennent parfois des insultes et des baffes dans le métro, par des bonnes âmes qui les ont reconnues (preuve qu'ils visionnaient leur film) mais qui se croient autorisés à les traiter de putes, de salopes, etc. Mieux vaut en discuter avec elles pour avoir une idée de leur condition, qui n'est pas du tout celle de stars valorisées dans leur société.

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Souvent même.

Pour aller au fond de ce débat passionant, je pense que si c'est la compagne qui demande le genre de pratique dont je crois qu'on parle, c'est le plus souvent pour faire plaisir au gentil monsieur. C'est le serpent qui se mord la queue. Ou l'oeuf et la poule, au choix.

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