Aller au contenu

Révolution au Moyen-Orient


Invité rogermila

Messages recommandés

Ce n'est pas une grande nouvelle le caractère jihadiste du Hamas:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Hamas#L.27id.C3.A9ologie_issue_de_la_charte_du_Hamas
 

L'idéologie issue de la charte du Hamas

Les indications ci-dessous sont essentiellement tirées de la charte de 1988.

Volonté de créer un État religieux

« Quant à ses objectifs : Combattre le Mensonge, le défaire et le détruire pour que règne la Vérité, que les patries soient restituées, que l'appel à la prière annonçant l'établissement de l'État de l'islam soit lancé du haut de leurs mosquées. » (Article 9) « Dieu est son but, l'Apôtre son modèle et le Coran sa constitution. » (Article 9)

Il n’est pas fait directement mention dans la charte d’une République islamique. Le mot « République » n'apparaît d'ailleurs pas. Certaines déclarations de dirigeants vont dans le sens d'une république islamique, mais pas toutes.

Nationalisme palestinien

« Le Mouvement de la Résistance Islamique est un mouvement palestinien spécifique. » (Article 6).

Ce nationalisme se considère cependant comme pleinement inséré dans un contexte plus large, celui du monde arabe et celui du monde musulman.

« La cause de la libération de la Palestine tient à trois cercles : le cercle palestinien, le cercle arabe et le cercle islamique. Chacun de ces trois cercles a un rôle propre à tenir dans la lutte avec le sionisme, chacun a des devoirs propres. » (Article 14).

Antisionisme islamique

« Le Mouvement de la Résistance Islamique considère que la terre de Palestine est une terre islamique waqf [de main-morte] pour toutes les générations de musulmans jusqu'au jour de la résurrection. Il est illicite d'y renoncer en tout ou en partie, de s'en séparer en tout ou en partie. » (Article 11)

« Renoncer à quelque partie de la Palestine que ce soit, c'est renoncer à une partie de la religion. » (Article 13)

On note cependant que si Israël n'est toujours pas accepté en 2006, le Hamas propose depuis plusieurs années une « trêve de très longue durée » (non définie) à Israël, en échange d’un retrait des territoires palestiniens occupés après la guerre de 1967. Ainsi, Dans une interview au journal russe Nezavisimaya Gazeta publiée lundi 13 février 2006, Khaled Meshal (basé à Damas, considéré comme un « faucon »), le chef politique du Hamas, indique que « si Israël reconnaît nos droits et s'engage à se retirer de tous les territoires occupés, le Hamas, et avec lui l'ensemble du peuple palestinien, décideront de mettre un terme à la résistance armée ».

Antisémitisme

Au-delà de l’hostilité à Israël, la charte exprime une forte hostilité aux Juifs. Cependant, le Hamas déclare aussi "À l'ombre de l'islam, les disciples des trois religions, islamique, chrétienne et juive, peuvent coexister dans la sécurité et la confiance. Ce n'est qu'à l'ombre de l'islam que la sécurité et la confiance peuvent se trouver, l'histoire récente et ancienne en constituant un bon témoin.".

« L'Heure ne viendra pas avant que les musulmans n'aient combattu les Juifs (c'est-à-dire que les musulmans ne les aient tués) » (Article 7)

« Israël, par sa judéité et ses Juifs, constitue un défi pour l'islam et les musulmans. » (Article 28)

« Grâce à l'argent, [les ennemis] règnent sur les médias mondiaux, les agences d'informations, la presse, les maisons d'édition, les radios, etc. Grâce à l'argent, ils ont fait éclater des révolutions dans différentes régions du monde pour réaliser leurs intérêts et les faire fructifier. Ce sont eux qui étaient derrière la révolution française, la révolution communiste. […] Ils ont obtenu la déclaration Balfour et ont jeté les bases de la Société des Nations pour gouverner le monde à travers cette organisation. Ce sont eux qui étaient derrière la Seconde Guerre mondiale, qui leur a permis d'amasser d'énormes profits grâce au commerce du matériel de guerre. Ils ont préparé le terrain pour l'établissement de leur État et ce sont à leurs instigations qu'ont été créés l'ONU et le Conseil de sécurité pour remplacer la Société des Nations, afin de gouverner le monde à travers eux. » (Article 22)

« Leur plan se trouve dans les Protocoles des Sages de Sion et leur conduite présente est une bonne preuve de ce qu'ils avancent. (Article 32)

« Le plan sioniste n'a pas de limite ; après la Palestine, ils ambitionnent de s'étendre du Nil à l'Euphrate. Lorsqu'ils auront parachevé l'assimilation des régions auxquelles ils seront parvenus, ils ambitionneront de s'étendre plus loin encore, et ainsi de suite. Leur plan se trouve dans les Protocoles des Sages de Sion. » (Article 32)

Abdel Aziz al-Rantissi, un des représentants et cofondateur du Hamas (assassiné en 2004 par l'armée israélienne), a déclaré en 2003 que la Shoah n'avait jamais eu lieu et que les sionistes étaient derrière les agissements des nazis et qu'ils financèrent le nazisme.

Cela contredit les déclarations de mai 2008 de Bassem Naeem, ministre de la santé et de la communication du gouvernement du Hamas à Gaza, selon qui :

« Il doit être clair que ni le Hamas, ni le gouvernement palestinien à Gaza ne nie l’holocauste commis par les nazis. L’holocauste n’était pas seulement un crime contre l’humanité, mais un des crimes les plus abominables de l’histoire moderne. Nous le condamnons comme nous condamnons tous les abus contre le genre humain et toutes les formes de discrimination sur la base de la religion, de la race, du genre ou de la nationalité. »

Par ailleurs, Mohammed al-Dheif, un des hauts responsables du Hamas dans la bande de Gaza, a déclaré que le Hamas combat uniquement les Juifs qui vivent en « Palestine » et qu'il ne s'en prend pas aux Juifs qui prient dans leurs synagogues en Grande-Bretagne ou aux États-Unis.

Par ailleurs les programmes télévisés du Hamas et de sa chaîne Al-Aqsa TV diffusent des émissions aux connotations antisémites à l'instar de l'émission d'endoctrinement pour enfants Les Pionniers de demain et de ses personnages polémiques et controversés de Farfour la souris, Nahoul l’abeille ou Assoud le lapin, déclarant dès sa première apparition qu'il se débarrassera des juifs en les mangeant.

Refus des négociations avec Israël

Dans la charte du Hamas on peut lire :

« Les initiatives, les prétendues solutions de paix et les conférences internationales préconisées pour régler la question palestinienne vont à l'encontre de la profession de foi du Mouvement de la résistance islamique […] Il n'y aura de solution à la cause palestinienne que par le djihad. Quant aux initiatives, propositions et autres conférences internationales, ce ne sont que pertes de temps et activités futiles. » (Article 13)

« Le jour où les ennemis usurpent une terre qui appartient aux musulmans, le combat devient une obligation religieuse individuelle [fard 'ayn] qui incombe à chaque musulman. » (Article 15)

Lien vers le commentaire

Les egyptiens n'en veulent pas. Les autres pays arabes n'en veulent pas.

 

L'Egypte et la Jordanie ont cessé de se battre avec Israel pour ces territoires. Par pragmatisme, devant la détermination et les moyens israeliens. A ma connaissance, ces pays n'ont jamais exclu d'intégrer ces territoires, si jamais ils obtenaient la bénédiction d'Israel.

Lien vers le commentaire

 

«Le FN est pro-français, c'est-à-dire qu'il dit au gens qui se sentent des solidarités avec les uns ou avec les autres, et qui sont en âge, allez vous battre là-bas». Interrogé mardi sur Sud Radio au sujet de la position du FN vis-à-vis des répercussions en France du conflit qui sévit au Proche-Orient, le vice-président du parti invite sans détour les militants de chaque cause «à aller au bout de leur logique», en rejoignant les combattants sur le terrain.

Contacté par Le Scan, Louis Aliot assume et explique ses propos: «C'est bien joli d'être là à s'affronter et de nous faire subir ces tensions exportées. Que ceux qui s'engagent de façon violente, je pense notamment du côté pro-palestiniens, aillent au bout de leur logique et partent se battre là-bas au lieu de tout casser dans la rue ici

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2014/07/29/25002-20140729ARTFIG00187-louis-aliot-invite-pro-palestiniens-et-pro-israeliens-a-aller-se-battre-la-bas.php

Lien vers le commentaire

 

 

Je me demande ce que ça donnerait si le gouvernement israélien leur donnaient brusquement la nationalité israélienne, (style l'edit de Caracalla qui donna la citoyenneté romaine à tout homme libre de l'empire romain en 212), histoire de rigoler.

(Bien sur, c'est une question purement rhétorique de ma part. Parce que ça risque pas d'arriver de suite, un truc pareil).

C'est la chose la plus intelligente à faire, pour la paix je veux dire, Israel est un pays où les gens ont le ventre plein et comme c'est une démocratie, les différents mouvements extrémistes peuvent être gérés sans passer par les armes.

Après on en revient à ce que je disais sur la démographie, les autorités israéliennes ne prendront jamais une telle mesure sans que la natalité juive augmente beaucoup, ou bien qu'ils parviennent à faire venir plus de monde.

Si les goys se mettaient à être majoritaires en État hébreux, ça ferait bizarre.

Lien vers le commentaire

C'est la chose la plus intelligente à faire, pour la paix je veux dire, Israel est un pays où les gens ont le ventre plein et comme c'est une démocratie, les différents mouvements extrémistes peuvent être gérés sans passer par les armes.

Après on en revient à ce que je disais sur la démographie, les autorités israéliennes ne prendront jamais une telle mesure sans que la natalité juive augmente beaucoup, ou bien qu'ils parviennent à faire venir plus de monde.

Si les goys se mettaient à être majoritaires en État hébreux, ça ferait bizarre.

 

Tu as peut-être raison.

 

Je n'ai aucune idée de ce qu'il faut faire pour sortir les habitants de cette région, quelque soit leur clan, de la merde dans laquelle ils sont embarqué. Mais j'ai une petite idée de ce qui ne fonctionnera pas.

Et je doute très fortement de la possibilité d'avoir deux États, et pour au moins deux raisons. La première est que les sionistes purs et durs, la droite et la gauche confondue (que Rincevent me corrige mais il me semble que le sionisme historique est une idée de la gauche même si aujourd'hui il semble que ça soit plus la droite à la manoeuvre) n'entendent pas laisser le moindre morceau de "leur terre historique" aux Arabes. La seconde est la même raison mais en inversant les rôles (la 1ere et la 2eme raison ne sont pas classée par ordre d'importance, je précise).

De là, je doute fortement de la possibilité d'avoir deux États. Je suis même persuadé que si demain, on imagine qu'Israel décide de revenir aux accords de 67 et qu'on crée un Etat Palestinien, je serais extrêmement surpris que les hostilités s'arrêtent. Des deux côtés.

 

Alors un seul État ? Pourquoi pas.

Mais franchement, vu le nombre de pays qui se sont déchiré en deux, ou qui se déchirent encore, avec des contentieux qui me semblent parfois moins violents que celui qui nous occupent, je doute tout autant qu'un État ne finisse pas en guerre civile.

 

Je suis extrêmement pessimiste et je n'arrive pas à chasser de mon esprit l'idée que ce conflit durera encore 100 ans ou se terminera avec la quasi élimination d'une des deux parties.

 

Lien vers le commentaire

Je suis extrêmement pessimiste et je n'arrive pas à chasser de mon esprit l'idée que ce conflit durera encore 100 ans ou se terminera avec la quasi élimination d'une des deux parties.

 

Ceux qui ont lancé le projet de retour en palestine s'attendaient à ce genre de problème. Ca n'est une surprise pour personne. La surprise, c'est qu'autant de gens soient concernés/emmerdés/impliqués dans ce merdier en dehors de la région.

Lien vers le commentaire

Ceux qui ont lancé le projet de retour en palestine s'attendaient à ce genre de problème. Ca n'est une surprise pour personne. La surprise, c'est qu'autant de gens soient concernés/emmerdés/impliqués dans ce merdier en dehors de la région.

 

Je pense que tu as tord parce que tu vois cet événement avec les yeux de 2014. A la fin du 19ième siècle, c'était la mode d'aller s’accaparer un bout de terre à l'autre bout du monde, surtout qu'il semble bien au vu de la démographie arabe locale qu'il s'agissait beaucoup en majorité de terres plus ou moins vierges peuplée en grosse majorité (mais pas que) de Bédouins. Les Palestiniens qu'on trouve aujourd'hui se sont fait niquer dans une enclave au moment où on a fermé les frontières de tous côtés.

 

Je ne crois pas qu'on pouvait envisager ce genre d’événement à cette époque.

Lien vers le commentaire

tort

 

ouf. Oui.

 

Bah les français et les allemands sont bien réconciliés...

 

C'est pas comme si la germanophobie avait disparu en France (bon, ok, on en est plus à se taper dessus)

Et puis, aussi forte était la tension, il n'y avait pas chez l'un et/ou chez l'autre la volonté de totalement annihiler l'autre (comme pour le Hamas ou l'extreme droite Israélienne)

Lien vers le commentaire

(que Rincevent me corrige mais il me semble que le sionisme historique est une idée de la gauche même si aujourd'hui il semble que ça soit plus la droite à la manoeuvre)

En fait, bof. Herzl écrivait dans la Neue Freie Presse, quotidien de la bourgeoisie libérale ; et par la suite, dans l'organisation sioniste mondiale, ceux qu'on a appelé les "sionistes généraux" ont gardé cette tendance centriste-libérale (au sens très affaibli que ce mot pouvait avoir vers 1900, certes). Les sionistes généraux ont eu leur parti qui s'est allié d'abord aux travaillistes, puis au Hérout de Bégin, pour finir par fusionner avec lui en donnant le Likoud. Au final, on trouvera leurs héritiers au Shinouï et à Yech Atid (sans compter ceux qui ont fini à Kadima - plutôt du côté de Shaoul Mofaz que de Tsipi Livni -, ou encore dans l'aile gauche du Likoud).

 

Jabotinsky lui aussi venait d'un milieu bourgeois et libéral, puis a fini nettement plus à droite (une droite "à l'ancienne", nationaliste et libérale économiquement, mais pas à l'extrême droite, contrairement à la légende noire ; l'ED juive, c'est plutôt Abba Akhiméir, qui n'a jamais représenté foule). Le fait est que, lors des années 30, Jabotinsky est parti lui-même de l'OSM parce que la gauche y avait pris la majorité et lui menait la vie dure. Il emmena avec lui pas loin du tiers des membres, tout de même. En tout cas, ces derniers ont profité de ce qu'il était interdit de séjour en Palestine mandataire pour faire leur propre historiographie, et tenter de gommer le sionisme de droite.

Au final, le sionisme ne pourrait guère être considéré comme "de gauche" que sur deux plans :

  • Sur le fait que l'idée de nation, dans l'absolu, soit originellement une idée de gauche
  • Sur le fait que, d'une certaine manière, tout ce qui s'oppose au judaïsme orthodoxe est d'une certaine manière judéocentrée "de gauche" (et là ça couvrirait autant des mouvements socialistes comme le Bund, des choses apolitiques comme le judaïsme libéral, que des choses généralement classées à droite comme les Jabotinskyiens - c'est donc une acception très, très particulière et judéo-centrée du mot "gauche").
Bref, pas de gauche en tant que telle, mais défendue pendant longtemps majoritairement par des gens qui se trouvaient être à gauche pour d'autres raisons.
Lien vers le commentaire

(J'ai légèrement précisé au niveau de la fin). Faut dire que c'est un tel bordel, la politique israélienne...

En fait, la politique israélienne est le meilleur argument que je connaisse contre le scrutin proportionnel.

Lien vers le commentaire

Les Israéliens voudraient durcir l'offensive militaire



Selon un sondage, 71 % des Israéliens se déclarent déçus par les résultats de l'opération «Bordure protectrice» lancée le 8 juillet. L'échec de plusieurs tentatives de trêve ces derniers jours n'a fait qu'accentuer cette tendance.

Soumis à des pressions tous azimuts, Benyamin Nétanyahou refuse, pour le moment, de donner son feu vert à une réoccupation totale de Gaza en vue de déloger le Hamas du pouvoir. Cette «modération» du premier ministre est soumise à un flot de critiques, y compris au sein du Likoud, son propre parti, dans les médias et, plus inquiétant pour lui, au sein de l'opinion publique. Les neuf enterrements mardi de soldats israéliens tués la veille ont contribué à l'exaspération croissante de la population. Les Israéliens ne parviennent pas à comprendre qu'après 22 jours de pilonnage systématique de la bande de Gaza et les communiqués quotidiens de l'armée sur les centaines de raids aériens, de «cibles terroristes» et de tunnels détruits, le Hamas continue à tirer des roquettes, à infiltrer en territoire israélien des commandos par des souterrains et à tuer des soldats.

Les appels à la «patience» et au «sang-froid», lancés par Benyamin Nétanyahou, ont de plus en plus de mal à passer. Selon un sondage, 71 % des Israéliens se déclarent déçus par les résultats de l'opération lancée le 8 juillet. L'échec de plusieurs tentatives de trêve ces derniers jours n'a fait qu'accentuer cette tendance. Plus de 86 % des personnes interrogées sont hostiles à un cessez-le-feu avant une reddition du Hamas. Comme le souligne un commentateur, «cette guerre a un goût de plus en plus amer» pour les Israéliens.

Nétanyahou sous la pression du Likoud

La classe politique s'est mise au diapason. Désormais, les chefs des partis nationalistes de la majorité, tel Avigdor Lieberman, le ministre des Affaires étrangères, ne sont plus les seuls à contester la tactique suivie par Benyamin Nétanyahou et Moshé Yaalon, le ministre de la Défense. La fronde s'étend au Likoud. Plusieurs ministres de cette formation, qui avaient jusqu'à présent joué la carte de l'union nationale en s'abstenant de critiquer le gouvernement en temps de guerre, commencent à élever la voix. Au moins trois d'entre eux exigent que les décisions concernant un éventuel cessez-le-feu ne soient plus prises par les huit ministres du cabinet de sécurité, où Benyamin Nétanyahou dispose d'une majorité, mais au sein du gouvernement, qui pourrait être beaucoup plus rétif.

Benyamin Nétanyahou a pour l'heure refusé de céder, pour éviter des «fuites». Ses proches ne manquent pas de souligner qu'il doit aussi tenir compte des limites de la patience de la communauté et de l'opinion publique internationale choquées par les images de plus d'un millier de morts palestiniens, dont de très nombreux civils. Sima Kadmon, une éditorialiste du quotidien Yédiot Aharonot, souligne également que l'opinion publique est «versatile» et que Benyamin Nétanyahou serait «seul à porter la responsabilité en cas de pertes catastrophiques» parmi les soldats israéliens s'il décidait une réoccupation de la bande de Gaza.


http://www.lefigaro.fr/international/2014/07/29/01003-20140729ARTFIG00247-les-israeliens-voudraient-durcir-l-offensive-militaire.php
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...