Aller au contenu

Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

Messages recommandés

@Lancelot : j'aime beaucoup ta traduction (sur le fond et la forme). A propos de la référence culturelle, en anglais, l'expression "Fifty […] of quelquechose" est très présente, et active de suite des références culturelles chez l'auditeur anglo-saxon ("Fifty Way to Leave Your Lover", par exemple, qui vient de suite à l'esprit). Je ne sais pas comment on peut obtenir le même effet en français, par contre.

Lien vers le commentaire

@Lancelot : j'aime beaucoup ta traduction (sur le fond et la forme). A propos de la référence culturelle, en anglais, l'expression "Fifty […] of quelquechose" est très présente, et active de suite des références culturelles chez l'auditeur anglo-saxon ("Fifty Way to Leave Your Lover", par exemple, qui vient de suite à l'esprit). Je ne sais pas comment on peut obtenir le même effet en français, par contre.

En utilisant plutôt l'expression "comment blablabla en 10 leçons", ça fait plus gaulois je trouve.

Lien vers le commentaire
A propos de la référence culturelle, en anglais, l'expression "Fifty […] of quelquechose" est très présente, et active de suite des références culturelles chez l'auditeur anglo-saxon ("Fifty Way to Leave Your Lover", par exemple, qui vient de suite à l'esprit). Je ne sais pas comment on peut obtenir le même effet en français, par contre.

Effectivement, je n'avais jamais réalisé ce point. En même temps c'est plutôt un problème pour celui qui traduira le bouquin :mrgreen:

Lien vers le commentaire

JE veux bien le prendre mais il me faudra du temps : vendredi soir.

Merci. Y a pas le feu. De toutes façons tous les médias ont déjà relayé l'alarme comme un seul homme avec le grand pluralisme qu'on leur connait.

Lien vers le commentaire

Merci. Y a pas le feu. De toutes façons tous les médias ont déjà relayé l'alarme comme un seul homme avec le grand pluralisme qu'on leur connait.

J'ai vu ça effectivement.. ce sera un bon contre-pied!

Lien vers le commentaire

Boum.

Je suis en retard pour cause de sieste inopportune.

Merci ! Question: je dois le publier sur mon blog pour qu'il soit repris par Contrepoints, ou bien quelqu'un le publie déjà directement ?

Lien vers le commentaire

Je pense que cet article mérite une traduction. Il est court et punchy :

http://www.theatlant…1-graph/261503/

Ca ira ça ?

Dans les 60 années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, les Etats-Unis ont construit la plus grande économie de classe moyenne au monde, puis l'ont déconstruite. Et si vous voulez vous figurer en une seule image cette évolution, vous ne pourriez trouver mieux que ce graphique issu du Pew Research Center, qui relate comment le revenu familial moyen a changé pour chaque niveau de revenu, des années 1950 jusqu'à 2010.

L'évolution est donc ainsi: dans l'immédiat après-guerre, la rapide croissance américaine favorisait les classes les plus modestes ainqi que la classe moyenne. Le cinquième le plus pauvre des familles américaine, en fait, est celui qui en a le plus profité. Puis, dans les années 1970, au milieu des deux crises pétrolières et d'une forte inflation, cette évolution revint au point mort. Le pays rejeta alors le consensus d'après guerre de centre-gauche - résumé par Richard Nixon "Nous sommes tous keynésiens maintenant" et tenta l'alternative reaganienne. On baissa les taxes, la technologie et la compétition extérieure commencèrent à jouer contre les emplois et les salaires des cols bleus. Les marchés financiers s'envolèrent. Et quand la croissance revint, elle favorisa surtout la classe qui avait investi : les 20% les plus riches, et encore plus les 5% les plus riches (et, même si on ne le voit pas sur ce graphique, les 1% plus que quiconque).

Et puis à nouveau tout cela se stoppa. Les années 2000 furent un décade perdue pour les familles américaines, et il n'est pas évident du tout de savoir ce qu'il en sera dans la prochaine.

Rien de tout cela n'est nouveau, mais il est utile d'avoir une bonne image des choses.

J'ai eu du mal à traduire "middle class economy", je ne sais pas pourquoi, et ce que j'ai écrit ne me convainq pas. Et "cols bleus", ça se dit bien en français, ou je suis déjà trop "globalisé" pour ne pas m'en apercevoir ?

Lien vers le commentaire

Plusieurs groupes et individus sont actifs dans la traduction de contenus libéraux (articles, vidéos, livres, etc.), ce qui peut poser des problèmes de coordination et du gaspillage de temps.

Contrepoints pourrait prendre l'initiative de créer un "hub" des traductions libérales afin de rélger ce problème.

Lien vers le commentaire

Plusieurs groupes et individus sont actifs dans la traduction de contenus libéraux (articles, vidéos, livres, etc.), ce qui peut poser des problèmes de coordination et du gaspillage de temps.

Contrepoints pourrait prendre l'initiative de créer un "hub" des traductions libérales afin de rélger ce problème.

Salut John,

En page une du fil il y a un lien vers un Google docs pour les traductions des articles. Je ne suis pas sûr qu'il soit souvent à jour.

Lien vers le commentaire

Ah ah, trop d'enthousiasme, j'ai commencé sans prévenir que je me mettais dessus. Bon au pire, si xelectro tu vois ça avant de t'y mettre, j'ai déjà fini une version, mais je te laisse décider.

La Catalogne "ne dira pas merci" pour l'aide de l'Espagne. http://openeuropeblo…is-test-of.html

Je prends, je suis motivé ce soir (et je note dans le fichier).

Lien vers le commentaire

La requête de renflouement de la Catalogne est un test pour Rajoy

Dans le City AM d'aujourd'hui nous nous penchons sur ce que la décision de la Catalogne de requérir un renflouement du gouvernement espagnol signfie pour l'Espagne, son Premier Ministre Mariano Rajoy, et l'eurozone. Ainsi :

La décision de la Catalogne de demander un renflouement auprès du gouvernement espagnol était juste une question de temps. Avec plus de 5,7 milliards d'euros de dette arrivant à échéance avant la fin de l'année, la région la plus riche - mais aussi la plus lourdement endettée - d'Espagne a peu de chance de pouvoir payer ses traites sans assistance extérieure. Cette requête sera un test majeur pour évaluer la trempe du Premier Ministre Mariano Rajoys.

Et malgré qu'il ait demandé un prêt de plus de 5 milliards d'euros - ce qui représente à peu près le tiers de l'argent que le gouvernement espagnol a mis sur la table pour aider ses 17 Communautés Autonomes - le gouvernement Catalan a jusqu'ici montré peu de gratitude face au gouvernement central.

En fait, un porte-parole du gouvernement catalan a confié à la presse de façon provoquante que la Catalogne ne va même pas dire "merci" au gouvernement espagnol pour son aide. La logique invoquée étant que l'argent ainsi emprunté n'est que le retour des taxes des contribuables catalans, argent autrefois transféré de la riche Catalogne au reste de l'Espagne. Plus important, la Catalogne a dit vouloir rejeter toute "condition politique" au prêt et n'a aucune intention de couper plus dans les dépenses pour atteindre l'objectif de déficit fixé par le gouvernement central cette année.

Les négociations à venir sur les détails du renflouement vont par conséquent se révéler un test majeur de crédibilité pour Rajoy, et ce sur deux domaines. A l'intérieur, son gouvernement ne peut simplement pas se permettre de montrer la moindre faiblesse au sein des pourparlers avec les leaders catalans. Si Rajoy renfloue sans condition la Catalogne, toutes les autres régions seront encouragés à réclamer leur part de l'argent du gouvernement central sans restrictions.

Cela soulèvera la question de savoir si les 18 milliards du fonds de renflouement installé par le gouvernement espagnol afin d'aider les régions en faillite seront suffisants. A cette heure, la moitié de l'argent a déjà été engagée, et ce pour seulement 3 des 17 régions espagnoles.

Au niveau européen, le gouvernement a désespérément besoin de prouver qu'il est capable de gérer les dépenses des régions. Comme l'a rappellé le président du Conseil Européen Herman Van Rompuy durant sa visite à Madrid plus tôt cette semaine, les problèmes internes dûs à l'organisation de l'Etat espagnol ne sont pas ceux de Bruxelles, mais ceux de Madrid. En d'autres mots, la politique intérieure intra-régionale de l'Espagne ne sera pas considérée comme une justification valide si l'Espagne échouait encore une fois à atteindre ses objectifs de déficit.

Alors que les marchés attendent impatiemment que l'Espagne s'adresse au fonds de renflouement temporaire de l'Eurozone, Le Fonds Européen de Stabilité financière, afin que celui-ci rachète des bons du trésor espagnol dans un effort pour réduire ses coûts d'emprunt insoutenables, le gouvernement Espagnol a besoin de s'assurer qu'il ressort des négociations avec la Catalogne dans une position de force.

Si, d'un autre côté, Rajoy se révèle incapable d'exercer le contrôle dans sa propre arrière-cour, sa position de négociateur à Bruxelles sera sûrement affaiblie - et ses collègues de l'Eurozone seront de plus en plus réticents à prendre au sérieux ses promesses de réformes et de consolidation fiscale.

Voici

Lien vers le commentaire

Crise de l'euro : Après tout, ce n'est pas bien compliqué

Clairement, la crise de l'euro ne peut pas être si compliqué que ça - même The Economist est capable de le comprendre : "La crise de l'euro est fondamentalement politique, non pas monétaire ou financière", écrit-il. "La BCE ne peut pas redresser l'euro ; elle peut seulement gagner du temps."

Ne soyons pas ingrats devant ce genre de petits miracles, ils ont enfin reconnu la réalité. Nous l'avions dit tout du long, and nous étions demandé pourquoi ils étaient incapables de le comprendre, avec ceux comme Roger Bootle [NDT économiste et éditoraliste pour The Daily Telegraph] nous répétant que "les difficultés de l'eurozone sont à la fois financières et économiques".

Mais même si l'important journal qu'est The Economist s'est rendu à la vérité, cela ne signifie pas que les choses vont changer. Les articles peu inspirés vont garder le même langage, et les compte-rendus sur l'évolution de la crise vont continuer à utiliser un biais financier et économique.

Cependant reconnaître que la crise est politique vous aide à comprendre ce qui se passe exactement. Cela vous aide à comprendre qu'il n'y a pas de solution économique. I doit alors y avoir une solution politique ; il ne peut y avoir qu'une solution politique.

Cela vous aide à comprendre, par conséquent, pourquoi la BCE ne peut que gagner du temps. Cela vous aide à comprendre pourquoi cela a été la stratégie des "collègues" tout du long: gagner du temps. Ils attendent que les conditions soient mûres pour une solution politique.

Et ca vous aide à comprendre aussi pourquoi, contre toute attente, Merkel réclame un nouveau traité. La voilà la solution politique, la seule qui ait une chance de fonctionner, même si elle est probablement condamnée à la faillite, ensevelie sous l'avalanche de dettes.

Et même si cela a pris tant de temps à The Economist pour reconnaître que le problème était politique, les politiciens en étaient là depuis longtemps. Ils ont géré la crise comme un évènement politique, trompant par là leurs critiques qui, dans leur ignorance, attendaient des réponses économiques.

Si donc la BCE, avec d'autres, réussit à tenir sa ligne, gagnant du temps heure par heure, jour par jour, semaine par semaine, ils devraient réussir à tenir jusqu'à la fin de l'année avec un euro intact. Alors interviendra la propostion de convention portée par le Conseil Européen.

Et alors les "collègues" iront dans le sens d'un nouveau traité. Ils le doivent, parce que ce sera la seule solution, et parce que ça a été leur intention tout du long. Et si par un miracle qui défie la gravité ils y parvenaient, la crise providentielle aura fait son travail. Aussi simple que ça.

Voilà voilà ; désolé de t'avoir coupé l'herbe sous le pied, je ferais plus gaffe dorénavant.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...