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Les petits-enfants Renault attaquent l'État


Invité rogermila

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En même temps, saboter les Renault n'est pas nécessaire: elles tombent très bien en panne toutes seules.

Les temps changent, ce sont les Audi et les Toyota qui deviennent de moins en moins fiables, alors que les Renault le deviennent de plus en plus.

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Oui, enfin y'avait sûrement pas que des communistes dans l'affaire, les résistants de la 25ème heure n'ont pas d'opinion politique.

J'ai pas dit que Renault avait été tué par des communistes je n'en sais rien, mais vu la période, un meurtre ou des mauvais traitements ayant abouti à la mort, c'est une hypothèse plausible.

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J'avoue que le salami au poivre reste un grand classique à ne pas négliger. Au passage, la sandwicherie de la gare Centrale de Bruxelles fait un sandwich salami qui vaut le détour.

Excellent sandwich en effet, à condition de disposer d'ingrédients de qualité pour le confectionner. Sinon, pour en revenir au sujet initial, je ne vois pas ce qu'il y a de choquant dans la démarche de la famille Renault. A ma connaissance, les collaborateurs ont été nombreux parmi les industriels et aucune famille n'a subi une spoliation comparable à celle dont a été victime la famille de Louis Renault, lui même mort en prison dans des conditions assez scandaleuses.

Donc, j'espère bien que l'Etat français va être condamné à indemniser ses héritiers, ne serait-ce que pour le principe.

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J'ai pas dit que Renault avait été tué par des communistes je n'en sais rien, mais vu la période, un meurtre ou des mauvais traitements ayant abouti à la mort, c'est une hypothèse plausible.

Les communistes lui vouaient effectivement une haine féroce (Renault symbole du capitalisme honni, homme de droite, réactionnaire invétéré…) et d'après les éléments dont on dispose, il semble bien en effet qu'ils aient été impliqués dans les mauvais traitements ayant provoqué sa mort. Ce qui n'a rien de surprenant, tant ces gens là sont coutumiers de ce genre de pratiques ignominieuses. En outre, il faut se souvenir qu'en 1944, avant l'instauration de l'épuration légale par le général De Gaulle, nos chers communistes ont eu la main très lourde envers tous les collaborateurs réels ou supposés… Les uns par dogmatisme, les autres par haine, d'autres encore, parfois les mêmes, en profitant pour s'enrichir sur le dos de leurs victimes. Sinon, en effet les crapules et autres résistants de la dernière heure n'étaient pas tous communistes. La lâcheté, la bassesse et la haine n'ont pas de couleur politique.

Pour conclure, si l'Occupation fut une bien triste période marquée par de multiples drames et exactions, la Libération ne fut pas pour autant aussi glorieuse que ce que les chantres de l'histoire officielle veulent bien le dire.

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Invité rogermila

, il faut se souvenir qu'en 1944, avant l'instauration de l'épuration légale par le général De Gaulle, nos chers communistes ont eu la main très lourde envers tous les collaborateurs réels ou supposés… Les uns par dogmatisme, les autres par haine, d'autres encore, parfois les mêmes, en profitant pour s'enrichir sur le dos de leurs victimes.

Il faut le souligner mais la France s'est une nouvelle fois "distinguée" en 1944, en étant le seul pays libéré à refuser de confier à l'armée américaine les fonctions temporaires de police sur le territoire, en attendant que l'ordre civil puisse être restauré.

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Il faut le souligner mais la France s'est une nouvelle fois "distinguée" en 1944, en étant le seul pays libéré à refuser de confier à l'armée américaine les fonctions temporaires de police sur le territoire, en attendant que l'ordre civil puisse être restauré.

Tu as raison et cela a permis à certains pseudos "résistants" de donner libre cours à leurs plus bas instincts.

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Sinon, en effet les crapules et autres résistants de la dernière heure n'étaient pas tous communistes. La lâcheté, la bassesse et la haine n'ont pas de couleur politique.

Si les résistants de la dernière heure n'étaient pas tous communistes, en revanche les résistants de la première heure étaient tous non-communistes.

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Les premiers résistants étaient effectivement en majorité des gens de droite. Les communistes ne songeaient qu'à se conformer aux directives du parti frère soviétique. D'où ainsi la demande faîte en 1940 aux autorités allemandes pour obtenir le droit de diffuser à nouveau "l'Humanité" et autres torchons marxisants. Du reste, si le régime de Vichy n'avait pas adopté une série de mesures répressives à leur encontre, rien n'indique que les communistes n'auraient pas cherché à collaborer avec l'occupant. Ainsi, il a fallu que l'URSS soit attaquée pour qu'ils rejoignent massivement les rangs de la résistance. Il y aurait du reste beaucoup à dire sur le comportement de certains d'entre eux pendant et au lendemain de la guerre.

Par ailleurs, tout à fait d'accord avec H16, sous prétexte de s'émanciper de la tutelle américaine, on s'est placé sous une autre tutelle autrement dangereuse, celle des communistes et apparentés qui ont profité de la situation pour non seulement pénétrer les administrations, mais aussi s'emparer de fait du contrôle d'entreprises nationales aussi stratégiques que la SNCF, RENAULT, EDF-GDF… Mais le plus grave à mon sens fut l'infiltration par ces tristes sires de la culture, des médias, de la vie intellectuelle et de l'enseignement. Une véritable entreprise de subversion dont on ressent plus que jamais les effets à l'époque actuelle.

Pour résumé, communisme et socialisme au sens large= cancers de la France :feuroue:

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Honnêtement les premiers résistants n'étaient pas de droite ou de gauche mais simplement les premiers sur la trajectoire de l'invasion.

Certe, mais politiquement, c'est la droite et l'extrême droite et des éléments extrêmement minoritaires de la gauche qui se sont rangés parmi les résistants.

La gauche socialiste collaborait avec les nazis, et les communistes jusqu'en 41.

C'est à la libération que le pacte national entre gaullistes et cocos finit d'enterrer la France pour au moins 60 ans.

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Certe, mais politiquement, c'est la droite et l'extrême droite et des éléments extrêmement minoritaires de la gauche qui se sont rangés parmi les résistants.

Sans déconner.

C'est l'extrème droite (et pas des éléments extrèmement minoritaire de celle-ci) qui s'est rangé dérrière les résistants.

Il y a un moment, l'anticommunisme fait dire de grosse conneries quand même.

On peut taper sur les cocos sans réhabiliter l'extrème droite.

En 40 ce sont des éléments extrèmement minoritaire de tout qui se sont ralliés à la résistance en 40.

De 40 à 41, la résistance en métropole c'était peanuts.

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C'est pas de Gaulle qui disait "à Londres, j’ai croisé la cagoule et la synagogue" ?

Disons que les premiers résistants / franc-tireurs étaient des soldats, pétris d'anti-germanisme (et pas vraiment d'anti-fascisme) et il y avait une légère sur-représentation des conservateurs. Je ne crois pas qu'il y ait de stat' fiable à ce sujet.

(La seule stat' fiable que je connaisse, c'est la sur-représentation des bretons dans les FFL.)

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  • 2 weeks later...

C'est pas de Gaulle qui disait "à Londres, j’ai croisé la cagoule et la synagogue" ?

Disons que les premiers résistants / franc-tireurs étaient des soldats, pétris d'anti-germanisme (et pas vraiment d'anti-fascisme) et il y avait une légère sur-représentation des conservateurs. Je ne crois pas qu'il y ait de stat' fiable à ce sujet.

(La seule stat' fiable que je connaisse, c'est la sur-représentation des bretons dans les FFL.)

Et des Alsaciens …

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