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Présidentielle 2012, round 2


Messages recommandés

Tu es bien exigeant. Déjà petit, quand je la voyais dans "Combien ca coûte", je la trouvais vraiment mignonne et pleine de potentiel.

Pujadas a bien une tête d'abruti, face, profil ou même de dos j'en suis sur.

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Tu es bien exigeant. Déjà petit, quand je la voyais dans "Combien ca coûte", je la trouvais vraiment mignonne et pleine de potentiel.

Pujadas a bien une tête d'abruti, face, profil ou même de dos j'en suis sur.

Pujadas sourit tout le temps, c'est étrange.

Quant à Ferrari, elle est franchement mignonne, mais avec le temps on sent qu'elle a besoin de plus de couches de maquillage quand même.

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Laurence Ferrari est franchement commune, voire moche (elle ressemble à une hôtesse d'accueil d'un magasin de téléphonie mobile), et le type à côté d'elle ressemble à un paysan bas-breton endimanché. Ça doit être la coupe qui fait Ça.

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Quant à Ferrari, elle est franchement mignonne, mais avec le temps on sent qu'elle a besoin de plus de couches de maquillage quand même.

Elle a quand même un beau châssis….

Je sors.

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Laurence Ferrari est franchement commune, voire moche (elle ressemble à une hôtesse d'accueil d'un magasin de téléphonie mobile), et le type à côté d'elle ressemble à un paysan bas-breton endimanché. Ça doit être la coupe qui fait Ça.

+1

Dommage qu'Anne-Sophie Lapix ait quitté TF1.

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Il y aurait encore des libéraux à l'UMP :

Le blues des libéraux de l'UMP

DROITE - En mettant la «frontière» au coeur de sa campagne, Nicolas Sarkozy s'est détourné d'eux…

Depuis plus d’une semaine, bon nombre de responsables UMP expriment des réserves sur la stratégie droitière de Nicolas Sarkozy. Mais un autre malaise est moins médiatisé. Celui des libéraux. A l’heure où Nicolas Sarkozy remet «la frontière» au cœur de son programme, les tenants du libre échange se sentent orphelins. En juin 2011, le président de la République disait encore que «refuser la mondialisation n'a pas de sens, on resterait seul dans notre coin, à bouder. Mais qui le paierait? Les Français, qui perdraient des emplois».

Moins d’un an et un premier tour marqué par la progression du FN plus tard, le ton a bien changé : «je ne veux pas laisser la France se diluer dans la mondialisation».

«En pleine démagogie»

«C’est évident qu’il est en pleine démagogie», raille un député UMP de la famille libérale. Mais comme d’autres, il temporise: «la bataille est perdue et comme vous le savez, il y aura une recomposition de la droite». Les règlements de compte interviendront donc après le 6 mai. En attendant, la solidarité de camp prévaut. «Est-ce que j’aurais préféré que Nicolas Sarkozy porte d’autres options dans la campagne? Oui. Mais il est le candidat de l’ensemble de la droite, je le soutiens», confirme un autre député, poids lourd de la majorité. Pour lui, la proposition d’un buy european act, qui consiste à préserver l’accès des marchés publics aux entreprises qui produisent en Europe, «c’est du pipeau». «Ce n’est pas d’un caractère opérationnel évident.» Mais si Nicolas Sarkozy l’a mis au cœur de son programme, c’est à cause «de l’influence des idées anti-européennes dans la campagne». «Il y a une volonté illusoire de concilier la France du oui et du non.»

Le député Hervé Mariton, lui, veut croire qu’on «peut être à la fois favorable à la liberté des échanges et patriote du point de vue économique». Car on peut être «libéral sans être naïf pour autant». Comprendre ne pas se laisser voler de parts de marchés sans en prendre chez les autres. Pourtant Nicolas Sarkozy lui-même a reconnu dimanche à Toulouse que «pendant 30 ans, nous avons trop cédé. L’Europe a trop cédé à la religion du libre-échange et de la dérèglementation». Y aurait-il donc une prise en compte tardive à droite des risques liés à la mondialisation ? «Ce n’était pas assez exprimé», concède Hervé Mariton, «la réciprocité a du bon sens».

La crise justifie plus de régulation

Concrètement, quant on en vient aux propositions du candidat UMP, l’élu de la Drôme se montre pourtant plus réservé. Est-il favorable au buy european act ? «Sous réserve de précision, l’idée ne me choque pas.» Quid d’un small business act qui accorde une part des commandes publiques aux seules PME européennes? «Je ne récuse pas le thème mais le réglage est compliqué.» D’une façon générale, Hervé Mariton estime qu’il n’est «pas absurde qu’il y ait plus de règles dans une période de tension». Oui donc à ces mesures de protection si «elles sont transitoires et tendent vers plus de réciprocité et de transparence». «Nous sommes dans une phase de conclusion de période électorale. Tout cela demande à être précisé, amendé.» Pour l’enthousiasme, on repassera.

«Sarkozy n’a jamais été un vrai libéral, je comprends ses positions, assure pour sa part le député des Yvelines Jean-Michel Fourgous. Il faut des mesures adaptées à la crise. Si vous me demandez ce que j’en pense une fois la crise terminée, ma réponse sera différente.» Bref, chez les libéraux, la crise semble justifier les moyens. Mais aussi l’urgence électorale. «Nous n’avons pas réussi à nous imposer dans la campagne, constate, amer, le député Elie Aboud, fondateur du club «Génération libérale». Notre combat pour distinguer libéralisme financier et esprit d’entreprise va être encore plus compliqué aujourd’hui. Ca me chagrine. Mais je peux tout excuser à Nicolas Sarkozy. Parce qu’il y a urgence à ne pas laisser la clé de la voiture France à François Hollande qui nous conduira dans le mur.»

http://www.20minutes…es-liberaux-ump

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La salooooope!

Mariton fait vraiment honte au projet libéral, ce mec est prêt à toutes les contorsions.

Je me souviens que Mariton était à peu près le seul homme politique français à préférer McCain plutôt qu'Obama en 2008.

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21 économistes se déclarent opposants à un "programme socialiste destructeur" :

Le programme de François Hollande et de ses amis socialistes procède de motivations démagogiques, mais qui sont illusoires et destructrices : augmenter le SMIC au lieu de libérer les énergies, punir les riches au lieu d'inciter tout le monde à l'effort productif, dépenser pour stimuler la croissance (en fait pour acheter des clientèles) au lieu d'utiliser au mieux les ressources. Le socialisme n'a jamais réussi, sous sa forme extrême - le communisme - comme sous sa forme plus modérée – la social-démocratie. Il est en effet incontestable que la prospérité est étroitement corrélée au degré de liberté économique.

Comment peut-on encore, au XXIème siècle, après des décennies et des siècles de réflexion et d'expériences, croire à des recettes qui relèvent plus de la magie incantatoire que de la science ? Comment peut-on croire que l'Etat peut manipuler l'économie comme le ferait un conducteur de locomotive en poussant quelques manettes ? Comment peut-on imaginer qu'il suffirait de fabriquer ex nihilo des unités monétaires irréelles pour que les hommes se mettent à produire plus ? Comment croire qu'un Etat peut promouvoir la croissance par le seul fait qu'il dépense plus, sans se rendre compte qu'il prélève par l'impôt ou par l'emprunt les ressources nécessaires à ses gaspillages et à ses dépenses démagogiques?

La croissance ne se décrète pas, elle est le résultat non planifiable des décisions et des actes innombrables d'individus capables d'efforts et d'imagination. Mais pour cela il est indispensable de ne pas freiner leurs élans par des contraintes règlementaires paralysantes ou des impôts spoliateurs. C'est dire que la politique socialiste qu'un François Hollande ferait si, malheureusement, il accédait au pouvoir suprême, avec le soutien de ses alliés inévitables - communistes et écologistes - ne pourrait produire que la stagnation économique, un chômage et une pauvreté accrus, un endettement public insupportable.

Il est tragique qu'on puisse penser qu'on va améliorer le sort de certains en punissant et en spoliant les autres. Nous sommes tous solidaires dans une société humaine et il est dans l'intérêt de tous d'inciter chacun à donner le meilleur de lui-même. La France souffre depuis des décennies d'une faible croissance, d'un chômage élevé, mais aussi du manque d'espoir qui frappe en particulier les plus jeunes. Malheureusement, nous ne sommes pas sortis du socialisme, des étatistes de droite ayant succédé aux étatistes de gauche. Pour rendre l'espoir aux Français il n'y a qu'une solution : sortir du socialisme. Y rentrer plus profondément ne pourrait être qu'une funeste erreur…

Les signataires s'engagent en tant qu'économistes professionnels et n'appartiennent à aucun parti politique :

Florin Aftalion (ESSEC), Charles Arnoux (Univ. Aix-Marseille), Jacques Bichot (Univ.Lyon-3), Gérard Bramoullé (Univ. Aix-Marseille), Jean Pierre Centi (Univ. Aix-Marseille), Liliane Debroas (Univ. Aix-Marseille), André Foursans (ESSEC), Georges Gallais-Hamonno (Univ. Orléans), Jacques Garello (Univ. Aix-Marseille), Guido Hülsmann (Univ. Angers), Georges Lane (Univ. Paris-Dauphine), Jacques Lecaillon (Univ. Paris-2-Assas), Jean-Didier Lecaillon (Univ. Paris-2-Assas), Bertrand Lemennicier (Univ. Paris-2-Assas), Henri Lepage (Institut Turgot), Jean-Yves Naudet (Univ. Aix-Marseille), Patrice Poncet (ESSEC), Alain Redslob (Univ. Paris-2-Assas) Pascal Salin (Univ. Paris-Dauphine), Anne Tassy (Univ. Aix-Marseille), Alain Wolfelsperger (Science-Po Paris)

http://www.atlantico…eur-348398.html

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Le contraire eut été étonnant, étant donné que le statut d'université privée n'existe pas en France. Ecole, Institut, fac, peut-être, mais université, nope.

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Le contraire eut été étonnant, étant donné que le statut d'université privée n'existe pas en France. Ecole, Institut, fac, peut-être, mais université, nope.

Vous avez pas d'université Marxiste ou d'université des "sciences" musulmanes chez vous ? Bigre, décidément, rien ne fonctionne en France :icon_bave:

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Université marxiste, si, on a, genre Jussieu ou Nanterre, et même lycées autogérés et tout, mais université privée-privée, non, pas possible. Les plus gros trucs qui existent dans la même gamme ce sont les écoles mais du point de vue de la recherche, ça n'est pas considéré de la même façon.

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Soit, mais dans quelle ecole trouve-t-on des professeurs de type Friedman?

Au Chili ? :dentier:

Honnetement, je ne sais, je ne connais pas du tout le monde académique des USA, surtout en économie. Du coté de la sociologie (individualisme et tout ce qui tourne autour), y en a eu à Harvard (dont Boudon, justement), on en trouve un peu partout.

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Il y aurait encore des libéraux à l'UMP

Ah bah voila, le soutien du PLD commence déjà à faire effet :dentier:

En même temps, Harvard, c'est très surfait.

C'est comme pour tout, faut pas se laisser impressionner par des noms.

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