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[modéré]Hollande, le départ du comique français


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Pas compris. Par définition 100% des salaires et des pensions de la fonction publiques (qui sont des "salaires continués") sont financés par les contribuables.

 

Par les créanciers de la France donc puisqu'à moins d'espérer faire mieux que le meilleur des cas pour eux, l'inflation, la dette ne sera pas remboursée :D

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Leurs revenus sont issus de l'impôt mais ils sont aussi soumis à l'impôt.

Ils sont donc contribuables.

 

L'État ne prend même pas soin de leur verser leurs cotisations sociales. Elles sont directement déduites.

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Je sais plus qui avait dit qu'ils reconnaissent tous la supériorité libéral en économique en privé, mais jamais en public

Je crois que Jean-François Revel avait aussi relaté quelque chose comme ça, avec une volte-face de la part de son interlocuteur dans un débat télévisé en quelques minutes, selon si l'émission était à l'antenne ou si l'on était durant la coupure publicitaire.
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L'État ne prend même pas soin de leur verser leurs cotisations sociales. Elles sont directement déduites.

C'est pour cette raison qu'il faudrait mettre en place une caisse pour suivre l'évolution de ces dépenses.
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Chyprage : J-365, avec le budget 2016?

Evidemment, les promesses n'engagent que ceux qui y croient dans ce domaine mais il faut avouer que ça commence à crever les yeux à l'international que la France fout rien du tout pour réduire ses dépenses.

Normal que l'UE perde patience... Hollande laisse filer, espère que la BCE comblera le trou...

La mère Le Pen se frotte les mains.

Vous allez voir qu'ils viendront pleurer encore.

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Manuel Valls se trompe de cible

La visite du premier ministre français hier à Londres laisse des doutes sur la force de conviction de la France en Europe. Manuel Valls s’adressait à un parterre d’industriels et d’investisseurs, mais ce n’était évidemment pas un huis clos. C’est à l’ensemble des Britanniques qu’il parlait.

N’ont-ils pas entendu que le Royaume-Uni, la City en particulier, aurait tout à perdre de quitter l’Union européenne en 2017, année d’un référendum redouté? C’est probablement ce que les eurosceptiques voulaient entendre le plus vite possible venant d’un Français: une ingérence caractérisée dans les affaires intérieures du royaume. Qui donc, à part les Britanniques, savent ce qui est bon pour eux?

Etait-ce une bonne chose d’évoquer par ailleurs les insuffisances démocratiques de l’Union européenne à Londres? Où l’on pense depuis trois cents ans que l’Angleterre est la patrie d’origine et de référence du parlementarisme moderne, bien avant la France? Peut-on vraiment compter sur Paris, qui a tellement de peine à faire confiance aux citoyens, pour orienter les institutions européennes dans le bon sens?

Il n’est pas sûr non plus que les déclarations de Manuel Valls sur la réorientation nécessaire de la politique économique européenne aient rassuré son auditoire. En particulier le rejet nécessaire de l’austérité budgétaire et monétaire, jugée douloureuse et peu efficace.

Qui ignore encore dans l’économie que cette manière de thématiser la croissance et l’emploi est gravement insuffisante depuis longtemps? Ce dont la prospérité a besoin, c’est d’une utilisation innovante et productive des ressources financières, plutôt que de les détourner dans le clientéliste politique – une hantise britannique séculaire – et la gestion d’une complexité laborieusement entretenue.

Dire enfin que l’Union européenne peut offrir à ses membres de peser dans le monde, d’un point de vue économique, diplomatique et militaire, c’est oublier que les Britanniques en ont fait l’expérience jusqu’au bout. Ils en sont revenus. Ce qu’ils veulent aujourd’hui, un peu comme les Suisses, c’est simplement la possibilité de commercer à l’échelle de la planète, le plus librement possible. Sans s’enfermer dans un grand marché qu’ils soupçonnent de vouloir en réalité obtenir une taille suffisante pour se protéger en se refermant sur lui-même.

http://agefi.com/une/detail/artikel/manuel-valls-se-trompe-de-cible-383237.html

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Crony-capitalism, nouvelle intervention publique, mensonges (une concession n'est pas une privatisation), omissions (les sociétés d'autoroute ont dû investir pour améliorer le réseau donc augmenter les tarifs).

 

 

http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/societes-d-autoroutes-macron-fera-des-propositions-prochainement-838806.html

 

 


Après la charge de l’Autorité de la concurrence contre les concessionnaires autoroutiers, le gouvernement se devait de réagir. Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a ainsi annoncé mardi 7 octobre, devant les députés français, qu'il remettrait, avec la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal, des propositions au Premier ministre "dans les prochaines semaines".

 

 

Selon l'Autorité, la rentabilité nette de ces sociétés après impôts, en 2013, a atteint entre 20 et 24%, une "rentabilité exceptionnelle (...), largement déconnectée de leurs coûts et disproportionnée par rapport au risque de leur activité, (et) assimilable à une rente

 

L'Autorité de la concurrence propose plusieurs pistes que Ségolène Royal et moi-même avons décidé de mettre à l'étude", a déclaré Emmanuel Macron.        

 

 

  Il a ainsi cité "la modification de la formule tarifaire, la mise en place d'une autorité indépendante pour évaluer le bien fondé des travaux et des hausses tarifaires et des obligations de publicité et de concurrence dans les travaux menés par ces sociétés", ainsi qu'un "rééquilibrage du modèle économique en faveur du concédant et des usagers".  

 

 

"La privatisation des autoroutes engagée en 2005 a été une mauvaise affaire pour l'Etat", a encore indiqué le ministre, évoquant un coût de "plusieurs milliards d'euros".

 

 

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"my government is pro-business"

et Macron parle :

"La privatisation des autoroutes engagée en 2005 a été une mauvaise affaire pour l'Etat"

vite, il faut "la mise en place d'une autorité indépendante"

etc...

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En un mois les vieux relents socialistes ont refait surface: les sociétés d'autoroute ont le tort de faire trop de profits, la privatisation a été une mauvaise affaire pour l'Etat, les ministères doivent fixer les tarifs (calculés au millimètre près bien sûr) etc...

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Ca serait quand même marrant qu'ils décident de re-étatiser, juste pour le mettre bien profond à Vinci, ces enculés.

N'oublie pas tout de même que dans l'affaire, l'enculé final est toujours le même.
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En un mois les vieux relents socialistes ont refait surface: les sociétés d'autoroute ont le tort de faire trop de profits, la privatisation a été une mauvaise affaire pour l'Etat, les ministères doivent fixer les tarifs (calculés au millimètre près bien sûr) etc...

 

Attention, cette histoire de privatisation est loin d'être liberhalal.

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Attention, cette histoire de privatisation est loin d'être liberhalal.

 

Fort bien, ce n'est pas une privatisation.

Mais c'est déjà mieux qu'une nationalisation. L'état des autoroutes en France s'est amélioré, et l'offre de services sur les aires aussi.

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Attention, cette histoire de privatisation est loin d'être liberhalal.

 

C'est toujours mieux que des autoroutes publiques. Et puis franchement, pour le coup, le réseau secondaire est entièrement gratuit pour les consommateurs qui se plaignent des tarifs d'autoroute. 

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