Aller au contenu

[modéré]Hollande, le départ du comique français


Messages recommandés

Tu parles des 2% de déficits qui ne sont (sauf en 2000) plus respectés depuis que Mitterrand est arrivé au pouvoir?

 

Oui des règles budgétaires imposé aux Etat membres qui sont pour moi des bonnes règles puisqu'elles essayent d'empêcher le gonflement de l'Etat (c'est sans doute pourquoi les socialistes sont farouchement contre ses règles). Je suis également pour la règle monétaire imposée par la BCE: La lutte contre l'inflation puisque la monnaie doit rester, selon moi, seulement un instrument des échanges.

Lien vers le commentaire

Oui des règles budgétaires imposé aux Etat membres qui sont pour moi des bonnes règles puisqu'elles essayent d'empêcher le gonflement de l'Etat (c'est sans doute pourquoi les socialistes sont farouchement contre ses règles). Je suis également pour la règle monétaire imposée par la BCE: La lutte contre l'inflation puisque la monnaie doit rester, selon moi, seulement un instrument des échanges.

 

Et chacun de ces éléments a été couronné de succ...

 

Oh wait !

Lien vers le commentaire

... et la crise est derrière nous. Par contre elle court et elle a le kikitoudur. (© votre serviteur et pankkake si mes souvenirs sont bons)

 

:D

 

Pour une fois je vais faire le super franchouille. Toutes les entreprises qui ont réussi à survivre dans le contexte étatique français (et qui ne dépendent de la commande publique) pourraient avoir des performances énormes si l'état les laissait tranquille. En terme de sélection naturelle, l'action de l'état a éliminée (malheureusement) les plus faibles seuls les warriors ont survécu.

 

Quand je vois cette carte, on peut être confiant si l'état réduit son périmètre d'intervention. Malheureusement, je pense que l'objectif de François (comme celui de Nicolas) est de préserver le modèle français et de le modifier à la marge en espérant qu'il redevienne viable. C'est une grosse erreur selon moi.

 

 

cartedef31.jpg?w=610&h=678

 

http://www.capital.fr/enquetes/revelations/ces-100-pme-francaises-meconnues-et-pourtant-championnes-du-monde-960331

Lien vers le commentaire
On note profusion de boîtes prometteuses en région parisienne, ainsi qu'à Lyon et ses environs immédiats. En revanche, à Marseille, rien (enfin, une seule boîte, un spécialiste des milieux hostiles - ça ne s'invente pas).
Lien vers le commentaire

:D

 

Pour une fois je vais faire le super franchouille. Toutes les entreprises qui ont réussi à survivre dans le contexte étatique français (et qui ne dépendent de la commande publique) pourraient avoir des performances énormes si l'état les laissait tranquille. En terme de sélection naturelle, l'action de l'état a éliminée (malheureusement) les plus faibles seuls les warriors ont survécu.

 

Quand je vois cette carte, on peut être confiant si l'état réduit son périmètre d'intervention. Malheureusement, je pense que l'objectif de François (comme celui de Nicolas) est de préserver le modèle français et de le modifier à la marge en espérant qu'il redevienne viable. C'est une grosse erreur selon moi.

 

http://www.capital.fr/enquetes/revelations/ces-100-pme-francaises-meconnues-et-pourtant-championnes-du-monde-960331

+1000.

Lien vers le commentaire

Mouais, faut aussi penser qu'un certain nombre d'entre elles survivent aussi parce qu'elles sont des championnes de roublardise. Le crony capitalism en France, c'est pas un vain mot. Bon, faut avouer quand même que l'entrepreneur auto-employé qui réussit à survivre en France, il faut qu'il en veuille.

Lien vers le commentaire

L'addiction à la dette rend la France vulnérable

Par Ivan Rioufol le 1 octobre 2014 14h06

Michel Sapin est de ceux qui font du mal à la politique et à sa crédibilité. Il est devenu le parangon de la désinvolture et du toupet. La France "tient impeccablement les dépenses" et a "pris ses responsabilités", a ainsi assuré ce mercredi le ministre des Finances en commentant le budget 2015. C’est ce qui explique sans doute que la dette publique vient de franchir les 2 000 milliards d’euros (30.300 euros par Français, bébés compris). Celui qui avait promis avec emphase la baisse du chômage et des déficits cautionne cette fois-ci la prévision d’une croissance de 1% en 2015. Mais comment croire cet apparatchik qui, avec une assurance désarmante, dit n’importe quoi ? D’ailleurs le Haut conseil des finances publiques a immédiatement qualifié "d’optimiste" cet objectif annoncé. Sapin n’est évidemment pas le seul à afficher une telle indifférence pour ceux à qui il s’adresse. Cela fait quarante ans que les Français se font gruger par une classe politique qui a décidé, droite et gauche confondues, de faire vivre le pays à crédit. Mais le niveau de la dette est devenu tel que la nation, liée à des créanciers étrangers, a perdu pour longtemps sa souveraineté financière. "La France coule", titre ce mercredi Le Figaro. Pour autant, on apprend par exemple que les crédits alloués à l’aide médicale d’Etat (AME), dispositif qui offre la médecine gratuite aux clandestins (plus de 600 millions d’euros pour 2014) seront augmentés de 73 millions supplémentaires en 2015.

Cette addiction à la dette, aggravée par les taux d’emprunt dérisoires qu’offre actuellement le "dealer de crédits" qu’est la Banque centrale européenne de Mario Draghi, rend évidement la France à la merci de la moindre saute d’humeur de ses prêteurs, de la moindre panique boursière. D’autant que les mesures d’économies que le gouvernement ne cesse de promettre sont très en-deçà des urgences. L’histoire nationale montre, en tout cas, que les endettements insupportables mènent souvent à des révolutions. Les déficits accumulés par les rois - qui furent de ce point de vue aussi irresponsables que leurs successeurs républicains - conduisirent notamment à 1789. Les petits épargnants et les rentiers de l’époque furent les premières victimes des "assignats", cette monnaie fictive gagée sur les biens de l’Eglise et créée pour tenter d’éviter la banqueroute. Mirabeau disait d’elle : "Douter de la valeur de l’assignat c’est douter de la révolution, c’est un crime". Ce à quoi la rue insolente chantonnait : "Les écus sont les écus, les assignats des torche-culs". Si le pouvoir socialiste persiste à se comporter avec une telle irresponsabilité, qui se retrouve également sur bien d’autres sujets tout aussi explosifs, le peuple pourrait bien décider de répéter l’histoire.

http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2014/10/michel-sapin-est-de-ceux.html
Lien vers le commentaire

 

Is France Dying?
"The pivotal issue facing France is leadership. President Hollande’s presidency has been memorable, but for all the wrong reasons."

 

 

:)

J'aime bien la phrase là dans un commentaire :

In particular, France seems to have really gone to sleep after the end of the Cold War

Ca fait "poétique" :P

 

ou celle là, qui réveille mon coté chauviniste :P

Indeed, his power has diminished, but has the capability of rising again

 

Lien vers le commentaire

Mosco retourne sa veste

 

http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/02/moscovici-commissaire-deficit-france-economie-bruxelles_n_5919866.html?utm_hp_ref=france

 

 

2013 :

 

En Europe, "l'austérité c'est fini, le sérieux ça continue", s'est félicité Pierre Moscovici

 

2014 :

 

 

Et si un pays, grand ou petit, ne remplit pas les obligations prévues par les traités et se trouve dans une procédure de déficit excessif, et c'est le cas de la France, je sanctionnerai sans faillir

 

Lien vers le commentaire

 

(Boursier.com) — Après la fronde des intermittents et le contrôle des chômeurs, François Rebsamen va devoir répondre à une nouvelle polémique. Le blog du Monde 'En quête d'emploi' rapporte vendredi que le ministre du Travail a demandé le retrait d'un entretien dans lequel il défend "une vision libérale de l'économie". Pour l'attachée de presse interrogée par 'Le Monde', l'article contenait des erreurs et il ne s'agissait pas d'une interview... Faux, rétorque le journaliste, Jérémie Lorand : "J'ai bien précisé qu'il s'agissait de (cela), j'ai même tout enregistré", a-t-il martelé.

Michel Sapin et JC Cambadélis taclés

Dans cet entretien paru dans 'Miroir', un magazine bourguignon, François Rebsamen aurait critiqué la méthode de son prédécesseur Michel Sapin, qui promettait d'inverser la courbe du chômage. "Il s'est totalement trompé. On ne juge pas le chômage mois par mois (...) Il s'est mis des boulets aux pieds et les a laissés à son successeur", peut-on lire d'après les propos rapportés par 'Miroir'. François Rebsamen aurait aussi épinglé le secrétaire national du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. Il aurait estimé que, contrairement à la population française, il refuse "certaines avancées" sur le travail du dimanche ou les 35 heures notamment. "Il ne veut pas casser les tabous, se pose en garant de l'ordre social", souligne-t-il.

Vision libérale

Sans renier les droits sociaux, François Rebsamen dit se battre depuis longtemps "pour une vision libérale de l'économie (...) avec une protection de l'individu". Selon lui, c'est parce-que la droite et la gauche ne veulent pas mener les réformes nécessaires que les Français "se tournent vers les extrêmes".

Cet épisode risque de ne pas passer inaperçu et d'alimenter l'analyse selon laquelle le nouveau gouvernement de Manuel Valls a effectué un tournant social-libéral, notamment en nommant l'ex-banquier, Emmanuel Macron au poste de ministre de l'Economie. D'ailleurs, les propos tenus par ce dernier sur les 35 heures avaient également fait grand bruit...

http://www.boursier.com/actualites/economie/francois-rebsamen-l-interview-qui-fait-polemique-25529.html

Lien vers le commentaire

Et maintenant, ça recommence à se tirer dans les pattes au gvt. Génial.

 

Tout se déroule comme prévu.

 

On ne peut pas lui en vouloir, il reconnaît notre supériorité libérale. :)

Lien vers le commentaire

Je sais plus qui avait dit qu'ils reconnaissent tous la supériorité libéral en économique en privé, mais jamais en public

 

 

 

Nicolas le bullDOZEr.

 

Exact c'était Nicolas Doze.

 

Parmi les socialistes, Gérard Collomb avait vu venir il y a très longtemps malheureusement il est très minoritaire à l'intérieur du parti.

Lien vers le commentaire

Pas compris. Par définition 100% des salaires et des pensions de la fonction publiques (qui sont des "salaires continués") sont financés par les contribuables.

 

Certains de ces contribuables sont eux mêmes des membres de la fonction publique, mais à la vue de l'article, pas suffisamment.

 

 

seul un quart des pensions est financé par les cotisations salariales.

Au final, l'État, qui ne verse pas à proprement parler de cotisation employeur, subventionne discrètement les retraites des fonctionnaires à hauteur de… 73 % de ses besoins.

 

 

Lien vers le commentaire

Certains de ces contribuables sont eux mêmes des membres de la fonction publique, mais à la vue de l'article, pas suffisamment.

 

Par définition, les fonctionnaires ne sont pas des contribuables puisque leurs revenus sont issus de l'impôt.

Il est vrai que depuis peu, les fonctionnaires peuvent cumuler des activités privées en plus de leur statut de fonctionnaire. Dans ce cas, effectivement, ils sont aussi des contribuables. Mais ils ne forment qu'une infime proportion.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...