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[modéré]Hollande, le départ du comique français


Messages recommandés

Moody's va dégrader la Fraônce de Aa1 à Aa2 demain. Ça sent le Michel (Sapin).

Encore un complot du grand Kapital apatride contre la République.

L'histoire se répète, on va avoir les mêmes commentaires modulo gauche/droite.

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Tout de même, il y a une tendance qui m'horripile de plus en plus dans les médias mainstream, c'est la création permanente de mini-polémiques à partir de ce qu'a dit un tel ou machin.

D'abord ça en dit long sur l'ego de ces gens de ce petit monde, comme si ces censeurs avaient la vérité suprême et comme si les censés étaient forcément des gens que nous écoutons et auxquels nous donnions de l'importance.

Ensuite la tendance en soi devient lassante et ridicule, quand on y pense, il n'y a jamais vraiment rien de scandaleux en plus, juste des réactions outrées de petites tarlouses choquées pour pas grand chose.

 

Je suis d'acc, y'a du déchet en masse. Mais c'est de plus en plus dur de gruger alors si c'est le prix à payer, je pense qu'on peut le payer (surtout si on paie pas la redevance :P )

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Et encore les deux autres ont toujours une perspective stable. Quand ils passeront à négatif ça devrait déjà plus se sentir sur les taux.

 

Le problème c'est que ça fait 4 ans qu'on entend ça et les taux sont au plus bas.

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Moody's va dégrader la Fraônce de Aa1 à Aa2 demain. Ça sent le Michel (Sapin).

Bof les infos sont dans les prix, sauf déclaration de faillite ou de découverte d'une fraude majeur en France, ça restera tout en bas.

 

Le vrai choc ce serait de faire passer la dette française en junk et même là encore les banques continueraient de s'en gaver.

Voilà et pour ça il faudrait un un vrai choc comme avec le cas de la Grèce, mais les taux n'attendraient pas l'avis de telle ou telle agence pour s'envoler.

Les prix des CDS (assurances en cas de défaut) s'envoleraient et ceux des OAT (oblig françaises) s'écrouleraient, une agence viendrait seulement constater les dégâts et mettrait la France en junk.

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Et ça forcerait les investisseurs institutionnels à vendre massivement et la répression de l'épargne se ferait prendre à son propre jeu (mais ce serait de la faute aux spéculateurs bien sur).

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Le vrai choc ce serait de faire passer la dette française en junk et même là encore les banques continueraient de s'en gaver.

 

Et ça forcerait les investisseurs institutionnels à vendre massivement et la répression de l'épargne se ferait prendre à son propre jeu (mais ce serait de la faute aux spéculateurs bien sur).

 

Bof. Tout ca arriverait a posteriori du désastre économique qui aurait déja démarré dans le pays.

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Pas Gorafi. 

 

Le Parlement adopte définitivement la loi Thévenoud

 
Le Parlement a définitivement adopté ce soir, par un vote de l'Assemblée nationale, la proposition de loi sur les taxis et les voitures de transport avec chauffeurs, dont l'auteur est l'ex-ministre Thomas Thévenoud.
 
Le texte vise à sortir du conflit des derniers mois entre taxis et VTC, en interdisant notamment à ces dernières d'être repérées par les clients depuis leurs smartphones.
 

 

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Apparemment ça couine très fort chez les militaires : on baisse leur enveloppe mais en même temps ils sont plus utilisés qu'avant semble-t-il:

 


Arrivé en 2012 avec une idée claire de désengager la France des grosses missions (Afghanistan en tête, mais aussi en Afrique), François Hollande a en fait, multiplié les opérations au fil des mois, tout en réduisant l'empreinte des forces stationnées à l'étranger et en continuant la fonte de l'outil de défense français.
La plupart de ces opérations nouvelles n'ont pas été conduites en coalition, ce qui a contribué à assécher l'outil de défense français, déjà rincé par les opérations en Afghanistan. Et le contribuable français a été le seul à cotiser, du fait d'une absence de mutualisation.
Voici la liste des opérations non récurrentes, préparées ou lancées effectivement depuis l'arrivée de François Hollande à l'Elysée, une véritable sur-activité sur le plan militaire qui en a aussi sur le plan budgétaire, avec des surcoûts opex restés très élevés, et une usure supplémentaire du matériel et des personnels : 
  • mise en place d'un hôpital militaire en Jordanie (août 2012).
  • lancement de l'opération Serval au Mali (depuis janvier 2013). 
  • tentative de libération de l'otage Denis Allex (janvier 2013) en Somalie.
  • projet de frappes sur la Syrie (août 2013) arrêté au dernier moment faute de soutien des anglo-saxons, renforcement de la vigilance de la marine en Méditerranée orientale. 
  • opération Sangaris en Centrafrique (depuis décembre 2013) dont la durée ne doit alors être que de quelques mois.
  • déploiement de chasseurs en Pologne (avril 2014) et d'Awacs, ainsi que de navires en mer Baltique et mer Noire. 
En l'espace de quelques jours de septembre, la France accentue encore cette tendance, en s'engageant sur pas moins de quatre théâtres nouveaux, ou à la périphérie de théâtres déjà ouverts : 
  • opérations en Irak depuis la base des EAU,
  • mise en place d'un hôpital militaire en Guinée,
  • projet avancé de déploiement de drones tactiques en Ukraine, 
  • projet d'actions en Libye. La France cherche des partenaires régionaux (notamment l'Egypte et des pays du Golfe) pour ne pas avoir à y aller seule.
Chez les parlementaires, dont un des métiers consiste à voter des budgets, certains ne cachent plus leur irritation de voir ces opérations se multiplier, alors que l'enveloppe de la défense fait l'objet d'une défense insuffisance de la part de celui qui déclenche ces nouvelles missions.
Avec des pouvoirs de contrôle étendus (comme Bercy l'a découvert cet été), les parlementaires pourraient bien se révéler plus actifs, cette année, dans l'exercice de leurs prérogatives. Alors que 2015 est d'ores et déjà prévue comme la pire des annuités budgétaires de la LPM.
 
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Quand Hollande s’inspire de Sarkozy En vue d'une candidature à la présidentielle de 2017, Nicolas Sarkozy devra revoir son programme économique: l'essentiel des mesures dont il rêvait en 2012 sont devenues réalité... sous François Hollande. 
   
 

Même si l’effet de surprise est tout relatif, le retour de Nicolas Sarkozy en politique apparaît comme un évènement majeur en vue de l’élection présidentielle de 2017. S’il décidait effectivement de se porter candidat, l’ancien président français devra toutefois apporter quelques modifications à son programme économique présenté en 2012 –ou mis en place durant son mandat -  car certaines mesures ont déjà été adoptées par un certain…François Hollande. 

> La TVA sociale

Nicolas Sarkozy sort de son chapeau, fin 2011, sa "TVA sociale", une hausse de 2,6 points sur la taxe sur la valeur ajoutée, en échange de baisses de charges pour les entreprises.

Cette mesure avait été votée début 2012 par les parlementaires, mais jamais appliquée, rappelait François Hollande lors de sa conférence de presse de jeudi. "On se demande pourquoi d'ailleurs. Peut-être parce qu'il y avait une élection?", a-t-il ironisé.

A son arrivée au pouvoir en mai 2012, François Hollande la supprime. Six mois plus tard, il engage un dispositif similaire: une hausse de cette taxe qui doit financer en partie un allègement du coût du travail, le CICE.

L'augmentation des taux est toutefois moindre que celle que prévoyait l'ancien président: le gouvernement Ayrault a porté le taux normal de TVA de 19,6 à 20% là où celui de Fillon prévoyait de le pousser à 21,2%. 

> La fusion RSA - prime pour l'emploi

Le gouvernement s'est retrouvé au pied du mur. Début août, le Conseil constitutionnel a censuré 2,5 milliards d’allégements de cotisations pour les salariés prévus dans le pacte de responsabilité. L'exécutif était donc obligé de promettre des mesures alternatives de même ampleur pour les ménages modestes et moyens. Et l'une d'elle est la fusion du RSA et de la prime pour l'emploi.

Une idée pas vraiment nouvelle puisque Nicolas Sarkozy l'avait déjà évoquée dans son programme de campagne en 2012. Le 22 février, sur France 2, le candidat malheureux avait déclaré : "je fais la proposition aux Français de réformer complètement la prime pour l'emploi, car cette prime ne marche pas". Parallèlement, il avait salué le bilan positif du RSA tout en annonçant vouloir aller plus loin, à savoir aider plus fortement à "réintégrer les gens dans le travail".

François Hollande n'a pas encore précisé les contours de cette fusion. Seule indication : Christian Eckert, secrétaire d'Etat au Budget, a précisé que le nouveau dispositif devra faire en sorte "qu'il y ait un vrai intérêt à reprendre une activité".

> La clause de compétence générale

Cette clause permet à une collectivité – région, département ou commune – d'intervenir dans tous les domaines qu'elle juge nécessaires, dès lors qu'une compétence n'a pas été attribuée de manière exclusive à une autre collectivité, selon un rapport du Sénat. Nicolas Sarkozy avait supprimé cette clause dans sa réforme territoriale.

Une fois arrivé au pouvoir, François Hollande l'a rétablie dans la loi de modernisation de l'action publique de 2013. Mais, lors de son premier discours de politique générale, en avril dernier, Manuel Valls a pourtant annoncé son intention de supprimer de nouveau cette clause pour simplifier le "millefeuille territorial" et générer des économies. Selon François Patriat, le président PS de la région Bourgogne, cité par le courrierdesmaires.fr , une telle mesure permettrait de faire 5 milliards d'euros d'économies.

> Le travail du dimanche

Sous Nicolas Sarkozy, une loi du 10 août 2009 a permis l'ouverture de magasins le dimanche en fonction du type de commerce ou du lieu, notamment dans les zones touristiques. Nicolas Sarkozy avait ensuite, en février 2012, annoncé qu'il voulait "élargir les conditions d'ouverture" du travail dominical, s'il était réélu, avant de se raviser un mois plus tard.

De son côté, François Hollande va lui piloter un nouvel aménagement du travail du dimanche qui doit être contenu dans la prochaine loi de croissance. François Rebsamen, le ministre du Travail a déjà précisé que le texte ne consistera pas en "une généralisation du travail du dimanche". Il s'inspirera des grands axes du rapport Bailly.

> La mise au régime des collectivités

En 2010, François Baroin, alors ministre du Budget, annonce le gel des dotations aux collectivités locales pendant 3 ans. En 2012, Nicolas Sarkozy déclare envisager une "modulation" en fonction de leur "politique de maîtrise des dépenses". François Hollande, lui, va plus loin et impose une baisse drastique des dotations : 4,5 milliards d’euros sur deux ans.

> Les accords de compétitivité au niveau des entreprises

Les accords de compétitivité chez Renault et PSA, fierté d'Arnaud Montebourg, sont la résultante directe de cette mesure qui offre aux entreprises la possibilité de nouer avec les syndicats des accords sur l'organisation du travail qui ne s'appliquent qu'en leur sein. Elle était une composante de l'accord sur l'emploi signé en janvier 2013 par les partenaires sociaux.

 

Cette mesure rappelle les fameux "accords compétitivité-emploi" de Nicolas Sarkozy. En janvier 2012, l'ancien président proposait en effet de permettre aux entreprises de négocier le temps de travail des salariés en fonction de la conjoncture. Il avait sommé les partenaires sociaux de conclure un accord sur la question, faute de quoi il ferait passer une loi. Ils ne sont pas parvenus à s'entendre avant l'élection de François Hollande.

http://bfmbusiness.bfmtv.com/votre-argent/quand-hollande-s-inspire-de-sarkozy-835177.html

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Ce que je trouve dingue c'est qu'ils sont déjà tous en train de parler de la prochaine présidentielle: et vas-y que je te commande des sondages, que je te fais de l'analyse politique à horizon 3 ans.

Il n'y a qu'en période de campagne qu'ils arrivent à rassembler les gogos et faire gober des promesses etc...Une fois en fonction et qu'on te juge sur les actes, finie la fête.

C'est en période de campagne que les politiciens s'accomplissent.

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Marseille : la députée Sylvie Andrieux condamnée en appel à quatre ans de prison, dont trois avec sursis
 
L'élue de la 3e circonscription des Bouches-du-Rhône, condamnée pour détournement de fonds publics, va se pourvoir en cassation.
700 000 euros de subventions à des associations fictives
La justice reprochait à l'élue de la 3e circonscription des Bouches-du-Rhône d'avoir, entre 2005 et 2008, alors qu'elle était conseillère régionale, distribué à des fins électoralistes quelque 700 000 euros de subventions régionales à des associations fictives.

 

 

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