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Un pédophile à l'EdNat cela s'appelle une "erreur d'appréciation"


PABerryer

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si l'affaire aujourd'hui blablabla la question du maintien en poste du recteur se poserait 

 

Genre, la question se poserait ? Pédophile à l'EdNat, t'es "peut-être acceptable", alors que la décision logique devrait être "interdit à vie"

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J’apprécie le côté claque dans la gueule des victimes de la part de l'EdNat. Ils se félicitent que désormais cela ne peut plus se reproduire mais demander pardon aux victimes cela ils n'y pensent même pas.

 

Le type avait purgé sa peine et je comprend qu'il ait eu envie de retravailler mais pourquoi ne pas l'avoir suivi psychologiquement ou mis à un poste administratif sans contacts avec les élèves (ce qui est le cas de bcp d'enseignants)?

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En 2006, il avait passé ses vacances d’été au Royaume-Uni où il était directeur de colonie. De retour en France après avoir purgé sa peine de quinze mois d’emprisonnement – assortis d’une interdiction de travailler avec des enfants –, une commission disciplinaire s’était réunie en mars 2007 pour tirer les conséquences de cette condamnation. Elle avait décidé à l’unanimité de ne pas le sanctionner. L’enseignant avait retrouvé son poste.

 

Le cas du recteur, c'est un rideau de fumée. L'unanimité bordel.

 

 

Reste que l’enseignant et son avocat ont réussi à instiller le doute dans l’esprit de ses trente-cinq membres : l’enseignant a contesté les faits, soutenu que le procès en Angleterre avait été partial, qu’aucune expertise n’avait été réalisée pour vérifier la crédibilité du témoignage des enfants, que la traduction du jugement était inexacte, le délit de voyeurisme n’existant pas en France, qu’une psychothérapeute avait attesté, certificat à l’appui, qu’il ne présentait pas de signes de dangerosité au travail… Autant d’éléments qui ont amené la commission à considérer que « la matérialité des faits reprochés était sujette à caution » et que « le doute devait lui profiter ».

 

Si le verdict ne lui convenait pas, il pouvait faire appel en GB. La commission en France n'avait aucune raison de juger de la validité du verdict. Tout au plus, le bénéfice du doute aurait pu (dans un monde normal .. je ne sais pas si c'est possible dans l'alter-réalité de l'administration) les conduire à repousser leur décision jusqu'à la fin du procès en appel.

 

 

A sa décharge, le dossier de l’enseignant présentait des « fragilités », peut-on lire dans le rapport. Le rectorat de Versailles n’a pas pu accéder, malgré ses deux demandes successives, aux « éléments précis sur la situation judiciaire de l’intéressé au Royaume-Uni ». A l’époque, la justice française n’est pas en droit de se faire communiquer ces éléments, et une peine prononcée au Royaume-Uni n’est pas reconnue en France. C’est l’enseignant lui-même qui donne au rectorat son jugement rédigé en anglais ainsi que la nature des faits qui lui sont reprochés.

 

audela.jpg

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Une amie ancienne prof (elle a quittée l'Ed Nat en courant depuis), m'as raconté une anecdote probablement encore plus barge. Avec des vrais morceaux de proxénétisme de mineures dedans. Ça n'as pas fait les gros titre et la personne est toujours en poste.

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En bref, une proviseur (et comme elle est proviseur d'un des lycées les plus cotés elle ne se prend pas pour de la merde) d'un des lycées les plus cotés d'une grande ville (top 4 des grandes villes, pas Paris) de France avait trempée dans une affaire de prostitution d'élèves.

Aucune idée de son rôle exact mais comme elle est proviseur ça devait pas être petit. Il y a eu enquête des flics mais comme ça connait du beau monde qui connait du beau monde qui a le bras long l'affaire a été étouffée.

La proviseur est toujours en poste.

0 article de journaux.

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De toute façon, et vu les autres anecdotes qu'elle m'avait confiée, à haut niveau de responsabilité dans l'Ed Nat doit y avoir un beau paquet de cintrés dangereusement incompétents.

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J’apprécie le côté claque dans la gueule des victimes de la part de l'EdNat. Ils se félicitent que désormais cela ne peut plus se reproduire mais demander pardon aux victimes cela ils n'y pensent même pas.

Le type avait purgé sa peine et je comprend qu'il ait eu envie de retravailler mais pourquoi ne pas l'avoir suivi psychologiquement ou mis à un poste administratif sans contacts avec les élèves (ce qui est le cas de bcp d'enseignants)?

L'expert Barbarin pourrait peut-être nous éclairer sur toutes ces questions... ;)
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L'expert Barbarin pourrait peut-être nous éclairer sur toutes ces questions... ;)

Difficile en tout cas de ne pas faire un parallèle, notamment en comptant les nombres d'articles pour les deux sujets respectifs pour bien voir qui bénéficie le plus des largesses journalistiques...

  • Yea 1
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Difficile en tout cas de ne pas faire un parallèle, notamment en comptant les nombres d'articles pour les deux sujets respectifs pour bien voir qui bénéficie le plus des largesses journalistiques...

Ca n'est pas du tout la sensation que j'ai eu, j'ai vu beaucoup de reportages de parents qui se plaignaient par exemple, des témoignages, il y a même eu des débats à ce propos à la télé et à la radio. Après effectivement je peux pas dire quelle affaire a été le plus traité entre Barbarin et ce prof, tu as peut-être raison, mais l'affaire a été traitée médiatiquement
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Tu regardes la tele francaise???

Quelle perversion... :jesus:

Il y en a bien qui sont abonnés à l'immonde ou au figolu comme Tramp :D

On n'est plus dans la guerre froide mais Liborg continue à faire de l'espionnage ;)

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Quel dommage que notre belle jeunesse ne soit plus confiée aux mains expertes des congrégations religieuses…

 

De fait, ils ont statistiquement plus de chance que rien ne leur arrive de mal.

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Difficile en tout cas de ne pas faire un parallèle, notamment en comptant les nombres d'articles pour les deux sujets respectifs pour bien voir qui bénéficie le plus des largesses journalistiques...

 

+1 tant en nombre qu'en contenu.

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