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Est ce dans ce sens là que les médias qualifient Medvedev de plus libéral que Poutine ?

 

Un peu comme Hollande plus libéral que Mélenchon.

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Hein ?

Dans le sens "moins stalinien" ?

 

Les journaux disent "Medvedev est gentil parce qu'il est libéral alors que l'autoritaire Poutine est méchant"

D'où mon interrogation.

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En train de lire le "The new digital age" de Schmidt & Cohen. Un livre avec une portée globale sur les implications de l'ère de la connectivité sur l'économie, la politique, les démocraties! En droite ligne de la vision McLuhan "the media is the message" il me semble un peu trop "immanence technologie", mais comme l'on trouve plei d'exemples concrets(Iran essayant de construire son internet halal, pêcheurs africains prennant commande par sms, refuge politique virtuel), rien n'empêche d'extrapoler par soi-même! Cela dans les 100 premières pages!

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Je viens de lire un lire un livre sur les Romanov. Très intéressant pour comprendre la Russie d'avant 1917 et de se rendre compte que parfois l'Histoire tient à peu de chose. Alexandre II a été assassiné en 1881 alors qu'il prenait la révolution de vitesse en faisant évoluer son pays vers la modernité politique...

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Les grandes inventions - Larousse - 1991 - sous la dir. de Jacques Marseille.

300 pages, 2 pages/invention, du feu à la navette spatiale

 

Absolument captivant, se lit très bien de manière morcelée.

 

Le point qui m'a le plus intéressé est relativement aux histoires de ressources pas infinies, Malthus, etc.

 

Si on prend 1 exemple (parmi 10.000), eg le verre.

A un moment donné, avant la découverte/invention, l'humanité possède zéro objets en verre.

A un moment ultérieur, après la découverte/invention, l'humanité possède beaucoup d'objets en verre.

Le ratio (richesse en verre après invention / richesse en verre avant l'invention) n'est certes pas infini ... mais de facto pas bien loin.

Et c'est comme ça pour plein d'inventions.

 

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Trouvé sur Gallica et retranscrit par mes soins, c'est assez cocasse. 

 

 

 

 

Voeu d'un piéton

 
présenté
 
à l'Assemblée Nationale
 
 
 
Juillet 1789
 
 
 
Pendant que le trouble et la division régnaient dans l'auguste Assemblée dont les délibérations doivent régénérer la Patrie, je bornais tous mes yeux à désirer le retour de la concorde ; maintenant que le ciel a daigné exaucer mes prières, et que tout me porte à concevoir les espérances les plus flatteuses, il ne me reste plus qu'un voeu à formuler ; et celui-là, je l'adresse à l'Assemblée nationale.
 
Je déclare d'abord, qu'autant par goût que par raison de fortune, je suis un Piéton décidé, c'est-à-dire que je me sers tout bonnement de mes jambes pour me rendre où j'ai dessein d'aller ; c'est un titre au reste que je partage avec les quatre-vingt-dix-neuf centièmes au moins des habitants de la capitale : or, dans ma qualité de Piéton, j'enrage et peste tous les jours contre l'innombrable quantité de voitures, qui sont comme autant d'ennemis renaissants contre lesquels il faut sans cesse me précautionner ; et d'ailleurs, tout me répugne dans cette maudite invention que la mollesse fabriqua pour insulter à l'indigence et à l'honnête médiocrité.
 
Voulez-vous le long du jour vous livrer dans votre chambre à l'étude ou aux tranquilles méditations : impossible... Vous avez autour de vous un fracas insoutenable qui vous étourdit continuellement. La nuit, voulez-vous jouir des douceurs du sommeil, impossible encore... les riches ne se couchent qu'au lever du soleil ; et la nuit comme le jour, vous êtes assourdi par le bruit de leurs chars ; mais ce n'est là qu'une légère partie des abus ; et ceux-ci dumoins n'attaquent que vos plaisirs ou votre santé, au lieu que dans les rues votre vie est sans cesse en danger.
 
Comment dépeindre la rapidité meurtrière des voitures, et l'insolence de tous ces coquins de cochers, qui aujourd'hui grimpés aussi haut que leurs impériales, paraissent delà vouloir dominer sur les Piétons et sont tout prêts à les écraser ! que dirai-je donc des airs impérieux et si assomables de tous ces petits maîtres à Wiski, qui dans leurs légers phaëtons fendent l'air avec la vélocité d'un aigle, et s'inquiètent très-peu de toutes les victimes que leurs roues sacrifient ! il paraît aussi que jusqu'ici, le Ministère s'en est bien peu inquiété ; car ces accidents se renouvellent tous les jours, et les Wiskis existent encore malgré les réclamations pressantes de l'humanité et de plusieurs Ecrivains de nos jours.
 
Autre abus... un petit maître arrive chez une Laïs et laisse sa belle voiture à la porte, ou avec son Jockei, ou le plus souvent sous la seule conduite de son cheval, à qui il ordonne de ne pas bouger, et que sans doute il croit bien docile. Qu'arrive-t-il... le cheval s'ennuie ou s'effraie, et le voilà qui coure ventre à terre dans une rue fréquentée, jusqu'à ce qu'une voiture plus forte ait brisé celle qu'il conduisait. Ah ? c'est fort bien cela : on jouit de voir le Wiski brisé ; et ce spectacle est la seule consolation des Piétons. Oui, mais avant d'être brisé, les roues de ce misérable Phaëton avaient accroché une douzaine d'individus, auxquels elles avaient froissé bras et jambes, ou peut-être fait pis encore. Il y a environ quinze jours que je fus témoin sur les boulevards d'un de ces événements douloureux : une voiture ainsi conduite par la seule impétuosité du cheval qui avait pris le mors aux dents, écrasa devant moi un enfant et une jeune fille, après quoi elle alla se rompre contre une grosse charette.
 
Voilà pourtant des accidents qui arrivent tous les jours ; tous les jours les roues des riches broient quelques piétons ; et cependant telle est l'inertie du Gouvernement, qu'il ne s'occupe pas à arrêter un usage aussi affreux. Louis quinze disait : Si j'étais Lieutenant de Police à Paris, je défendrais les cabriolets... Ah ! je n'ai pas ce pouvoir, car à coup sûr l'abus révoltant que je déplore ici ne subsisterait déjà plus.
 
Et, comment feriez-vous donc pour parvenir à ce but, beau réformateur, va me dire un adonis de nos jours, ou une charmante petite maîtresse qui trouve aussi peu de mal à écraser un homme, qu'à tromper un amant. Est-il possible de réaliser ce que vous proposez ? Ah ! fi donc, sans doute mon charmant petit jeune homme, sans doute beauté à la mode, cela est très-possible ; et voici comment. Ecoutez une fois ; si vous pouvez, le language de la raison.
 
Je commence d'abord par supprimer vos brillants Wiskis : oui, mes beaux Messieurs, je suis sans miséricorde, et je ne regarde que le plaisir que vous trouvez à satisfaire votre fatuité ne doit pas entrer en balance avec la vie et la sureté de vos concitoyens. Je sens à merveille que je suis un monstre (n'est-ce pas mes dames) de vouloir vous interdire des voitures aussi délicieuses ; mais qu'y faire ! Je sais depuis long-temps que l'homme qui fait le bien, doit toujours s'attendre aux sarcasmes, et s'en consoler.
 
Hé ! N'avons-nous pas vu tout récemment encore le Sauveur de cet empire, monsieur Necker, en butte à une cabale puissante, et poursuivi par les propos les plus injurieux ? et pourquoi... parce qu'il s'occupe d'extirper les abus, ce qu'un tas de gens qui y trouvent leur compte n'ont pu lui pardonner cette généreuse résolution, si utile à la Nation et si dommageable pour eux. Ce n'est pas que je veuille me comparer en rien à ce grand homme qui mérite si bien la vénération de tous les bons Français ; mais, en descendant du grand au petit, je dirai que dans toute espèce de réforme, l'homme de bien trouvera toujours beaucoup d'obstacles et de censeurs, par la raison que l'intérêt particulier ne cessera jamais de croiser l'intérêt général... Je reviens à mon sujet, dont je ne regrette pas pourtant de m'être écarté, attendu que cette digression m'a mis à même d'exprimer l'hommage désintéressé de mon coeur. Je reviens, dis-je, à mon sujet, et puisque voilà déjà que mon zèle philantropique vient de supprimer les Wiskis et autres chars de cette espèce ; je vais traiter le chapitre des voitures à quatre roues.
 
Quand à celles-ci, comme dans une aussi grande ville que Paris, elles peuvent être nécessaires aux femmes et aux gens âgés, je veux bien ne pas les interdire, et même je suis assez commode pour ne pas en fixer le nombre... Bien des gens vont sans doute me reprocher d'être trop tolérant ; mais je leur recommande la patience, et qu'ils se donnent la peine de me suivre jusqu'au bout... Or, comme je ne veux plus que les roues d'aucunes voitures soient désormais teintes de sang humain, je statue irrévocablement que les cochers iront toujours à pied et conduiront leurs chevaux par la bride.
 
Ah ! fi donc, monsieur, fi ; vous êtes abominable, vont s'écrier une tourbe de petites maîtresses, il y a de quoi nous faire mourir d'impatience, et de dépit. Eh bien ! leur répondrai-je très tranquillement, mourez, mes dames, il vaut mieux sans doute pour l'ordre public, que vous éprouviez un trépas volontaire qui importe peu à l'Etat, que de vous laisser vous perpétuer dans l'habitude monstueuse d'écraser l'homme utile ou le père de famille qui lui importe tant. Mais je quitte cet entretien, quelqu'intéressant qu'il puisse être, et vais maintenant parler aux personnes sensées qui, j'en suis sûr, applaudiront à mon plan.
 
La seule chose un peu plausible qu'on puisse m'objecter, est qu'on mettra trop de temps en route. Eh bien, on partira une heure plutôt, ou bien au pis aller, on se servira de ses jambes, qui tout naturellement nous ont été données pour marcher.
 
D'ailleurs, combien d'avantages dans le projet que je propose ! d'abord, plus de périls pour les Piétons ; ils pourront aller et venir dans les vastes rues de cette capitale sans courir risque d'être moulus à chaque instant ; et il faut convenir que c'est beaucoup, car il est inconcevable que près d'un million d'hommes soient exposés à ces dangers sans cesse imminents ; parce qu'il entre dans l'arrangement de quelques riches d'aller en voiture : plus de ce tracas bruyant qui trouble le sommeil et dérange les paisibles méditations des gens de lettres ; plus ces gros cochers qui prennent aujourd'hui tant de plaisir à faire claquer leur fouet, et à écraser, ou tout au moins à éclabousser les passants, nous aurons la satisfaction de les voir à pied comme nous ; et sans doute, qu'au bout de quelques années, se trouvant plus rapprochés de leurs habitudes primitives, ils auront perdu ce ton d'arrogance qui leur est aujourd'hui si familier. Qui sait même si la réforme ne passera point jusqu'à leurs maîtres, et si plus près du peuple, ils ne commenceront point enfin à compter l'existence de leurs semblables pour quelque chose, et à traiter avec des manières moins méprisantes.
 
Voilà quel est mon voeu ; je me suis attendu en le mettant au jour qu'il trouverait bien des contradicteurs ; mais que fait la critique à celui qui n'est animé que par des intentions pures ! on me reprochera d'abord de m'être occupé de minuties ; eh, quoi ! Serait-il donc possible que la vie des hommes fût toujours traitée comme une bagatelle, et qu'une matière aussi intéressante ne parût pas digne de mériter l'attention ! serait-il donc possible que dans un pays où l'on inflige les plus grandes peines à ceux qui attentent à la vie d'un lièvre, il pût ne pas m'être permis de m'occuper des moyens d'assurer l'existence de mes semblables ! tout mon sang bouillonne à cette idée, et je ne peux pas m'imaginer que même parmi les gens à voiture il y ait un homme assez mal avisé pour oser soutenir qu'un être quelconque ait impunément le droit d'en écraser un autre. Au reste, je n'attache aucune prétention au plan que je viens de proposer, je me suis contenté de développer quelques idées que mon zèle m'a inspirées ; trop heureux, si elles peuvent être accueillies par l'Assemblée nationale et amener la réforme indispensable que je sollicite.
 
On m'objectera encore la force de l'usage, car depuis long-temps en France, on oppose toujours la routine de l'habitude à la voix pressante de la raison : mais dites moi, partisants déclarés des vielles habitudes et des préjugés, que peuvent toutes ces chimères dont vous ne rougissez pas de vous prévaloir, contre l'ascendant impérieux de l'humanité et de la justice ? De ce que chez vous les abus sont devenus des usages, il s'ensuivra donc qu'on doit toujours respecter les abus ; et l'on ne pourra plus reprendre la route du bon sens, parce que de temps immémorial on s'en sera écarté, comme si les premières notions de l'équité naturelle pouvaient jamais se proscrire, comme si la loi prépondérante n'était pas supérieure à toutes les habitudes et à tous les préjugés possibles ! Ah ! bannissons une erreur funeste, accréditée trop long-temps : de deux choses l'une, ou vos usages sont fondés sur la raison, ou ils y répugnent ; point de milieu ; dans le premier cas il faut les consolider encore, dans le second il faut les supprimer quels qu'ils soient, et décider enfin irrévocablement qu'on ajoutera plus foi aux usages ni aux préjugés, qu'autant qu'ils seront établis sur la base toujours immuable du véritable honneur, de la justice et de l'humanité.
 

 

 

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JE conseille la lecture de ceci : http://ow.ly/moy9Z

The iPhone, while designed by Apple in California, is not “made in the USA.”  Instead, the iPhone’s production exemplifies the complexity of a globally fragmented supply chain.  The iPhone’s components, including the flash memory, the DRAM, and the applications processor, are sourced from various suppliers like Samsung of Korea and AKM Semiconductor of Japan, and the phone itself is assembled by a Taiwanese firm called Foxconn in a plant in Shenzhen, China, before it is exported from China to the rest of the world (“Slicing an Apple,” The Economist, 2011).

Does China have a comparative advantage in iPhones because it exports iPhones?   Official trade statistics demonstrate that China has an unusually sophisticated export basket for its per-capita income level—a basket that includes iPhones, of course (Rodrik 2006, 4).  Anyone who understands the iPhone supply chain, however, can tell you that China has a comparative advantage in theassembly of iPhones.  Just because a country is the final exporter of a good does not mean that it is responsible for the majority of that good’s production.  Global supply chains change our understanding of comparative advantage because we can no longer look at official gross export statistics to see who produces goods for whom.  Because of the global fragmentation of supply chains, we must isolate how much value-added a nation contributes to the production of a good in order to illuminate the true comparative advantage of nations.

 

 

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je n'ai rien lu depuis une eternite.Tout me fait chier.

Ah si j'ai lu le livre de h16.Le seul qui ne me tombe pas des mains et pourtant je l'ai deja lu.Mais bon.

il faut un livre absolument mortel, avec de l'action de l'aventure et du sesque.Gros si possible (le livre, pas le sesque).

Auquel on accroche en moins de 3 pages.

Le sujet m'indiffere tant que ca n'est pas emotionnel, contemplatif, poetique, ou ecrit comme La Route.

J'ai essaye l'Art Francais de la Guerre qui m'emmerde exactement comme du Balzac, pourtant il a l'air super.

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Faut (re)lire SAS.

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Tu es un complotiste comme d'autres membres de ta fratrie que je ne citerai pas, je te conseille donc la lecture de Les Falsificateurs de Antoine Bello. C'est bien écrit.

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Regarde du côté des romans d'anticipation, les anti-modernes, la poésie. (je mise sur mes préférences)

 

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Il parraît que tout lecteur passe par cette mauvaise passe et certains ne s'en remettent plus jamais véritablement à la lecture. D'autres reviennent après une longue pause!  

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Quelque chose qui respecte tous les critères : le quatuor de Los Angeles de James Ellroy. 

Le Dahlia Noir, Le Grand Nulle Part, L.A. Confidential et White Jazz

 

Sinon, rien de tel que du Borges ou du Zweig pour se remettre à la lecture. La biographie de Balzac par Zweig ne devrait pas t'emmerder, promis. Passionnant et style fluide (malgré que le manuscrit ne fusse pas parfaitement achevé lors du suicide de Zweig). 500 pages qui s'avalent en quelques jours à peine. 

 

Sinon, un roman long passionnant, duquel il faut avoir lu 50 pages avant d'accrocher, avec très peu de sesque (une page peut-être sur sept cents)... mais avec de l'action et une vingtaine de destins entrecroisés : La guerre de la fin du monde, de Mario Vargas Llosa. Il a fait vibrer mon instinct antiétatique. 

 

Un roman plus court qui se fond dans la réalité, sur la thématique du ciné muet : Le maître des illusions, de Paul Auster. 

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