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Émeutes Et Insécurité En France


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Je ne comprends pas, qu'est ce que vous n'aimez pas dans le bracelet électronique ?

Rien, et il faut être absolument aveugle pour considérer la prison comme une solution efficace.

certes c'est une punition plus légère que la prison

Ça en est pas loin, surtout si c'est restriction à certains lieux.

Et évidemment ça évite les problèmes habituels des prisons.

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Je ne comprends pas, qu'est ce que vous n'aimez pas dans le bracelet électronique ?

Je n'y vois que des avantages, ça coute moins cher au contribuable et certes c'est une punition plus légère que la prison mais c'est toujours mieux qu'une peine de prison non appliquée.

 

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ou juste un truc qui se resserre autour du cou, pour les pedophiles en liberte c'est pas mal, on met des marqueurs gps autour des garderies et des parcs et quand l'animal s'approche trop, kouik !

mais ca ne vaut pas la population generale d'une prison qui sait etre chaleureuse avec les monstres

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ou juste un truc qui se resserre autour du cou, pour les pedophiles en liberte c'est pas mal, on met des marqueurs gps autour des garderies et des parcs et quand l'animal s'approche trop, kouik !

 

Là c'est pas autour du cou qui faut le mettre.

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Selon une source policière, trois mineurs ont traversé la voie en gare de Saint-Nom-la-Bretèche (Yvelines) en début d’après-midi. Le conducteur d’un train qui attendait le feu vert pour repartir a sermonné les jeunes avant de descendre sur les voies, et une bagarre a alors éclaté. Le chauffeur n’est pas grièvement blessé mais présente des signes de strangulation,

 

dialogue:

 

jeune 1

"wo zyva lui il bouge pa vazy jette lui une pierre Ingmar"

jeune 2

"ho ho zarma attends je vais lui montrer ma teub"

chauffeur

"non mais dites donh!"

jeune 2

"oh sa mere il nous a vu zyva vite vite Benkt on se casse!"

chauffeur

"revenez la, je vais vous apprendre moi"

jeune 1

"vazy nik ta mere!"

chauffeur

"bande de petis garnemargl guhgl guhgl ggl arh gl gl gl"

jeune 2

"vazy relache y devient tout bleu"

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Racisme et libéralisme
 

Après avoir constaté que le site libéral Contrepoints (que nous relayons très souvent ici et dont nous avions interviewé l’un des responsables) avait consacré 4 articles (dont 1 interview de l’auteur) en faveur de la France Orange Mécanique, de Laurent Obertone, et aucun à charge ou équilibré, je leur ai suggéré de m’interviewer afin que je donne à leurs lecteurs un autre son de cloche libéral. Face à leur refus, ne voulant pas croire à une volonté de défendre cet auteur pour le moins suspect, j’ai ensuite décidé de leur soumettre un article le 30 mars 2013, mais il vient d’être refusé de publication ce 6 avril 2013. Voici la raison invoquée : “Nous avons choisi de ne pas publier l’article concerné, orienté selon un angle qui ne nous paraît pas pertinent pour Contrepoints : conjectures sur l’auteur au lieu de qu’y a-t-il dans le livre. Tu noteras qu’un article sur le fond du livre doit justement sortir dans les prochains jours sur Contrepoints, couvrant en particulier la validité (ou l’absence de validité) des chiffres qu’il avance.” Étonnant pour des libéraux de ne pas s’intéresser à l’individu (qui a écrit le livre)… Voici donc l’article en question, afin que chacun puisse se faire sa propre opinion.

Racisme et libéralisme

La théorie

Le libéralisme considère qu’il n’y a que des individus, et que les races n’existent pas : il n’y a qu’une race humaine (ou une espèce humaine). Dès lors comment appréhender ce phénomène qu’on appelle le racisme, et qui consiste à hiérarchiser les races, ou même, selon une acception plus récente, qu’il existerait des races ayant des spécificités (niveaux d’intelligence, niveaux de violence, etc.) ?

La gauche socialiste et communiste a développé depuis une quarantaine d’années le concept d’antiracisme, et lui a donné les caractéristique de la gauche, à savoir le sectarisme, l’idéologie et l’opposition dominant/dominé. Le MRAP, puis SOS-Racisme, entre autres, ont été massivement soutenus et subventionnés par le pouvoir socialo-communiste pour imposer cette unique vision de l’antiracisme, qui revient notamment à faire des procès (d’intention ou de justice) à tous ceux qu’ils considèrent comme racistes.

Depuis que la gauche instrumentalise le combat antiraciste pour des raisons politiques, notamment pour détourner l’attention des questions économiques dans lesquelles elle échoue lamentablement, le racisme ne cesse d’augmenter, en même temps que les libertés fondamentales disparaissent les unes après les autres (dont la liberté d’expression).

L’antiracisme de gauche est donc un échec. Pour autant il ne faut pas jeter l’antiracisme avec l’eau du bain, mais plutôt développer un antiracisme de droite, ou libéral.

Les libéraux sont pour la liberté d’expression, or l’antiracisme de gauche est contre la liberté d’expression, par des lois qui interdisent certaines expressions racistes ou supposées racistes. Un antiracisme de droite ou libéral consisterait à laisser s’exprimer les racistes, afin de pouvoir les identifier, et de pouvoir les condamner moralement, en leur démontrant rationnellement que leur analyse est fausse et dommageable pour le vivre ensemble.

Les libéraux sont pour l’égalité en droit, or l’antiracisme de gauche a placé le racisme anti-blanc en dessous des autres racismes, pour des raisons idéologiques déjà citées. Un antiracisme de droite ou libéral placerait sur le même plan tous les racismes, et donc tous les antiracismes, quels qu’ils soient.

Les libéraux n’ont rien contre l’inégalité de fait, dont ils jugent qu’elle est naturelle et que c’est une des richesses du monde. Pour autant ils considèrent à égalité toutes les discriminations, quelles qu’elles soient, et ne hiérarchisent pas les unes par rapport aux autres selon des critères politiques ou économiques. Or l’antiracisme de gauche hiérarchise les discriminations, le racisme (sauf anti-blanc) étant la pire d’entre elles selon eux, les autres (âge, apparence, richesse, handicap etc.) ne venant que bien après. Un antiracisme de droite ou libéral considèrerait que la discrimination fait partie de la vie, qu’elle ne doit pas être interdite par l’État, mais que la justice et/ou l’opinion publique doivent en tenir compte si l’application d’une discrimination quelle qu’elle soit mène à des conséquences néfastes démontrables factuellement.

La pratique : le cas Obertone

Laurent Obertone a publié La France Orange Mécanique en janvier 2013, et son livre a rapidement été soutenu par l’extrême-droite française antilibérale, du FN à fdesouche en passant par les identitaires, riposte laïque, égalité et réconciliation etc.

Un média de gauche, Médiapart, a affirmé dans une enquête très fouillée que Laurent Obertone était un ancien blogueur d’extrême-droite, raciste, mysogyne et homophobe, et l’auteur de ces lignes a apporté des éléments tendant à accréditer la thèse de Médiapart, sans pouvoir en apporter la preuve définitive.

Laurent Obertone se dit pourtant libéral, ce qui devrait invalider les accusations de racisme envers lui. Pourtant, sa réponse à Médiapart fut de leur intenter un procès en diffamation, dont son avocat, Me Goldnadel, vient de me confirmer que la plainte était déposée chez le doyen des juges d’instruction.

Première faille dans l’image libérale de Laurent Obertone : un libéral peut-il intenter un procès en diffamation à un média ? A priori non : d’une part un libéral est attaché à la liberté d’expression la plus large possible, ce que la loi sur la diffamation conteste (puisqu’elle est à l’appréciation du juge, ce qui mène à de nombreuses dérives liberticides) ; d’autre part la presse est sacrée pour un libéral, et aucun procès ne pourrait lui être intenté.

Deuxième faille dans l’image libérale et antiraciste de Laurent Obertone : le MRAP a fait paraître un dossier très complet sur ce qu’écrivait Laurent Obertone (sous ce nom) sur le site Sur le Ring les années 2010, 2011 et 2012. Le MRAP y indique que l’auteur tenait notamment des propos comme celui-ci : “l’individu ne “s’approprie” rien, il est. La culture est génétique“. Phrase anti-libérale, en fait. L’auteur considère la couleur de peau (le “paraître”) comme une manière de pouvoir connaître l’individu : «J’appartiens à quoi ? À quelle culture et à quels gènes ? Ensuite il y a le niveau, la classe, la communauté, la bande, le lieu, la morale, etc. Mettez ça en ordre (hiérarchisez l’importance des facteurs) et vous aurez l’identité. Donc bien évidemment, selon ses propres critères, on peut déjà avoir une très bonne idée de l’individu, rien qu’en jaugeant son paraître. »

Autre extrait, sur l’apartheid en Afrique du Sud : “le message sera passé : l’union, c’est beau, le vivre-ensemble, il n’y a que ça qui marche. Regardez donc ce pays exemplaire, qui a su triompher des insupportables colons : c’est écrit noir sur blanc dans tout bon manuel d’Histoire : l’apartheid, c’était le IVième Reich, Mandela, c’est Paradise Island. Sur le papier, qui le contesterait ? Dans les faits, le pays s’est enterré dans une corruption à toutes les échelles administratives du pays, du moins ce qu’il en reste. Alors pourquoi c’était mieux après ? Parce que. Après ? Quoi, après ?… L’homme a marché sur la Lune, le progressiste a marché sur Soweto.”

Le dossier du MRAP est assez long, mais ces trois extraits sont très parlants, en ce qu’ils sont revendiqués par Laurent Obertone, et sont pourtant très éloignés, pour ne pas dire opposés, à une vision libérale de la société.

Son livre, La France Orange Mécanique, ne plaît pas à toute l’extrême-droite par hasard : la notion d’ethnie y figure quasiment à chaque page, et permet à l’auteur de faire le lien entre ethnie et criminalité, entre immigration extra-européenne et délinquance. En cela, ce livre pose problème aux libéraux sincères, qui sont des antiracistes sincères.

Au vu des enquêtes qui ont été menées, des doutes importants pèsent sur le passé d’écrivain de Laurent Obertone. Qu’il refuse désormais de répondre aux questions des médias non-amis ne peut qu’aggraver ce doute. Mais que Laurent Obertone soit cet ancien blogueur d’extrême-droite dont parle Médiapart ou non, ses seuls écrits revendiqués sous sa plume suffisent aux antiracistes sincères, de droite ou de gauche, de conclure que ce genre de littérature est contre-productif pour dénoncer un laxisme évident de la justice et du pouvoir socialiste (PS ou UMP) qui règne depuis plus de 30 ans dans ce pays.

Il ne s’agit pas de faire un procès d’intention ou de justice à Laurent Obertone, dont la liberté d’expression est sacrée, il s’agit de ne pas accréditer des thèses dangereuses et qui au final servent l’ennemi, à savoir la gauche, qui préfère avoir en face d’elle des racistes que des antiracistes.

Jean Robin, responsable du site Enquête & Débat et de la maison d’éditions Tatamis.

Addendum : je découvre en publiant cet article un autre article écrit pas un libéral expliquant qu’il est tout à fait possible d’être raciste et libéral. Ce n’est pas ma conception du libéralisme, en tout cas. Quant à ceux qui veulent creuser cette question, je les renvoie à l’ouvrage “Racisme, libéralisme et les limites du tolérable” qui illustre cet article.

 

http://www.enquete-debat.fr/archives/racisme-et-liberalisme-38041

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ou juste un truc qui se resserre autour du cou, pour les pedophiles en liberte c'est pas mal, on met des marqueurs gps autour des garderies et des parcs et quand l'animal s'approche trop, kouik !

 

Petit joueur. 

 

cisaille-de-jardin.jpg

 

 

 

 

 

Le problème avec Robin c'est que non seulement il est laborieux à lire, mais en plus on a pas franchement l'impression d'avoir bien investi le temps passé.

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Le problème avec Robin c'est que non seulement il est laborieux à lire, mais en plus on a pas franchement l'impression d'avoir bien investi le temps passé.

 

Sauf à être une groupie en pleine puberté. Mais je ne sais pas si ça existe une groupie de Jean Robin.

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Citation

Selon une source policière, trois mineurs ont traversé la voie en gare de Saint-Nom-la-Bretèche (Yvelines) en début d’après-midi. Le conducteur d’un train qui attendait le feu vert pour repartir a sermonné les jeunes avant de descendre sur les voies, et une bagarre a alors éclaté. Le chauffeur n’est pas grièvement blessé mais présente des signes de strangulation,

 

Ouais, Saint Nom la Brétèche, c'est trop la té-ci comme ville. La preuve, c'est que la problématique de la sécurité les intéresse. 60% pour Sarkozy aux présidentielles. Au 1er tour.

Honnêtement, je suis même pas sûr qu'il y aie des "jeunes", au sens de ce topic, dans ce coin des Yvelines ; des gamins de bonne famille qui se font une soirée quand les parents sont pas là, c'est presque plus probable  :maiden: .

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Oh oui, et ils jouent à se faire peur en se prenant pour de vraies racailles, en s'habillant et en parlant pareil. Ils leur arrivent même parfois de passer près de Trappes.

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Tu confondrais pas avec les Essonnes toi ? Les yvelines, c'est la ligne C.

 

Je suis à Carrières sur Seine, 78420, et je prends bien le RER A. (branches Cergy-Poissy)

 

Plus au sud il y a la branche de Saint-Germain-en-Laye.

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Oui, y a des zones qui craignent un peu dans les Yvelines. Mais Saint-Nom-la-Bréteche, ça fait partie des endroits où je laisserais ma caisse dans un parking une semaine ou deux sans trop craindre. Bon, après, y a peut-être une zone près de la gare, mais je l'ai jamais vue.

 

Le RER C, ça alimente surtout le sud des Yvelines (axe Versailles - Rambouillet), avec Saint-Quentin, Trappes, Maurepas, où on peut trouver des zones plus agitées - enfin, rien qui n'empêche de prendre le RER à 1h30 du matin.

 

 

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