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Nouvelles du monde sans intérêt


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Alain Soral sort un livre de dialogue avec Éric Naulleau. "Dialogue désaccordés" ça s'appelle.

 

La montée en puissance de Soral et le fait que des "intellectuels" acceptent d'écrire des bouquins avec ce genre d'individus m'effraie quant à la perspective d'une France après-crise qui ne serait pas libérale, mais HLPSDNH.

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La montée en puissance de Soral et le fait que des "intellectuels" acceptent d'écrire des bouquins avec ce genre d'individus m'effraie quant à la perspective d'une France après-crise qui ne serait pas libérale, mais HLPSDNH.

J'ai lu une recension de ce livre, il apparaît qu'il s'agit d'un bouquin écrit par deux has-been sans intérêt, l'un persona non grata à la TV car tout a déjà été dit sur ses obsessions, l'autre parce que sans Zemmour il n'est rien.

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Ils doivent tous pomper leurs idées de merde chez des conseillers issus de la même boite de com'/de la même école supérieure.

 

 

 

J'ai lu une recension de ce livre, il apparaît qu'il s'agit d'un bouquin écrit par deux has-been sans intérêt, l'un persona non grata à la TV car tout a déjà été dit sur ses obsessions, l'autre parce que sans Zemmour il n'est rien.

Pas faux.

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"Il doit bien y avoir quelques leaders à la CGT qui ont un cerveau, il faudrait attraper ces deux types et les envoyer à la légion étrangère en Afrique", a poursuivi l'Américain, coutumier des tirades contre les syndicats.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gn5Bb9iKJaPYuvkV0WoEaFZrxZSw?docId=f773ccd6-a890-465a-98f3-8b90f0e51864

Maurice Taylor :icon_ptdr:

Un troll de génie doté d'une sensibilité politique, cool. Il faudrait s'assurer qu'il reçoive des infos fraîches de la situation française et qu'il continue de troller Montebourg.
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Il fallait quand même signaler ça : un jacques chirac qui explique qu'il aime Madonna, la gymnastique et la belote en sweat et walkman. Difficile à battre quand même. Enfin si, il y a aussi Laurent Fabius en moto et perfecto lors de la campagne anti tue, mais figurez-vous que c'est impossible de la retrouver sur internet. D'ailleurs, si quelqu'un peu l'avoir, qu'il la poste !

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Il fallait quand même signaler ça : un jacques chirac qui explique qu'il aime Madonna, la gymnastique et la belote en sweat et walkman. Difficile à battre quand même. Enfin si, il y a aussi Laurent Fabius en moto et perfecto lors de la campagne anti tue, mais figurez-vous que c'est impossible de la retrouver sur internet. D'ailleurs, si quelqu'un peu l'avoir, qu'il la poste !

 

Il avait sorti un bouquin totalement mytho sur sa vie de biker dans le vent. Il n'apparaissait pas en perfecto, mais le mythe est encore au-dessous de la réalité. Après peut-être qu'il a enfourché à nouveau sa moto de location pendant la campagne purement opportuniste du non au TCE, où il s'était fait copieusement siffler à la fête de l'huma.

 

583756fabiusmoto.jpg

 

 

La moto de Fabius

Cela commence par une balade. Au cas où "cela" vous aurait échappé, c'est le

titre du dernier livre de Laurent Fabius. Pas le Fabius d'avant, un peu

arrogant, un peu raide, un peu Juppé de gauche. Non, le Fabius de

maintenant, souriant, décontracté, que les épreuves et les défaites ont

humanisé, il n'est jamais trop tard pour changer. Ni pour dire qu'on a

changé quand se profile au bout de la route une échéance présidentielle.

Cela commence donc par une balade. Et pas n'importe quelle balade. Sa façon

à lui de regarder la France au fond des yeux, c'est sur deux roues, en moto.

On l'imagine traçant le bitume de l'Ariège, sa nouvelle terre de cour, non

pas cheveux au vent, car il porte le casque et se dit chauve depuis l'âge de

dix-huit ans, mais dans le vrombissement de son bolide. Sans costume gris ni

protocole.

On y croit. On est en selle. Cela commence par une balade, le livre, s'ouvre

ainsi : "Un jour, j'écrirai un éloge de la moto."Et plus loin : "J'enfourche

ma 125 cm3". Attention : bien lire "ma", le possessif, l'attribut personnel

dans la panoplie du futur candidat métamorphosé en sympathique M.

Tout-le-Monde et motard en sus. Laurent Fabius, comme Marlon Brando dans

L'Equipée sauvage, circule en moto, faites passer.

Pas bête, l'idée de la moto. On est plus près des autres, du paysage comme

du peuple, sans l'écran de vitres fumées qui cerne les grosses berlines.

C'est bien connu, à l'intérieur d'une voiture, même en respectant les

limitations de vitesse, on ne voit rien.

En avant pour la balade. "J'enfourche ma 125 cm3, ce qu'on appelle dans le

jargon un custom." Alors là, on y est vraiment. On y croit encore plus. On

s'accroche. Pas trop vite, Laurent ! Mais il nous rassure : "C'est une moto

à quatre temps, confortable quoique peu puissante. Pas vraiment "pêchue",

diraient les spécialistes." Il a l'air de bien l'aimer, son "custom".

Et pour que tout cela sonne juste, Laurent Fabius apparaît au dos de son

livre publié chez Plon sur "sa" moto dont il se promet de faire un jour

l'éloge. En chemise bleue au col ouvert, casque chromé au bout des doigts,

allure d'homme paisible sous une douce lumière qui fleure bon l'été, la

campagne, les vacances.

Mais patatras ! Recevant dernièrement une envoyée spéciale de Paris Match

dans son bel Ariège, voilà qu'au détour d'une phrase Laurent Fabius casse

son jouet. La fameuse moto, celle qui lui a permis de sillonner la région

l'été dernier ? "Je n'en ai pas, j'en avais loué une."

Reprenons. Cela commence par une balade. Sur une moto de location. Pour

faire genre. Et sur la photo complaisamment publiée, ce n'est pas "ma 125

cm3", mais un engin loué pour les besoins de la cause. Cause publicitaire,

cause de com, cause électorale, cause perdue, à chacun d'y voir la cause

qu'il veut.

"Mais je ne m'interdis pas d'en faire l'acquisition", a susurré Fabius, un

peu comme ces promesses qu'on songe à honorer un jour si d'aventure...

Et soudain nous assaille un doute terrible. Mais alors, tous ces effets

d'image, cette allure cool, ce changement autoproclamé, avec témoignages de

proches à l'appui pour attester qu'en effet Fabius n'est plus le même, ces

regards chaleureux, c'est aussi de la location.

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C'est officiel, l'intelligentsia française a avoué : qualifier quelqu'un d'arabe relève de l'insulte. http://lelab.europe1.fr/t/patrick-mennucci-qualifie-samia-ghali-d-arabe-puis-regrette-une-connerie-11574

 

Au moins maintenant c'est clair.

 

Mais petalol, tout ça pour une (pour une fois assez bonne) vanne d'un PS !

 

Et ce con qui s'excuse !

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