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C'est d'ailleurs aussi le cas aujourd'hui chez nous, il me semble.

 

 

ah non non! chez nous, la femme opprimée mange de la salade pendant que l'homme se goinfre de petits écoliers, et veut meme pas lui passer le paquet.

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Mes doutes sur cette théorie partent d'un point très simple :

 

Comment ses promoteurs ont-ils déterminés le régime alimentaire des hommes et des femmes ayant vécu il y a 750 000 ans? 

 

J'ai bien peur que cette détermination soit un postulat. 

 

De même, une femme sous-alimentée ne voit pas son génome transformé ; tout au plus, l'environnement dégradé va sélectionner les plus aptes à survivre. 

 

Mais la plus petite taille des femmes s'observe sur de nombreux continents, dans de nombreux peuples. Les mêmes tabous, les mêmes normes sociales s'appliqueraient en tout lieu et en tout temps et expliqueraient en conséquence la plus petite taille des femmes?

Pourquoi, dans les sociétés matriarcales, le dimorphisme sexuel n'est-il pas inversé?
Pourquoi, chez les primates, constate-t-on le même dimorphisme sexuel que chez les humains? Les primates sont-ils soumis aux mêmes tabous et normes sociales que les humains?

 

D'après le documentaire en question, cette "discrimination alimentaire" perdurerait encore aujourd'hui, avec un ordre social "systématique", une "inégalité imposée", "une domination qu'on ne remarque pas tellement elle va de soi". Autrement dit, partout dans le monde, on impose aux femmes de manger de la salade, et aux hommes des pizzas.

 

Bref : bullshit. Comme les autres conneries sur les numéros de sécu, le mobilier urbain hostile aux femmes, ou la grammaire comme déterminant de la culture du viol. Bull-fucking-shit.

 

Le féminisme devrait se résumer à deux choses :

 

- un égal accès aux responsabilités, avec une même rémunération, dès lors que les situations sont identiques (NB : autrement dit, toutes choses égales par ailleurs). 

- une répartition intelligente des tâches ménagères dans un couple, bref, gueuler sur son compagnon si c'est un odieux flemmard. 

 

Une fois ces deux objectifs atteints, elles devraient disparaître en laissant tranquille la grammaire, le mobilier urbain et les numéros de sécu.

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- un égal accès aux responsabilités, avec une même rémunération, dès lors que les situations sont identiques (NB : autrement dit, toutes choses égales par ailleurs). 

- une répartition intelligente des tâches ménagères dans un couple, bref, gueuler sur son compagnon si c'est un odieux flemmard. 

 

 

pas besoin de faiminisseumeuh pour ça, l'utilisation normale d'un cerveau suffit

 

comme dirait JIM16 "si tu es un homme et que tu ne fais pas la vaisselle, pas le ménage, pas la bouffe et que tu aides pas ta femme à s'occuper des enfants, t'es pas un homme, t'es juste une petit crotte"

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@ NoName :

 

Ah mais ça, je suis totalement d'accord. Le féminisme ne sert pas à grand-chose, conceptuellement. Tout comme la plupart de leurs actions, concrètement. Partant de principes creux, de postulats faux, elles accomplissent des actions non-pertinentes qui aboutissent ou aboutiront à des échecs éclatants.

 

Les seules actions ayant un effet notable sont justement celles où le féminisme tel qu'on le connaît est superflu.

 

 

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Pas besoin du féminisme pour rappeler ce fait.

 

Le féminisme de grand-maman, c'était l'application du libéralisme aux femmes : elles sont des individus libres pouvant disposer de leurs biens et de leur vie.

Le féminisme actuel, c'est du déterminisme, du déterminisme et du déterminisme.

Le même mot renvoie à deux approches totalement différentes.

Je confirme : le féminisme ne sert à rien. L'application du libéralisme aux femmes suffit à les émanciper ; les divertissements déterministes actuels sont du bruit, de la fureur et des larmes, aucune émancipation véritable ne saurait en découler.

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[...]

 

Le féminisme devrait se résumer à deux choses :

 

Point 1- un égal accès aux responsabilités, avec une même rémunération, dès lors que les situations sont identiques (NB : autrement dit, toutes choses égales par ailleurs). 

Point 2 - une répartition intelligente des tâches ménagères dans un couple, bref, gueuler sur son compagnon si c'est un odieux flemmard. 

 

Une fois ces deux objectifs atteints, elles devraient disparaître en laissant tranquille la grammaire, le mobilier urbain et les numéros de sécu.

 

Pour le point 1, sur l'égal accès aux responsabilités ça me fait penser aux études (j'ai pas de sources sous la main) où il est avancé que les hommes ou femmes moches ont de moins bons salaires que ceux jugés beaux et idem pour les gros/grosses versus les minces. Bref, égalité de droit et après tout le monde se démerde. Vouloir rectifier tous les comportements et choix qui découlent de (mauvaise) socialisation ou (mauvaise) éducation, c'est la porte d'entrée vers le totalitarisme.

 

Pour le point 2, chacun fait comme il veut chez lui, il n'y a pas de gène du repassage ou de faire la vaisselle, c'est de l'organisation et de la répartition de tâches. Ceux qui ne veulent pas y toucher (hommes ou femmes) se débrouillent à trouver quelqu'un qui sera ok pour tout faire et tout va bien.

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à tort, voir plus haut: le succès reproductif du groupe dépend surtout de la survie à long terme de ses femmes, beaucoup moins de celle des hommes. Ce serait une raison de l'affinité sélective des hommes pour les activités plus risquées (cause de leur moindre espérance de vie). De mémoire, chez pas mal de peuples primitifs par exemple une femme enceinte est prioritaire sur tout le monde en terme de nourriture, on lui réserve le top du top. C'est d'ailleurs aussi le cas aujourd'hui chez nous, il me semble.

 

J'essayerais de retrouver mes cours (ou de lire des bouquins sur le sujet), cela m'intrigue.

J'ai l'impression que les ethnologues et les anthropologues expliquent que de manière générale les femmes sont moins bien nourries que les hommes. Je n'ai rien trouvé sur le cas particulier des grossesses, mais le fait que les femmes sont plus souvent touchées par la sous/mal-nutrition doit aller de pair avec leurs besoins spécifiques.

En tout cas, le fait que les femmes sont plus affectées que les hommes par les changements climatiques / environnementaux revient assez régulièrement. J'imagine donc qu'il doit exister des explications scientifiques derrière...

 

Mes doutes sur cette théorie partent d'un point très simple :

 

1/ Comment ses promoteurs ont-ils déterminés le régime alimentaire des hommes et des femmes ayant vécu il y a 750 000 ans? 

 

J'ai bien peur que cette détermination soit un postulat. 

 

De même, une femme sous-alimentée ne voit pas son génome transformé ; tout au plus, l'environnement dégradé va sélectionner les plus aptes à survivre. 

 

2/ Mais la plus petite taille des femmes s'observe sur de nombreux continents, dans de nombreux peuples. Les mêmes tabous, les mêmes normes sociales s'appliqueraient en tout lieu et en tout temps et expliqueraient en conséquence la plus petite taille des femmes?

Pourquoi, dans les sociétés matriarcales, le dimorphisme sexuel n'est-il pas inversé?

Pourquoi, chez les primates, constate-t-on le même dimorphisme sexuel que chez les humains? Les primates sont-ils soumis aux mêmes tabous et normes sociales que les humains?

 

D'après le documentaire en question, cette "discrimination alimentaire" perdurerait encore aujourd'hui, avec un ordre social "systématique", une "inégalité imposée", "une domination qu'on ne remarque pas tellement elle va de soi". Autrement dit, partout dans le monde, on impose aux femmes de manger de la salade, et aux hommes des pizzas.

 

1/ Grâce aux paléontologues, aux archéologues, aux archéozoologues, etc... : http://www.universcience.tv/video-les-comportements-alimentaires-des-hommes-prehistoriques-1305.html

 

2/ Si j'ai bien compris, il n'y a pas seulement un dimorphisme d'ordre génétique mais il existe également des facteurs sociaux, culturels, environnementaux, etc... Par exemple, si on imagine que génétiquement la taille des femmes est en moyenne inférieure de 5% à celle des hommes, les facteurs extérieurs peuvent amplifier cette différence.

Par ailleurs, si on considère le dimorphisme sexuel chez les singes, celui-ci varie en fonction de l'organisation hiérarchique ou sociale des groupes, leur sexualité, etc... Chez certaines espèces monogames, la stature des mâles et des femelles est similaire, contrairement aux espèces polygames. En ce qui concerne la nourriture, chez certains groupes de chimpanzés (qui sont des chasseurs avec des outils, comme nous), les mâles dominants s'approprient les proies que les femelles ont capturées. Mais j'ai appris que ce n'était pas le cas dans tous les groupes où l'organisation hiérarchique est moins forte : à voir si cela a des conséquences notables sur le dimorphisme sexuel des chimpanzés.

Et sur le fait qu'il existe encore aujourd'hui des inégalités pour l'accès à la nourriture, je renvoie à ma réponse à Jesrad : c'est ce que constatent des ethnologues.

 

@ NoName :

 

Ah mais ça, je suis totalement d'accord. Le féminisme ne sert pas à grand-chose, conceptuellement. Tout comme la plupart de leurs actions, concrètement. Partant de principes creux, de postulats faux, elles accomplissent des actions non-pertinentes qui aboutissent ou aboutiront à des échecs éclatants.

 

Les seules actions ayant un effet notable sont justement celles où le féminisme tel qu'on le connaît est superflu.

 

Je ne suis pas d'accord, mais j'imagine que tu ne perçois que les actions médiatiques des féministes et non les actions quotidiennes.

 

Pas besoin du féminisme pour rappeler ce fait.

 

Le féminisme de grand-maman, c'était l'application du libéralisme aux femmes : elles sont des individus libres pouvant disposer de leurs biens et de leur vie.

Le féminisme actuel, c'est du déterminisme, du déterminisme et du déterminisme.

Le même mot renvoie à deux approches totalement différentes.

Je confirme : le féminisme ne sert à rien. L'application du libéralisme aux femmes suffit à les émanciper ; les divertissements déterministes actuels sont du bruit, de la fureur et des larmes, aucune émancipation véritable ne saurait en découler.

 

Encore une fois, je ne suis pas d'accord. Je vais me répéter, tu es nouveau alors ça me donne une bonne excuse.

Le droit et l'organisation de la société ce n'est pas la même chose (c'est l'erreur des constructivistes qui pensent qu'il suffit d'orienter le droit pour modeler la société). Le libéralisme est là pour défendre l'égalité en droits, le Droit Naturel, combattre l'arbitraire et l'autoritarisme, etc... blablabla, on connait tous le refrain. Par contre, pour le reste (qui ne regarde plus l'État), le libéralisme n'a pas vocation à apporter une réponse. C'est là qu'intervient la société civile à travers la lutte contre l'homophobie, le racisme, le sexisme, etc...

Pour caricaturer, au lendemain de l'abolition de la ségrégation raciale aux USA, le racisme n'a pas disparu comme par magie. Une société qui a réussi à cristalliser son racisme jusque dans le droit, est marquée profondément pas ces mécaniques et ces réflexions racistes. C'est pareil pour le sexisme / le patriarcat.

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Ce n'est pas très intuitif d'imaginer une pression de sélection conduisant à des femelles chétives conduites par les mâles de l'espèce.

Il faudrait que les femelles chétives et soumises se reproduisent plus, or si je ne m'abuse la pression de sélection est plutôt sur les mâles. (Toutes les femelles se font engrosser mais pas par tous les mâles, où je me trompe ? Dans la hiérarchie sociale il y aussi des femelles interdites de reproduction ? )

 

Ce qui me semblerait une hypothèse de travail plus raisonnable, c'est que la pression de sélection agisse sur les mâles, où les plus grands et forts se reproduisent et pas les autres. La pression de sélection ne s'exerce que sur le chromosome Y ou sur ce qui est en interaction avec Y, mais ça revient au même.

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comme dirait JIM16 "si tu es un homme et que tu ne fais pas la vaisselle, pas le ménage, pas la bouffe et que tu aides pas ta femme à s'occuper des enfants, t'es pas un homme, t'es juste une petit crotte"

Non je ne fais pas la vaisselle, non je ne fais pas le ménage, non je ne fais pas la bouffe, non je ne m'occupe pas des enfants (dans le sens ou ce n'est pas moi qui les habille, qui les torche, qui leur lasse leur godasse, qui les amène à l'école, ...) mais je m'occupe quand même d'eux.

Remarquer ma femme ne fait pas non plus la vaisselle, elle ne fait pas non plus la bouffe, encore moins le ménage, par contre elle s'occupe des gosses du lever au coucher bien plus que moi et parfois même la nuit, et pour tout ce que nous ne faisons pas je paye des gens pour le faire.

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 En ce qui concerne la nourriture, chez certains groupes de chimpanzés (qui sont des chasseurs avec des outils, comme nous), les mâles dominants s'approprient les proies que les femelles ont capturées

 

 

l'etre humain est un million de fois plus intelligent que le chimp, je suis pas sur qu'on puisse se comparer...

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Non je ne fais pas la vaisselle, non je ne fais pas le ménage, non je ne fais pas la bouffe, non je ne m'occupe pas des enfants (dans le sens ou ce n'est pas moi qui les habille, qui les torche, qui leur lasse leur godasse, qui les amène à l'école, ...) mais je m'occupe quand même d'eux.

Remarquer ma femme ne fait pas non plus la vaisselle, elle ne fait pas non plus la bouffe, encore moins le ménage, par contre elle s'occupe des gosses du lever au coucher bien plus que moi et parfois même la nuit, et pour tout ce que nous ne faisons pas je paye des gens pour le faire.

 

c'est pas grave on t'aime bien quand meme

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Les lionnes sont plus petites que les lions et ce sont elles qui chassent.

Parce que seuls les les mâles dominants se reproduisent chez les lions, les femelles ont juste besoin d'être plus forte que leurs proies alors que les mâles ont besoin d'être plus forts que touts les autres lions, ça met donc une plus grosse pression sur les lions.

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Non je ne fais pas la vaisselle, non je ne fais pas le ménage, non je ne fais pas la bouffe, non je ne m'occupe pas des enfants (dans le sens ou ce n'est pas moi qui les habille, qui les torche, qui leur lasse leur godasse, qui les amène à l'école, ...) mais je m'occupe quand même d'eux.

Remarquer ma femme ne fait pas non plus la vaisselle, elle ne fait pas non plus la bouffe, encore moins le ménage, par contre elle s'occupe des gosses du lever au coucher bien plus que moi et parfois même la nuit, et pour tout ce que nous ne faisons pas je paye des gens pour le faire.

Bien la thune?

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Non je ne fais pas la vaisselle, non je ne fais pas le ménage, non je ne fais pas la bouffe, non je ne m'occupe pas des enfants (dans le sens ou ce n'est pas moi qui les habille, qui les torche, qui leur lasse leur godasse, qui les amène à l'école, ...) mais je m'occupe quand même d'eux.

Remarquer ma femme ne fait pas non plus la vaisselle, elle ne fait pas non plus la bouffe, encore moins le ménage, par contre elle s'occupe des gosses du lever au coucher bien plus que moi et parfois même la nuit, et pour tout ce que nous ne faisons pas je paye des gens pour le faire.

 

La vie de rêve.

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Non je ne fais pas la vaisselle, non je ne fais pas le ménage, non je ne fais pas la bouffe, non je ne m'occupe pas des enfants (dans le sens ou ce n'est pas moi qui les habille, qui les torche, qui leur lasse leur godasse, qui les amène à l'école, ...) mais je m'occupe quand même d'eux.

Remarquer ma femme ne fait pas non plus la vaisselle, elle ne fait pas non plus la bouffe, encore moins le ménage, par contre elle s'occupe des gosses du lever au coucher bien plus que moi et parfois même la nuit, et pour tout ce que nous ne faisons pas je paye des gens pour le faire.

 

Tu signes des autographes ?

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fuuuuuu, c'est quoi cette manie de se servir des anthropologues pour un oui ou pour un non.

 

Stop à l'argument d'autorité.

C'est comme ça que ça marche, quand on se fait coincer sur une discipline on en invoque une autre jusqu'à ce qu'on en trouve une pour laquelle aucune personne suffisamment qualifiée n'est présente pour relever le bullshit. Et du coup ça devient un débat d'opinion. Magique. Ou encore pire, il y a un spécialiste présent mais c'est un INTP, et comme il ne va pas pouvoir s'empêcher d'enculer les mouches ("non les programmes d'économie ne sont pas orientés" etc.) il suffit de le laisser faire et de s'abriter derrière lui.
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