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Passage média Sabine sur France 5 le 1 février.


jmserigny

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Sabine Herold, Présidente d’Alternative Libérale, sera invitée dans l’émission « Ripostes » de Serge Moati.

Retrouvez-la en direct dimanche 1er février, à 17h40, sur France 5.

Elle défendra les couleurs libérales dans un débat qui promet d’être vif,

face à Olivier Besancenot, François Chérèque, Frédéric Lefebvre et Manuel Valls !

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Sabine Herold, Présidente d’Alternative Libérale, sera invitée dans l’émission « Ripostes » de Serge Moati.

Retrouvez-la en direct dimanche 1er février, à 17h40, sur France 5.

Elle défendra les couleurs libérales dans un débat qui promet d’être vif,

face à Olivier Besancenot, François Chérèque, Frédéric Lefebvre et Manuel Valls !

… Et surtout face à cette pourriture de Serge Moati qui règle déjà les caméras, la disposition des invités, et le timing de l'émission, pour la désavantager…

Quitte à passer sur France 5, cela aurait été plus facile pour Sabine Herold de le faire chez FOG.

Car son pire ennemi sur le plateau de riposte sera le gros Serge rosi.

Mais je serai devant mon écran pour supporter cette résistante, agiter les fanions, et abuser du porte-voix :icon_up: !!!

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Je vois déjà le spectacle éprouvant que ça va être, Besancenot est malin comme un singe il va verser dans le speech habituel des vilains capitalistes qui tuent des enfants et sauvent des banquiers richissimes.

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Je vois déjà le spectacle éprouvant que ça va être, Besancenot est malin comme un singe il va verser dans le speech habituel des vilains capitalistes qui tuent des enfants et sauvent des banquiers richissimes.

il pourrait aussi proposer un match de boxe a Sabine qui aurait toutes ses chances.

je predis que ses reponses les plus eclatantes seront coupees au montage.En fait il faudrait savoir ou a lieu le montage pour y aller avec une camera cachee, je suis sur que ce serait pas beau a voir.

Personne connait des technicosses chez F5 ?

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Ouch. 3 gauchistes et 1 gauchiste refoulé.

Faut pas pousser… Chérèque est un socialo, mais c'est sans doute le plus responsable des syndicalistes dans ce pays gangrené par les représentations anarcho-syndicalistes particulièrement en vogue actuellement. Lefebvre c'est un idiot de droite, l'archétype du sarkozyste fanatique qui n'a rien à dire? Enfin Valls je pense qu'il y a du bon chez lui, simplement il n'a pas les couilles de dire définitivement merde au PS.

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je predis que ses reponses les plus eclatantes seront coupees au montage.En fait il faudrait savoir ou a lieu le montage pour y aller avec une camera cachee, je suis sur que ce serait pas beau a voir.

Personne connait des technicosses chez F5 ?

C'est pas du direct ?

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Moati est un bouffon, sorte d'intro théâtrale grotesque et mégalo.

Vous remarquerez que Moati a introduit tout le monde sauf Sabine… Puis, pour la énième fois on a le droit à un portrait du facteur, un face à face avec le trotskiste…

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Quel débat relou… Déjà la disposition en 3 vs 2 est scandaleuse (avec le bon raccourci : libéralisme = UMP = côte à côte face à la gauche), le porte-parole insipide de l'UMP blablate des discours affreusement vides de chez vides, et la gauche rabache que, quand même, il y avait du monde dans la rue le 29. Super. Je me demande pourquoi j'ai réessayé de m'intéresser aux débats télé.

Rien à redire sur Sabine, éloquente, claire, vraie ; mais qui n'apparait jamais à l'écran et n'a pour l'instant parlé que deux fois (probablement trois fois en tout d'ici la fin de l'émission, si on a de la chance). Ma mère regarde avec moi, elle ne l'avait même pas remarquée…

C'est fatiguant. Cela-dit j'enregistre le débat, je l'uploaderai probablement pour ceux qui vondront le voir malgré tout (si j'ai le temps).

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Un débat minable, chacun de ces politiciens professionnels a essayé de tirer vers soi la couverture de la compréhension de ces malheureux manifestants qui souffrent tant, et du pays qui s'inquiète tellement (y compris Lefebvre, méconnaissable, tant il s'est vautré dans la compassion et le "compréhensionnisme" de cette pauvre France qui a besoin de plus d'Etat), chacun arguant être le plus concret et le plus proche de la réalité (mention spéciale à Chérèque qui n'a cessé d'aligner des phrases creuses tout en prétendant être concret).

Sabine Herold a promené ses beaux yeux tristes sur ces débatteurs professionnels, avec une sorte de distance résignée… tant le débat était au ras des pâquerettes (chacun allant vers le plus d'Etat)…

On a bien voulu lui donner la parole à deux reprises, cela a dû être un sacré effort pour Moati, mais personne ne lui a répondu lorsqu'elle a évoqué la dette de notre pays.

Enfin, si, Besancenot lui a répondu, uniquement par la moquerie et le mépris : hop, quelques amalgames, de l'anti-libéralisme/capitalisme/patrons/etc. en quelques phrases, le tout sous la bénédiction de Moati bien sûr.

Pourtant elle est parvenue à balancer quelques bons arguments. Dès lors, le reste des participants a fait bloc : "allez les gars, on a tous intérêt à l'ignorer celle-là, elle va pas nous casser notre coup !"

A la toute fin de l'émission, elle a encore réussi à glisser un dernier souhait (que l'Etat se cantonne à intervenir sur ses vraies missions), mais globalement elle est apparue en marge du débat (assise en bord de table, peu interrogée, jamais écoutée)… Sans doute n'est-elle pas assez pourrie et rôdée au cynisme à l'inverse de ces messieurs qui se sont gargarisés entre eux, dans un belle symphonie démagogique orchestrée par la pourriture incarnée, Monsieur Moati soi-même, l'homme qui aime tellement bouger les bras et capter sa caméra (et accessoirement jouer au grand juge de la vérité de gauche).

Bêrk. Et tout cela sur le service public…

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Un débat minable, chacun de ces politiciens professionnels a essayé de tirer vers soi la couverture de la compréhension de ces malheureux manifestants qui souffrent tant, et du pays qui s'inquiète tellement (y compris Lefebvre, méconnaissable, tant il s'est vautré dans la compassion et le "compréhensionnisme" de cette pauvre France qui a besoin de plus d'Etat), chacun arguant être le plus concret et le plus proche de la réalité (mention spéciale à Chérèque qui n'a cessé d'aligner des phrases creuses tout en prétendant être concret).

Sabine Herold a promené ses beaux yeux tristes sur ces débatteurs professionnels, avec une sorte de distance résignée… tant le débat était au ras des pâquerettes (chacun allant vers le plus d'Etat)…

On a bien voulu lui donner la parole à deux reprises, cela a dû être un sacré effort pour Moati, mais personne ne lui a répondu lorsqu'elle a évoqué la dette de notre pays.

Enfin, si, Besancenot lui a répondu, uniquement par la moquerie et le mépris : hop, quelques amalgames, de l'anti-libéralisme/capitalisme/patrons/etc. en quelques phrases, le tout sous la bénédiction de Moati bien sûr.

Pourtant elle est parvenue à balancer quelques bons arguments. Dès lors, le reste des participants a fait bloc : "allez les gars, on a tous intérêt à l'ignorer celle-là, elle va pas nous casser notre coup !"

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Ce qui est drôle c'est que la présence de Sabine a crée une certaine cohésion. LCR-UMP c'est pas commun !

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Ce qui est drôle c'est que la présence de Sabine a crée une certaine cohésion. LCR-UMP c'est pas commun !

Oui j'ai aussi ressenti cette impression.

Si vraiment l'animateur du débat avait été impartial, il aurait dû égaliser les temps de parole entre, d'une part, Sabine, et d'autre part, la "bande des quatre" (je sais d'où vient cette expression mais, désolé, elle s'applique en l'occurrence) qui a débattu sur des détails, mais a fait preuve d'une cohésion absolue sur le fond. Une sorte de diversion organisée. D'ailleurs Sabine l'a dit elle-même, évoquant l'image d'une sitcom (les débats et plans de relance) pour détourner l'attention des Français du risque de faillite de leur pays.

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Effectivement.

Un des moments forts sinon c'est quand Sabine a dit "une journée de grève coûte environ 400 millions d'€ au pays", c'était génial ça a plombé l'ambiance d'un coup pour des types qui se posent comme les défenseurs du pouvoir d'achat des français. Même Moati lui a fait reprendre le chiffre tellement celui-ci a fait son effet.

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C'est pas du direct ?

ah pardon, ignorez mon golisme.

quelle tristesse apparemment.

tirer vers soi la couverture de la compréhension de ces malheureux manifestants qui souffrent tant, et du pays qui s'inquiète tellement (y compris Lefebvre, méconnaissable, tant il s'est vautré dans la compassion et le "compréhensionnisme" de cette pauvre France qui a besoin de plus d'Etat), chacun arguant être le plus concret et le plus proche de la réalité (mention spéciale à Chérèque qui n'a cessé d'aligner des phrases creuses tout en prétendant être concret).

oui oui comme c'est bien dit.

Les pauvres.

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Merci pour l'info. Je l'avais enregistré pour le voir ce soir. Je m'en dispenserai donc. (Je me doutais un peu de la nullité rien qu'en regardant les deux minutes d'introduction de Moati.)

Besancenot fut excellent. Ce type est extrêmement dangereux pour nos libertés, on a tort de le sous estimer.

Moati est infect. Il fait du théâtre, connaît très bien son texte, ce dernier est bien construit. Il joue un rôle. C'est original mais loin de ce que l'on attend d'un animateur de débat.

François Chérèque fut absolument nul. A mon avis le débat n'a pas pris la tournure qu'il attendait.

Quant à Frédéric Lefebvre, quel mauvais! Je ne pensais pas que l'on pouvait faire pire que Debré mais Moati a su découvrir la perle rare pour mettre son poulain trotskiste en valeur.

Sabine a fait de bonnes interventions mais comme l'ont dit plusieurs intervenants, elle servait visiblement d'alibi et de faire valoir.

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Tu as bien résumé Rocou.

Besancenot est dangereux, car il passe bien, très démago, donne l'impression que tout ce qu'il propose est très facile à mettre en place et tombe sous le coup de l'évidence. C'est même plus du Droit créance- là, c'est inqualifiable l'assurance avec laquelle il assène de telles revendications!

Chérèque insupportable.

Lefebvre le mec de parti classique, pas aimable, pas sympathique, pourrait dire tout et son contraire si c'est ce qu'on lui dit de dire. Efficace, mais pas fiable.

Pis Herold, c'est dommage, rôle d'alibi que lui donne Moatti ("bah, z'avez entendu ce qu'elle a dit la dame là", en la déignant dédaigneusement). Je me demande l'intérêt d'aller dans ces emissions où les dés sont pipés dès le départ, tous les intervenants sont gauchistes (Besancenot, Chérêque), ou "duopolistes" (Valls/Lefebvre), et ne connaissent rien au libéralisme…

M'enfin…

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Le podcast mérite le visionnage!

Certes le présentateur ressemble à un gros loucoum ami de la gauche militante ; il n'a pas fait beaucoup parler Sabine et bizarement il n'y avait pas de représentant du patronat, mais en réalité, cette émission a permis de faire progresser le libéralisme.

1- Sabine a très bien parlé, avec des arguments clairs, percutants et judicieusement libéraux. Le seul bémol est qu'il ne nous faut jamais rire de chose dramatiquement sérieuses, même entrainés par le relâchement des orateurs adverses: le libéralisme a peu d'orateurs médiatisés, il nous faut donc être plus vigilant que les autres face aux risques de manipulations par rétrospectives fallacieuses susceptibles d'être montées lors des années futures.

2- Les gauchistes se sont retrouvés réduits dans leur dialectique puisqu'il leur était difficile de qualifier le représentant de l'UMP d'ultra-libéral, alors qu'un discours bien plus libéral se trouve formulé en séance. Ledit représentant portait des vêtements qui me semblent évocateurs du gauchisme ou du syndicalisme à l'ancienne ; j'y vois une volonté de brouiller ce même message gauchiste accusant d'ultra-libéralisme l'UMP, message que la simple présence d'un véritable libéral suffit à éradiquer.

3- Le représentant de l'UMP a été de toute évidence favorablement impressionné même s'il ne l'a pas dit. Il lui a été d'autant plus facile de ne pas céder à la dialectique gauchiste qu'un message ouvertement libéral était là. Il a constaté avec soulagement la libération partielle de sa parole et, d'une façon plus générale, le parti qu'il pouvait indirectement tirer de la présence de véritables libéraux. On peut donc espérer que l'UMP influe pour renouveler l'expérience.

4- Leur consensus faux accusant mensongèrement le libéralisme des causes et des conséquences de(s) la crise(s) des subprimes, de la finance et de l'économie productive se retrouve ouvertement rejeté par l'une des parties, donc ce n'est plus un consensus, donc l'opinion publique est amenée à mettre en suspend la majeure partie de sa virulence accusatoire contre le libéralisme à laquelle incitent activement la plupart des médias au point que l'UMP n'ose s'y affronter directement.

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Les avis postés sur le forum à la suite du débat valent aussi le coup d'oeil (comme d'hab', pour ceux qui n'ont pas peur d'affronter la c…ie humaine) :

(badurl) http://forums.france5.fr/ripostes/La-greve-et-apres/alternative-presidente-liberale-sujet_23_1.htm (badurl)

Citation :

On est simplement des gens qui refusent le totalitarisme et la coercition

Et le totalitarisme de la propriété privée vous en faite quoi ?

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J'ai noté un truc amusant à propos du service minimum:

Frédéric Lefebvre se félicitait du bon fonctionnement du service minimum le 29 janvier. Ses contradicteurs se sont bien gardés de l'ouvrir. En effet, dire que le service minimum ne peut pas fonctionner (comme on l'a entendu lors de la fermeture de la gare st Lazare) c'était avouer que la grève n'a pas eu d'impact. A l'inverse, Frédéric Lefebvre ne pouvait pas dire que la grève ne "s'était pas vu" puisque cela aurait voulu dire que le service minimum est une vaste fumisterie.

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Je connaissais pas vraiment serge moati. Je ne me rappel pas avoir deja vu un presentateur etre aussi partial.

Sabine a fait le maximum dans ce contexte, mais je doute que ca ait servi a quoi que ce soit. Dans quel autre fil parlait on du pouvoir limite des mots ?

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Je connaissais pas vraiment serge moati. Je ne me rappel pas avoir deja vu un presentateur etre aussi partial.

Jean-François Revel a gardé un souvenir très amer de son passage dans Riposte, où il était venu présenter La Grande Parade - émission que j'ai eu la chance de voir, et qui m'a laissé la même impression. Il raconte cette mésaventure dans Les Plats de Saison, son journal de l'année 2000.

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