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Caillassages et petits problèmes


Messages recommandés

voilà où on en est:

http://www.leparisien.fr/yvelines-78/rambo…010-1130823.php

Un chauffeur d’un bus de la compagnie Veolia a été pris à partie par trois mineurs, samedi vers 20h15 à Rambouillet (Yvelines). Lorsqu’ils sont montés dans le véhicule, stationné au terminus de la gare routière, les trois jeunes âgés de 13 à 15 ans n’ont pas validé leur titre de transport. Face à la remarque du conducteur, âgé de 43 ans, qui les invitait à le faire et menaçait de prévenir la police, le ton est monté.

Les adolescents mécontents ont roué de coups le conducteur, coincé derrière son volant. Il souffre d’une luxation et d'une fracture de l’épaule, et de côtes cassées. Hospitalisé, il s'est vu octroyer 45 jours d'incapacité totale de travail (ITT) et devrait subir de nouveaux examens.

C’est un témoin de la scène qui a mis un terme à l’agression. «L’un des jeunes, tellement sûr de son bon droit, est resté dans le bus», indique une source proche de l'enquête. Il a été interpellé quelques instants plus tard et placé en garde à vue. Les deux autres ont pris la fuite, avant de se présenter une heure plus tard au commissariat pour déposer plainte contre le chauffeur.» Ils ne présentaient aucune blessure, ni hématome. Le chauffeur a précisé, de son côté, qu'il n'avait pas voulu «répondre aux coups qui lui étaient portés».

Connus des policiers pour des «incivilités», les trois adolescents ont été placés en garde à vue et devaient être remis en liberté dimanche soir avant leur convocation ultérieure devant la police.

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Vous connaissez le phénomène des couples qui s'engueulent tout le temps et qui restent 20 ans ensemble, alors que le couple idéal qui a l'air parfait finit en drame familial ?

Le peloton d'exécution, c'est rigolo jusqu'au jour où ça arrive pour de vrai. Et comme c'est plus facile d'attraper Chitah que Ben Laden…

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Brest (29). Le drapeau de l'ex-URSS flotte au dessus de l'Iroise

Le drapeau de l'ex-URSS a été hissé au fronton du lycée de l'Iroise par les lycéens de l'établissement, rejoints dans la contestation, par un peu plus d'une centaine de lycéens de Kérichen qui, après avoir bloqué le boulevard Blum ont atteint le rond-point de Strasbourg. Tous doivent prendre la direction de la place de La Liberté où se formera le cortège intersyndical.

http://www.letelegramme.com/fil_region/fil…010-1087737.php

:icon_up:

On est bien en Soviétie.

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Plus en rapport avec le topic "Retraites : les jeunes se révoltent …", non ? Je doute que les wesh wesh/délinquants/… achètent un drapeau de l'URSS :doigt:

Putain de bordel ils se rendent compte ces cons qu'ils ont mis le drapeau d'un pays où les pauvres étaient envoyés dans des camps pour travailler jusqu'à crever ?

Je dis ça, je dis rien.

Ils ne le savent pas.

Une question plus intéressante serait d'où vient ce drapeau ? Cela se vend ? :mrgreen:

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Cela se vend ?

Un ami (qui se disait à l'époque) communiste en avait reçu un pour son anniversaire il y a quelques années. Il était fier de lui, en plus.

Sinon, des nouvelles de Lyon 2 :

Cette nuit, suite à la décision de "l'assemblée générale" de Bron du 2 novembre regroupant 400 étudiants à l'amphi Lumière "d'occupation illimitée" du campus Porte des Alpes, des individus se sont introduits dans le bâtiment K, violant ainsi l'arrêté de fermeture des locaux pris par la présidence pour la nuit.

Ce matin, un véritable paysage de désolation a été constaté par les agents du campus Porte des Alpes : l'amphi D, les murs du bâtiment K et une partie de ceux du bâtiment L ont été tagués à plusieurs endroits; les accès du bâtiment K ont été bloqués par des accumulations de chaises et de tables; des vitres ont été cassées, des archives de dossiers d'étudiants de l'institut de psychologie ont été brûlées; des contrôles d'accès et des panneaux d'affichages arrachés; les extincteurs ont été vidés de leur contenu, les lances incendies déroulées. Le hall du bâtiment K devant l'amphi C est dans un état de saleté important. Les doyens des facultés du campus Porte des Alpes ont fait part de leur consternation à l'équipe présidentielle.

Les photographies prises ce matin montrent l'ampleur des dégâts et du préjudice subi par la communauté universitaire :

Archives incendiées durant la nuit

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Tags appelant au blocage de l'université

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Blocage des issues de secours, dégradation du mobilier et des extincteurs

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Blocage des issues de secours, dégradation de mobilier

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La présidence dépose plainte ce jour contre les auteurs de ces dégradations gratuites, très onéreuses pour l'Université, soit plusieurs milliers d'euros en une seule nuit. L'Université Lumière Lyon 2 mettra tout en œuvre afin que les constatations scientifiques opérées par la police permettent d'identifier dans les heures qui viennent les individus coupables de ces agissements.

Il s'agit d'actes de délinquance pure et simple. Surtout, le fait de mettre le feu aux archives d'une composante de l'université dans l'enceinte même d'un campus de type « Pailleron » relève de la mise en danger de la vie d'autrui et le cas échéant, d'une procédure criminelle.

Les individus ou organisations qui appellent à l'occupation portent une responsabilité totale dans cette situation. L'université poursuivra les auteurs de ces actes dans le cadre des procédures de discipline interne et devant les tribunaux. Notre université ne peut servir plus longtemps de défouloir à des casseurs, qui méprisent la communauté universitaire et le travail des agents d'entretien de nos campus. La direction de l'Université prendra toutes les dispositions nécessaires pour faire respecter la loi et le bon fonctionnement de l'établissement, ni l'occupation des locaux ni le blocage ne seront tolérés.

Dans ces conditions, la Présidence ne peut accéder à la demande des délégations d'étudiants reçues hier de procéder à la levée du contrôle des absences lors de la tenue des Assemblées Générales. Tant que les tentatives d'occupation des locaux, ou de blocage, se maintiendront, tout débat démocratique sera de fait rendu impossible.

L'équipe présidentielle

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J'ai quand même du mal à croire que l'attidute de fermeté de l'équipe présidentielle tienne longtemps. Si jamais les voyous sont retrouvés, ils se réfugieront dans la posture du militant en lutte contre tout et n'importe quoi. Puis, on passera l'éponge une fois de plus et nos impôts paieront les dégradations.

Business as usual

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Carcassonne : des fidèles caillassés pendant la messe

Une soixantaine de fidèles qui assistaient, mardi soir, à la messe des défunts dans l'église Saint-Jacques du quartier du Viguier à Carcassonne ont été la cible de caillassages qui ont également endommagé une statue de la vierge située à l'entrée de l'édifice.

Deux jeunes de 13 ou 14 ans sont entrés en pleine messe et ont jeté des pierres et des pignes de pin sur l'assistance, avant d'être mis en fuite par un fidèle qui les a poursuivis mais n'a pas pu les rattraper. "C'est grave, c'est une véritable profanation", estime l'abbé Garrouste, desservant de la paroisse, qui célébrait la messe ce soir-là. Une plainte a été déposée ce matin au commissariat de Carcassonne.

l'independant.com

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Violences : cinq jeunes du 93 exclus d’un internat de réinsertion

L’expérience aura tourné court pour cinq jeunes de Seine-Saint-Denis. Intégrés, avec neuf autres élèves du département dans un établissement de réinsertion scolaire (ERS) ouvert lundi dans un collège en Mayenne, ils viennent d’être exclus, après s’être battus hier matin avec des collégiens de l’établissement.

Les professeurs réclament la fermeture de l'ERS

C’est en urgence que l’inspection académique du 93 a décidé de renvoyer dans leurs familles les cinq jeunes de 13 ans à 15 ans après des violences survenues dans la cour du collège Volney, à Craon. A la suite d’une erreur d’organisation, ils ont croisé d’autres collégiens qui se rendaient à la cantine. C’est alors qu’ils ont « distribué des coups et des claques sans raison apparente, raconte Zélia Malhaire, une enseignante. Les collégiens ont dû se réfugier dans les bureaux de l’administration ».

Les professeurs ont aussitôt décidé d’exercer leur droit de retrait et affirment ne pas vouloir reprendre le travail tant que l’ERS ne sera pas fermé. Les gendarmes ont interpellé les fauteurs de troubles. L’affaire a vite pris des proportions importantes puisque quelques heures après, des parents d’élèves de Craon sont venus retirer leurs enfants de l’établissement. Eux aussi réclament la fin de l’expérimentation.

Les parents seront reçus par l’inspecteur d’académie

Les enseignants s’étaient mis en grève en octobre dernier car ils estimaient que les moyens n’étaient pas suffisants pour encadrer les élèves « décrocheurs » et ils réclamaient notamment l’embauche d’un principal adjoint. « Nous avions prévenu que les conditions n’étaient pas remplies pour accueillir sereinement ces enfants », martèle Zélia Malhaire.

De son côté, Daniel Auverlot, inspecteur d’académie en Seine-Saint-Denis, estime avoir pris les mesures suffisantes après les incidents. « Ces jeunes ont eu un comportement inacceptable, ils ont été immédiatement exclus, souligne-t-il. Nous avons actuellement huit adultes pour encadrer ceux qui restent et nous allons envoyer trois volontaires au service civique en plus. Au total, il y aura donc onze adultes pour neuf jeunes.» :icon_up: Il n’y a donc pour lui aucune raison de fermer l’ERS. Les familles des exclus seront reçues la semaine prochaine à l’inspection académique, à Bobigny.

Depuis lundi, outre l’internat dans le collège de Mayenne, un autre ERS a ouvert à Portbail, dans la Manche, qui accueille dix jeunes du 93 pour huit encadrants. La création des ERS avait été annoncée en avril par le ministère de l’Education nationale. Ils sont destinés à accueillir « des collégiens en difficulté scolaire et sociale, dont le comportement nécessite un éloignement ».

Pour intégrer ce type de structure durant un an, les élèves doivent être âgés de 13 ans à 15 ans, volontaires et exclus du système scolaire. En revanche, ils ne doivent pas avoir eu affaire à la justice. Le but est de les remettre à niveau et de leur apprendre le respect des règles de vie en société.

Leparisien.fr

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Je me marre, "jeunes en difficulté".

Ce sont des voyous.

Il n'existe qu'une seule façon de se faire respecter des voyous : être plus violent qu'eux.

Jamais les bobos déconnectés ne voudront entendre que ce qu'il faudrait, ce sont des sergents instructeurs avec les bâtons.

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Je me marre, "jeunes en difficulté".

Ce sont des voyous.

Il n'existe qu'une seule façon de se faire respecter des voyous : être plus violent qu'eux.

Jamais les bobos déconnectés ne voudront entendre que ce qu'il faudrait, ce sont des sergents instructeurs avec les bâtons.

+1

Et puis à limite, si le concept c'est de les sortir de leur environnement, autant les envoyer directement se faire réinsérer en Guyane au milieu d'un camp de légionnaires…

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Ou alors laisser faire la sélection économique : si ils n'arrivent pas à se démerder seuls (cad sans 700€/mois gracieusement offert par l'Etat) alors soit ils meurent, soit ils vont au secours populaire, soit ils essayent de voler et vont en prison.

Désolé pour ce discours digne des zeures les plus sombres de notre histoire.

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des nouvelles de Lyon 2[/url] :

et en plus, on voit le niveau intellectuel de ces protestataires courageux et non-violents: blocage écrit "bloquage". Ce sont de purs produits de l'Ednat', elle ne fait que récolter ce qu'elle a semé.

Leur tag est par ailleurs assez nébuleux, il sent son gauchisme puisé dans Libé ou le monde diplo.

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Lyon, le 9 novembre 2010

Cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,

Hier, lors d'une assemblée générale d'étudiants organisée à dessein en dehors des créneaux prévus par la présidence de l'Université, a voté par 80 voix contre 60 l'organisation du blocage du Campus Porte des Alpes et son occupation. Depuis hier soir, des individus, dont certains sont notoirement extérieurs à notre université, ont entrepris de tenter de mettre leurs menaces à exécution.

Le président de l'Université s'est rendu sur place ce matin afin d'identifier les bloqueurs et de photographier les lieux qu'ils occupaient.

Dans l'amphi D, des individus cagoulés, armés de manches de pioches, ont violemment agressé le président devant de nombreux témoins.

Nous devons faire face non pas à un mouvement étudiant et à ses habituels excès mais à un groupe aux méthodes violentes d'inspiration fasciste dont les objectifs sont étrangers aux préoccupations des personnels et des étudiants.

En conséquence, face à cette agression, la présidence dépose plainte et a immédiatement requis les forces de l'ordre afin d'interpeller les auteurs de cette agression et procéder à l'évacuation des parties occupées ou bloquées du campus.

[…]

La communauté universitaire n'a pas vocation à accueillir en son sein des individus dont le seul objectif n'est pas d'étudier mais de détruire notre bien commun, empêcher que toute forme de débat puisse se tenir librement, et imposer par des méthodes totalitaires et fascistes la volonté de 80 personnes aux 15 000 étudiants et 400 personnels qui travaillent quotidiennement sur le campus.

Lyon, le 10 novembre 2010

Cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,

La présidence a pris connaissance des débats et des votes d'une "assemblée générale" de 200 personnes tenue aujourd'hui dans l'amphi D sur le campus Porte des Alpes.

La présidence considère que les votes émis par cette "assemblée générale" ne sont pas en contradiction avec la poursuite des activités d'enseignement et de recherche au sein de notre Université.

Comme elle l'a toujours fait, la présidence permettra que l'amphi D du campus Porte des Alpes tienne lieu d'espace de débat pour ceux qui souhaiteraient y participer dans le cadre du mouvement actuel.

Pour autant, la présidence rappelle que la garantie de l'expression démocratique au sein de notre université est conditionnée strictement par plusieurs éléments :

- le respect des biens et des personnes, des conditions d'hygiène et de sécurité propres à un établissement recevant du public

- la liberté d'accès à tous les locaux de l'établissement

- l'absence d'occupation des locaux du campus en dehors des horaires habituels d'ouverture et de fermeture de l'établissement.

Incapacité à additionner 2 + 2 ? Personnalités multiples ? Masochisme ? :icon_up:

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Pour reprendre une remarque précédente, à ce stade ce ne sont plus des voyous mais des fauves.

Ce sont des voyous, pas des animaux. Ils n'ont pas commis un massacre quand même. Il n'y a pas de morts, pas de blessés graves. Il faut leur taper dessus, pas les tuer.

Je ne dis pas qu'il n'y a pas des gens qui sont irrécupérables, hein, mais là à ce stade on a juste une bande de brutes qui doit apprendre ce que ça fait de ne pas être les plus forts, c'est tout.

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Trois jeunes rouent de coups un retraité : cinq mois avec sursis

Un trio de primo-délinquants, âgés de 18 ans, a été condamné à 5 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve de 18 mois par le tribunal de Carcassonne. Ils sont accusés d'avoir roué de coups un homme d'une soixantaine d'années en septembre dernier à Castelnaudary. Ils n'avaient pas apprécié que ce dernier leur fasse une remarque après qu'ils aient légèrement accroché une voiture en stationnement.

En plus de cette condamnation, tous devront également accomplir un stage de citoyenneté. :icon_up:

midilibre.com

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Vous vous rappelez du coup de pied ninja dans une des manifestations ? Ce fut le point de départ d'une belle petite complotite : un méchant dans la manif ne pouvait être qu'un flic infiltré cherchant à discréditer le gentil mouvement. Tout ça ne pouvait être que téléguidé par Sarkozy et patata. Vous êtes bien naïf mon bon monsieur, à nous on la fait pas.

Le présumé "ninja" des manifestations sera jugé le 6 décembre

LEMONDE.FR | 08.11.10 | 22h30 • Mis à jour le 09.11.10 | 15h21

On l'a surnommé le "ninja". Ce personnage, dans une vidéo largement diffusée après la manifestation parisienne du 16 octobre contre la réforme des retaites, donne un coup de pied sauté à quelqu'un qui tente d'empêcher une dégradation de vitrine. Une vive polémique est née à la suite de ces images autour de la possibilité que ce "ninja", qui tient ensuite la foule à distance, soit un policier (voir ci-dessous).

COMPARUTION IMMEDIATE DOUZE JOURS APRES L'INTERPELLATION

Lundi, un homme, soupçonné d'être ce manifestant violent, était présenté en comparution immédiate au palais de justice de Paris. Il a demandé le report de son audience, qui a été fixée au 6 décembre. Il avait été interpellé le 28 octobre dans un squat du 20e arrondissement parisien. La procédure intervient plus de dix jours après son interpellation dans le cadre d'une commission rogatoire, pour une autre affaire de dégradations commises il y a plusieurs mois. L'enquête vise notamment des atteintes contre des distributeurs de billets.

Placée en garde à vue puis libérée sous contrôle judiciaire, la personne interpellée a été mise en examen, avant d'être placée de nouveau en garde à vue vendredi soir, cette fois-ci pour les violences commises lors de la manifestation parisienne.

L'homme comparaissait lundi pour des faits de "dégradations d'un bien privé en réunion", "violences volontaires n'ayant pas entraîné d'interruption volontaire de travail", avec la circonstance aggravante de dissimulation du visage, "refus de prélèvement biologique" en état de récidive et "refus de prise d'empreintes digitales", précise le parquet de Paris.

LE CASSEUR ET LE NINJA

Pour préparer sa défense, l'homme a donc obtenu le report de son audience. D'ici là, le juge a choisi de le placer en détention provisoire. Mais est-il vraiment le fameux "ninja" ? "On ne le sait pas, l'affaire n'est pas jugée", prévient son avocat, Adrien Devonec, qui rappelle la présomption d'innocence dans l'autre affaire. Le parquet dit disposer d'éléments identifiant la personne interpellée comme étant l'auteur du coup de pied.

"Sur la vidéo, on voit deux personnes : l'une qui tente de casser une vitrine de banque et une autre qui donne un coup de pied, qui serait mon client, selon le parquet. Or, je note que mon client est jugé pour des violences et pour des dégradations, des faits apparemment commis par deux personnes différentes", fait valoir l'avocat. Selon lui, cet argument a été repris par la victime du coup de pied, présente lundi au tribunal. Devant la salle d'audience de la 23e chambre du palais de justice de Paris, une quinzaine de personnes sont venues soutenir l'interpellé, mais ne voulaient pas répondre à des "questions de journalistes".

La médiatisation de cette affaire peut-elle nuire à la personne mise en cause, comme le suggère son avocat ? "En tout cas, c'est parce qu'il y a eu les accusations de Jean-Luc Mélenchon que les policiers se sont activés dans cette affaire. Dans une manifestation, des violences sans ITT (interruption temporaire de travail), cela arrive parfois, il n'y a pas toujours des articles et des enquêtes", note Adrien Devonec, qui refuse pourtant de parler de bouc émissaire.

Alexandre Piquard

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Vous vous rappeler du coup de pied ninja dans une des manifestations ? Ce fut le point de départ d'une belle petite complotite : un méchant dans la manif ne pouvait être qu'un flic infiltré cherchant à discréditer le gentil mouvement. Tout ça ne pouvait être que téléguidé par Sarkozy et patata. Vous êtes bien naïf mon bon monsieur, à nous on la fait pas.

hum… attrapé dans un squat… dégradations de distributeurs de billets, lors de la manifestation s'en prenait à une banque…

Nos amis vikings s'attaquent à des magasins de fringues ou des bijouteries, avec de préférence une nana à menacer de viol dedans. Une banque, c'est trop abstrait pour eux. Et ils ne vivent pas dans des squats pourris, ils ont leur dignité.

j'en conclus donc que notre ninja est un brave gauchiste.

Ces types pleins d'idéaux que la crémation de femme enceinte ne rebute pas, dans un autre pays méditerranéen menacé par des réformes.

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