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Type de personnalité MBTI des libéraux


Punu

Après avoir fait le test, vous êtes :  

341 membres ont voté

  1. 1. Après avoir fait le test, vous êtes :

    • ESTJ
      22
    • INFP
      1
    • ESFP
      98
    • INTJ
      3
    • ESFJ
      110
    • INTP
      13
    • ENFP
      17
    • ISTJ
      4
    • ESTP
      10
    • INFJ
      8
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      9
    • ISTP
      23
    • ENTJ
      1
    • ISFP
      33
    • ENTP
      2
    • ISFJ
      0


Messages recommandés

Au fait j'espère que tout le monde avait compris que ma sortie sur Arafat était de l'ironie :|

 

Tu dis ça au cas où le Mossad surveillerais, en plus de la CIA ? ;)

 

 

On connait déjà son type de Myers-Briggs, c'est pas ENTP, ou INFJ, c'est NAZI.

 

Je le sens ExxJ. ETNJ peut-être.

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Je le sens ExxJ. ETNJ peut-être.

J ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Et puis il est sans doute bien plus F que T, quand on creuse un peu. Je dirais ENFP peut-être, ou alors INFP, ce qui collerait avec son côté esthète décadent et poète maudit.
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Éric Chahi serait-il un ISTP ?
 

Entré dans l'histoire du jeu vidéo il y a une trentaine d'années par la petite porte de Loriciels avant d'être rendu célèbre par Another World, Eric Chahi est à la fois une icône des années 1990 et quelqu'un de très discret parmi les développeurs français. (...) Passionné par la puissance des images et les forces de la nature, cet homme réservé mais toujours souriant vit depuis quelques années à Montpellier, où il laisse tranquillement évoluer un nouveau jeu dans un lieu partagé avec d'autres indés.

 

Est-ce que tu peux en parler pour l’instant ou est-ce que c’est encore en phase d’exploration ?

 

C’est pas suffisamment avancé, c’est du prototypage, de la recherche, du défrichage ; j’ai déjà quelques pistes mais c’est trop tôt, je préfèrerais en parler quand ça sera plus concret.

 

Même pas un petit indice ?

 

Ah... Petit indice : il y aura du procédural, de la simulation. Ce sont des sujets qui me passionnent, tout ce qui tourne autour du vivant. On verra... Je préfère ne pas trop dire les choses, je veux vraiment me laisser la liberté de changer de direction si je découvre quelque chose qui est très intéressant au niveau du gameplay ou des mécanismes de certains systèmes. Il faut savoir que quand on prototype, quand on code, on peut découvrir des choses et j’ai remarqué que si on cherche trop à figer les choses au départ, finalement, on se ferme des possibilités.

 

Il y a maintenant beaucoup de solutions au niveau des moteurs, même pour les gens qui veulent faire des jeux mais qui ne savent pas coder. Qu’est-ce qui t’a poussé vers Unity en particulier ?

 

C’est simple à utiliser, c’est multi plate-forme et en plus, il y a une grosse communauté. C’est chouette de pouvoir échanger avec d’autres développeurs. Ici, on utilise tous Unity donc c’est très pratique.

 

Pour ton projet actuel, est-ce que tu penses rester 100% indépendant ou alors trouver un éditeur une fois que ce sera fixé ?

Alors 100% indépendant pour la création, ça c’est clair et net. Ensuite, pour la diffusion, oui, pourquoi pas travailler avec un éditeur. Ce n'est pas parce qu’on est indépendant qu’on doit forcément tout faire de A à Z : diffuser un projet, même en dématérialisé, ça demande des compétences éditoriales, marketing et ce n'est pas à négliger. Je pense qu'il y a pas mal de développeurs indépendants qui considèrent que leur boulot, c’est de créer des jeux ; ils ne sont pas forcément à l’aise pour communiquer, ça peut être pertinent de passer par un éditeur. Donc je ne sais pas, je n'ai pas encore décidé, en fonction du projet peut être que j’irai vers tel éditeur ou plutôt vers de l’auto-édition à 100%.

Dans ce cas, est-ce que tu as envie de monter ton propre studio par la suite ou tu préfères rester freelance ?
 
Eventuellement, pour travailler avec d’autres personnes, si j’ai des besoins vraiment spécifiques, si je sens que travailler avec un autre programmeur ça peut être chouette, pourquoi pas. Mais je préfère autant éviter de complexifier le cadre de travail.
 
Ton projet actuel, ça sera complètement solo ou la porte reste ouverte une fois que tu auras quelque chose de plus concret ?
 
Je pense que sur la musique par exemple, oui, je ferai appel à un compositeur, ça c’est certain. Pour le reste, je peux m’en occuper.
 
As-tu une limite dans le nombre de personne avec lesquelles tu peux travailler, un nombre maximum de personnes par projet ?
 
Ca dépend de la nature du métier. Je dirais que sur la création, le coeur du jeu, il vaut mieux éviter d’être trop nombreux. Je ne me vois pas à dix personnes sur un projet par exemple. Peut être trois, c’est bien ça, mais encore... (rires)
 
Another World, tu l’as fait tout seul à part la musique. Tu avais déjà créé tes propres outils pour faire ce que tu voulais. Qu’est ce qui a principalement changé par rapport à cette époque, d'après toi ?
 
Les outils ont largement évolué, déjà. On a gagné en puissance, au niveau des fonctionnalités. Les outils ont énormément gagné en fonctionnalités, même au niveau de la façon d’écrire du code, entre l’Assembleur et un langage évolué comme le C#, ça fait une énorme différence ; les outils graphique aussi. Et en même temps, aujourd’hui, il y a de la diversité, énormément de technologie, énormément d’outils qui peuvent être assez complexes à maîtriser. Alors qu’à l’époque d'Another World, il y avait aussi de la complexité mais la quantité d’éléments à apprendre était souvent inférieure à celle qu’on doit apprendre maintenant, je trouve. Du coup, il y avait moins de risques de se disperser. A présent, il y a plein de ressources sur le Net et très rapidement, on va passer des heures à chercher et regarder des ressources qui sont comparables, à peu près la même chose sur dix pages. Cette profusion d’information, c’est génial et ça peut être parfois déroutant.
 
De nouveaux langages, encore une fois.
 
Clairement. La programmation "objet", c’est encapsulé, c’est structuré ; à l’époque d'Another World, on pouvait accéder à tout de partout. Ce n’est pas forcément évident de rentrer dans cette philosophie qui est encapsulée et compartimentée, je sais que j’ai mis du temps à m’y faire.
 
Quelles sont les grandes différences entre un jeu fait en accord avec un éditeur et un jeu totalement indé ? As-tu eu du mal à composer avec une équipe sur From Dust, par exemple, sachant que tu préfères faire des jeux où tu as plus de contrôle ?
 
Chaque type de développement a ses contraintes. Evidemment, ce n'est pas évident de travailler avec une équipe importante, encore que celle de From Dust n’était pas si importante comparativement à d’autres projets. Le plus gros pic, c’était 40 personnes et en moyenne, on était une vingtaine, voire un peu moins. Donc il y a la taille de l’équipe et il y a aussi la structure dans laquelle se crée le jeu. Dans une grosse entreprise, forcément, il faut davantage se justifier, il y a des étapes à valider, à passer, ce qui est naturel dans une grosse entreprise. Il faut des retours : quantifier l’évolution, la progression, ça fait partie des contraintes. C’est à la fois une force parce qu'il y a plus de monde donc en termes de production, c’est plus puissant, mais à côté de ça il peut y avoir de l’inertie. Je ne pense pas qu’il y ait une structure meilleure qu’une autre, tout dépend de ce qu’on veut faire.
 
Il a fallu faire beaucoup de concessions sur From Dust par rapport au document présenté à l'origine ?
 
Certaines choses ont bien fonctionné, d’autres non. Tout l’aspect simulation, les paysages qui évoluent, je trouve que cela a vraiment bien marché. Ce qui a moins fonctionné, c’est qu’il y avait trop de choses de prévues dans le projet, et c’était difficile à intégrer, tant en termes de production que par rapport à la masse de ce que l’on pouvait faire apprendre au joueur. Il devait aussi y avoir des humains éphémères et c’était délicat d’être proche des hommes alors qu’on gère un terrain vu plutôt de loin. Il y avait des incompatibilités dans le design d’origine qui se sont révélées au fur et à mesure de la réalisation. C’est pour ça que je préfère suivre un cap, laisser parler la réalisation et voir ensuite. Ainsi, c’est ce qu’on créée qui nous inspire et nous permet de projeter des choses nouvelles, que l’on n’aurait peut-être pas imaginées. J’aime que l’on ne se ferme pas l’horizon dès le départ, pour éviter de se laisser enfermer dans une boucle qui ne mènerait nulle part.

C’est vrai que là, j’ai plus envie de travailler dans une certaine humilité on va dire, rester humble dans les ambitions mais pouvoir explorer sans retenue et rester concentré sur le contenu sans devoir l’expliquer. Parce que devoir expliquer, à la longue, ça peut être assez... Ce n'est pas forcément évident de devoir formaliser les choses... J’aime bien travailler avec mon intuition, dans le concret, prototyper, tester et en fonction du résultat obtenu, orienter sans forcément trop définir à l’avance. Quand on travaille dans une structure, même sans parler d’une grosse boite comme Ubisoft ou Electronic Arts, le simple fait de travailler dans une petite structure va avoir tendance à canaliser le projet dès le départ dans une direction. C’est une liberté que je m’offre en quelque sorte.
 
Est-ce que tu te fixes quand même des limites sur le temps de développement du jeu, en particulier celui que tu fais en ce moment ?
 
Ça, c’est ce qui m’inquiète le plus ! (rires)

 
 http://www.gamekult.com/actu/eric-chahi-une-vraie-fenetre-pour-les-indes-A110126.html

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In praise of misfits Why business needs people with Asperger’s syndrome, attention-deficit disorder and dyslexia

 

Jun 2nd 2012 |From the print edition

 

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IN 1956 William Whyte argued in his bestseller, “The Organisation Man”, that companies were so in love with “well-rounded” executives that they fought a “fight against genius”. Today many suffer from the opposite prejudice. Software firms gobble up anti-social geeks. Hedge funds hoover up equally oddball quants. Hollywood bends over backwards to accommodate the whims of creatives. And policymakers look to rule-breaking entrepreneurs to create jobs. Unlike the school playground, the marketplace is kind to misfits.

Recruiters have noticed that the mental qualities that make a good computer programmer resemble those that might get you diagnosed with Asperger's syndrome: an obsessive interest in narrow subjects; a passion for numbers, patterns and machines; an addiction to repetitive tasks; and a lack of sensitivity to social cues. Some joke that the internet was invented by and for people who are “on the spectrum”, as they put it in the Valley. Online, you can communicate without the ordeal of meeting people.

Wired magazine once called it “the Geek Syndrome”. Speaking of internet firms founded in the past decade, Peter Thiel, an early Facebook investor, told the New Yorker that: “The people who run them are sort of autistic.” Yishan Wong, an ex-Facebooker, wrote that Mark Zuckerberg, the founder, has “a touch of Asperger's”, in that “he does not provide much active feedback or confirmation that he is listening to you.” Craig Newmark, the founder of Craigslist, says he finds the symptoms of Asperger's “uncomfortably familiar” when he hears them listed.

Similar traits are common in the upper reaches of finance. The quants have taken over from the preppies. The hero of Michael Lewis's book “The Big Short”, Michael Burry, a hedge-fund manager, is a loner who wrote a stockmarket blog as a hobby while he was studying to be a doctor. He attracted so much attention from money managers that he quit medicine to start his own hedge fund, Scion Capital. After noticing that there was something awry with the mortgage market, he made a killing betting that it would crash. “The one guy that I could trust in the middle of this crisis,” Mr Lewis told National Public Radio, “was this fellow with Asperger's and a glass eye.”

Entrepreneurs also display a striking number of mental oddities. Julie Login of Cass Business School surveyed a group of entrepreneurs and found that 35% of them said that they suffered from dyslexia, compared with 10% of the population as a whole and 1% of professional managers. Prominent dyslexics include the founders of Ford, General Electric, IBM and IKEA, not to mention more recent successes such as Charles Schwab (the founder of a stockbroker), Richard Branson (the Virgin Group), John Chambers (Cisco) and Steve Jobs (Apple). There are many possible explanations for this. Dyslexics learn how to delegate tasks early (getting other people to do their homework, for example). They gravitate to activities that require few formal qualifications and demand little reading or writing.

Attention-deficit disorder (ADD) is another entrepreneur-friendly affliction: people who cannot focus on one thing for long can be disastrous employees but founts of new ideas. Some studies suggest that people with ADD are six times more likely than average to end up running their own businesses. David Neeleman, the founder of JetBlue, a budget airline, says: “My ADD brain naturally searches for better ways of doing things. With the disorganisation, procrastination, inability to focus and all the other bad things that come with ADD, there also come creativity and the ability to take risks.” Paul Orfalea, the founder of Kinko's and a hotch-potch of businesses since, has both ADD and dyslexia. “I get bored easily; that is a great motivator,” he once said. “I think everybody should have dyslexia and ADD.”

Where does that leave the old-fashioned organisation man? He will do just fine. The more companies hire brilliant mavericks, the more they need sensible managers to keep the company grounded. Someone has to ensure that dull but necessary tasks are done. Someone has to charm customers (and perhaps lawmakers). This task is best done by those who don't give the impression that they think normal people are stupid. (Sheryl Sandberg, Mr Zuckerberg's deputy, does this rather well for Facebook.) Many start-ups are saved from disaster only by replacing the founders with professional managers. Those managers, of course, must learn to work with geeks.

Geekery in the genes

The clustering of people with unusual minds is causing new problems. People who work for brainy companies tend to marry other brainy people. Simon Baron-Cohen of Cambridge University argues that when two hyper-systematisers meet and mate, they are more likely to have children who suffer from Asperger's or its more severe cousin, autism. He has shown that children in Eindhoven, a technology hub in the Netherlands, are two to four times more likely to be diagnosed with autism than children in two other Dutch towns of similar size. He has also shown that Cambridge students who study mathematics, physics and engineering are more likely to have autistic relatives than students studying English literature. Most employers are leery of hiring severely autistic people, but not all. Specialist People, a Danish firm, matches autistic workers with jobs that require a good memory or a high tolerance for repetition.

More broadly, the replacement of organisation man with disorganisation man is changing the balance of power. Those square pegs may not have an easy time in school. They may be mocked by jocks and ignored at parties. But these days no serious organisation can prosper without them. As Kiran Malhotra, a Silicon Valley networker, puts it: “It's actually cool to be a geek.”

 

 

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Je viens de passer une partie de la nuit à étudier le MBTI et je me rends compte que je suis devenu capable de classer n'importe quelle personne que je connais sans leur faire faire le test. Je sans que ça va me poursuivre un moment et que je n'arriverai plus à m'en empêcher.

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Je viens de passer une partie de la nuit à étudier le MBTI et je me rends compte que je suis devenu capable de classer n'importe quelle personne que je connais sans leur faire faire le test. Je sans que ça va me poursuivre un moment et que je n'arriverai plus à m'en empêcher.

Je connais quelqu'un qui fait constamment ça. C'est insupportable.
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J'ai pas encore trouvé de bouquin vraiment satisfaisant sur le MBTI. Je crois que le mieux pour comprendre comment fonctionne un type, c'est encore d'aller sur personalitycafe dans le sous forum correspondant et de lire les 100 premières pages du thread "you know you're an XXXX when...".

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Tiens, un apprenti INFP. A quand tes premiers poèmes sur la nature, les zoziaux et que-le-monde-est-beau ? :devil:;)

Je te charrie : les INFP peuvent tout à fait être libéraux (heureusement !). Rose Wilder Lane (la fille de Laura Ingalls, sisi, la même que dans la Petite Maison dans la Prairie) était INFP, et fut une des principales sources d'inspiration du mouvement libertarien américain. En plus, les INFP sont souvent de très bons écrivains.

 

Je viens de me remémorer mes cours de fac d'anglais sur Sylvia Plath. Elle m'a tout l'air d'une INFP : ultra-dépressive, poèmes aussi métaphoriques qu'obscurs (dans lesquels elle traite son père de nazi et se compare elle-même à une juive, au passage), sensibilité à fleur de peau, voit des expériences métaphysiques dans la moindre expérience du quotidien, suicide à 30 ans.

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Y'a un forum mbti avec des gens qui ont l'air de s'y connaitre. (je dis ca sous toute réserve perso j'y connais rien mais j'ai fait le test et je voulais savoir intérpréter les résultats) (je suis INTP mais avec un T et un F quasiment a égalité bref)

http://mbti.forumactif.fr/

 

J'ai quasiment rien lu mais j'ai parcouru viite fait un sujet avec quelqu'un qui avait la meme interrogation que moi ( pas clair entre INTP et INFP) et les réponses avaient l'air de bon niveau (même si au final je m'y suis pas du tout penché)

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