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Quelle solution libérale/libertarienne face aux familles monoparentales ?


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http://www.rue89.com…-enfants-231032

Quelle solution libérale/libertarienne face aux familles monoparentales qui, par la force des choses, vivent intégralement d'allocations sociales ? La mère n'ayant pas le temps d'exercer un travail à temps plein, qui ne lui permettrait de toutes façons pas de vivre dignement avec ses quatre enfants.

La charité.

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La question de yiggles n'est quand même pas si débile, elle revient à se demander ce que deviendrait cette Salima si on lui disait que fin 2013, les allocs qu'elle touche passeront de 1342€ par mois à zéro.

La réponse est claire , tout le monde la connait : elle serait dans la merde comme beaucoup de monde.

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Oui, dans toute révolution, c'est le bordel et y'a des morts, c'est pour ça que je suis opposé aux révolutions, fussent elles libérales, il faut une periode de transition pour qu'elle trouve un mari/que l'église se prépare a faire son taf.

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Oui, dans toute révolution, c'est le bordel et y'a des morts, c'est pour ça que je suis opposé aux révolutions, fussent elles libérales, il faut une periode de transition pour qu'elle trouve un mari/que l'église se prépare a faire son taf.

+1 . Toute révolution renforce pour moi le socialisme tandis que tout évolution morale ou technologique renforce le libéralisme. On ne peut pas s'attendre à ce qu'il ny ai pas de "dégâts collatéraux" dans cette crise. La seule solution qu'elle a c'est de se démerder par elle même avec l'aide de ses enfants et des associations qu'elle connait. Je sais c'est un langage dur voir "ordurier" mais mentir sur la réalité c'est prendre pour des cons les pauvres. Ils méritent mieux que cela et avant tout le respect.

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Assumer le fait qu'elle a fait un enfant seule…Ca n'est ni toi ni moi ni personne qui ont prit cette décision à sa place.

Ca n'est donc ni toi ni moi ni personne qui doit etre tenu de s’occuper de ses erreurs de décision.

Dans un second temps il y a de nombreuses personnes que cela touche et qui ont des valeurs allant ans le sens de l'aide aux plus démunis. Ce sont eux qui vont mettre en place des micro-societés, des associations et/ou des réseaux d'aides privés…Précisement parce qu'ils seront libre de le faire et de creer un monde conforme à leurs valeurs…Sans obliger les gens ne les partageant pas à y participer.

Bref…La vie saine et normal de la personne qui assume ses choix de vie et n'emmerde pas son voisin parce qu'il est sur d'avoir trouvé la verité ultime ave sa vision parcellaire des choses.

A moyen terme les gens réfléchiraient peut etre (ou pas) plus avant d'avoir des enfants…Ce qui, je le rappelles, n'est pas encore un droit.

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La question de yiggles n'est quand même pas si débile, elle revient à se demander ce que deviendrait cette Salima si on lui disait que fin 2013, les allocs qu'elle touche passeront de 1342€ par mois à zéro.

Du coup le sujet n'est plus "comment les familles monoparentales se débrouillent en libéralie" comme le titre du fil le suggère, mais "comment une réforme libérale pourrait résorber la merde accumulée par des décennies de système social étatique".

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http://www.rue89.com…-enfants-231032

Quelle solution libérale/libertarienne face aux familles monoparentales qui, par la force des choses, vivent intégralement d'allocations sociales ? La mère n'ayant pas le temps d'exercer un travail à temps plein, qui ne lui permettrait de toutes façons pas de vivre dignement avec ses quatre enfants.

La location-vente d'un ou deux enfants ?

:jesors:

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La question de yiggles n'est quand même pas si débile, elle revient à se demander ce que deviendrait cette Salima si on lui disait que fin 2013, les allocs qu'elle touche passeront de 1342€ par mois à zéro.

Oui. Surtout qu'on s'approche à grand pas d'une situation où l'Etat ne pourra de toutes façons plus financer ces situations comme il le faisait auparavant, réformes libérales ou pas.

Trouver un mari, ne pas le perdre.

Il y a d'abord l'incertitude qui concerne les atouts de la dame en question qui lui permettraient d'attirer un mari.

Ensuite il y a le fait que le mari devra prendre financièrement en charge les quatre enfants, ce qui est un repoussoir supplémentaire.

Pas évident.

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Oui. Surtout qu'on s'approche à grand pas d'une situation où l'Etat ne pourra de toutes façons plus financer ces situations comme il le faisait auparavant, réformes libérales ou pas.

Oh oui, mais la situation est plus complexe que cela en fait, nombreux sont ceux qui renoncent à toute aide sociale bien qu'ils y aient droit.

@tous : je crois que la question de yiggles est extrêmement pratique. Il s'agit de répondre au problème suivant, formulé par Lancelot ci-dessous :

Du coup le sujet n'est plus "comment les familles monoparentales se débrouillent en libéralie" comme le titre du fil le suggère, mais "comment une réforme libérale pourrait résorber la merde accumulée par des décennies de système social étatique".

Concrètement, comment on fait.

Il s'agit en quelque sorte de travaux pratiques. Le reste c'est du vent.

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La réponse est claire , tout le monde la connait : elle serait dans la merde comme beaucoup de monde.

Voilà.

Il faut vraiment qu'on soit habitué à être riche et protégé, tous, pour penser qu'une femme seule avec quatre enfants et sans travail (ou à petit revenu) puisse vivre décemment. Un entourage, partout dans le monde, c'est obligatoire. Il n'y a qu'en Occident qu'on arrive à trouver naturel l'inverse.

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Oh oui, mais la situation est plus complexe que cela en fait, nombreux sont ceux qui renoncent à toute aide sociale bien qu'ils y aient droit.

@tous : je crois que la question de yiggles est extrêmement pratique. Il s'agit de répondre au problème suivant, formulé par Lancelot ci-dessous :

Concrètement, comment on fait.

Il s'agit en quelque sorte de travaux pratiques. Le reste c'est du vent.

Dans le cadre d'une transition libérale progressive on peut envisager de supprimer les allocs uniquement pour les nouvelles naissances si bien qu'au bout de 18 ans il n'y aura plus d'allocs du tout. Bon après il faut que chacun fasse preuve de responsabilité et ne fassent pas d'enfants si ils ne peuvent pas en assurer la charge financière. Mais si ils n'y a plus d'assistanat étatique il n'y a plus d'incitations à la déresponsabilisation.

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Dans le cadre d'une transition libérale progressive on peut envisager de supprimer les allocs uniquement pour les nouvelles naissances si bien qu'au bout de 18 ans il n'y aura plus d'allocs du tout. Bon après il faut que chacun fasse preuve de responsabilité et ne fassent pas d'enfants si ils ne peuvent pas en assurer la charge financière. Mais si ils n'y a plus d'assistanat étatique il n'y a plus d'incitations à la déresponsabilisation.

Très bien, mais je pense que 18 ans c'est trop long. Je te propose une alternative : sur cinq ans, une législature, on baisse l'alloc pour la ramener à zéro. Et on rajoute une petite cerise : les dépenses liées à l'éducation d'un enfant sont totalement defiscalisées (il s'agira de changer les tranches de l'impot sur le revenu). Bien entendu, en cinq ans, cela veut également dire se débarrasser des fonctionnaires qui donnent, administrent, etc. ces aides.

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Très bien, mais je pense que 18 ans c'est trop long. Je te propose une alternative : sur cinq ans, une législature, on baisse l'alloc pour la ramener à zéro. Et on rajoute une petite cerise : les dépenses liées à l'éducation d'un enfant sont totalement defiscalisées (il s'agira de changer les tranches de l'impot sur le revenu). Bien entendu, en cinq ans, cela veut également dire se débarrasser des fonctionnaires qui donnent, administrent, etc. ces aides.

C'est vrai que 18 ans c'est très long, 5 ans pourquoi pas, mais ça risque de poser des problèmes pour certains, après c'est une question d'arbitrage entre situation financière de l'état, rythme des réformes et troubles sociaux. Mais pourquoi vouloir défiscaliser les dépenses d'éducation vu qu'elle est déjà gratuite ?

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La question de yiggles n'est quand même pas si débile, elle revient à se demander ce que deviendrait cette Salima si on lui disait que fin 2013, les allocs qu'elle touche passeront de 1342€ par mois à zéro.

Et bien, elle pourrait retrouver un travail. Non ?

Malgré la baisse de ses revenus, la quadragénaire n’est pas pressée de reprendre le travail :

« Ça me manque un peu, surtout les collègues. Là, je sais qu’une fois mes grands déposés à l’école, je rentre à la maison et point barre. Mais bon, si je travaillais, je devrais courir encore plus. Et je n’ai personne pour garder la petite. »

--

« Lorsque je travaillais, je touchais 1 390 euros par mois. Grâce à l’aide de la CAF, je peux rester à la maison pour m’occuper de ma petite. »

Même si la baisse de ses revenus rend son quotidien plus difficile, Salima attend que sa fille soit en âge d’être scolarisée pour reprendre le travail. Un choix assumé.

Maintenant, on ne peut pas reprocher à Salima, d'avoir fait - dans le contexte actuel - son choix. Grosso modo, elle doit perdre 600 - 700 euros par mois en en ne travaillant pas. Mais si le contexte change, je ne vois pas ce qui l'empêcherai de revoir ses choix.

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Très bien, mais je pense que 18 ans c'est trop long. Je te propose une alternative : sur cinq ans, une législature, on baisse l'alloc pour la ramener à zéro. Et on rajoute une petite cerise : les dépenses liées à l'éducation d'un enfant sont totalement defiscalisées (il s'agira de changer les tranches de l'impot sur le revenu). Bien entendu, en cinq ans, cela veut également dire se débarrasser des fonctionnaires qui donnent, administrent, etc. ces aides.

5 ans c'est bien, ça correspond à un mandat français. Mais ça me parait un peu court quand même. Dans le cas de cette femme, ses enfants ne seront pas majeurs dans 5 ans (si on prenait 2012-2017 comme période théorique). J'aime bien l'idée de Nik sur 18 ans, mais ça nécessite une certains constance des différents gouvernements qui se succèdent.

Et bien, elle pourrait retrouver un travail. Non ?

Si elle reprend un travail, qui va s'occuper de ses gosses ? Sans compter qu'il faut qu'elle retrouve un travail, ce qui n'est pas évident au vu du fait qu'elle est restée inactive un long moment. Une bonne solution pour elle serait qu'elle fasse nounou à mon avis : elle pourrait s'occuper de ses gosses en même temps. Mais il existe probablement un tas de législations en France qui l'empêcheront de faire ça.

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En 5 ans, sa fille de 15 peut très bien avoir un boulot, soit "fixe" soit comme étudiante (j'ai bien bossé 20/h semaine à coté de mes études pour prendre en charge mon loyer et ma bouffe) et aider sa maman.

On peut aussi penser qu'en 5 ans, des associations se seront mises en place pour venir en aide a ce genre de famille, association auxquels je serais heureux de participer financièrement, comme j'en suis sur, nombre d'entre vous.

Mais, ça doit se faire dans le cadre d'une libéralisation totale et générale, si on coupe les allocs et qu'on ne fait rien d'autre, il y a de forte chance pour qu'elle finisse à la rue, vu la situation du travail et la mentalité des gens actuellement.

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Elles passe ses enfants à ses parents, frères, soeurs, oncles, tante, etc,…

Quand on n'a pas de quoi s'occuper de ses gosses, on cherche tous les liens familiaux (ou mêmes des amis très proches, pourquoi pas) et ensuite toutes les aides privés.

Ensuite si quelqu'un ne connait personne au monde, qu'aucunes associations, églises ou quoi que ce soit ne veut les aider. Si cette situation improbable se réalise, reste plus qu'à les abandonner ou de vendre le droit de garde. (je parle bien de droit de garde, pas question de les traiter comme de simples objets)

Et si c'est à cause d'un divorce, je crois que le contrat de mariage peut prévoir la gestion des enfants et compensations financières dans un système libéral ou libertarien, peut-être pas comme maintenant, mais ce n'est pas à exclure.

(Si c'est à cause d'un décès du mari, l'assurance vie règle déjà le problème aujourd'hui.)

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Et aussi, le père doit venir en aide a ses enfants. Je ne veux pas le mettre dans le marbre de la loi, mais comme Ikichi, je pense que ça devrait faire partie du contrat de mariage, comme un réflexe de la part des gens.

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Assumer le fait qu'elle a fait un enfant seule…Ca n'est ni toi ni moi ni personne qui ont prit cette décision à sa place.

Ca n'est donc ni toi ni moi ni personne qui doit etre tenu de s’occuper de ses erreurs de décision.

Dans un second temps il y a de nombreuses personnes que cela touche et qui ont des valeurs allant ans le sens de l'aide aux plus démunis. Ce sont eux qui vont mettre en place des micro-societés, des associations et/ou des réseaux d'aides privés…Précisement parce qu'ils seront libre de le faire et de creer un monde conforme à leurs valeurs…Sans obliger les gens ne les partageant pas à y participer.

Bref…La vie saine et normal de la personne qui assume ses choix de vie et n'emmerde pas son voisin parce qu'il est sur d'avoir trouvé la verité ultime ave sa vision parcellaire des choses.

A moyen terme les gens réfléchiraient peut etre (ou pas) plus avant d'avoir des enfants…Ce qui, je le rappelles, n'est pas encore un droit.

La dame en question a peut être été larguée par le père de ses enfants, ce sont des choses qui arrivent, on est pas toujours mère célibataire (ou père) par vocation de percevoir des aides sociales.

Donc, déjà, la première chose à faire c'est de courir après l'obligation alimentaire, et si la loi l'oblige pas, comment on fait ? La loi, c'est pas toujours con !

La charité.

http://www.rue89.com…-enfants-231032

Quelle solution libérale/libertarienne face aux familles monoparentales qui, par la force des choses, vivent intégralement d'allocations sociales ? La mère n'ayant pas le temps d'exercer un travail à temps plein, qui ne lui permettrait de toutes façons pas de vivre dignement avec ses quatre enfants.

Il y a des parents célibataires qui travaillent, tout de même !
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Le père ne lui verse pas de pension parce qu'il est au chômage (?) et elle refuse de lui laisser voir les gamins parce qu'il habite en colocation avec des inconnus.

Sinon, bon, après lecture de l'article elle n'est franchement pas à plaindre cette brave dame, pour quelqu'un qui ne travaille pas : elle a un foyer, la télé, Internet, ses enfants ont de quoi se nourrir ("le four tourne tout le temps") et s'habiller (4 paires de baskets par an pour son fils), elle passe ses vacances au Maroc tous les ans… Forcément elle court partout, elle ne trouve pas de crèche, elle n'a plus vraiment de temps libre… mais ça fallait y penser avant de faire des gosses, c'est pareil pour tout le monde.

C'est sûr que dans un système plus libéral elle serait fortement incitée à se bouger le cul et que si ça se passait sans transition ça lui ferait très, très mal.

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Donc, déjà, la première chose à faire c'est de courir après l'obligation alimentaire, et si la loi l'oblige pas, comment on fait ? La loi, c'est pas toujours con !

Enfin la loi aujourd'hui elle abuse, en droit l'enfant a presque un caractère divin.

Mais c'est vrai que ce n'est pas idiot pour autant et je ne pense pas que l'idée d'un contrat de mariage qui prévoit la gestion des enfants et des compensation financière est à exclure dans un système libéral/libertarien.

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La dame en question a peut être été larguée par le père de ses enfants, ce sont des choses qui arrivent, on est pas toujours mère célibataire (ou père) par vocation de percevoir des aides sociales.

Donc, déjà, la première chose à faire c'est de courir après l'obligation alimentaire, et si la loi l'oblige pas, comment on fait ? La loi, c'est pas toujours con !

Autrefois, la contraception était rudimentaire. Autrefois, il était très mal vu d'avoir un enfant ou même de vivre avec quelqu'un sans être mariés. Autrefois, le divorce était très rare et très mal vu. Autrefois, le mari et l'épouse prennaient chacun une maitresse ou un amant mais le cercle familial continuait à assurer l'avenir des enfants sans qu'on ait besoin d'un juge aux affaires familiales ou d'un état reversant une rente.

Mais, c'est vrai, nos grand-parents étaient des sales cons qui ne comprenaient pas les choses importantes comme le féminisme (qui est le principal pouvoyeur de foyers monoparentaux et qui a surtout libéré l'homme de ses obligations familiales), la libéralisation des moeurs, et les "droits à".

On ne peut pas déplorer les effets dont on chérit les causes.

Les gens ont, grosso modo, ce qu'ils méritent…

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J'ai lu l'article, je l'avais pas fait…

Comme d'habitude, les infos sur les droits genre CAF sont faux ou incomplets la plupart du temps

La nana a fait le choix de ne pas reprendre son boulot (1340euros par mois) pour s'occuper de ses enfants et cela pour encaisser l'alloc libre choix d'activité (jusqu'au 3 ans du petit dernier) de 370euros.

Calcul intelligent !

L'API n'existe plus depuis la mise en place du RSA, qui est "majoré" pendant 1 an après une séparation ou jusqu'au 3ème anniversaire

Mais bon, ce que j'en dis, c'est que pour beaucoup de gens, c'est plus rentable de pas bosser et toucher les allocs, surtout à cause des droits connexes qui vont avec, même si on est perdant un petit peu. Surtout que ça laisse du temps pour bosser au black

Un parent seul qui perçoit pas de pension alimentaire peut percevoir 86euros par enfant à charge, donc Salima a 86 X 4 en plus de ce qui est mentionné

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Autrefois, la contraception était rudimentaire. Autrefois, il était très mal vu d'avoir un enfant ou même de vivre avec quelqu'un sans être mariés. Autrefois, le divorce était très rare et très mal vu. Autrefois, le mari et l'épouse prennaient chacun une maitresse ou un amant mais le cercle familial continuait à assurer l'avenir des enfants sans qu'on ait besoin d'un juge aux affaires familiales ou d'un état reversant une rente.

Mais, c'est vrai, nos grand-parents étaient des sales cons qui ne comprenaient pas les choses importantes comme le féminisme (qui est le principal pouvoyeur de foyers monoparentaux et qui a surtout libéré l'homme de ses obligations familiales), la libéralisation des moeurs, et les "droits à".

On ne peut pas déplorer les effets dont on chérit les causes.

Les gens ont, grosso modo, ce qu'ils méritent…

Je comprends pas ce que tu veux dire parce que tu mélanges un peu tout

Je dis pas c'était mieux ou pire avant, c'était différent, c'est tout

Je ne défends pas les rentes versées par l'état, loin de là, je parle d'assumer ses responsabilités lorsqu'on a fait des enfants, aussi bien pour le père que pour la mère

Et non, ce n'est pas vrai de dire que les gens ont grosso merdo ce qu'ils méritent. Quand tu fais un choix, tu en assumes les conséquences, soit, mais quelquefois, le choix peut t'être imposé par un tiers, comme le cas du parent qui se fait planter par l'autre parent, et ça, même au siècle dernier, ça devait exister, non ? Y avait pas l'état providence mais la charité et la solidarité familiale ou je ne sais quoi d'autre

Salima, elle a choisi de s'arêter de bosser pour élever son dernier gamin et aujourd'hui elle "assume" mais pas trop, les conséquences de ce choix, sauf que c'est la caf qui raque. C'est clair que moi, j'aurais préférer continuer de bosser ! Mais ptêt que son mari s'est barré sans qu'elle le veuille

En tous cas, j'ai pas envie de la plaindre, ça c'est clair, des Salima j'en recevais des paquets de douze dans mon bureau, merci bien

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Et enfête, puisqu'elle ne travaille pas pourquoi continuer à habiter en région parisienne ? Les loyers sont surement moins chers dans les petites villes de province.

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En 5 ans, sa fille de 15 peut très bien avoir un boulot, soit "fixe" soit comme étudiante (j'ai bien bossé 20/h semaine à coté de mes études pour prendre en charge mon loyer et ma bouffe) et aider sa maman.

On peut aussi penser qu'en 5 ans, des associations se seront mises en place pour venir en aide a ce genre de famille, association auxquels je serais heureux de participer financièrement, comme j'en suis sur, nombre d'entre vous.

Mais, ça doit se faire dans le cadre d'une libéralisation totale et générale, si on coupe les allocs et qu'on ne fait rien d'autre, il y a de forte chance pour qu'elle finisse à la rue, vu la situation du travail et la mentalité des gens actuellement.

On est d'accord. 5 ans sur le principe, c'est largement faisable sur le papier, mais il faut changer assez radicalement la mentalité des gens.

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Ça peux changer très vite si tu coupes les allocs. Les gens sont généreux, les ONG, malgré toutes les conneries qu'on sait qu'elles font, débordent de millions. Chaque catastrophe naturelle est l'occasion de voir encore les millions (milliards ?) fleurirent de partout. Je ne suis pas totalement sur que l'Homme ne soit qu'un loup pour l'Homme, et sans aller jusqu'a penser qu'il est naturellement bon, je pense qu'une fois qu'il aura compris que super-nounou aka Etat demandera aux citoyens de se prendre en main et de ne plus être chouchoutés, il se prendra en main.

Mais je le redis, dans un contexte de libéralisation large.

Rien ne m'énerve plus que de voir une certaine droite couper dans le social sous prétexte d'abus et d'Etat-providence en faillite, pour ne rien faire dans l'autre sens qui permettrais à ses gens de trouver un boulot facilement. J'estime que c'est purement criminel.

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