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Gestation pour autrui  

117 membres ont voté

  1. 1. Gestation pour autrui

    • Interdiction pénale (situation actuelle)
    • Dépénalisation i.e "laissez faire"
    • Légalisation avec son arsenal d'ingénierie sociale
    • Légalisation avec un minimum de règles légales pour éviter l'échope Bvd Voltaire
    • Ne se prononce toujours pas (je préfère les playmates)


Messages recommandés

Il n'y a que les gauchistes pour préférer tuer un enfant plutôt qu'en voir céder le droit de garde contre argent à des parents désireux de l’éduquer...

Je ne voulais pas partir sur le sujet tabou,  mais +1 évidemment.

 

Ce qui me gène un peu, n'est pas le coté argent, mais le coté eugénisme.

Un minimum d'encadrement et d’anonymat type grossesse et accouchement sous X me paraissent souhaitables.

Adoption, pma, gpa, toussa procède de la même idée : le droit à l'enfant

Dans le cadre des enquêtes d'adoption, c'est déjà très présent, ce discours des "candidats" relevant en étant l'illustration, dans leur demande d'un enfant comme ci et comme ça, et pas handicapé, et blanc, ou jaune mais pas noir, un peu comme si on allait au marché, quoi.

Argument intéressant.

Ceci dit, cette tendance est justifiable dans une certaine mesure (c'est quand même compréhensible quand on est blanc de souhaiter un enfant blanc... sans aller jusqu'à choisir la couleur des yeux, le QI etc.) et contournée par la GPA (dans ce cas ceux qui "adoptent" sont les parents génétiques, donc ils n'ont pas à se plaindre de la qualité de leurs propres gamètes).

 

Non, franchement, déjà l'adoption me posait des questions quant aux modalités de cet agrément validé par des personnes telles que moi, ce qui est inepte dans le principe, alors les autres méthodes, je vois pas où se situe le progrès, si on doit parler de progrès, avec le corollaire de lois et décrets et tout le bazar.

Je ne crois pas qu'il faille considérer ça comme un progrès, c'est juste un moyen différent.

Moyen qui n'aurait peut-être pas à être utilisé dans le cadre d'un marché libre de l'abandon/adoption (voilà pour mon côté libéral mangeur d'enfants).

 

je considère qu'un enfant n'est vraiment ton enfant biologique que si toute la chaîne est réunie (conception par un acte d'amour, attente et vécu de la grossesse, accouchement). Et que donc tout autre solution sera une parentalité différente (au rabais, si vous voulez).

Dans ce cas, les "vrais enfants biologiques" ne courent pas les rues. Bref, ça n'a pas vraiment d'intérêt de décerner des labels dans ce domaine.

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Ah bon? Il a fallu le législateur pour que deux homos veuillent créer une famille?

Tu es sûr que ça n'existe pas déjà depuis un bail?

 

ça existait sûrement dans l'intimité de la sphère domestique, la littérature offre une panoplie d'exemples d'hommes élevés par des femmes, mais les gens qui le faisaient ne s'organisaient pas en groupes d'oppression, n'exigeaient pas des privilèges catégoriels et la redéfinition de la parentalité à l'aide de tout un arsenal législatif, d'usines à gaz pour tous, ou de marches citoyennes pour l'égalité.

 

Autrement dit le drame de cette inflation législative actuelle et des revendications bruyantes de la corporation homosexuelle, c'est de régler à coups de marteaux et de bâtons des problèmes qui pourraient se régler autrement plus dignement dans la discrétion, la décence commune et le silence de la loi.

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La nature même de la gpa fait qu'il ne s'agit pas de l'interdire, mais bien de créer son champ d'application de toute pièce. 

La GPA amène à se poser une question similaire à celle qui concerne les hommes : le père est-il le père génétique ou celui qui l'a reconnu. Pour moi, ce sont les deux et il y a un conflit potentiel si l'un ne reconnaît pas le droit de l'autre. Et l'un et l'autre peuvent renoncer à leur autorité et responsabilité parentale si l'intérêt de l'enfant n'est pas bafoué. Pour les mères, l'une et l'autre sont mères, et si l'on considère que la fonction maternelle ne se partage pas, une des deux devra s'effacer d'une certaine manière.

 

Et pour ce qui est de donner la possibilité à ces pauvres femmes d'avoir un enfant "à elles" et à ces pauvres hommes d'avoir un enfant "de leur femme" (sortez les violons)...

Ce ne sont pas des cas fictionnels pour provoquer l'émotion. Ma femme et moi n'avons pas été loin d'être dans cette situation. Une opération sur son utérus a permis de corriger l'impossibilité. On a joué à Dieu sur le coup, heureusement, parce que, le très-haut, il avait bien déconné ! Plus généralement, "jouer à Dieu", c'est ce que fait la médecine tous les jours pour le plus grand bien de l'humanité.

 

je considère qu'un enfant n'est vraiment ton enfant biologique que si toute la chaîne est réunie (conception par un acte d'amour, attente et vécu de la grossesse, accouchement). Et que donc tout autre solution sera une parentalité différente (au rabais, si vous voulez). Si vous ne me suivez pas sur cette partie du raisonnement, c'est sûr que la suite vous paraîtra difficile à admettre.

Je comprends cette opinion, mais à moins que tu veuilles interdire aussi l'adoption, je ne vois pas en quoi elle comporterait le moindre intérêt dans cette discussion.

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ça existait sûrement dans l'intimité de la sphère domestique, la littérature offre une panoplie d'exemples d'hommes élevés par des femmes, mais les gens qui le faisaient ne s'organisaient pas en groupes d'oppression, n'exigeaient pas des privilèges catégoriels et la redéfinition de la parentalité à l'aide de tout un arsenal législatif, d'usines à gaz pour tous, ou de marches citoyennes pour l'égalité.

.

Je veux pas me faire l'avocat du diable, mais ils avaient pas trop intérêt non plus, sinon ils passaient un très mauvais moment.

Ceci dit je suis d'accord avec toi ça devrait se régler dans le silence.

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Si c'est contractuel, parler d'enlèvement par la force n'a aucun sens.

 

Il faut bien une autorité pour faire respecter les termes du contrat, qui peut faire usage de la force le cas échéant. Ça rejoint un post précédent qui arguait assez justement que l'usage de la force pour faire respecter les termes de certains contrats n'était pas souhaitable.

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Il faut bien une autorité pour faire respecter les termes du contrat, qui peut faire usage de la force le cas échéant. Ça rejoint un post précédent qui arguait assez justement que l'usage de la force pour faire respecter les termes de certains contrats n'était pas souhaitable.

Ha, le relativisme, c'est bien maintenant?

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Ha, le relativisme, c'est bien maintenant?

 

Hmmm je ne suis pas sûr qu'il s'agisse de relativisme. Dans ce cas précis, le contrat est passé entre deux entités : le couple aspirant à la parentalité et la gestatrice. Il existe néanmoins une troisième entité qui est concernée par le contrat mais qui n'en est pas signataire : l'enfant. Le problème se pose quand les intérêts de l'enfant sont contraires à ce qui est spécifié dans le contrat...

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GPA ≠ mise en nourrice.

 

Dans le 1er cas je passe commande d'un enfant, dans l'autre je demande à une femme de s'en occuper pendant un certains temps. Dans le 1er la mère abandonne son enfant contre une rémunération. Dans le 2nd la mère reçoit un service de garderie qu'elle paye. J'adore les confusions que je vois ici.

 

La GPA est un superbe symbole de constructivisme social. D'une situation naturelle (père-mère-enfantsà on utilise les technologies pour bidouiller n'importe quoi avec l'être humain sans que l'individu concerné (l'enfant) voit ses propres droits respectés. Bien entendu, pour ne pas choquer, on essaye de mettre des mots qui changent le sens de la vente. Ainsi la mère porteuse ne doit être en aucun cas la mère (bouh la parenté biologique so conservative) mais simplement une prestataire de service. L'enfant devient un bien comme un autre que l'on peut vendre et acheter tant que cela ne nuit pas aux droits des adultes. 

 

Peut être me manque il un uppgrade dans mon logiciel libéral mais j'ai un bien trop grand respect envers l'être humain et son inaltérable dignité pour m'amuser au mécano sociétal avec lui. 

 

Le libéralisme est basé sur le laissez faire mais pour poussez le laissez faire jusqu'au bout de l'absurde on a besoin de recourir au constructivisme social. La prudence, la raison, la sagesse on jette tout cela pour laissez triompher le désir de quelques extrémistes progressistes. 

 

"Penchant à conserver, talent d'améliorer " Edmund Burke, à méditer

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Il n'y a que les gauchistes pour préférer tuer un enfant plutôt qu'en voir céder le droit de garde contre argent à des parents désireux de l’éduquer...

 

Comment ça ? Dans le cadre de la GPA, la mère porteuse est nécessairement distincte de la mère génétique, donc il ne peut pas y avoir de lien avec l'avortement.

Il y aurait un lien si l'accouchement sous X était rémunéré, par exemple.

 

 

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Je veux pas me faire l'avocat du diable, mais ils avaient pas trop intérêt non plus, sinon ils passaient un très mauvais moment.

Ceci dit je suis d'accord avec toi ça devrait se régler dans le silence.

 

OK mais le concept de GPA et l'excitation legislative des groupes de pression contemporains dans le cadre d'un etat francais debilement omnipresent sont deux choses differentes.

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Comment ça ? Dans le cadre de la GPA, la mère porteuse est nécessairement distincte de la mère génétique, donc il ne peut pas y avoir de lien avec l'avortement.

Il y aurait un lien si l'accouchement sous X était rémunéré, par exemple.

 

il n'y en a pas, c'est du trollage.Les gauchistes voient l'enfant une fois ne et l'embryon avortable comme deux choses differentes, ils les traitent donc differemment.Je ne pense pas que l'objet de ce fil soit un debat sur l'existence de ces deux definitions ni leur nature.

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GPA ≠ mise en nourrice.

 

Dans le 1er cas je passe commande d'un enfant, dans l'autre je demande à une femme de s'en occuper pendant un certains temps. Dans le 1er la mère abandonne son enfant contre une rémunération. Dans le 2nd la mère reçoit un service de garderie qu'elle paye. J'adore les confusions que je vois ici.

 

La GPA est un superbe symbole de constructivisme social. D'une situation naturelle (père-mère-enfantsà on utilise les technologies pour bidouiller n'importe quoi avec l'être humain sans que l'individu concerné (l'enfant) voit ses propres droits respectés. Bien entendu, pour ne pas choquer, on essaye de mettre des mots qui changent le sens de la vente. Ainsi la mère porteuse ne doit être en aucun cas la mère (bouh la parenté biologique so conservative) mais simplement une prestataire de service. L'enfant devient un bien comme un autre que l'on peut vendre et acheter tant que cela ne nuit pas aux droits des adultes. 

 

Peut être me manque il un uppgrade dans mon logiciel libéral mais j'ai un bien trop grand respect envers l'être humain et son inaltérable dignité pour m'amuser au mécano sociétal avec lui. 

 

peut-etre te manque t-il des exemples reels pour voir si a un moment dans ton resume tu n'as pas caricature ou deforme une realite dont, de plus, un nombre probablement grand d'autres parametres t'a echappe, vu que tu n'a pas meme cotoye la situation dans le monde reel.Par ce que c'est bien du monde reel qu'on parle, pas du Grand Repertoire Bibilique Des Concepts Liberaux Purs

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TOMMY_LEE_NCFOM.jpg

je lis tres souvent des commentaires de conservateurs qui confondent homosexualite et toutes sortes de perversions et tares mentales.Ca n'est pas a leur honneur.

C'est les lobby ghay qui ont commencés, je n'aime pas cette réécriture de l'histoire de la "révolution sexuelle" occultant le fait que des choses aujourd'hui totalement tabou (bien plus que l'homosexualité a quasiment toutes les époques) étaient défendues avec ferveur comme faisant logiquement partie de la grande entreprise d'émancipation prog.

Bien sur que les homos ne sont pas des violeurs d'enfants, mais les lobby émancipateurs et pourfendeurs du passé rétrograde, artistes, journalistes, politiques, se revendiquent tous d'une histoire, d'un mythe dont ils effacent de façon commode leurs échecs pour faire passer la pilule du sens inéluctable de l'histoire.

La preuve est faite que ce sens n'a strictement rien d'inéluctable et que rien ne permet d'affirmer que nos petits enfants seront nécessairement dans le camp du bien du jour.

Ça fait mal de le rappeler, mais je ne vais pas m'en priver sous prétexte que ça fait mal, nos beaux et courageux esprits libérateurs incorruptibles, avant garde du futur radieux et orgiaque, sont bien prompts a la fermer devant la foule réactionnaire quand celle ci existe au delà de leurs fantasmes et de leurs hommes de paille.

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peut-etre te manque t-il des exemples reels pour voir si a un moment dans ton resume tu n'as pas caricature ou deforme une realite dont, de plus, un nombre probablement grand d'autres parametres t'a echappe, vu que tu n'a pas meme cotoye la situation dans le monde reel.Par ce que c'est bien du monde reel qu'on parle, pas du Grand Repertoire Bibilique Des Concepts Liberaux Purs

 

Quels paramètres?

 

Si couple hétéro non stérile ==> GPA inutile

 

Si couple hétéro stérile => PMA (d'où le médical) => adoption ==> GPA est en trop

 

Si couple homosexuel => naturellement stérile pk détourner la science pour faire du constructivisme sociétale ?

 

Les gens abusent de leur liberté soit, pourquoi faire de cet abus une norme reconnue? 

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GPA ≠ mise en nourrice.

 

Techniquement, c'est argumentable.

 

Dans le 1er cas je passe commande d'un enfant, dans l'autre je demande à une femme de s'en occuper pendant un certains temps. Dans le 1er la mère abandonne son enfant contre une rémunération. Dans le 2nd la mère reçoit un service de garderie qu'elle paye. J'adore les confusions que je vois ici.

 

C'est toi qui voit la GPA comme 'passer une commande', pas ceux qui en ont besoin : l'abject est dans le regard et pas dans l'action dans ce cas.

 

La GPA est un superbe symbole de constructivisme social.

 

idem, pas besoin de me répéter.

 

D'une situation naturelle (père-mère-enfants

 

Petite mise en garde : poursuivre cet argument te mènera tout droit au spencerisme.

 

on utilise les technologies pour bidouiller n'importe quoi avec l'être humain sans que l'individu concerné (l'enfant) voit ses propres droits respectés.

 

Là on touche le coeur du problème : les droits de l'enfant. Sont-ils mieux respectés quand la procréation est 'biologique' ? Est-il plus épanouit ?

Les droits de l'enfant sont respectés quand les personnes qui élèvent cet enfant l'aiment et sont en mesure de l'élever en sécurité. Ceci n'a aucun, aucun rapport avec la méthode utilisée pour la procréation. Rien, niet, nada. Accorder de l'importance à la méthode qui abouti à la naissance d'un être humain ne présume en rien de son bonheur futur. L'histoire est pleine de cas amplement explicatifs sur ce point.

 

Bien entendu, pour ne pas choquer, on essaye de mettre des mots qui changent le sens de la vente. Ainsi la mère porteuse ne doit être en aucun cas la mère (bouh la parenté biologique so conservative) mais simplement une prestataire de service. L'enfant devient un bien comme un autre que l'on peut vendre et acheter tant que cela ne nuit pas aux droits des adultes. 

 

Qui met les termes 'vendre' et 'acheter' dans la discussion ?

 

Peut être me manque il un uppgrade dans mon logiciel libéral mais j'ai un bien trop grand respect envers l'être humain et son inaltérable dignité pour m'amuser au mécano sociétal avec lui. 

 

Bis repetita : la dignité humaine c'est la porte qui donne sur le spencerisme.

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Does not compute : l'objet c'est la procréation, le sujet c'est l'enfant. Si tu compares deux objets tu n'es pas subjectif...

 

Si, c'est pas une question d'objet, c'est une question de sujet. Et le sujet c'est moi, dés lors que j'émet une opinion que je ne prend pas la peine de justifier par des éléments objectifs, j'assume qu'il s'agit de subjectivité.

 

Subjectivité dans ce cas : Qu'est-ce qui est mieux pour l'enfant ?

 

La question n'est pas de savoir ce qui est "mieux" pour l'enfant. Je vois que j'ai d'un côté une mère qui a porté son enfant, et une autre qui ne la pas porté, la parenté de la seconde est clairement inférieure.

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Ce qui me gène un peu, n'est pas le coté argent, mais le coté eugénisme.

Un minimum d'encadrement et d’anonymat type grossesse et accouchement sous X me paraissent souhaitables.

 

Je ne vois pas le problème. Si ça c'est de l'eugénisme, alors la totalité de l'humanité est eugéniste. 

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Dans le 1er cas je passe commande d'un enfant, dans l'autre je demande à une femme de s'en occuper pendant un certains temps. Dans le 1er la mère abandonne son enfant contre une rémunération. Dans le 2nd la mère reçoit un service de garderie qu'elle paye. J'adore les confusions que je vois ici.

 

Le fait qu'elle porte l'enfant n'en fait pas la mère, tant qu'elle ne partage pas l'ADN. Ce n'est donc pas son enfant.

 

Il faut bien distinguer le cas ou la porteuse est mère biologique ou pas. 

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Techniquement, c'est argumentable.

 

Vas y explique comment GPA = mise en nourrice

 

C'est toi qui voit la GPA comme 'passer une commande', pas ceux qui en ont besoin : l'abject est dans le regard et pas dans l'action dans ce cas.

 

GPA = je veux un enfant donc je cherche qq un qui acceptera d'en porter un pour moi. Pour l'instant c'est artisanal mais je sens qu'il y a un beau petit buisness juteux à monter pour profiter du marché.

 

 

Petite mise en garde : poursuivre cet argument te mènera tout droit au spencerisme.

Bis repetita : la dignité humaine c'est la porte qui donne sur le spencerisme.

 

 

 

donc si je fais rien et respect la dignité humaine je fais du darwinisme sociétale

 

Si je bidouille la société je suis libéral 

 

 

Belle argumentation

 

 

Là on touche le coeur du problème : les droits de l'enfant. Sont-ils mieux respectés quand la procréation est 'biologique' ? Est-il plus épanouit ?

Les droits de l'enfant sont respectés quand les personnes qui élèvent cet enfant l'aiment et sont en mesure de l'élever en sécurité. Ceci n'a aucun, aucun rapport avec la méthode utilisée pour la procréation. Rien, niet, nada. Accorder de l'importance à la méthode qui abouti à la naissance d'un être humain ne présume en rien de son bonheur futur. L'histoire est pleine de cas amplement explicatifs sur ce point.

 

Heu si la conception de l'enfant joue sur son épanouissement. Le côté feuille vierge sur lequel on met ce que l'on veut est un peu daté. Mais si tu as raison c'est une bonne nouvelle, que je sois issu d'une GPA ou d'un viol je me porterai aussi bien que si je suis venu dans des conditions classique (un relation d'amour tout bêtement, que veux tu j'ai un vieux fond de romantisme)

 

 

Qui met les termes 'vendre' et 'acheter' dans la discussion ?

 

Désolé mais je n'ai pas installé un logiciel de novlangue

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Vas y explique comment GPA = mise en nourrice

 

C'est simplement analogue, dans les deux cas on a une femme qui n'est pas la mère biologique qui prend le rôle de la mère pour un cas particulier. 

Mais que l'on parle de mère porteuse ou de mère de lait, il est impropre de considérer l'enfant comme étant le sien. 

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