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Gender studies & applications


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Si c'était vrai il n'y aurait jamais eu d'armée nazi et d'armée rouge ;-)

 

Aucun rapport.

Les Nazi et les Rouge ont put faire ce qu'ils ont fait parce qu'ils ont amenés en plus de la propagande massive et permanente (a un niveau sans rapport au nôtre), la répression massive et la terreur. Et même sous ces régimes, des gens ont continués à ne pas y croire.

 

 

Oui, et c'est parce qu'ils ont un environnement qui les pousse à cela (famille, internet, proches, etc). Règles le problème familiale - en travaillant les futurs parents dès aujourd'hui - et c'est 1/3 du boulot fait demain.

 

Tu te mords la queue. Les adultes de demains ont aussi les parents d'aujourd'hui pour pousser dans l'autre direction. Pas toujours, mais quand même.

Et puis tes enfants ils peuvent aussi apprendre tout seuls et se rendre comptes qu'ils ont appris de la merde. Ça s'appelle de l'esprit critique, et un certain nombres de ceux qui sont ici le sont précisément parce qu'ils ont sus, à un moment, s'en servir vis à vis de ce qu'on leur avait appris depuis toujours.

 

 

Maintenant ça reste une chose abjecte que ces salopards décident "d'éduquer" ainsi nos mômes sur des choses qui ne devraient en aucun cas les concerner. Mais ça ne justife pas qu'on aille fricoter avec des soraliens, extrême-droiteux et autre printemps-francistes sous prétexte qu'ils s'y opposent aussi; parce que pour eux le problème, c'est pas que l'Etat se permette d'embrigader les enfants mais que ce soit la propagande de la chapelle d'en face.

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Aucun rapport.

Les Nazi et les Rouge ont put faire ce qu'ils ont amenés en plus de la propagande massive et permanente (a un niveau sans rapport au nôtre), la répression massive et la terreur. Et même sous ces régimes, des gens ont continués à ne pas y croire.

 

Parce que huit heures par jour (ou même 3-4 ça change rien) et sur des millions de personnes c'est pas de la propagande massive et permanente peut-être ? sur des enfants, en plus.

 

 

Et puis tes enfants ils peuvent aussi apprendre tout seuls et se rendre comptes qu'ils ont appris de la merde.

 

Ah bon, sur 10 millions, combien ?

 

parce que pour eux le problème, c'est pas que l'Etat se permette d'embrigader les enfants mais que ce soit la propagande de la chapelle d'en face.

 

Là tu caricatures la position de Belgoule.

 

-1 :icon_wink:

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Parce que huit heures par jour (ou même 3-4 ça change rien) et sur des millions de personnes c'est pas de la propagande massive et permanente peut-être ? sur des enfants, en plus.

 

Mettre sur le même plan les conneries constructivistes de l'EdNat (parce que l'enseignement en questions visiblement ça serait au mieux quelques heures dans le mois si j'ai bien entendu) avec la propagande nazie ou communiste c'est vraiment ridiculiser les victimes de celle-ci. On te parles pas de quelques heures de cours dans le mois à l'école; on te parle d'affiches de plusieurs mètres placardées tout le long des rues, de défilés de militaires, de contrôle total de la presse et des médias, de culte du chef, de ministère de la propagande et de police politique.

Alors inutile de venir me parler à moi de caricaturer des positions et arrête de dire des conneries s'il te plaît.

 

 

Là tu caricatures la position de Belgoule.

 

-1 :icon_wink:

Je sais pas qui sait et je m'en branle l'anus avec un poteau téléphonique. Ce que je vois, c'est que du point de vue "objectif" on pourrait faire de l'extrême-droite nos alliés (temporaires il est vrai), mais non, faut pas déconner non plus et oublier a qui on serre la pince.

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Mettre sur le même plan les conneries constructivistes de l'EdNat (parce que l'enseignement en questions visiblement ça serait au mieux quelques heures dans le mois si j'ai bien entendu) avec la propagande nazie ou communiste c'est vraiment ridiculiser les victimes de celle-ci. On te parles pas de quelques heures de cours dans le mois à l'école; on te parle d'affiches de plusieurs mètres placardées tout le long des rues, de défilés de militaires, de contrôle total de la presse et des médias, de culte du chef, de ministère de la propagande et de police politique.

 

Tu es bien gentil mais c'est toi qui la ramène avec tes propos bisounours d'une incroyable naïveté :D la manipulation et la propagande n'aurait aucun effet sur l'être humain, selon toi, pour résumer. Il te manque les défilés militaires et les bruits de bottes pour faire le symétrique ?

 

 

Alors inutile de venir me parler à moi de caricaturer des positions et arrête de dire des conneries s'il te plaît.

 

Détend toi un peu, s'il te plait aussi.

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Un élément qui montre comment le constructivisme de la théorie du genre peut se retourner contre ses objectifs égalitaristes : si l'on choisit son sexe et son orientation, si la sexualité n'est pas innée mais culturellement acquise, alors on peut imaginer guérir l'homosexualité par une éducation et des thérapies comportementales adaptées. 

 

 

le 30 jan 2014 à 0:14 par Philippe Simonnot dans Poing de vue

 

Adler : L’homosexualité comme échec de l’éducation
 
(...) La thèse erronée d’une homosexualité innée
 
La thèse d’une « homosexualité innée » est « erronée » et ne résiste pas à un examen approfondi, selon Adler :
 
1) Ce ne sont pas les faits organiques qui déterminent l’attitude érotique mais la manière subjective dont le sujet comprend son entité somatique et l’usage qu’il en fait. Un appareil génital atrophié et inutilisable ne laisse déceler aucune tendance homosexuelle. […] La plupart des homosexuels ont un aspect normal, certains même se présentent comme des types remarquables de leur sexe. »
2) Attitudes théâtrales, conduite maniérée, regard langoureux, anxiété feinte, besoin d’appui, coquetterie, attitude mâle, cynisme, brutalité ou autorité sont des emprunts réalisés dans un but donné. Il n’est donc pas étonnant qu’on puise reconnaître l’homosexuel d’après sa conduite et encore moins étonnant que les homosexuels se reconnaissent entre eux.
3) Les anomalies des organes sexuels se trouvent avec la même fréquence chez les sujets hétérosexuels « L’homosexualité est une tentative de solution effectuée par un homme faible qui essaie d’esquiver le problème sexuel. […] Un phimosis ou un clitoris hypertrophié n’est jamais un facteur déterminant de l’homosexualité. Cette anomalie peut, par contre, avoir son importance pour créer chez le sujet une opinion erronée sur son état sexuel selon laquelle il serait mal conçu pour pouvoir suivre la norme. »
4) Prendre le dédain prématuré du sexe opposé comme cause de l’homosexualité est une « observation superficielle ».
5) L’apparition de rêves homosexuels est à comprendre comme « une tentative [du sujet] pour favoriser une tendance homosexuelle ». Adler s’oppose ici frontalement à Freud.
6) Une éducation « maladroite » peut être cause d’homosexualité. « On doit considérer l’homosexualité comme un échec de l’éducation sociale de l’individu. Étant donné qu’il est l’extériorisation du grand découragement et du profond pessimisme en fonction desquels le sujet s’explique avec la vie dans un cercle très étroit et loin du sexe opposé, toute aggravation des conditions de vie, toute croissance du sentiment d’insécurité dans les rapports inter humains augmenteront le nombre des homosexuels et feront de l’homosexualité un phénomène collectif. » […] Le fait que la femme « passe au premier rang de la vie publique » peut être un facteur aggravant. […] « L’éducation de notre progéniture en vue du mariage est mauvaise et insuffisante. »
 
Guérir ?
 
Peut-on « guérir » de l’homosexualité ? « Les chances de réussite du traitement sont aujourd’hui très défavorables », estime Alfred Adler. « On réduira notre problème à cette question : quelle certitude avons-nous de réussir lorsque nous nous efforçons de transformer un poltron adulte en un sujet courageux, car c’est à cela que se résume le traitement de l’homosexualité, avec cette réserve que cette lâcheté est dans ces cas tout-à-fait camouflée. »
 
Le traitement adlérien de l’homosexualité doit
1) déraciner les anciennes conceptions concernant les dangers de l’hétérosexualité.
2) prouver rigoureusement la distance qui sépare le sujet de son partenaire sexuel
3) dévoiler la ligne de conduite antisociale du sujet
4) découvrir le but de la supériorité auquel tend le malade et détruire cette fiction utopique.
 

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/30-01-2014/adler-lhomosexualite-comme-echec-de-leducation

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je suis un peu decu je l'avais deja dit ici et personne n'avait rien remarque.

troll de combat mais Adler dit tout de meme de belles conneries.A se demander s'il a deja rencontre plus d'un homo.

Les psychanalystes n'ont pas besoin de rencontrer beaucoup de cas pour élaborer leurs théories. Et plus ils sont brillants, moins ils ont besoin de cas différents. Ca culmine avec Freud, qui au pire avait besoin d'un cas unique, et au mieux n'en avait même pas besoin pour pondre une théorie.
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Voici un texte extrêmement intéressant :

 

 

Une éducation sexuelle spécifique dans l'enseignement catholique?

05 MAI 2010 |  PAR CLAUDE LELIÈVRE

Pour la première fois de son histoire, l’enseignement catholique a promulgué le 16 avril un document consacré à «l’éducation affective, relationnelle et sexuelle dans les établissements catholiques d’enseignement».

Pour apprécier l’événement, il faut savoir que lorsque la question de l’éducation sexuelle à l’Ecole a été posée dans les années qui ont suivi Mai 68, certaines fédérations de parents d’élèves sont alors montées au créneau avec des attendus significatifs.

Ainsi la Fédération de Paris des Associations de parents d’élèves de l’enseignement libre a incriminé " le processus inéluctable qui transforme le projet de l’Education nationale en une vaste entreprise de libération sexuelle " (communiqué du 20 février 1973). Et l’Union nationale des associations des parents d’élèves autonomes a tenu à distinguer " l’information sexuelle " qui peut être donnée à l’école à condition qu’elle ne fasse pas intervenir de jugement moral, et " l’éducation sexuelle " qui est liée à des options philosophiques et religieuses ; en concluant qu’ " une éducation sexuelle à l’école qui respecte le principe de laïcité estimpossible " (communiqué du 29 janvier 1973).

Finalement, le ministre de l’Education nationale d’alors, Joseh Fontanet – un ‘’démocrate chrétien’’ – a décidé en juillet 1973 d’opérer un clivage fondamental entre " l’information sexuelle " (obligatoire, intégrée aux programmes, pour tous les élèves) et "l’éducation sexuelle " (facultative, soumise à l’autorisation des parents pour le premier cycle).

Il y a sans doute plusieurs raisons qui ont amené l’enseignement catholique a élaborer ce document d’ " orientation " de 45 pages issu de dix-huit mois de travail d’une commission présidée par son secrétaire général adjoint, Claude Berruer. Mais on peut penser que la principale se trouve dans le fait que le ministère de l’Education nationale a décidé en 2003 que l’ " éducation sexuelle" (et non seulement " l’information sexuelle ") devait être désormais obligatoire.

La circulaire du 17 février 2003 indique que la loi du 4 juillet 2001 relative à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception a " confié à l’école une mission éducative dans le champ bien spécifique de l’éducation à la sexualité ". Et cette circulaire précise que cela implique " une nécessaire cohérence entre les adultes participant au respect des lois et des règle de vie en commun qui s’exercent aussi bien dans le cadre de la mixité que de la lutte contre les violences sexistes et homophobes contraires aux droits de l’homme ".

Cette circulaire ministérielle de février 2003 est un texte de référence ambitieux en matière d’éducation sexuelle puisqu’il s’agit de rien moins que d’apprendre à identifier et à intégrer les différentes dimensions de la sexualité humaine, biologique, affective, psychologique, juridique, sociale, culturelle et éthique ; et de développer l’exercice de l’esprit critique.

On ne saurait trop souligner par ailleurs que cela peut et doit être mis en œuvre dans le cadre même des enseignements en classe, dans différentes disciplines : " Les programmes des différents champs disciplinaires ( tels que la littérature, l’éducation civique, les arts plastiques, la philosophie, l’histoire, l’éducation civique juridique et sociale.. ) offrent, dans leur mise en œuvre, l’opportunité d’exploiter des textes et des supports en relation avec la sexualité selon les objectifs précédemment définis ".

Les établissements catholiques sous contrats (c’est à dire presque tous) vont donc se retrouver avec deux textes de références en matière d’éducation sexuelle. On le sait, le principe de base de la loi Debré régissant les établissements privés sous contrat est que l’établissement a un caractère " propre ", mais que l’enseignement (donné dans les classes) doit être le même que dans les établissements publics.

En principe donc, le texte d’orientation du 17 avril 2010 de l’enseignement catholique devrait être la référence pour le caractère " propre " de l’établissement. Et la circulaire ministérielle du 17 février 2003, le texte de référence pour l’enseignement donné dans les classes des établissement catholiques sous contrats.

Mais est-il vraiment possible que " l’orientation " du texte sur l'éducation sexuelle (c'est un texte dit d'''orientation'') préconisée par les dirigeants de l'enseignement catholique pour les établissements ne diffuse pas aussi dans l’enseignement proprement dit, dans les classes des établissements catholiques sous contrat ? Si l’enseignement catholique a promulgué ce texte, c’est sans aucun doute que la référence du texte ministériel ne lui convient pas vraiment.

Et il y a bien, dans le document, la revendication explicite d’un projet spécifique : " Le projet spécifique de l’Enseignement catholique attaché à la formation intégrale de la personne humaine, réfère l’éducation affective, relationnelle et sexuelle à une vision chrétienne de l’anthropologie et l’inscrit dans une éducation plus large à la relation qui concerne tout le parcours scolaire ".

" Tout le parcours scolaire ". Dans l’établissement catholique (hors les classes), ou bien dans les classes également ? Quid du cadre de la loi Debré pour les établissements sous contrats ?

 

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Probablement déjà posté, mais voici un article bien senti du point : http://www.lepoint.fr/societe/l-experience-tragique-du-gourou-de-la-theorie-du-genre-31-01-2014-1786513_23.php

Le point semble prendre une approche ouvertement "anti-genre", ce qui est plutôt appréciable.

 

Par contre que cette histoire est triste et à vomir !

Tu sais, il faut lire les posts de Jesrad, il en parle depuis peut-être un an, des expériences de Money.
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Etudier pourquoi les garçons aiment le bleu et les filles le rose, c'est intéressant. Mais prendre ça pour un processus de domination chromatique ou je ne sais quel délire post-marxoïde, c'est des conneries de merde.

Donc non, il n'y a pas que des conneries, mais il y en a quand même une part tout sauf marginale.

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il n'y a personne ici qui pense qu'il n'a pas que des conneries dans les gendre studies?

C'est un champ de recherche en sciences donc a priori c'est neutre.

 

Les études de genre ou gender studies sont un champ d'étude et de recherche interdisciplinaire consacré au genre dans ce qu'il a de socialpolitiqueanthropologique,historiquephilosophique ou artistique1,2.

Le genre est également un domaine d'étude dans de nombreuses disciplines, notamment l'art et l'histoire de l'art, mais également l'histoire, l'anthropologie, la sociologie, lapsychologie ou la psychanalyse. Ces disciplines diffèrent parfois dans leurs approches et dans leurs raisons d'étudier le genre. Mais les études de genre peuvent également être considérées comme une discipline à part entière, au croisement de différentes autres approches disciplinaires.

De manière générale, les études de genre proposent une démarche de réflexion sur les identités sexuées et sexuelles, répertorient ce qui définit le masculin et le féminin dans différents lieux et à différentes époques, et s’interrogent sur la manière dont les normes se reproduisent jusqu’au point de paraître naturelles.

 

 

C'est un champ de recherche comme peut l'être le suivant : quels effets ont les ondes électro-magnétiques sur les tissus humains? Jusque là ça va, mais si tu fais de tes enfants un sujet d'expérience (les exposer à un rayonnement en modulant puissance et longueur d'onde dans tous les sens), ça devient problématique.

 

C'est ce que je comprends de cette controverse.

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