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Je raconte my life 6 - Lamentations & fleurs de lol


FabriceM

Messages recommandés

Mon date s'est bien passé, je suis hors friendzone là c'est bon. Et je la revois après demain. 

:icon_aime2:

 

J'en suis très heureux pour toi c'est ce qui peut t'arriver de mieux :)

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:lol: ça, elle a tiré le gros lot. sur tout les connards de la terre, tomber sur moi, pas de bol. Rires et larmes garantis, meilleur rollercoaster ever  :D Erf

Et là, elle ne le sait pas encore, mais la première nuit, elle ne dormira pas. J'ai pas mal de temps à rattraper. :P

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Et là, elle ne le sait pas encore, mais la première nuit, elle ne dormira pas. J'ai pas mal de temps à rattraper. :P

 

Petit mais endurant.

 

 

Tu n'a as de mauvaises surprises, genre un tatouage de Poutine sur le torse ?

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Petit mais endurant.

 

 

Tu n'a as de mauvaises surprises, genre un tatouage de Poutine sur le torse ?

 

Elle mérite une médaille je suis d'accord. 

 

Pour le reste c'est secret 

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Kikirou est petit mais il est vaillant

 

 

 

Petit mais endurant.

 

 

Tu n'a as de mauvaises surprises, genre un tatouage de Poutine sur le torse ?

 

 

Elle mérite une médaille je suis d'accord. 

 

Pour le reste c'est secret 

 

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Énorme, le site wikiberal est bloqué par le firewall de mon entreprise, motif :

"Hosted on IP controlled by a group or individual known to be malicious"

:lol:

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C'est ici que j'ai le droit de poser une question ? Dites moi si je me trompe de sujet !

 

Pourquoi un patron n'aurait pas le droit de licencier un employer ? Je vois beaucoup de monde se soulever en ce moment parce que telle ou telle entreprise veut licencier mais pourquoi est ce qu'elle n'aurait pas le droit ? Si économiquement elle ne peut plus garder son employé ou même si simplement elle doit réduir ses effectifs pour être plus productive pourquoi elle ne le ferait pas ?

J'ai beaucoup de mal à comprendre les anti-licenciements. Vous imaginez s'il existait une loi anti licenciement ! Toutes les entreprises couleraient !

 

Quelqu'un m'expliquer et peut éclairer ma pensée ? Merci :-)

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1) Dans une France rongée par un État qui ravage l'économie, avoir un emploi devient presque un Graal. Alors les gauchos veulent absolument "défendre" ceux qui ont donc des emplois en interdisant le licenciement.

Plot twist : si l'État n'était pas aussi balèze, après la perte d'un emploi on pourrait en retrouver un relativement facilement (fluidité du marché). En somme pour un libéral le drame n'est pas de perdre son emploi, c'est de ne pas en retrouver un autre.

2) La notion d'entreprise qui serait en difficulté et qui aurait besoin de réduire ses coûts n'existe pas chez les anti-licenciements. Pour eux, tout patron est un bourgeois affilié au grand capital apatride, et quand il renvoie des gens c'est pour faire plus d'argent ou garantir son rapport de domination par le travail. Dès lors, on interdit de licencier pour que le travail devienne un acquis social. Cela permet de renverser la "soumission du travailleur au capital" : le capitaliste devient soumis au travailleur car le capitaliste ne peut plus renvoyer le travailleur en raison d'une législation qui empêche le licenciement.

Plot twist : si ce genre de législation voit le jour plus personne ne créera d'entreprises, celles déjà existantes feront faillite, et donc personne n'aura d'emploi.

 

Ce qui me fait penser à une émission sur je ne sais quelle radio à laquelle avait participé Baptiste Creteur de Contrepoints, face à Nathalie Arthaud.

Baptiste lui répondait "oui mais les entreprises qui licencient ne sont pas tout le temps des grosses multinationales qui font des bénéfices vous savez..."

Et Arthaud ne répondait pas : elle ne pouvait pas concevoir (elle qui est pourtant prof d'économie gestion à l'EdNat) qu'une entreprise peut aussi être une petite PME en difficulté et que pour sauver quarante employés il faut parfois renvoyer un ou deux employés.

 

De manière générale il ne faut pas vraiment chercher d'argumentation chez ces gens-là, leurs propositions politiques se basent sur un ressenti et des automatismes marxistes.

Et ils oublient notre bon vieux Bastiat "ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas". Ce qu'on voit c'est que tous les emplois existants seront conservés, ce qu'on ne voit pas c'est que plus aucune entreprise ne recrutera et que toutes celles déjà existantes courront inéluctablement à la faillite faute de flexibilité.

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Merci pour cette réponse complète. N'empêche que ça me frustre pas mal de ne pas pouvoir en discuter avec ceux qui s'insurgent de ces licenciements. Pourquoi le chef d'entreprise serait forcément un méchant capitaliste ?

Sommes donc nous condamnés à nous taire sous peine de nous faire traiter de bourgeois capitalistes ? :jaifaim: Miam miam moi aussi je dévore les chatons mignons et j'adore ça !

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Dans un pays libéral, les licenciements ne poseraient pas de problème mais soyons réalistes, en France ce serait des milliers, que dis-je?, des centaines de milliers de personnes qui se retrouveraient sur le carreau assez rapidement. Commençons par libéraliser le pays et ensuite seulement on pourra envisager de faire des réformes libérales.

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Dans un pays libéral, les licenciements ne poseraient pas de problème mais soyons réalistes, en France ce serait des milliers, que dis-je?, des centaines de milliers de personnes qui se retrouveraient sur le carreau assez rapidement. Commençons par libéraliser le pays et ensuite seulement on pourra envisager de faire des réformes libérales.

 

Très motivé le gars !

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Dans un pays libéral, les licenciements ne poseraient pas de problème mais soyons réalistes, en France ce serait des milliers, que dis-je?, des centaines de milliers de personnes qui se retrouveraient sur le carreau assez rapidement. Commençons par libéraliser le pays et ensuite seulement on pourra envisager de faire des réformes libérales.

C'est-à-dire?

Pour moi libéraliser le pays ça veut dire s'attaquer au code du travail entre autres, c'est un des gros problèmes avec les réglementations.

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pour moi ca veut dire foutre une bombe a Bercy, a la CGT, et au syndicat du livre.Mais je suis un peu timbre.

 

 

Mais non voyons, ne dis pas cela!

 

 

C'est un bon début. 

 

 

 

"Gilbert, démarre la voiture!"

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