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Je raconte ma life 7 - doigts vélos et pétales de lol


Brock

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ha oui tiens, laspus.

 

quand j'etais ado je regardais les champs verdoyer au dela de ma fenetre et je me repetais souvent cette citation celebre de Lawrence d'Arabie, plein de promesses d'avenir : "casssosssssssssssssss"

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il y zero difference d'approche entre un breton et un picard.

Si, un picard peut attaquer un problème sans s'assurer que tous ceux qui l'entourent soient au courant qu'il est picard.

Et ils font du meilleur café. Et de meilleures frites.

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C'est chiant les calculs dans la vésicule biliaire.

Ça faisait une bonne année que j'avais des douleurs et des renvoi au niveau gastrique. C'était des crises périodiques (~1h avec un cooldown de 1 semaine et déclenchement aléatoire). Je me souviens à l'époque j'étais allé voir mon médecin traitant, très réputée mais aussi devenu totalement sénile, elle s'était moquée de moi. J'avais donc conclu à quelques crises d'aerophagie.

Puis y'a quelques mois une crise a été bien plus violente et ne s'est pas arrêté au bout d'une heure. Je vais donc aux urgences, rebelotte : ils se moquent de moi (parce que le temps d'arriver j'avais moins mal) mais quand même bon réflexe ils proposent une échographie. Hop, calculs+++ mais heureusement aucune complication. Le médecin me dit donc de foncer aux urgences dès que les douleurs reviennent.

Ce que je fis donc jeudi soir (ça arrive tout le temps la nuit), hurlant comme un cochon que l'on égorge. Pas fou, je vais à la clinique à côté de chez moi, pas dans l'hôpital tout pourri. Ils me font une fibroscopie dans la matinée, me prévoyant une ablation pour la fin de la semaine. Je rentre donc chez moi, soulagé, et prévoyant : je vais acheter du pain complet et des courgettes.

Et paf, la douleur revient à 20h encore plus violente et virulente. Je repars donc aux urgences, un habitué, ils me donnent de la morphine et me préparent une chambre.

Et me voilà depuis samedi, j'ai toujours rien mangé (ça se dit "manger du thé"...?) et je prévois de ne rien manger jusqu'à vendredi, au grand plaisir du chirurgien ("ça sera une bonne occasion de faire un régime, haha, lol").

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C'est chiant les calculs dans la vésicule biliaire.

Ça faisait une bonne année que j'avais des douleurs et des renvoi au niveau gastrique. C'était des crises périodiques (~1h avec un cooldown de 1 semaine et déclenchement aléatoire). Je me souviens à l'époque j'étais allé voir mon médecin traitant, très réputée mais aussi devenu totalement sénile, elle s'était moquée de moi. J'avais donc conclu à quelques crises d'aerophagie.

Puis y'a quelques mois une crise a été bien plus violente et ne s'est pas arrêté au bout d'une heure. Je vais donc aux urgences, rebelotte : ils se moquent de moi (parce que le temps d'arriver j'avais moins mal) mais quand même bon réflexe ils proposent une échographie. Hop, calculs+++ mais heureusement aucune complication. Le médecin me dit donc de foncer aux urgences dès que les douleurs reviennent.

Ce que je fis donc jeudi soir (ça arrive tout le temps la nuit), hurlant comme un cochon que l'on égorge. Pas fou, je vais à la clinique à côté de chez moi, pas dans l'hôpital tout pourri. Ils me font une fibroscopie dans la matinée, me prévoyant une ablation pour la fin de la semaine. Je rentre donc chez moi, soulagé, et prévoyant : je vais acheter du pain complet et des courgettes.

Et paf, la douleur revient à 20h encore plus violente et virulente. Je repars donc aux urgences, un habitué, ils me donnent de la morphine et me préparent une chambre.

Et me voilà depuis samedi, j'ai toujours rien mangé (ça se dit "manger du thé"...?) et je prévois de ne rien manger jusqu'à vendredi, au grand plaisir du chirurgien ("ça sera une bonne occasion de faire un régime, haha, lol").

Courage man, quelle galère les ennuis de santé.

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Courage man, quelle galère les ennuis de santé.

Ah mais aucun problème, c'est extrêmement douloureux quand je mange.

Du coup je ne mange pas.

Ce qui m'embête le plus, c'est que ça tombe dans la semaine où j'aurais pu réussir tous les partiels et compenser le ratage total de la semaine dernière.

Mais comme je suis toujours souriant et de bonne humeur je suis "exaspérant" pour mon entourage.

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