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The condition known as “impotence” demonstrates the inscription on individual male bodies of a coital imperative: the surface of the male body interfuses with culture to produce the “fiction” of a dysfunctional nonpenetrative male (hetero)sexuality. The impotent man embodies this cultural narrative; his perceived failure to erect his penis and perform (with it) according to dominant phallocratic notions of healthy male heterosexuality infiltrates his flesh, actions, and thoughts. This article employs feminist poststructuralist discursive analysis to investigate the effect of the metonymic relationship between the penis and the phallus on the cultural construction of male “sexual dysfunctions.” It explores the medicalization of male sexuality, focusing on the impact of so-called “erectile dysfunction” on male bodies and lives; in particular, the use of intrapenile injections as a medical intervention for this “disorder.” It is argued that by relinquishing the penis's executive position in sex, male bodies might become differently inscribed, and coded for diverse pleasures beyond the phallus/penis.

http://jmm.sagepub.com/content/3/1/85.abstract

 

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Enlevé le filtre du journalimse, on a ceci :

- un poivrot tente de peloter une femme

- celle-ci, contre toute attente, se défend et met son agresseur hors d'état de nuire

- ce dernier décède, plusieurs jours après, des violents coups portés

Normalement, la société devrait remercier la demoiselle d'avoir débarrassé la France d'un type lourd, sans savoir-vivre et qui ne tient pas son alcool.

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Enlevé le filtre du journalimse, on a ceci :

- un poivrot tente de peloter une femme

- celle-ci, contre toute attente, se défend et met son agresseur hors d'état de nuire

- ce dernier décède, plusieurs jours après, des violents coups portés

Normalement, la société devrait remercier la demoiselle d'avoir débarrassé la France d'un type lourd, sans savoir-vivre et qui ne tient pas son alcool.

 

C'est un peu disproportionné, la vie de la fille ne semblait pas en danger.

 

On ne connait pas la teneur exacte des actes du mec. Il l'importunait, selon le journal. Verbalement ? Physiquement ?

 

Effectivement, applaudir la mort d'un mec tant qu'on a pas déterminé ça, c'est violent. Mais en prenant la perspective de la femme, ça doit donner quelque chose comme ça :

 

S'il y a un contact physique initié par le mec, ça commence à sentir la tentative de viol. La femme paniquée de voir un mec bourré la peloter ne sait pas s'il est juste con et veut toucher une paire de fesses, ce qui mériterait une bonne rouste, ou s'il compte aller plus loin. Dans le doute, taper fort et vite.

 

Elle aurait pu se contenter de lui péter le nez, mais un homme plus lourd et plus fort qu'elle (a priori) aurait pu se relever et la tabasser même avec un nez pété (premier cours de ju-jitsu de ma vie : ne JAMAIS taper le nez. Ca ne met pas hors combat. Viser le menton, la tempe ou le cou). Donc elle a fait ce qu'elle a pu pour le mettre hors combat.

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Dans le doute, taper fort et vite.

C'est la base.

Et si, à chaque fois qu'un lourd pelotant se faisait taper fort et vite, il y aurait nettement moins de lourds pelotant et le "harcèlement de rue" n'existerait pas, merde.

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Après je lisais des commentaires sous l'article de Libé avec lequel j'étais d'accord : il y a je-ne-sais-combien de femmes tuées par violence domestique chaque année (jour ?) et on en fait pas des articles de presse pour autant.

Là, un meuf se laisse pas faire par un idiot, le mec meurt mais c'était clairement pas volontaire et paf, toute la presse en parle.

 

Après on dira que les féministes exagèrent mais ce traitement de l'info est quand meme particulièrement foireux, spécialement de la part d'un jourmnal de gaumche

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Après je lisais des commentaires sous l'article de Libé avec lequel j'étais d'accord : il y a je-ne-sais-combien de femmes tuées par violence domestique chaque année (jour ?) et on en fait pas des articles de presse pour autant.

Là, un meuf se laisse pas faire par un idiot, le mec meurt mais c'était clairement pas volontaire et paf, toute la presse en parle.

 

Après on dira que les féministes exagère mais ce traitement de l'info est quand meme particulièrement foireux, spécialement de la part d'un jourmnal de gaumche

Elle a frappe un homme pauvre. Et ca, c'est inacceptable.
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C'est la base.

Et si, à chaque fois qu'un lourd pelotant se faisait taper fort et vite, il y aurait nettement moins de lourds pelotant et le "harcèlement de rue" n'existerait pas, merde.

 

But muh NAP!

Joke à part, oui y'a des tartes qui se perdent.

 

Quand hanouna a baisé le nichon d'une de ses invitées sur un plateau de télé en prime, tout le monde à crié au viol patriarchal blanc de droite (et turbo-libéral aussi, je suppose...).

 

Personnellement, je me suis demandé comment un individu normalement constitué ne pouvait pas avoir le réflexe de la gross'tart'automatik dans ta tronche (avec élan...) dans ce genre de situation.

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Après je lisais des commentaires sous l'article de Libé avec lequel j'étais d'accord : il y a je-ne-sais-combien de femmes tuées par violence domestique chaque année (jour ?) et on en fait pas des articles de presse pour autant.

Là, un meuf se laisse pas faire par un idiot, le mec meurt mais c'était clairement pas volontaire et paf, toute la presse en parle.

 

Après on dira que les féministes exagère mais ce traitement de l'info est quand meme particulièrement foireux, spécialement de la part d'un jourmnal de gaumche

 

eh...

 

la violence conjugale est reléguée aux faits divers de façon systématique... Sauf quand c'est des people of course (affaire canta...).

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Enlevé le filtre du journalimse, on a ceci :

- un poivrot tente de peloter une femme

- celle-ci, contre toute attente, se défend et met son agresseur hors d'état de nuire

- ce dernier décède, plusieurs jours après, des violents coups portés

Normalement, la société devrait remercier la demoiselle d'avoir débarrassé la France d'un type lourd, sans savoir-vivre et qui ne tient pas son alcool.

 

This

 

C'est un peu disproportionné, la vie de la fille ne semblait pas en danger.

La vie du harceleur non plus, jusqu'à ce qu'il initie une agression.

 

C'est pas "bien fait pour sa gueule". Pas plus que ce n'est "bien fait pour la gueule" d'un automobiliste ivre qui a un accident de la route. Mais bon, ce sont les risques du métier.

 

Après je lisais des commentaires sous l'article de Libé avec lequel j'étais d'accord : il y a je-ne-sais-combien de femmes tuées par violence domestique chaque année (jour ?) et on en fait pas des articles de presse pour autant.

Là, un meuf se laisse pas faire par un idiot, le mec meurt mais c'était clairement pas volontaire et paf, toute la presse en parle.

 

Après on dira que les féministes exagèrent mais ce traitement de l'info est quand meme particulièrement foireux, spécialement de la part d'un jourmnal de gaumche

Le journal de gauche est pour le féminisme, mais très opposé à l'autodéfense. Une hiérarchie des valeurs correctes a été réaffirmée.

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Tiens, au fait, vous savez que le gouvernement Merkel a nommé un interlocuteur privilégié pour lutter contre le hate-speach sur le réseaux sociaux (particulièrement fils de bouc)? (Sachant que le "hate-speach avéré" est puni par la loi là-bas et que ça a mené à des gardes à vue et de jolies amendes.)

Jusqu'ici tout va bien en socialie, sauf que là où on plonge en plein délire, c'est que la personne nommée est un ancienne de la stasi. Sérieusement...

 

(J'ai pas les sources sous le coude, mais si vous êtes curieux, je peux fournir ça...)

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S'il est quotidien que des femmes meurent de violences conjugales, mais que l'on voit rarement un homme tué par une femme par coups et blessures dans la rue, je suppose que ceci explique cela niveau couverture médiatique dans les journaux.

(Je ne suis pas en train de dire que les violences conjugales sont normales, pour ceux qui lisent de travers).

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En lisant l'article, et s'il retranscrit correctement les faits, il y a eu mise à terre PUIS coups à la tête. J'ai bien dit coups au pluriel.

Ce n'est tout de suite plus la même chose.

 

Elle l'a mis au sol, mais justement, le mec bourré a d'autant plus de raison de se relever et aller défoncer la fille, physiquement moins forte. Le seul moyen de s'assurer que ça n'arrive pas, c'est le mettre KO en le tapant dès qu'il est au sol. Peut être que la mise au sol aurait suffit à calmer le bonhomme, mais peut être pas. A défaut d'information, la fille a décidé de se protéger contre la situation la pire. Pour sa sécurité, c'était une bonne décision.

 

Ensuite, elle n'aurait pas dû le tuer, c'est clair. Mais la mise hors combat sans nuire tout en ayant une infériorité physique, c'est quasi impossible sans entraînement :/

 

Mais bon, encore une fois on ne sait pas quelle était la teneur EXACTE des actions du mec. A partir de là, impossible de tirer la moindre conclusion sur le tort de la fille.

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eh...

 

la violence conjugale est reléguée aux faits divers de façon systématique... Sauf quand c'est des people of course (affaire canta...).

 

 Bien sur que non, beaucoup de cas ne paraissent pas dans les journaux.

 

Le journal de gauche est pour le féminisme, mais très opposé à l'autodéfense. Une hiérarchie des valeurs correctes a été réaffirmées.

 

Il y a peut-être de ça aussi.

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Poney: j'entendais bien que la majeure partie des cas ne sont pas couverts par la presse, j'entends juste que même quand c'est le cas c'est du fait divers.

 

 

J'ai retrouvé les sources pour stasi-book (c'est de l'allemend, Gtrad fait un boulot honnête dessus):

http://www.berliner-zeitung.de/eine-stasi-debatte--die-nicht-beendet-wurde-16532176

http://www.faz.net/aktuell/politik/inland/bundeskriminalamt-erste-bundesweite-razzia-gegen-hasspostings-im-netz-14338248.html

La video qui m'a fait découvrir ça:

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Elle l'a mis au sol, mais justement, le mec bourré a d'autant plus de raison de se relever et aller défoncer la fille, physiquement moins forte. Le seul moyen de s'assurer que ça n'arrive pas, c'est le mettre KO en le tapant dès qu'il est au sol. Peut être que la mise au sol aurait suffit à calmer le bonhomme, mais peut être pas. A défaut d'information, la fille a décidé de se protéger contre la situation la pire. Pour sa sécurité, c'était une bonne décision.

Ensuite, elle n'aurait pas dû le tuer, c'est clair. Mais la mise hors combat sans nuire tout en ayant une infériorité physique, c'est quasi impossible sans entraînement :/

Mais bon, encore une fois on ne sait pas quelle était la teneur EXACTE des actions du mec. A partir de là, impossible de tirer la moindre conclusion sur le tort de la fille.

On sait par contre quelle est la conséquence exacte des actes de la fille: il y a mort d'homme.

Bâtir des hypothèses à plusieurs itérations sur une absence complète d'informations, je veux bien tout ce qu'on veut. Mais il faudrait voir à ne pas oublier les faits.

J'abandonne la conversation.

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Je parlais plus sur un plan légal et toi moral.

Moralement c'est mal, un mec est mort. Légalement, y a-t-il légitime défense et l'homicide est-il volontaire ou involontaire ?

J'en sais rien, j'ai juste essayé de me mettre à la place de la fille.

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Je parlais plus sur un plan légal et toi moral.

Moralement c'est mal, un mec est mort. Légalement, y a-t-il légitime défense et l'homicide est-il volontaire ou involontaire ?

J'en sais rien, j'ai juste essayé de me mettre à la place de la fille.

Je parlais bien du plan légal.
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