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Sinon, on a vu ce genre d'alliance en France. Par exemple, la tribu ka et les nationalistes s'étaient rapprochés à un moment. Je ne sais pas comment ça évolué depuis la conversion à l'Islam de Kémi Séba.

Quelle est la source d'inspiration de ces illettrés, sinon une fois encore l'Amérique ? Séba est un ancien de Nation of Islam, et prône comme ses glorieux prédécesseurs la séparation raciale. A noter que les années 60 furent prolixes en ce qui concerne les tentatives de rapprochements branquignolesques, notamment entre le nazi GL Rockwell et Nation of Islam. Mais bon, finalement, ça ne s'est pas fait (on se demande pourquoi, peut être parce que Malcolm X a menacé GLR de mort en cas de provocation contre le Dr King ?).

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Puisque ce fil est dédié au racisme, ceux qui suivent un peu la politique intérieure des Etats-Unis ont peut être repéré cette information qui vaut son pesant de cacahuètes post-modernes. L'un des deux candidats au Congrès pour New York est un suprémaciste noir qui a reçu le soutien du suprémaciste blanc -ancien grand magicien du KKK et ancien représentant républicain en Louisiane- David Duke. Les deux sont d'accord pour dénoncer dans leur adversaire un représentant du sionisme international, de la banque juive et tout et tout.

http://www.commentar…-charles-barro/

Voilà qui va inspirer Soral et Collon !

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Quelle est la source d'inspiration de ces illettrés, sinon une fois encore l'Amérique ? Séba est un ancien de Nation of Islam, et prône comme ses glorieux prédécesseurs la séparation raciale. A noter que les années 60 furent prolixes en ce qui concerne les tentatives de rapprochements branquignolesques, notamment entre le nazi GL Rockwell et Nation of Islam. Mais bon, finalement, ça ne s'est pas fait (on se demande pourquoi, peut être parce que Malcolm X a menacé GLR de mort en cas de provocation contre le Dr King ?).

Séba, aussi bien sans les intonations que les expressions qu'il utilise est clairement influencé par Malcolm X. Apparemment, la plus grande influence de Séba est Khalid Muhammad, ancien membre influent de la Nation of Islam, qui a rejoint ensuite le New Black Panther Party:

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Tiens, Séba parle de rap. Pour lui Booba est "anarcho-libéraliste". Idéologie qu'il faut combattre selon lui. Bon j'ai pas écouté en entier mais c'est intéressant de voir que Booba est clairement perçu comme un libéral.

http://www.youtube.com/watch?v=XHcs4EGdivk

Bon cette autre vidéo montre bien qu'il relie le sionisme, l'Amérique et la situation du rap français. Il prend la situation américaine et la calque sur la situation française. Selon lui, les mondialistes ont formé un mouvement rap qui serait au service d'une sorte de complot "judéo-talmudique". Tiens d'ailleurs Séba dit être le porte parole du New Black Panther Party.

Il parle aussi du film Malcolm X de Spike Lee qui aurait été un vrai choc pour les jeunes de banlieue.

http://www.youtube.com/watch?v=6xZSLOfbm8c

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Je serais surpris que ce film de Spike Lee à la carrière plutôt confidentielle ait été beaucoup diffusé dans le 93… ( même en video pirate…). Et dans mon souvenir, ça manque de femmes nues….

+1 Spike Lee est plutôt connu des générations précédentes, ceux de l'époque NTM en quelque sorte.

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C'est sans doute ce décalage "américano-centré" qui explique en grande partie l'insuccès de KS. Et peut-être aussi sa conversion à l'Islam. Pour la petite histoire sans intérêt (complètement branque mais vraie), j'ai croisé le spécimen entouré d'une demie douzaine de ses fanboys la veille de sa conversion dans un kebab du quartier latin, il y a quelques années de ça. :huh:

Sinon, je me souviens d'avoir vu Malcolm X adolescent, et d'avoir préféré ça à "do the right thing".

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Tiens, Séba parle de rap. Pour lui Booba est "anarcho-libéraliste". Idéologie qu'il faut combattre selon lui. Bon j'ai pas écouté en entier mais c'est intéressant de voir que Booba est clairement perçu comme un libéral.

Booba… putain, le libéralisme est mal barré.

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Traditionnellement l'antisémitisme s'accompagnait du racisme, j'ai l'impression au contraire qu'actuellement racistes et islamophobes sont en opposition avec les antisémites. Du moins en France et en Europe de l'ouest.

Le vieil antisémitisme franchouille a quand même pas mal régressé au fur et à mesure que les juifs se sont occidentalisés.

À propos de l'antisémitisme en France, depuis la révolution, il faut distinguer deux grandes phases.

La première va aller jusqu'en 1890 environ. L'antisémitisme aura principalement une forme de lutte des classes car "le juif" est synonyme de "bourgeois". La partie raciale n'existe pas avant 1890 car sera théorisée pour la première fois à cette période par E. Drumont. Là, il y aura un ouvrage majeur et la publication régulière d'articles. À ce moment, l'accusation bourgeoise va se combiner à la raciale. Nous sommes au siècle de la biologie et tout doit être expliqué par l'espèce, la race. Des sciences comme la physiognomonie prendront leur essor puis disparaîtront.

Donc on ne peut dire que l'antisemitisme est raciale seulement.

L'avant révolution française est un autre temps d'organisation et des rapports de la société. Aussi, l'antisémitisme avait encore une autre forme.

Pour ce qui est de l'occidentalisation, c'est amusant car les juifs sont depuis longtemps occidentalisés. Ils ont juste une pratique intellectuelle différente qui vient de leur pratique religieuse. Cela s'arrête là.

Puisque le judaïsme est une religion de la Loi, cela pose un problème d'intégration au sein d'une société qui ne se fonde pas sur celui-ci. Sauf que le XIXeme fut une apogée de la fusion du judaïsme dans la société. Si la pratique religieuse continuait, elle devenait indiscernable du reste de la société. Pour exemple, l'observation du repos hebdomadaire le dimanche devenait normal dans certains courants. Le retour a une pratique plus autonome de la société sera lié à l'émergence de l'idée d'un foyer juif dans la seconde partie de ce siècle.

Bien sûr je grossis le trait, mais des fois à entendre les uns et les autres, la caricature n'est pas galvaudée.

Ce n'est pas grossir le trait, c'est cela.

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Quel est le point commun entre un Algérien et un Ivoirien? J'ai du mal à voir. Sans compter les différentes cultures au sein d'un même pays. Et puis, un Maghrébin ou un Noir qui réussit ça ne se voit pas. C'est pas le genre de mecs qu'on va remarquer.

Je peux aussi te dire que je connais des gens qui ont passé toute leur adolescence en Afrique et, franchement, je ne vois aucune différence culturelle avec un Français. Pas d'accent, pas de choc culturel… D'ailleurs, il y a eu une époque où je cherchais les différences. A part, quelques expressions Africaines franchement j'ai rien trouvé. Je ne vois vraiment pas où est ce fossé infranchissable entre la culture africaine et la culture française.

À ceci près que tu mélanges des notions distinctes pourtant.

1) Ta mise en avant des différences que l'on trouve en Afrique ne s'oppose en rien à ce que j'écris puisque je commence par souligner ce fait: il n'y a pas une mais des Afriques.

2) Est-ce que la réussite cela se voit? Il me semble que non et mon propos se fondait sur autre chose: la facilité POUR UN GROUPE CULTUREL à obtenir des résultats dans tels ou tels domaines. Je ne parle pas d'un individu mais d'un ensemble d'individus ce qui est statistiquement différent. Et ici, dans le domaine scolaire, il y a de nette différences entre les communautés d'origine et même entre les sex

3) Pour les gens que tu connais, j'en connais tout autant. Un unique exemple ne permet pas de se faire une idée. L'intégration, comme l'assimilation, est un choix personnel strictement. On ne peut intégrer un groupe mais des individus oui. C'est pas tout à fait la même chose. Quand un individu veut rompre avec sa culture familiale, il peut le faire mais seul lui pourra le faire. Et il aura des facilités ou difficultés selon la réaction de son groupe d'appartenance, à commencer par sa proche famille. Là, on aborde la notion d'inhibition. Elle est centrale.

Quand un couple d'immigrés est accueilli en France, il y a deux possibilités: Ou les parents construisent leur enfants en français et les coupent de l'apport culturel de leurs origine, ou ils perpetuent la tradition d'origine. Les résultats n'ont rien à voir. Dans le premier, tu as une inhibition aux origines familiales qui se crée et tu obtiens des enfants qui peuvent être jusqu'à assimilés (sinon ce sera la génération suivante). Le second cas est une incapacité à être inhibé et, là, tu n'as pas d'intégration. Tu as la duplication du modèle originel avec pour résultat un antagonisme parfois violent entre le modèle social dominant de la société où panpersonne vie et les pratiques de sa famille, son groupe et sa communauté.

Ce dernier cas est un mécanisme explicite de diaspora. Par définition, c'est une communauté qui vie dans un pays mais dont les références de vie restent étrangères (du pays d'origine) quand bien même plus personne n'y est né. Sauf le temps de l'accouchement parfois.

De temps à autre, des individus en sortent par eux même mais c'est violent vis à vis de leur famille. C'est souvent vu comme une remise en cause de l'ordre familiale.

Au-delà de l'individu qui n'arrive pas à s'intégrer dans son propre pays (ils voient leur concitoyens comme des étrangers), sur le long terme il peut y avoir des tensions majeures en cela que toute diaspora développe une organisation économique autonome du reste de la société. Et c'est une cause de conflit car cela peut, en cas de puissance, être vu comme une défiance de l'ordre établie.

4) Un moment tu insistes sur des différences dans une approche systematique (les cecis, les cela) pour nier leur effet par l'évocation d'un cas particulier. Dire qu'il y a l'Occident, ce n'est pas rien. Comme tout positionnement, ou on en fait partie, ou on en fait pas partie. Et il me semble que l'Afrique n'a rien, mais rien d'occidental. Aussi je suis fondé d'ecrire qu'il y a un monde entre l'Europe et l'Afrique.

PS: ça y est, j'ai trouvé le terme.

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2) Est-ce que la réussite cela se voit? Il me semble que non et mon propos se fondait sur autre chose: la facilité POUR UN GROUPE CULTUREL À obtenir des résultats dans tels ou tels domaines. Je ne parle pas d'un individu mais d'un ensemble d'individus ce qui est statistiquement différent. Et ici, dans le domaine scolaire, il y a de nette différences entre les communautés d'origine et même entre les sex

Ces différences sont trompeuses. Tu devrais avoir la modestie de te poser une question simple : mes critères de regroupement sont-ils les bons? Par exemple, lorsque tu regroupes les gens par groupe culturel pour analyser les résultats scolaires. Pourquoi pas taille, ou par couleur de cheveux? Ou nombre de dents?

La modestie et la rigueur scientifique t'oblige À analyser au moins un autre type de regroupement, n'importe lequel, afin de voir si tu as isolé effectivement les bons facteurs.

Tiens par exemple : plutôt que l'origine ethnique, plutôt que de chercher À savoir si on a affaire À des cannibales venus des rives du Congo, ou des Touaregs descendants d'Ali Baba et des 40 voleurs, ou bien de pacifiques vendeurs d'épices venus d'Extrême-Orient, essayons d'autres critères :

- Le niveau d'instruction des parents par exemple.

- Le niveau socio-économique des parents, leur profession et leur revenu en clair.

- La composition familliale aussi, le nombre de frères et soeurs (en quelque sorte le temps que consacrent les parents À chacun des enfants, toutes choses égales par ailleurs).

- Le lieu d'habitation : la ruralité, les grandes agglomérations, les banlieues, les ZEP, tout cela a une influence également.

LÀ déjÀ on voit des éléments qui semblent plus probants :

- telle population comptant plus d'analphabètes que la moyenne verra mécaniquement la réussite scolaire de ses enfants être plus faible.

- telle population comptant beaucoup plus de professions de simples exécutants (par rapport aux artisans et commerçants) verra les mêmes effets

- telle population comptant plus de pauvres, etc.

Enfin : je pointe un dernier élément de ton manque de rigueur, la définition de "réussite scolaire". Tu m'expliqueras comment tu compares un BEP secrétariat et un CAP boulanger, ça m'intéresse. Un BTS Force de vente et un IUT d'admin réseau. Faudra aussi que tu m'expliques.

Autres infos : http://www.liberaux….post__p__681005

3) Pour les gens que tu connais, j'en connais tout autant. Un unique exemple ne permet pas de se faire une idée. L'intégration, comme l'assimilation, est un choix personnel strictement. On ne peut intégrer un groupe mais des individus oui. C'est pas tout À fait la même chose. Quand un individu veut rompre avec sa culture familiale, il peut le faire mais seul lui pourra le faire. Et il aura des facilités ou difficultés selon la réaction de son groupe d'appartenance, À commencer par sa proche famille. LÀ, on aborde la notion d'inhibition. Elle est centrale.

Quand un couple d'immigrés est accueilli en France, il y a deux possibilités: Ou les parents construisent leur enfants en français et les coupent de l'apport culturel de leurs origine, ou ils perpetuent la tradition d'origine. Les résultats n'ont rien À voir. Dans le premier, tu as une inhibition aux origines familiales qui se crée et tu obtiens des enfants qui peuvent être jusqu'À assimilés (sinon ce sera la génération suivante). Le second cas est une incapacité À être inhibé et, lÀ, tu n'as pas d'intégration. Tu as la duplication du modèle originel avec pour résultat un antagonisme parfois violent entre le modèle social dominant de la société où panpersonne vie et les pratiques de sa famille, son groupe et sa communauté.

Ce dernier cas est un mécanisme explicite de diaspora. Par définition, c'est une communauté qui vie dans un pays mais dont les références de vie restent étrangères (du pays d'origine) quand bien même plus personne n'y est né. Sauf le temps de l'accouchement parfois.

De temps À autre, des individus en sortent par eux même mais c'est violent vis À vis de leur famille. C'est souvent vu comme une remise en cause de l'ordre familiale.

Quand on raisonne de manière binaire, on ne se rend pas compte que ces deux modèles sont les deux cas limites bornant l'ensemble réel des comportements de gens.

Au-delÀ de l'individu qui n'arrive pas À s'intégrer dans son propre pays (ils voient leur concitoyens comme des étrangers), sur le long terme il peut y avoir des tensions majeures en cela que toute diaspora développe une organisation économique autonome du reste de la société. Et c'est une cause de conflit car cela peut, en cas de puissance, être vu comme une défiance de l'ordre établie.

Crois-moi, beaucoup de français de souche aimeraient être autonomes du reste de la société, et plus précisément de la partie de la société qui taxe et impose.

4) Un moment tu insistes sur des différences dans une approche systematique (les cecis, les cela) pour nier leur effet par l'évocation d'un cas particulier. Dire qu'il y a l'Occident, ce n'est pas rien. Comme tout positionnement, ou on en fait partie, ou on en fait pas partie. Et il me semble que l'Afrique n'a rien, mais rien d'occidental. Aussi je suis fondé d'ecrire qu'il y a un monde entre l'Europe et l'Afrique.

De même qu'une table n'est pas une chaise. Et que les berrichons ne sont pas des basques ni des corses. Captain Obvious est de sortie?

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Quand un couple d'immigrés est accueilli en France, il y a deux possibilités: Ou les parents construisent leur enfants en français et les coupent de l'apport culturel de leurs origine, ou ils perpetuent la tradition d'origine. Les résultats n'ont rien à voir. Dans le premier, tu as une inhibition aux origines familiales qui se crée et tu obtiens des enfants qui peuvent être jusqu'à assimilés (sinon ce sera la génération suivante). Le second cas est une incapacité à être inhibé et, là, tu n'as pas d'intégration. Tu as la duplication du modèle originel avec pour résultat un antagonisme parfois violent entre le modèle social dominant de la société où panpersonne vie et les pratiques de sa famille, son groupe et sa communauté.

Ce dernier cas est un mécanisme explicite de diaspora. Par définition, c'est une communauté qui vie dans un pays mais dont les références de vie restent étrangères (du pays d'origine) quand bien même plus personne n'y est né. Sauf le temps de l'accouchement parfois.

De temps à autre, des individus en sortent par eux même mais c'est violent vis à vis de leur famille. C'est souvent vu comme une remise en cause de l'ordre familiale.

Lulz. Si tu crois vraiment ce que t'as écris là, t'es pas prêt d'y comprendre grand chose.

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4) Un moment tu insistes sur des différences dans une approche systematique (les cecis, les cela) pour nier leur effet par l'évocation d'un cas particulier. Dire qu'il y a l'Occident, ce n'est pas rien. Comme tout positionnement, ou on en fait partie, ou on en fait pas partie. Et il me semble que l'Afrique n'a rien, mais rien d'occidental. Aussi je suis fondé d'ecrire qu'il y a un monde entre l'Europe et l'Afrique.

PS: ça y est, j'ai trouvé le terme.

Je n'ai pas nié qu'il pouvait exister des difficultés importantes de s'intégrer pour certains. Mais je pense avoir rencontré d'Africains immigrés pour que ça ne se réduise pas à un cas particulier. Et, en plus, j'ai spécifiquement parlé de gens qui ont vécu une partie de leur enfance ou de leur adolescence en Afrique et qui n'ont aucun mal à s'intégrer. Donc des gens qui ont été élevés dans une culture africaine. Donc dire qu'il existe une barrière INFRANCHISSABLE entre Afrique et Europe, je n'y crois pas.

Tiens j'ai trouvé un passage sur le site d'Eunice Barber, originaire du Sierra Leone qui m'a marqué. Elle dit:

J’ai tout de suite compris qu’en France tout le monde avait une activité et qu’il fallait que je me prenne en main. C’en était fini de papoter jusqu’à deux heures du matin sans se soucier du lendemain . Je devais m’adapter toute seule. Ici , c’est souvent chacun pour soi. C’est difficile à admettre au début, il m’a fallu l’accepter.

Je suppose que quand on vient de ce genre de culture, et qu'on parle pas français, on aura du mal à s'intégrer. Elle le dit elle même, c'est difficile. Mais cela est valable seulement pour son groupe culturel. Et je pense que pour d'autres groupes culturels africains c'est beaucoup plus facile. Je ne vois pas en quoi j'ai nié la thèse de Sowell en disant ça.

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Booba… putain, le libéralisme est mal barré.

Il est anti-Etat, pro-business et encourage ses auditeurs à créer des entreprises, en tout cas selon Séba. Cela fait contrepoids.au rap socialisant d'IAM ou autres groupes "conscients".

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Il est anti-Etat, pro-business et encourage ses auditeurs à créer des entreprises, en tout cas selon Séba. Cela fait contrepoids.au rap socialisant d'IAM ou autres groupes "conscients".

Moi je veux du rap libéral avec DJ Chitah.

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Il est anti-Etat, pro-business et encourage ses auditeurs à créer des entreprises, en tout cas selon Séba. Cela fait contrepoids.au rap socialisant d'IAM ou autres groupes "conscients".

C'est quand même très loin d'être un libéral. Un allié objectif tout au plus… mais en veut-on vraiment6? x)

Puis bon, si tous les crétins qui sont anti-état et pro buisness étaient libéraux, ça se saurait.

Je dis pas qu'être anti-état et pro-buisness ce n,est pas libéral, mais juste ça, c'est parfaitement insuffisant et très superficiel, surtout que ceux qui s'en réclament sont parfaitement anti-libéraux par ailleurs,

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C'est quand même très loin d'être un libéral. Un allié objectif tout au plus… mais en veut-on vraiment6? x)

Puis bon, si tous les crétins qui sont anti-état et pro buisness étaient libéraux, ça se saurait.

Je dis pas qu'être anti-état et pro-buisness ce n,est pas libéral, mais juste ça, c'est parfaitement insuffisant et très superficiel, surtout que ceux qui s'en réclament sont parfaitement anti-libéraux par ailleurs,

Booba est aussi contre les aides sociales. Donc, si on devait définir Booba politiquement c'est sûr qu'on ne le mettrait pas à gauche. Je pense qu'on peut au moins dire qu'il ne se plaindrait pas dans une société libérale.

En tout cas, je préfère Booba à un rappeur "hardcore"… qui félicite François Hollande:

http://www.youtube.com/watch?v=Llj3JCYTAPo

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Il est anti-Etat, pro-business et encourage ses auditeurs à créer des entreprises, en tout cas selon Séba. Cela fait contrepoids.au rap socialisant d'IAM ou autres groupes "conscients".

Oui c'est ce que j'ai entendu également, il a l'air décent ce rappeur, c'est suffisamment rare pour être souligné!

Moi je veux du rap libéral avec DJ Chitah.

Limousines, piscines, chaine en or et tepus, yeaaaaaaaah!

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Lulz. Si tu crois vraiment ce que t'as écris là, t'es pas prêt d'y comprendre grand chose.

Je vais t'inquiéter: dans mon esprit, c'est de l'ordre de la certitude.

La notion d'inhibition est centrale quand on étudie le fonctionnement des cellules familiales. Et ce point est mis en avant dans les travaux de Malika Sorel-Sutter.

Évidemment, au JT, c'est comme le libéralisme en économie: cela ne passe pas. Ce concept dérange grandement ceux qui pensent l'homme comme libre, autonome de ses racines…. Il n'en est rien.

Je répondrai plus complètement ce soir ou demain.

PS: que signifie Lulz?

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