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Hollande plus socialiste encore que Sarkozy


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Ouais m'enfin tous ces chiffres sont ridicules, leur interprétation relève du chamanisme. Et surtout, leur interprétation n'a pas pour objet de lancer un débat, une enquête, il s'agit juste de troller, on balance un chiffre et on se lamente, on vilipende, etc. Bof bof.

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Quand le chômage aussi augmente, ça relève du chamanisme que de dire qu'il y a un problème ? Il s'agit de troller que de dire que c'est dommage ?

Je ne comprends pas cette remarque, nous parlons de la mortalité des entreprises, en essayant de comparer sur le long terme avec leur natalité. Ainsi ai-je vu le chiffre que dans les années 80 si le nombre absolu de faillites était plus faible, seule une entreprise sur 5 était remplacée dans l'année par une nouvelle création (toutes choses égales par ailleurs), de nos jours c'est une sur deux qui est remplacée.

 

Il n'y a ni à se réjouir ni à se lamenter, ce sont des faits. Sur le chomage, crois bien que je suis au courant que la situation n'est pas terrible en France.

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L'accélération des faillites d'entreprise n'est pas totalement surprenant. On devrait comparer avec les autres pays mais le fait est que la concurrence est bien plus intense que dans les années 80 et donc que le processus de destruction créatrice bien plus rapide.

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Ce qu'il faut avoir, c'est la tendance de moyen terme (sur deux ou trois ans, disons), et sur l'évolution de la durée moyenne avant faillite. Si cette durée augmente, c'est bon signe. Si elle diminue, c'est préoccupant.

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L'accélération des faillites d'entreprise n'est pas totalement surprenant. On devrait comparer avec les autres pays mais le fait est que la concurrence est bien plus intense que dans les années 80 et donc que le processus de destruction créatrice bien plus rapide.

Je ne crois pas que la concurrence soit plus intense (du moins en France) ... au contraire, plein de besoins ne trouvent pas d'offre pour se caser en face.

Ce qui est plus intense, c'est le harcèlement bureaucratique et administratif. C'est lui le facteur n°1 commun à tous les décès et non-création (ce qu'on ne voit pas) d'entreprises.

 

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Comme prévu , Bruxelles prend acte des mensonges de Hollande et de ses sbires en matière de déficit budgétaire.

 

Jusqu'à quand va t-il encore pouvoir continuer à les enfumer ?

 

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/02/25/20002-20140225ARTFIG00155-deficit-public-la-france-ne-respectera-pas-ses-engagements-selon-bruxelles.php

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Je ne crois pas que la concurrence soit plus intense (du moins en France) ... au contraire, plein de besoins ne trouvent pas d'offre pour se caser en face.

Ce qui est plus intense, c'est le harcèlement bureaucratique et administratif. C'est lui le facteur n°1 commun à tous les décès et non-création (ce qu'on ne voit pas) d'entreprises.

 

 

Le marché unique à 27 et l'internet, ça compte pas pour du beurre.

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Le marché unique à 27 et l'internet, ça compte pas pour du beurre.

oui oui, absolument.

 

Mais, si on veut analyser bien, il faut un peu segmenter l'analyse.

 

Il y a de la concurrence, féroce, là où il y a de belles perspectives de gains. Clientèle large, mise de fond faible, etc.

 

En parallèle, on peut pas ne pas noter que pour pas mal de besoins, il y a carrément peu (voire plus du tout) d'offre en face, juste parce que l'état a réussi à mettre des conditions d'exercice tellement pourries que quasi plus personne ne veut s'y coller. Alors même que, vu qu'il y a satisfaction d'un besoin en échange de monnaie, il devrait être possible à un prestataire de gagner sa vie avec.

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Je vois que le premier commentaire est malveillant, ne laisse pas passer ça : 

"Tiens, voici un article sur Contrepoints qui semble faire la.promotion d’un contrôle étatique !"

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Bien sur qu'il n'y peut pas grand chose (son effet négatif doit être de l'ordre de epsilon), ça sert seulement à montrer son imposture.

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Je vois que le premier commentaire est malveillant, ne laisse pas passer ça : 

"Tiens, voici un article sur Contrepoints qui semble faire la.promotion d’un contrôle étatique !"

 

Les charges patronales n'ont pas à être baissées parce que l'État n'a pas à décider des salaires du privé.

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Comme d'habitude, je suis le seul qui a un discours absolument subversif, un truc de dingue, inimaginable en France : je regarde les actions de Hollande objectivement. Tous les autres français voient leur jugement s'obscurcir dè lors qu'il s'agit de juger de l'action du président : ce serait un mélange entre Beria et Göring niveau répression, niveau économie ce serait un mix entre une limace et Thomas Piketty, en matière de savoir-être c'est un Gaston Lagaffe permanent, etc.

J'existe, et je m'en félicite.

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Le présentateur météo ne prétend pas utiliser nos sous pour amener le beau temps.

Et alors, je ne comprends pas la remarque? Il y a des limites à la métaphore quand même.

 

Et surtout, je réponds à ta question dans l'article, avant même que tu te sois posé la question!

 

 

 

Le pire étant que se focaliser sur ce fameux objectif d’inversion de la courbe du chômage fait que l’on rate complètement le vrai sujet : il existe en la matière deux choses bien plus graves à reprocher à François Hollande.

Le premier reproche a trait à la posture politique du Président : nous avons démontré ci-dessus qu’il enfume le peuple français, le reste de la classe politique, les journalistes, soit pratiquement tout le monde. Dans quelques mois si le chômage baisse, il se félicitera de cela comme il pourrait se féliciter qu’il fasse beau en août 2014. Que je sache, François Hollande n’a pas le pouvoir de contrôler la météo, et la question posée ici est grave : exerce-t-il réellement un contrôle sur les politiques publiques dont il parle ? N’est-il pas en réalité impuissant ?

Le second reproche que l’on pourrait faire : l’un des rares pouvoirs de François Hollande sur le service public de l’emploi est de changer totalement les règles du jeu, la manière de fonctionner de celui-ci, notamment en clarifiant les responsabilités et en mettant fin au capharnaüm absolument épouvantable dans ce domaine (à ce titre, voir l’excellent livre de Bertrand Martinot sur le sujet) : tous les acteurs publics (conseils généraux, mairies, Pôle emploi, etc.) font tout à la fois (formation, retour à l’emploi, etc.) sans aucune concertation, sans aucune évaluation, et surtout sans aucune stratégie globale.

C’est donc à un nettoyage des écuries d’Augias que doit se consacrer François Hollande, certainement pas au commentaire mensuel des chiffres de l’emploi sur lesquels il n’a qu’une prise très indirecte. Il tarde à le faire car cela demanderait un courage exceptionnel que de se lancer dans une telle entreprise étant donné qu’il aurait face à lui tous les conservatismes de France : syndicats, élus locaux, etc. C’est sur ce sujet-là qu’il faut mettre la pression sur l’exécutif, certainement pas sur des petites anecdotes comme les chiffres du chômage.

 

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