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L’Appel De Pontivy Ou La Fronde Libérale Bretonne


Messages recommandés

Ils veulent délivrer des antibiotiques, très bien, mais sont ils d'accord pour que n'importe qui puissent le faire, et pas seulement eux.

Ouais bon, mea culpa, j'ai parlé trop vite. Mais y'a bien une protestation à consonance libérale qui risque de surgir de tout ça un jour.

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La politique c'est pareil, c'est l'art de faire pas l'art de penser. L'art de penser, c'est la Politique.

 

Bref : pas besoin de se faire des noeuds au cerveau, pour faire ce que dit free jazz, il faut prendre un billet de train et aller parler aux gens, le reste viendra tout seul.

 

Clairement ça suppose de se bouger le cul dans les manifs et d'aller parler sur le terrain à la populace, frayer avec des groupes de tous bords, un truc que les libéraux adeptes de l'entre-soi n'aiment pas faire.

 

Ceci posé ce que fait Contrepoints pour la convergence des grognes fiscales est très bien dans le domaine des idées, mais c'est complémentaire et ça ne suffit pas pour peser.

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Ouais bon, mea culpa, j'ai parlé trop vite. Mais y'a bien une protestation à consonance libérale qui risque de surgir de tout ça un jour.

 

Libéral du genre moins d'impôts pour moi, plus de subvention, et le contraire pour mon voisin. Vachement libéral.

En l'absence de représentation et d'expression politique, ce genre de mouvements comme le mouvement des pigeons d'ailleurs n'a aucune chance de servir la cause. L'Etat cédera face aux plus chiants, ceux qui votent et gueulent et cassent, pour se rattraper sur d'autres avec autant de gras sur la bête au final. 

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Libéral du genre moins d'impôts pour moi, plus de subvention, et le contraire pour mon voisin. Vachement libéral.

En l'absence de représentation et d'expression politique, ce genre de mouvements comme le mouvement des pigeons d'ailleurs n'a aucune chance de servir la cause. L'Etat cédera face aux plus chiants, ceux qui votent et gueulent et cassent, pour se rattraper sur d'autres avec autant de gras sur la bête au final. 

 

Il n'y a que les cocos qui manifestent pour le "bien" des autres.

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Clairement ça suppose de se bouger le cul dans les manifs et d'aller parler sur le terrain à la populace, frayer avec des groupes de tous bords, un truc que les libéraux adeptes de l'entre-soi n'aiment pas faire.

Ca me rappelle l'époque de la création d'Alternative Libérale : à en entendre certains, c'était dans la poche, à la présidentielle de 2007 on aurait un candidat qui ferait peut-être un bon score, etc. Totalement à côté de la plaque.

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Alternative libérale c'était un micro parti cucul au service de l'ambition personnelle d'un blaireau, ça na rien à voir. Le but c'est de peser politiquement, puisqu'en France plus qu'ailleurs, toute modération de la fiscalité et toute redéfinition des contours de l'Etat passera par des rapports de forces politiques. Il faut donc utiliser ces nouvelles formes de fronde spontanée pour mettre en place des coalitions permettant de peser dans un sens qui sera favorable aux libéraux plutôt qu'aux corporatistes ou aux ploutocrates.

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Alternative libérale c'était un micro parti cucul au service de l'ambition personnelle d'un blaireau, ça na rien à voir. Le but c'est de peser politiquement, puisqu'en France plus qu'ailleurs, toute modération de la fiscalité et toute redéfinition des contours de l'Etat passera par des rapports de forces politiques. Il faut donc utiliser ces nouvelles formes de fronde spontanée pour mettre en place des coalitions permettant de peser dans un sens qui sera favorable aux libéraux plutôt qu'aux corporatistes ou aux ploutocrates.

 

Je ne sais pas si ces révoltes spontanées vont avoir une traduction dans les urnes.

 

D'ailleurs le premier test grandeur nature va bientôt avoir lieu : la Manif Pour Tous va présenter (ou soutenir) des candidats je crois.

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Clairement ça suppose de se bouger le cul dans les manifs et d'aller parler sur le terrain à la populace, frayer avec des groupes de tous bords, un truc que les libéraux adeptes de l'entre-soi n'aiment pas faire.

 

Ceci posé ce que fait Contrepoints pour la convergence des grognes fiscales est très bien dans le domaine des idées, mais c'est complémentaire et ça ne suffit pas pour peser.

 

Moi, je veux bien. Imaginons que j'aille voir les Bretons en rogne, je leur parle de libéralisme, mine de rien, de façon un peu poujadiste, autour d'une bière. Et après, quoi ? Les Français veulent un parti pour incarner des idées, et le "nôtre", c'est le PLD. Et le PLD, ça fait pas rêver les libéraux. Si même la base naturelle n'a pas envie de se bouger le cul, c'est mort.

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Je ne sais pas si ces révoltes spontanées vont avoir une traduction dans les urnes.

 

D'ailleurs le premier test grandeur nature va bientôt avoir lieu : la Manif Pour Tous va présenter (ou soutenir) des candidats je crois.

 

Il y a d'ailleurs Mariton qui vient de lancer un mouvement avec la mise en avant de l'abrogation du mariage pour tous et

 

[...]

 

«Le positionnement de l’UMP, libéral au plan économique, solide au plan des valeurs, me va parfaitement», affirme M. Mariton, mais pour gagner en 2017, «il faut faire de la pédagogie, dire la vérité et s’y tenir, comme disait Raymond Aron. Une gauche faible, ça ne suffit pas pour gagner demain».

 

Dans sa déclaration constitutive, Droit au coeur affirme assumer «clairement (sa) loyauté vis-à-vis de l’UMP» et explique que «l’entreprise est au cœur de (son) projet». «Nous pensons que l’entreprise n’a pas besoin de subsides publics mais de moins de contraintes pour qu’elle puisse se développer et s’adapter à un monde toujours nouveau».

 

Dans la droite ligne du credo libéral de son fondateur, le mouvement affirme également que «l’équilibre de nos finances publiques est la condition de notre souveraineté. L’urgence est à la réduction des dépenses publiques, pas à l’augmentation de la fiscalité».

 

[...]

 

 

http://www.liberation.fr/politiques/2013/11/04/mariton-lance-son-mouvement-droit-au-coeur_944442

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Moi, je veux bien. Imaginons que j'aille voir les Bretons en rogne, je leur parle de libéralisme, mine de rien, de façon un peu poujadiste, autour d'une bière. Et après, quoi ? Les Français veulent un parti pour incarner des idées, et le "nôtre", c'est le PLD. Et le PLD, ça fait pas rêver les libéraux. Si même la base naturelle n'a pas envie de se bouger le cul, c'est mort.

 

Il ne faut pas être défaitiste. Je pense que de convaincre déjà quelques personnes que ce sont les abrutis qui nous gouvernent qui sont à l'origine de la situation qu'on connaît et qu'il faut les foutre dehors, ça laisserait de la marge à ceux qui réfléchissent pour qu'ils s'organisent. Il ne faut pas être excessivement ambitieux non plus. Nous sommes déjà si peu nombreux à avoir conscience que voter pour l'un ou l'autre des clowns qui se présentent ne changera rien à l'affaire.

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Il ne faut pas être défaitiste. Je pense que de convaincre déjà quelques personnes que ce sont les abrutis qui nous gouvernent qui sont à l'origine de la situation qu'on connaît et qu'il faut les foutre dehors, ça laisserait de la marge à ceux qui réfléchissent pour qu'ils s'organisent. Il ne faut pas être excessivement ambitieux non plus. Nous sommes déjà si peu nombreux à avoir conscience que voter pour l'un ou l'autre des clowns qui se présentent ne changera rien à l'affaire.

 

En gros, la phrase en gras, ça équivaut à effacer tout ce qui est écrit sur la page qui sert d'opinion politique à une personne. Cela me semble être une grossière erreur que de ne pas ensuite essayer d'écrire sur cette page blanche et de laisser l'opportunité à n'importe qui de venir gribouiller ses conneries.

 

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En gros, la phrase en gras, ça équivaut à effacer tout ce qui est écrit sur la page qui sert d'opinion politique à une personne. Cela me semble être une grossière erreur que de ne pas ensuite essayer d'écrire sur cette page blanche et de laisser l'opportunité à n'importe qui de venir gribouiller ses conneries.

Embrayer sur le fait qu'au pouvoir il y aura toujours des bandes d'abrutis et donc que le vrai combat c'est de limiter au maximum leur capacité de nuisance. Le pas est-il facile à franchir ?
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Embrayer sur le fait qu'au pouvoir il y aura toujours des bandes d'abrutis et donc que le vrai combat c'est de limiter au maximum leur capacité de nuisance. Le pas est-il facile à franchir ?

 

Oh, là, là, là. Vraiment, c'est inquiétant ce qui se passe dans nos rangs. Je ne dis pas ça contre toi Yaums mais là, s'il faut suivre ce que tu viens d'écrire, autant payer un marabout, les chances d'avoir quelque succès seront légèrement plus grandes.

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En gros, la phrase en gras, ça équivaut à effacer tout ce qui est écrit sur la page qui sert d'opinion politique à une personne. Cela me semble être une grossière erreur que de ne pas ensuite essayer d'écrire sur cette page blanche et de laisser l'opportunité à n'importe qui de venir gribouiller ses conneries.

 

 

Je suis d'accord avec toi sur ce point mais ce n'est pas tout à fait ce que je voulais dire non plus. Désolée de ne pas avoir été assez claire. Je n'ai pas dit qu'il ne fallait rien faire pour proposer un message alternatif. J'essaye d'admettre qu'il existe peut-être plusieurs démarches à mener qui ne sont pas nécessairement à mener par les mêmes personnes. Pendant qu'on explique et qu'on essaye de faire comprendre pourquoi on en arrive là, quelque chose doit se dessiner ailleurs pour constituer un relais. Comme dit un peu plus haut, une réflexion est sans doute nécessaire avant de proposer un projet politique. Bon, moi je suis d'accord pour aller expliquer au gens pourquoi on en est arrivé là mais je ne me sens pas prête à porter un projet politique, par exemple. Maintenant, je n'ai jamais mis les pieds à une manif de ma vie donc si ça se trouve, je me ferais piétiner en 2 secondes :icon_tourne:  mais bon, ça vaut le coup d'essayer si on est raisonnablement nombreux à se lancer et que derrière, ça phosphore.

Je suis idéaliste, n'est-ce pas ? 

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Oulala la police en blanc sur fond noir ça fait mal aux yeux.

 

 

Mais le pire de tout c’est peut-être l’interdiction de publicité: c’était déjà rude avec la loi Evin (interdiction totale de parler de vin à la télé, entre autres) mais là c’est intenable. Plus le droit de parler vin sur les réseaux sociaux, ni d’en parler "positivement" dans les médias, etc.

 

Elle est appliquée cette loi? C'est juste hallucinant.

 

 

 

Or, les choses sont claires : la France doit d’urgence recouvrer la pleine souveraineté de sa politique viticole. Afin de libérer cette filière qui en a évidemment besoin, mais aussi de la protéger, de garantir précisément cette libéralisation qui ne peut être possible que dans un cadre naitonal et provincial.

 

Il parle de libérer la filière.

 

Point positif.

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Embrayer sur le fait qu'au pouvoir il y aura toujours des bandes d'abrutis et donc que le vrai combat c'est de limiter au maximum leur capacité de nuisance. Le pas est-il facile à franchir ?

Ça me convient comme discours, et aussi comme stratégie. Ça me semble même faisable.

Désolée Jonnhyboy.

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Ça me convient comme discours, et aussi comme stratégie. Ça me semble même faisable.

Désolée Jonnhyboy.

 

Mais on y parvient comment, à réduire leur pouvoir de nuisance ? On fait pression et on espère que les mecs en place atténuent d'eux-mêmes leur pouvoir ? Si ça arrive, je veux bien manger mon chapeau, ou à défaut, mes cheveux. Parce que ça n'est jamais arrivé nulle part au cours de l'Histoire. Bref, il faut les remplacer et pour les remplacer, il faut un parti.

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Les Vendéens de FagorBrandt, prêts à se mettre en colère comme "des Bretons" - Reportage, Prev

Par Alexandra TURCAT 

LA ROCHE-SUR-YON, 6 novembre 2013 (AFP) - Les salariés vendéens de FagorBrandt, dont plus de 200 ont attendu anxieusement mercredi, sous la pluie, la nouvelle du dépôt bilan de leur groupe en France, se disaient remontés, au point, s'il le faut de "devenir Bretons" pour montrer leur colère.

"On espère que le gouvernement va nous suivre, on fera en sorte qu'il nous suive: s'il faut devenir des Bretons on va devenir des Bretons, il y a pas de problème", a martelé peu après l'annonce, debout à l'arrière d'une camionnette, Marie Molière, déléguée CGT qui venait d'annoncer les mauvaises nouvelles à ses collègues.

"S'il faut mettre des bonnets rouges ou s'il faut aller en ville voir M. (Pierre) Regnault (maire PS de La Roche-sur-Yon, ndlr), on ira, il n'y a pas de souci", a-t-elle ajouté, soutenue par les salariés devant elle. Ils étaient plus de 200 sur les 445 employés en Vendée sur les sites de La Roche-sur-Yon et Aizenay.

La gorge serrée, Mme Molière a annoncé la cessation de paiement avec une période d'observation de trois mois qui touche l'ensemble du groupe en France.

Elle a dû préciser: "Si la direction n'obtient pas la totalité des 25 millions d'euros pour débloquer l'ensemble des sites, elle débloquera en priorité les sites qui sont rentables... Malheureusement le site de la Roche-sur-Yon ne fait pas partie des sites rentables..."

L'annonce a aussitôt suivie de cris de colère et d'amertume: "Eh ben voilà, on n'est plus rentables!"

D'autant que la plupart d'entre eux ont vécu un scénario similaire en 2001, alors qu'ils étaient associés à Moulinex. Confrontés au dépôt de bilan, ils avaient enchainé manifs et rassemblements.

'Bouffée d'oxygène pour trois mois de plus'

"Il y a douze ans on avait sauvé l'entreprise pour douze ans de plus, en défilant dans les rues", se souvient une salariée, émue. Un peu soulagée, aussi, parce qu'elle pensait apprendre l'arrêt de l'activité dès mercredi. "C'est une bouffée d'oxygène pour trois mois de plus", murmure-t-elle.

Une femme est venue avec ses enfants. L'un d'entre eux s'est endormi dans ses bras, elle a les larmes aux yeux.

Un retraité, Luc Neau, ancien syndicaliste, est revenu: "Ca fait mal au coeur de voir des gens qui ont 45, 50 ans qui vont aller pointer au chômage", souligne-t-il. "Je fais partie de ceux qui ont mené la lutte, très durement, en 2001-2002 pour éviter que les sites disparaissent", explique-t-il, visiblement prêt à recommencer. Il faut "déranger les politiques, déranger les industriels, il y en a qui gagnent beaucoup d'argent".

"Ca serait quand même bête de perdre la seule entreprise d'électro-ménager en France. Si on continue comme ça, je sais où est ce qu'on va aller: on va devenir un pays de tourisme...", s'insurge Michel, qui travaille là depuis 35 ans.

Alors qu'il ressort de l'usine après la réunion d'information tenue, cette fois, par la direction, Jean-Luc, 22 ans d'ancienneté, lâche: "J'ai 50 ans, ça va être dur de retrouver un emploi..."

Et il ajoute: "Je veux bien aller brûler des palettes, mais c'est pas ça qui va me retrouver du boulot."

Au total en France 1.800 emplois FagorBrandt sont menacés.

 

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Mais on y parvient comment, à réduire leur pouvoir de nuisance ? On fait pression et on espère que les mecs en place atténuent d'eux-mêmes leur pouvoir ? Si ça arrive, je veux bien manger mon chapeau, ou à défaut, mes cheveux. Parce que ça n'est jamais arrivé nulle part au cours de l'Histoire. Bref, il faut les remplacer et pour les remplacer, il faut un parti.

Entendons nous bien, je vois cette stratégie comme une mentalité à faire adopter aux Français, une envie d'autosuffisance à leur inculquer.

Tant qu'il n'y aura pas des gens audacieux prêts à prendre leur vie en main, quelque soit le parti au pouvoir, rien ne changera.

Pour moi c'est l'indépendance des gouvernés qui contraindra les gouvernants à lâcher leur pouvoir et pas l'inverse.

Je ne crois pas vraiment à la possibilité qu'un parti au pouvoir scie la branche sur lequel il est assis en réduisant l'Etat. Ou alors seulement comme coup d'envoi, quelques années, à un moment où le parti en question n'a pas encore beaucoup d'enjeu ni d'avenir, et qu'il prend tout le monde par surprise. Ça suppose aussi un chef d'Etat très courageux et complètement oublieux de ses propres intérêts, une Margaret Thatcher.

Deux choses que l'on n'a pas en France.

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Entendons nous bien, je vois cette stratégie comme une mentalité à faire adopter aux Français, une envie d'autosuffisance à leur inculquer.

Supposons que tu en aies marre que ton mari change le rouleau de PQ en oubliant le rouleau vide, il ne va jamais le jeter à la poubelle. Soit tu essaies de le changer, de le convaincre, disputes à la clé : long, coûteux, difficile. Soit tu mets une petite poubelle dans les toilettes, et là si il est encore paresseux tu peux l'engueuler. Mais normalement dans 95% des cas, il jetera le rouleau.

Changer les gens ou créer les conditions pour qu'ils agissent différemment?

Exemple : tu veux que les gens baissent leur facture d'énergie (c'est un mauvais exemple, c'est pas une politique libérale, mais bref), soit tu fais de la propagande, des spots de pubs, etc. Soit tu demandes à EDF d'envoyer une fois par un comparatif entre la consommation du ménage et la consommation des ménages comparables du même quartier. Si après avoir vu qu'il paie 20% de plus que la moyenne, le ménage ne change pas, c'est qu'on a affaire à des riches ou à des idiots.

Changer les gens, c'est très difficile. Changer leur environnement pour qu'ils réagissent différemment est plus simple de mon point de vue.

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Supposons que tu en aies marre que ton mari change le rouleau de PQ en oubliant le rouleau vide, il ne va jamais le jeter à la poubelle. Soit tu essaies de le changer, de le convaincre, disputes à la clé : long, coûteux, difficile. Soit tu mets une petite poubelle dans les toilettes, et là si il est encore paresseux tu peux l'engueuler. Mais normalement dans 95% des cas, il jetera le rouleau.

 

Soit tu achètes des rouleaux de PQ dont le carton est soluble dans l'eau, et il n'y a plus qu'à le jeter dans les toilettes avant de tirer le chasse quand il est vide.

 

C'est plus simple.

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*kof* y'a des rouleaux de PQ ou le rouleau est hydrosoluble, tu le jette direct aux chiottes *kof*

 

*kof* si je consomme plus d'electricité que mes voisins, dans l'immense majorité des cas, c'est peut etre tout simplement parce que je vis mieux sans la culpabilité énergétique, l'énergie c'est la vie *kof*

 

Mais tu a raison sur le fond hein, je pinaille, juste => Tu en tire quelles conclusions pragmatiques ?

 

Edit: doublé sur le PQ.

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