Aller au contenu

École & éducation


Messages recommandés

4,5j nous suffisaient pour boucler le programme. Maintenant qu'il y a macramé, poterie et concours d'impro en plus, c'est vrai que 6j sont nécessaires.

C'est pas "en plus". C'est "à la place"! Dans ce cas...

 

Dans les lycées il n'y a pas macramé et concours de poterie, pourtant le problème de programmes non-terminés est récurrent. 

C'est un problème de niveau de classes. Quelqu'un disait sur ce topic que les bons lycées bouclaient leurs programmes en mars/avril et les derniers mois de l'année étaient consacrés à prendre de l'avance ou à s'entraîner pour l'examen.

Trop de gens vont en filière générale. J'en avais parlé avec un professeur de sciences économiques et sociales (d'un mauvais lycée), qui disait que le principal problème de son établissement (et selon lui la cause de la faible qualité de l'enseignement de l'établissement) était le fait qu'on laissait passer trop de gens dans des filières trop exigeantes par rapport à leur niveau.

Et vu qu'on est dans une optique bisou à l'EdNat, ces gens qui se retrouvent dans de filières non-exigeantes, on ne les vire pas, on abaisse le niveau de toute la filière ou de toute la classe.

Lien vers le commentaire

Je suis bien content de ne pas avoir été dans le privé, il y a des choses plus intéressantes (et plus épanouissantes) à faire le samedi matin quand on est au lycée que de de composer un DS. Et avant qu'on me dise "oui mais t'étais dans un lycée de cassos", le major de l'X en 2006 (qui a donc porté le drapeau le 14 juillet) vient de chez nous, le rythme de prépa au lycée c'est de la connerie.

Ah si le major de l'X l'a fait c'est que c'est possible pour tout le monde bien sûr...

La vérité est ailleurs bien sûr. Pour un parent qui veut maximiser les chances de sa progéniture, il va en profiter si elle a la possibilité d'étudier dans un lycée correct (pas une boite à bac, un lycée avec des profs qui ne se contentent pas d'appliquer les consignes ministérielles).

Lien vers le commentaire

Dans les lycées il n'y a pas macramé et concours de poterie, pourtant le problème de programmes non-terminés est récurrent.

C'est un problème de niveau de classes. Quelqu'un disait sur ce topic que les bons lycées bouclaient leurs programmes en mars/avril et les derniers mois de l'année étaient consacrés à prendre de l'avance ou à s'entraîner pour l'examen.

Trop de gens vont en filière générale. J'en avais parlé avec un professeur de sciences économiques et sociales (d'un mauvais lycée), qui disait que le principal problème de son établissement (et selon lui la cause de la faible qualité de l'enseignement de l'établissement) était le fait qu'on laissait passer trop de gens dans des filières trop exigeantes par rapport à leur niveau.

Et vu qu'on est dans une optique bisou à l'EdNat, ces gens qui se retrouvent dans de filières non-exigeantes, on ne les vire pas, on abaisse le niveau de toute la filière ou de toute la classe.

Ce que tu décris est vrai. Pour continuer le raisonnement on peut se demander aussi pourquoi les parents mettent pas les gamins dans les autres filières. Peut-être que quand ils voient le niveau des élèves des filières, quand ils voient le contenu du programme, ou la manière dont l'administration traite ces classes, ils refusent.
Lien vers le commentaire

Trop de gens vont en filière générale. J'en avais parlé avec un professeur de sciences économiques et sociales (d'un mauvais lycée), qui disait que le principal problème de son établissement (et selon lui la cause de la faible qualité de l'enseignement de l'établissement) était le fait qu'on laissait passer trop de gens dans des filières trop exigeantes par rapport à leur niveau.

Et vu qu'on est dans une optique bisou à l'EdNat, ces gens qui se retrouvent dans de filières non-exigeantes, on ne les vire pas, on abaisse le niveau de toute la filière ou de toute la classe.

Absolument, c'est ce processus qui est en train de pourrir l'éducation en France de bas en haut. Et ça remonte jusqu'au M1.
Lien vers le commentaire

Absolument, c'est ce processus qui est en train de pourrir l'éducation en France de bas en haut. Et ça remonte jusqu'au M1.

Une solution consiste, au lieu de baisser le niveau des filières générales, de monter le niveau des autres filières de manière très significative, par exemple en les rendant sélectives selon des critères bien à elles.
Lien vers le commentaire

En soi, le système français n'est pas assez vocationnel. On se retrouve avec des tas de gens qui n'ont du coup aucune idée de ce qu'ils veulent faire de leur vie. Et se retrouvent potentiellement malheureux quand ils doivent chercher du taf pour vivre. La faute aux 68ards et leur préférence universitaire. Ils ont bien ancré dans la tête des gens qu'il n'y a que l'université pour progresser socialement. Je me demande aussi de quand date l'organisation de la disparition du travail des 14-18 ans.

Lien vers le commentaire

En soi, le système français n'est pas assez vocationnel. On se retrouve avec des tas de gens qui n'ont du coup aucune idée de ce qu'ils veulent faire de leur vie. Et se retrouvent potentiellement malheureux quand ils doivent chercher du taf pour vivre. La faute aux 68ards et leur préférence universitaire. Ils ont bien ancré dans la tête des gens qu'il n'y a que l'université pour progresser socialement. Je me demande aussi de quand date l'organisation de la disparition du travail des 14-18 ans.

 

La position idéale pour un lycéen français, le top du top, c'est d'être cadre dans une grande entreprise.

Exit l'entrepreneuriat, qui est (ou qui devrait...) être à la portée de tous, du plombier à l'avocat, du web-entrepreneur à l'ingénieur.

L'entrepreneuriat est tellement dévoyé en France que certaines écoles de commerce prestigieuses offrent des formations à Bac+5 et à 15000€ par an pour être entrepreneur, c'est notamment le cas d'EMLyon (slogan ? school for entrepreneurs) Ca donne à réfléchir...

Ce qui était avant l'apanage (au moins symbolique) du self-made-man qui créait sa boîte et s'y mettait à fond suit aujourd'hui les mêmes codes (au moins universitaires) que le haut-salariat. :lol:

C'est en même temps une stratégie individuelle viable : qui serait assez fou en France pour se lancer dans la création d'une entreprise ? Le salariat est bien plus "confortable"...

 

Le système français en effet n'est pas du tout vocationnel. On cherche à imposer aux élèves un tronc commun, et ils ne jouent pas un rôle majeur dans leur orientation avant l'âge de 17 ans (en gros, le baccalauréat). La division préalable entre filières est encore bien trop vaste (on peut intégrer l'université avec un baccalauréat pro ou technologique, etc).

Lien vers le commentaire

J'ai un ami qui fait un doctorat en civilisation hispanique actuellement, ancien normalien, personne passionnée et extrêmement pointue sur son sujet ; bref, une bête de la chose.

Il se trouve qu'il est aussi professeur (enfin, je sais pas comment on appelle ça quand on est doctorant, il fait des TD etc je pense, il est pas "prof d'université").

Sur sa classe (des élèves en LEA espagnol), une bonne flopée d'élèves n'ont selon lui rien à faire là, parlent mal espagnol, ne savent pas qui est le Roi d'Espagne, n'ont aucune culture du pays, faible maîtrise de la langue, etc, niveau médiocre. bien qu'à l'université,

5 à 10% de la classe est uniquement inscrite pour les bourses (càd absents tout le temps sauf TD/partiels où ils font rien).

Lien vers le commentaire

 Quelqu'un disait sur ce topic que les bons lycées bouclaient leurs programmes en mars/avril et les derniers mois de l'année étaient consacrés à prendre de l'avance ou à s'entraîner pour l'examen.

Sais pas comment fonctionne les "bons" lycées.

Mais pour avoir fait du home schooling (mais jusqu'au collège) et en avoir discuté avec pas mal de personnes en faisant, il en ressort qu'avec 3-4h par jour, en respectant les vacances officielles, tu boucles les programmes sans problèmes.

Le problèmes viens clairement du cours collectif et de la déperdition que cela entraine.

Après tout dépend comment le prof gère cette déperdition.

Lien vers le commentaire

A propos, est-ce que pour vous les solutions de e-learning (immaginez une app. de virtual classroom par exemple) seraient une solution crédible face à l'énorme difficulté rencontrée par les créateurs d'école libres pour trouver des locaux aux normes de sécurité et d'accessibilité auxquels sont soumis les établissements recevant du public (ERP) ? disons pour des classes à partir des CM par exemple. Donc les élèves resteraient chez eux mais seraient en classe plutôt qu'en homeschooling. Perso je trouve ça un peu chaud mais ça serait un formidable moyen pour casser les coûts et donc de multiplier le nombre d'écoles. Des avis ?

Lien vers le commentaire

Sur ce qu'il est possible de faire en remote :

 

 

[...] bénéficiez des derniers outils de communication interactifs et des technologies de formation en ligne :

  • voix sur IP
  • vidéo-conférence
  • partage d’applications
  • tableaux blancs interactifs
  • chats textuels
  • possibilité de “lever la main”, feedbacks et questions/réponses
  • présentations Power Point en ligne
  • constitution de groupes de travail
  • possibilité d’observer les écrans des apprenants
  • tests en ligne

 

Lien vers le commentaire

En soi, le système français n'est pas assez vocationnel.

Plus précisément, les filières vocationnelles sont tellement peu attractives que presque tout le monde veut aller dans des filières générales (qui comme leur nom l'indiquent n'ont pas vocation à être vocationnelles).

Maintenant est-ce que personne ne veut aller en filière pro parce que les filières pro sont mauvaises ou est-ce que les filières pro sont mauvaises parce que personne ne veut y aller ? C'est le problème de l'oeuf et de la poule.

Pour moi la solution (hors libéralisation) est d'augmenter drastiquement la sélectivité des filières générales (par exemple en revalorisant le brevet), ce qui augmenterait mécaniquement le niveau partout.

Lien vers le commentaire

Plus précisément, les filières vocationnelles sont tellement peu attractives que presque tout le monde veut aller dans des filières générales (qui comme leur nom l'indiquent n'ont pas vocation à être vocationnelles).

Maintenant est-ce que personne ne veut aller en filière pro parce que les filières pro sont mauvaises ou est-ce que les filières pro sont mauvaises parce que personne ne veut y aller ? C'est le problème de l'oeuf et de la poule.

Pour moi la solution (hors libéralisation) est d'augmenter drastiquement la sélectivité des filières générales (par exemple en revalorisant le brevet), ce qui augmenterait mécaniquement le niveau partout.

 

+1

Rétablir une sélection au lycée, puis à l'université.

Si bourses il doit y avoir, quitte à jouer l'État-stratège (on est en France hein on s'adapte...) les conditionner aux filières qui ne coûtent pas deux fois (financement des études + financement de l'étudiant diplômé devenu poids pour le contribuable à cause de son diplôme bidon) i.e. médecine, physique, sciences, etc, et ce après la sélection des élèves pour éviter l'engorgement.

Lien vers le commentaire

J'ai un ami qui fait un doctorat en civilisation hispanique actuellement, ancien normalien, personne passionnée et extrêmement pointue sur son sujet ; bref, une bête de la chose.

Il se trouve qu'il est aussi professeur (enfin, je sais pas comment on appelle ça quand on est doctorant, il fait des TD etc je pense, il est pas "prof d'université").

Sur sa classe (des élèves en LEA espagnol), une bonne flopée d'élèves n'ont selon lui rien à faire là, parlent mal espagnol, ne savent pas qui est le Roi d'Espagne, n'ont aucune culture du pays, faible maîtrise de la langue, etc, niveau médiocre. bien qu'à l'université,

5 à 10% de la classe est uniquement inscrite pour les bourses (càd absents tout le temps sauf TD/partiels où ils font rien).

 

Ce n'est pas seulement un problème de bourse, les élèves qui arrivent en fac ont 18 ans, parfois même 17, c'est très jeune. On est pas encore matures à cet âge là, on a besoin d'être encadré, épaulé. A la fac, ce n'est absolument pas le cas. En arrivant, les élèves ont aussi un niveau merdique en espagnol parce que 1h de langue par semaine au lycée ça ne permet pas d'être bilingue, sauf pour ceux qui ont la chance de faire des séjours linguistiques.

Les profs ne prennent pas ça en compte et partent du principe que tout le monde parle parfaitement espagnol, donc les élèves sont vite largués et il suffit qu'ils se découragent un peu pour être mis de côté. C'est très compliqué de réussir en langue parce que la fac c'est pas une formation linguistique spécialisante, c'est un contenu d'infos qu'on te balance sans chercher à savoir si tu es capable de les accueillir ou non. Donc les élèves nagent et ne viennent plus en cours.

A quand un enseignement intelligent pour faire un de la fac un endroit où les élèves ont envie d'aller autrement que par dépit ?

Lien vers le commentaire

Les profs ne prennent pas ça en compte et partent du principe que tout le monde parle parfaitement espagnol, donc les élèves sont vite largués et il suffit qu'ils se découragent un peu pour être mis de côté. 

 

Si quelqu'un n'est pas bon à une langue, qu'il n'espère pas l'apprendre à la fac. Parce que (normalement, dans un pays censé), on n'apprend pas une langue à la faculté dont on a fait son cursus : on l'approfondit, on la travaille, on l'analyse. 

Aller en espagnol car on a un niveau lycée en espagnol est une grave erreur, la faute aux conseillers d'orientation, aux profs et à la faible sélectivité des universités.

La faculté forme des intellectuels, des experts, des cadres supérieurs, des ingénieurs, des professeurs. En ce sens, elle ne devrait pas avoir vocation à fournir à tout le monde une éducation égale et équitable (tout le monde n'a pas le niveau...), mais à fabriquer une forme d'élite intellectuelle, ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.

 

Quant à l'âge, dans quasiment tous les pays du monde, les élèves commencent leurs études à 17 ou 18 ans dans les mêmes circonstances. 

Lien vers le commentaire

Plus précisément, les filières vocationnelles sont tellement peu attractives que presque tout le monde veut aller dans des filières générales (qui comme leur nom l'indiquent n'ont pas vocation à être vocationnelles).

Maintenant est-ce que personne ne veut aller en filière pro parce que les filières pro sont mauvaises ou est-ce que les filières pro sont mauvaises parce que personne ne veut y aller ? C'est le problème de l'oeuf et de la poule.

Pour moi la solution (hors libéralisation) est d'augmenter drastiquement la sélectivité des filières générales (par exemple en revalorisant le brevet), ce qui augmenterait mécaniquement le niveau partout.

+1

 

 

 

Ce n'est pas seulement un problème de bourse, les élèves qui arrivent en fac ont 18 ans, parfois même 17, c'est très jeune. On est pas encore matures à cet âge là, on a besoin d'être encadré, épaulé. A la fac, ce n'est absolument pas le cas. En arrivant, les élèves ont aussi un niveau merdique en espagnol parce que 1h de langue par semaine au lycée ça ne permet pas d'être bilingue, sauf pour ceux qui ont la chance de faire des séjours linguistiques.

Les profs ne prennent pas ça en compte et partent du principe que tout le monde parle parfaitement espagnol, donc les élèves sont vite largués et il suffit qu'ils se découragent un peu pour être mis de côté. C'est très compliqué de réussir en langue parce que la fac c'est pas une formation linguistique spécialisante, c'est un contenu d'infos qu'on te balance sans chercher à savoir si tu es capable de les accueillir ou non. Donc les élèves nagent et ne viennent plus en cours.

A quand un enseignement intelligent pour faire un de la fac un endroit où les élèves ont envie d'aller autrement que par dépit ?

 

Wut ?

Lien vers le commentaire

Plus précisément, les filières vocationnelles sont tellement peu attractives que presque tout le monde veut aller dans des filières générales (qui comme leur nom l'indiquent n'ont pas vocation à être vocationnelles).

Maintenant est-ce que personne ne veut aller en filière pro parce que les filières pro sont mauvaises ou est-ce que les filières pro sont mauvaises parce que personne ne veut y aller ? C'est le problème de l'oeuf et de la poule.

Pour moi la solution (hors libéralisation) est d'augmenter drastiquement la sélectivité des filières générales (par exemple en revalorisant le brevet), ce qui augmenterait mécaniquement le niveau partout.

 

Et pourquoi pas rendre sélectives les filières pro ?

 

Lien vers le commentaire

Si quelqu'un n'est pas bon à une langue, qu'il n'espère pas l'apprendre à la fac. Parce que (normalement, dans un pays censé), on n'apprend pas une langue à la faculté dont on a fait son cursus : on l'approfondit, on la travaille, on l'analyse. 

Aller en espagnol car on a un niveau lycée en espagnol est une grave erreur, la faute aux conseillers d'orientation, aux profs et à la faible sélectivité des universités.

La faculté forme des intellectuels, des experts, des cadres supérieurs, des ingénieurs, des professeurs. En ce sens, elle ne devrait pas avoir vocation à fournir à tout le monde une éducation égale et équitable (tout le monde n'a pas le niveau...), mais à fabriquer une forme d'élite intellectuelle, ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.

 

Quant à l'âge, dans quasiment tous les pays du monde, les élèves commencent leurs études à 17 ou 18 ans dans les mêmes circonstances. 

 

Eh bien grand mal m'en a pris d'aller dans une fac d'espagnol alors que je n'avais que mon pauvre niveau d'espagnol de lycée !

Heureusement que l'on peut intégrer une formation sans parler parfaitement la langue, et heureusement que je suis tombée sur des professeurs qui nous ont aidé à compléter nos connaissances de base et à nous perfectionner jusqu'à devenir bilingue !

Bien sûr, je suis d'accord avec toi, les étudiants qui arrivent en licence d'espagnol doivent s'attendre à pouvoir suivre tous les cours en espagnol et à rédiger des devoirs entiers en espagnol. Mais le principe de la première (et même de la deuxième !) année de licence, c'est aussi de former les étudiants à avoir des bases solides pour ENSUITE faire partie de l'élite intelectuelle dont tu parles.

Aujourd'hui la fac on ne sait pas vraiment à quoi ça sert, les élèves viennent en cours mais ne savent pas pouquoi, les professeurs font cours mais ça les fait royalement chier, finalement après 3 ans de licence personne ne sait trop quoi faire par la suite. Tout ça parce qu'on a abordé tellement de choses qu'au final on est spécialisés dans rien du tout.

Je passe les détails de programmes qui n'ont rien à voir d'une fac à l'autre et qui offre un diplôme validé dans une université qui ne le sera absolument pas dans une autre.

Vous l'aurez compris, j'ai pas un bon souvenir de mes années de fac.

Lien vers le commentaire

Tout ça parce qu'on a abordé tellement de choses qu'au final on est spécialisés dans rien du tout.

Ca c'est le problème de ton diplôme et de nombreux autres. Un étudiant en médecine, en physique, en chimie (même si peu de débouchés dans ce domaine), dans une autre mesure un étudiant en droit ne te dira pas ça.

Si ça ne tenait qu'à moi j'éradiquerais 80% des filières en sciences sociales, lettres, histoire et en langues. Just saying.

 

Et pourquoi pas rendre sélectives les filières pro ?

Qu'elles soient sélectives ok mais leurs critères seront nécessairement beaucoup plus bas que les filières générales.
Lien vers le commentaire

Ca c'est le problème de ton diplôme et de nombreux autres. Un étudiant en médecine, en physique, en chimie (même si peu de débouchés dans ce domaine), dans une autre mesure un étudiant en droit ne te dira pas ça.

Si ça ne tenait qu'à moi j'éradiquerais 80% des filières en sciences sociales, lettres, histoire et en langues. Just saying.

 

Qu'elles soient sélectives ok mais leurs critères seront nécessairement beaucoup plus bas que les filières générales.

 

Oui j'aurais du préciser à la fin de mon message que parle en connaissance de cause pour mon diplôme, je n'en fais pas une généralité évidemment.

Et si tu éradiques les fillières SS, lettres etc.... tu en fais quoi ? Tu remplaces par quelle formation ?

Lien vers le commentaire

Mais je suis pas vraiment Randien. Mon avatar est surtout très joli.

 

Et si tu éradiques les fillières SS, lettres etc.... tu en fais quoi ? Tu remplaces par quelle formation ?

tumblr_mno5ier0U91rag6z6o1_500.gif

Au palmarès des recrutements les plus difficiles figurent les traditionnels emplois à domicile... les aides ménagères... mais il manque aussi des ingénieurs, des cadres en recherche et développement.

http://www.franceinfo.fr/emission/tout-info-tout-eco/2014-2015/chomage-le-paradoxe-des-offres-d-emplois-non-pourvues-26-02-2015-06-53

Lien vers le commentaire

Qu'elles soient sélectives ok mais leurs critères seront nécessairement beaucoup plus bas que les filières générales.

 

L'erreur du système français est bien résumée par ta phrase.

Tu peux pas être carreleur sans être précis et assidu.

 

Non, les critères ne devront pas être revus à la baisse ; ils devront juste être très différents.

Lien vers le commentaire

Oui bon c'est du politiquement correct que tu me fais là.

L'un des traits des métiers manuels c'est d'être plus accessibles que médecin, avocat ou chercheur en sciences cognitives.

Lien vers le commentaire

Mais je suis pas vraiment Randien. Mon avatar est surtout très joli.

 

tumblr_mno5ier0U91rag6z6o1_500.gif

Au palmarès des recrutements les plus difficiles figurent les traditionnels emplois à domicile... les aides ménagères... mais il manque aussi des ingénieurs, des cadres en recherche et développement.

http://www.franceinfo.fr/emission/tout-info-tout-eco/2014-2015/chomage-le-paradoxe-des-offres-d-emplois-non-pourvues-26-02-2015-06-53

 

Oh ça c'est une réponse totalement constructive !

 

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...