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Insolite, excentrique, baroque et déviant


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James Bond est brun aux yeux verts, hétéro, boit des vodka-Martini au shaker, pas à la cuillère et a un Walter PPK.

Déjà Craig le blond aux yeux bleus qui tire au fusil d'assaut et qui se fout du mélange de son cocktail c'est passé moyen, mais si en plus il est rose et gay, ça va pas le faire. Eton ou pas.

Et pourquoi pas américain tant qu'on y est.

 

c'était un peu le principe la vodka martini

 

Si on reprends l'histoire, c'est la première mission de James Bond en tant que 00 (donc level max), il dit au serveur "mais qu'est-ce que ça peut bien me foutre", c'est pour appuyer sur le côté "débuts" de James Bond, gars qui se construit.

 

Voilà, analyse de comptoir

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C’est sans doute une première dans l’histoire du marketing de rue. Un dealer a été interpellé en fin de semaine dernière alors qu’il distribuait à des passants des prospectus d’un genre un peu particulier, dans le quartier du Tonkin à Villeurbanne.

Sur sa petite feuille au format d’un flyer, un prénom, un téléphone, un échantillon de cannabis fixé avec du scotch, et une offre à ne pas manquer : «livraison à domicile à partir de 100 euros».

Alertée par l’un des passants un peu estomaqué, la police a interpellé l’auteur. Et retrouvé sur lui et à son domicile une douzaine de flyers prêts à être distribués. Ainsi qu’une centaine de grammes de résine de cannabis.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/lyon-poignarde-en-plein-coeur-pour-un-steak-mal-cuit-25-08-2015-5033943.php#xtor=AD-1481423552

 

 

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c'était un peu le principe la vodka martini

Si on reprends l'histoire, c'est la première mission de James Bond en tant que 00 (donc level max), il dit au serveur "mais qu'est-ce que ça peut bien me foutre", c'est pour appuyer sur le côté "débuts" de James Bond, gars qui se construit.

Voilà, analyse de comptoir

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Encore un grand exploit de l'étatisme :

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/08/26/01016-20150826ARTFIG00286-dans-les-bouches-du-rhone-une-decharge-de-munitions-inquiete-les-riverains.php#xtor=AL-155-[facebook]

 

 

À quelques kilomètres du dépôt militaire de Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, une importante décharge de munitions à l'abandon inquiète une association de défense de l'environnement. Depuis plusieurs années, poudre et obus restent à la merci des intempéries.

Plusieurs milliers d'obus et au moins 420 tonnes de poudre dorment sous le ciel de Provence à une trentaine de kilomètres d'Arles, dans les Bouches-du-Rhône. Laissée à l'abandon depuis 2006, l'ancienne décharge de munitions de Saint-Martin-de-Crau soulève l'inquiétude des riverains et plus particulièrement d'une association de protection de l'environnement, Agir pour la Crau, qui dénonce les risques sécuritaires et sanitaires.

Le vol d'explosifs début juillet sur le site militaire de Miramas, à seulement dix kilomètres de Saint-Martin-de-Crau, et les explosions qui ont suivi dans l'usine pétrochimique de Berre-l'Etang, ont relancé le dossier. «Après les événements, la préfecture s'est un peu inquiétée. Elle a rafistolé les clôtures qui ne protègent même pas tout le site, et fait poser de magnifiques panneaux ‘Attention danger'», déplore Joëlle Longhi, porte-parole de l'association. Depuis des années, elle réclame la sécurisation et la dépollution de ce site de 35 hectares, entouré par des exploitations agricoles.

Dès la fin de la Première guerre mondiale, La Carougnade, un lieu-dit à la sortie de Saint-Martin dans la plaine de la Crau, est mobilisée pour gérer le stockage des déchets militaires. Au milieu des années 1980, la Société Industrielle de Munitions et Travaux (SIMT) prend en charge la gestion du site, avec pour principal client le ministère de la Défense. «On arrive pas à comprendre exactement ce qu'ils ont pu faire pendant toutes ces années. Apparemment, ils se sont contentés d'enterrer et d'immerger des obus», explique Joëlle Longhi.

 

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Etats-Unis : 100% des steaks hachés contiendraient des matières fécales La revue américaine Consumer Reports vient de sortir une surprenante étude sur la qualité de la viande de boeuf aux Etats-Unis. Selon elle, l'intégralité des steaks testés contenaient des matières fécales mais aussi plusieurs bactéries.

Les enquêteurs expliquent que cette contamination de la viande serait due aux méthodes d’élevage, d'abattage et de préparation des viandes hachés. Les excréments viennent de l'intestin de l'animal qui est mélangé avec le reste de la viande hachée.

Cette publication de défense des consommateurs a commencé son enquête à la suite de plusieurs cas d'intoxications alimentaires. Les biologistes ont testé 300 boîtes de steaks hachés industriels (200 kg au total) commercialisés dans 103 magasins localisés dans 26 villes des États-Unis. Les enquêteurs se sont également procurés des steaks issus de l'agriculture biologique : même constat.

Plusieurs bactéries présentent des dangers pour la sécurité alimentaire : des entérocoques et la fameuse bactérie Escherichia coli, qui peuvent entraîner des infections graves chez les personnes fragiles. Bonne nouvelle cependant pour les consommateurs américains, ces bactéries sont présentes uniquement à la surface de la viande. Une cuisson suffisante permettrait d'en tuer une grande partie.

Qu'en est-il en France ? L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail explique à Sciences et Avenir, qui relate l'étude américaine, que «la France est l'un des pays au monde qui contrôle le mieux l'abattage et la transformation de la viande de bœuf, et davantage de précautions sont prises -comparé aux États-Unis- pour que les bêtes soient moins souillées». «À l'abattoir, la réglementation européenne prévoit notamment un critère indicateur d'hygiène (...) ; en cas de non respect de ce critère, le professionnel doit procéder à des améliorations de l'hygiène de l'abattage», précise la Direction générale de l'alimentation.

http://www.leparisien.fr/societe/etats-unis-100-des-steaks-haches-contiendraient-des-matieres-fecales-27-08-2015-5039639.php

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L'écrivain-journaliste français Éric Laurent a tenté de faire chanter le roi du Maroc, Mohammed VI. L'homme de 68 ans a écrit plusieurs livres sur le royaume marocain mais le dernier en date n'est pas paru. Et pour cause : c'est un livre à charge et le journaliste a réclamé de l'argent au roi pour ne pas le publier. Sauf que les autorités du pays ont porté plainte pour chantage et extorsion. Le journaliste a alors été interpellé dans l'après-midi de ce jeudi 27 août.

 

Le feuilleton dure en fait depuis un mois. Le premier acte a lieu le 23 juillet à Paris. Ce jour-là, Éric Laurent contacte le cabinet du roi du Maroc. Il annonce qu'il va publier un livre à charge et sollicite un rendez-vous. Le 11 août, une rencontre a lieu entre l'écrivain et un avocat marocain. Au cours de ce face à face, Éric Laurent aurait réclamé trois millions d'euros au représentant du roi pour annuler la publication du livre. C'est ce que soutient le Maroc. Une plainte est alors immédiatement déposée auprès du procureur de Paris.

Des entrevues sous surveillance policière

Deuxième acte, le 21 août. Une nouvelle rencontre se tient entre l'avocat marocain et l'écrivain. Mais cette fois, la réunion est sous discrète surveillance policière. Éric Laurent aurait alors réitéré son offre : 3 millions d'euros contre son silence. Cinq jours plus tard, devant la gravité des faits, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour chantage et tentative d'extorsion de fonds. Trois juges sont désignés.

Le dernier acte a donc eu lieu ce jeudi 27 août. Un ultime rendez-vous est à nouveau surveillé et écouté par la police. L'écrivain se serait accordé sur une transaction à deux millions d'euros, accepté une avance de 80.000 euros et renoncé par écrit à la publication. Il a finalement été interpellé à la sortie de ce restaurant parisien, en compagnie, semble-t-il, de sa co-auteure qui travaillait sur cet ouvrage.

 

http://www.rtl.fr/actu/international/un-journaliste-francais-interpelle-pour-avoir-fait-chanter-le-roi-du-maroc-7779524963

 

Quel idiot :icon_ptdr:

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Quand j'y étais, la guide expliquait que la veille, en raison de forts vents, une bonne partie des baraquements s'étaient effondrés, et que ce genre d'incidents sont courants à Auschwitz, le climat polonais continental étant assez rude.

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La délinquance monégasque.

 

 

Une sculpture de forme phallique "vandalisée" à Monaco

Kim Boulukos est "dégoûtée". L’une des œuvres de l’artiste, exposée à Monaco, s’est retrouvée par terre. "Vandalisée", assure-t-elle. C’était dans la nuit du 5 au 6 août dernier, rue Princesse-Caroline.

A l'époque, l’une de ses sculptures est exposée là, dans le cadre de l’exposition "RoUgE" organisée par l’association Artistes en Mouvement. L’œuvre représente une moitié d’os, rouge, qui pointe vers le ciel. Et le matin du 6 août, on la retrouve au sol.

Kim Boulukos en est sûre: son œuvre a été dégradée volontairement. La sculpture pèse dans les 100 kg, plus un socle d’une cinquantaine de kilos. "Ca ne peut pas tomber comme ça", souffle-t-elle.

03-09-2015-09-21-26.jpg

Il y a aussi la forme de l’œuvre. "Phallique", selon certains avis qu’elle a reçus. Cette forme, poursuit l'artiste franco-américaine, aurait pu "attirer" des "jeunes en vacances, saouls" et les amener à "dégrader" la sculpture.

Seulement voilà: Kim Boulukos n’a pas déposé plainte, et aucun élément d’une enquête ne peut appuyer cette thèse.

 

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