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On parle de nous... enfin, pas vraiment nous...


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Non mais en fait je vois pas qui parmi les libéraux qu'on entend dans les médias peut être qualifié de conservateur. Koenig est celui qu'on entend le plus et il ne l'est pas vraiment....malgré son soutien à PAB dans la course au tribun :D

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Non mais en fait je vois pas qui parmi les libéraux qu'on entend dans les médias peut être qualifié de conservateur. Koenig est celui qu'on entend le plus et il ne l'est pas vraiment....malgré son soutien à PAB dans la course au tribun :D

 

Je pensais à Charles Beigbeder.

 

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  • 4 weeks later...

Le-retour-du-liberalisme_large.jpg

 

Les leçons libérales de la crise

Sociétal
Marc Crapez
Les critiques formulées contre le système capitaliste et de l’idée d’efficience des marchés ont été particulièrement virulentes après la crise économique et financière de 2008 qui a débuté aux États-Unis. Ces critiques, si elles prennent pour cible le libéralisme, constitueraient cependant, selon l’auteur, un mauvais procès mené contre les idées libérales. La crise serait plutôt, selon lui, le résultat d’une accumulation excessive de dettes. Les établissements de crédit parapublics dont les bilans ont atteint une taille trop importante, ont été à l’origine de la crise. Le libéralisme qui vise justement à éviter des situations de monopole, n’est donc, selon l’auteur, nullement en cause dans le déclenchement de cette dernière.

 

Le néolibéralisme : unité, diversité, divergences
La Vie des idées
Serge Audier
Le néolibéralisme est une notion relativement difficile à définir. Pour certains, il évoque – dans le contexte de la crise des solutions dites « keynésiennes » - les grandes mutations économiques qu’ont connues les pays développés à partir des années 1970 comme la dérégulation, les privatisations et le retrait de l’État. Pour d’autres, il englobe l’ensemble des expériences socio-économiques menées depuis les années 1950 depuis l’instauration de l’économie sociale de marché en Allemagne. Le néolibéralisme n’est donc pas un concept univoque, il est indiscutablement pluriel. Nier cette diversité serait confondre les époques, car l’histoire du libéralisme réunit autant des ruptures et des désaccords, que de mutations et de convergences.

 

Au cœur du libéralisme : la pensée autrichienne
Institut Turgot
Entretien avec François Facchini
L’école autrichienne d’économie est un courant de pensée complètement distinct de l’école néo-classique. La principale différence entre ces deux écoles est le refus de la première de  penser l’économie de marché à partir de la théorie de l’équilibre. L’approche de l’école autrichienne rompt ainsi avec la physique sociale du modèle walrasien. Selon les économistes se référant à cette tradition de pensée, l’information prix est l’élément essentiel de tout marché : sans cette information capable de révéler le montant des ressources que les individus sont prêts à sacrifier pour obtenir un bien, la coordination des agents serait encore plus imparfaite. Toute la stabilité de la coordination au sein des marchés tient au rôle positif du prix. L’auteur revient dans cet entretien sur les principaux concepts développés par l’école autrichienne – une forme de pensée économique hétérodoxe qui n’est que très rarement enseignée dans les universités.

 

Libre concurrence versus liberté contractuelle
Frankfurter Allgemeine Zeitung
Rainer Hank
De nombreuses controverses à propos du libéralisme sont liées au conflit entre deux principes libéraux fondamentaux : celui de la libre concurrence et celui de la liberté contractuelle. La théorie libérale n’a jamais véritablement réussi à arbitrer entre ces deux idéaux. Il est vrai que la liberté contractuelle peut être utilisée pour restreindre la liberté de concurrence, comme dans le cas d’un cartel. Selon certains économistes libéraux, ceux qui mettent en particulier l’accent sur la libre concurrence, il est ainsi indispensable de combattre les cartels à l’aide du pouvoir étatique, sans égard pour les droits de propriété. D’autres, au contraire, s’opposent à cette démarche. Dans la tradition de Böhm-Bawerk, ils considèrent que nul ne dispose d’un pouvoir sans limites, pas même le plus grand monopoleur, car plus celui-ci tente d’augmenter le prix, moins il y a d’agents prêts à accepter ce dernier. L’économie numérique du XXIsiècle vérifie de manière encore plus prononcée cette posibilité pour la concurrence de battre en brèche les monopoles.

 

Vers un renouveau du libéralisme par la démocratie facilitatrice
Les Échos
Geneviève Bouché
Le capitalisme connaît aujourd’hui de profondes mutations : la conception du travail, la forme des grandes organisations ou la notion de biens publics sont, à des degrés divers, remises en cause. Les conditions de la libre entreprise font également l’objet de débats, tandis que les attentes de la société à l’égard de l’État sont de plus en plus élevées. Dans ce contexte, le libéralisme doit être redéfini. Favoriser les initiatives citoyennes pourrait être une voie efficace pour refonder les idées libérales. De nombreuses collectivités territoriales commencent à encourager ce type d’initiatives lorsque ces projets sont considérés comme utiles à la collectivité. Cette formule de démocratie facilitatrice est à terme susceptible de favoriser l’émergence de meilleurs compromis entre satisfaction économique et satisfaction sociale.

 

  • Yea 2
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  • 3 months later...

Agnès se défend d'être libérale, il faut le savoir. Ce qu'elle défend, c'est l'efficacité économique.

 

Ah, super, encore une qui viendra demander la baisse de la fiscalité des entreprises, promouvoir la guerre contre les drogues, vouloir obliger les gens a faire des trucs et se faire placarder partout sa tête sur une affiche avec dessus "libérale"... :(

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Ah, super, encore une qui viendra demander la baisse de la fiscalité des entreprises, promouvoir la guerre contre les drogues, vouloir obliger les gens a faire des trucs et se faire placarder partout sa tête sur une affiche avec dessus "libérale"... :(

Reagan ?
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Ah, super, encore une qui viendra demander la baisse de la fiscalité des entreprises, promouvoir la guerre contre les drogues, vouloir obliger les gens a faire des trucs et se faire placarder partout sa tête sur une affiche avec dessus "libérale"... :(

Elle ne parle que de thèmes économiques et elle le fait remarquablement. Après ses solutions ne cadrent pas avec le grand soir libéral, mais juste de la bonne gestion et de l'exigence envers la fonction publique et les politiques dans un cadre social-démocrate. En tout cas ses connaissances et sa façon de parler surpassent celles de Gaspard Koenig.

Par contre Rivaton, non seulement il ne va pas aussi loin dans ses solutions qu'Agnes Verdier, mais en plus ses connaissances ne sont pas aussi importantes. En plus il semble rouler pour les républicains.

Ils auraient pu citer h16 quand même

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Source.

Pour elle, "libéral ou pas libéral", c'est une question périmée. Il n'y a que "bonne ou mauvaise gestion".

 

Elle est pragmatique. Elle veut des solutions politiques qui marchent. Adhérer à une idéologie avec son cortège d'ayatollah d'un côté, et de l'autre, ceux qui la diabolisent sans cesse, n'a aucun intérêt pour son projet.

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Source.

Pour elle, "libéral ou pas libéral", c'est une question périmée. Il n'y a que "bonne ou mauvaise gestion".

 

Ben ça ressemble à du bon gros pragmatisme des familles ça !

 

Cela veut dire qu'on ne touche pas à l'état actuel du service publique ? Ah si, il faut qu'il soit "bien géré", donc probablement, avec excédant au minimum nul. Si l'on ne peut pas se contenter de limiter les dépenses de fonctionnement, où est-ce qu'on coupe ?

 

On ne sait pas, parce qu'on est pragmatique, on n'a pas d'idéologie.

 

Remarquez que ce genre de pragmatique, vous lui donnez une organisation collectiviste coercitive qui, pour des raisons contingentes, dégage un excédant au minimum nul, ils ne touchent à rien.

 

C'est beau le pragmatisme.

 

Elle est pragmatique. Elle veut des solutions politiques qui marchent. Adhérer à une idéologie avec son cortège d'ayatollah d'un côté, et de l'autre, ceux qui la diabolisent sans cesse, n'a aucun intérêt pour son projet.

 

Ben oui, les idéologies c'est forcément des trucs d'ayatollah.

 

Réfléchis deux minutes et tu verras que quand tu as le choix entre couper la santé et l'éducation, la réponse est idéologique. Tu peux couper les deux, encore une fois, c'est idéologique. Dès que c'est final et pas instrumental, c'est idéologique.

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Ben ça ressemble à du bon gros pragmatisme des familles ça !

 

Cela veut dire qu'on ne touche pas à l'état actuel du service publique ? Ah si, il faut qu'il soit "bien géré", donc probablement, avec excédant au minimum nul. Si l'on ne peut pas se contenter de limiter les dépenses de fonctionnement, où est-ce qu'on coupe ?

 

On ne sait, parce qu'on est pragmatique, on n'a pas d'idéologie.

 

Remarquez que ce genre de pragmatique, vous lui donnez une organisation collectiviste coercitive qui, pour des raisons contingentes, dégage un excédant au minimum nul, ils ne touchent à rien.

 

C'est beau le pragmatisme.

 

La caricature est grossière, et digne d'un idéologue aveuglé.

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