Aller au contenu

Aujourd'hui, en France


FabriceM

Messages recommandés

Posté

Une prof va passer au tribunal pour le viol de son élève:

https://actu.fr/ile-de-france/creteil_94028/val-de-marne-accusee-d-avoir-fait-fumer-son-eleve-avant-de-le-violer-une-professeure-risque-20-ans-de-prison_63492589.html

 

J'ai l'impression de voir passer de plus en plus d'affaire de ce style où c'est la prof condamné.

Qu'il y a un changement d'attitude par rapport à ce type de fait, certains y verrons du gauchisme de la justice à l'oeuvre, mais que l'on a de moins en moins l'idée que pour un garçon avoir un relation sexuelle avec sa prof c'est une source de fierté donc cela ne peut être un viol.

D'ailleurs c'est une attaque récurrente sur Macron, on ne voit pas le gars qui a réussit le stretch goal de se faire sa prof, mais plus la nature problématique de leur liaison.

 

Je me demande à quel point la détestation de Macron n'a pas justement fait beaucoup sur la prise de conscience que c'est problématique.

 

Posté
il y a 4 minutes, Tramp a dit :

Elle était moche et puante. 


Ça ne va pas l'aider à amadouer les juges...

  • Yea 1
Posté
il y a 18 minutes, Lameador a dit :

Attention aux propos misogynes


C’est écrit dans l’article. 

Posté
5 hours ago, Marlenus said:

Une prof va passer au tribunal pour le viol de son élève:

https://actu.fr/ile-de-france/creteil_94028/val-de-marne-accusee-d-avoir-fait-fumer-son-eleve-avant-de-le-violer-une-professeure-risque-20-ans-de-prison_63492589.html

 

J'ai l'impression de voir passer de plus en plus d'affaire de ce style où c'est la prof condamné.

Qu'il y a un changement d'attitude par rapport à ce type de fait, certains y verrons du gauchisme de la justice à l'oeuvre, mais que l'on a de moins en moins l'idée que pour un garçon avoir un relation sexuelle avec sa prof c'est une source de fierté donc cela ne peut être un viol.

 

Le fait est qu en lisant le détail de l'article, on tombe sur une situation bien gratinée avec une victime traumatisée par le préjudice qu'elle a subi. On est assez loin du fantasme de la prof d'anglais que l'on tous plus ou moin eu.

 

5 hours ago, Marlenus said:

D'ailleurs c'est une attaque récurrente sur Macron, on ne voit pas le gars qui a réussit le stretch goal de se faire sa prof, mais plus la nature problématique de leur liaison.

Je me demande à quel point la détestation de Macron n'a pas justement fait beaucoup sur la prise de conscience que c'est problématique.

 

Je ne pense pas. J'y vois plutôt une adoption de moeurs américaines, un agacement envers une misandrie légale (à laquelle peut répondre une demande hypocrite de parité) et une évolution de la morale sexuelle.

Le blagues graveleuses (et drôles) sur Macron sont plutôt une petite schadenfreude bonus

Posté

Des juges (gauchistes?) empêchent un présumé innocent de rester maire et de se représenter aux municipales à St Etienne:

 

https://www.franceinfo.fr/societe/justice/saint-etienne-le-maire-condamne-a-cinq-ans-de-prison_7651358.html

 

 

Suis toujours impressionné par ces personnes qui arrivent à dire sans sourciller qu'ils sont totalement innocent alors qu'il y a des preuves indiscutables.

Un peu comme le gamin qui te jure qu'il n'a pas touché au pot de nutella alors qu'il en a encore à la commissure des lèvres.

 

Posté
Le 28/11/2025 à 05:59, Lameador a dit :

 

 

Je ne pense pas. J'y vois plutôt une adoption de moeurs américaines, un agacement envers une misandrie légale (à laquelle peut répondre une demande hypocrite de parité) et une évolution de la morale sexuelle.

 


Je suis d’accord. Il y a une americanisation de manière générale des relations hommes femmes avec le puritanisme (aussi bien de gauche que de droite) qui va avec.

Posté
il y a 52 minutes, Zagor a dit :


Je suis d’accord. Il y a une americanisation de manière générale des relations hommes femmes avec le puritanisme (aussi bien de gauche que de droite) qui va avec.

C'est certainement le cas sur les réseaux sociaux où les Français, surtout les plus jeunes, réagissent de l'exacte même manière que des Américains sur les affaires de moeurs. C'est frappant le changement en même pas 10 ans.

Posté

C'est marrant, j'aurais pensé qu'il y avait un lien avec le message martelé par les féministes a tous les échelons sociaux : il ne faut pas avoir de rapport sexuel sans consentement, et les enfants et les gens bourrés ne sont pas aptes a donner leur consentement. Mais c'est peut être du puritanisme.

  • Yea 1
Posté

Brandt : « C’est la première fois que l’Etat financerait une coopérative de salariés »

 

Citation

Parmi elles, celle montée en urgence par des salariés pour créer une société coopérative ouvrière de production (SCOP). Soutenu par la région Centre-Val de Loire, la métropole d’Orléans et l’entrepreneur Cédric Meston – spécialisé dans la reprise de marques en difficulté, comme Tupperware –, ce projet de SCOP a convaincu l’Etat.

Ce dernier est prêt à mettre 5 millions d’euros
, a affirmé, le 1er décembre, Sébastien Martin, le ministre délégué chargé de l’industrie. Selon lui, environ 300 emplois, sur les près de 700 que compte le groupe Brandt en France, pourraient ainsi être sauvés.

 

Posté

Dites c'est vrai qu'ils parlent d'interdire le chauffage au gaz ? Ma chaudière (à gaz) est en fin de vie j'envisageais de la remplacer par une chaudière à gaz à condensation mais ce n' est peut être pas le bon plan ?

Posté

Oui c'est vrai.  Mon avis: si tu as besoin de remplacer ta chaudière, fais-le tant que c'est autorisé.  Tu seras a priori tranquille pour toute la durée de vie de la nouvelle installation.

 

  • Yea 1
Posté
19 hours ago, Adrian said:

 

Dans cette affaire, je suis vachement convaincu par l'expertise gestionnaire du ministre de l'industrie. Il a expliqué que l'Etat financerait cette scop pour des raisons... de patriotisme et d'histoire. Voilà de bons arguments de gestion ! :icon_bravo:

L'Etat n'est pas fichu de présenter un budget équilibré depuis plus de 40 ans, mais il serait apte à évaluer la rentabilité d'un projet d'entreprise...

Et tout ça pour ne sauver que 300 emplois sur les 750 emplois actuels.

 

De l'argent public bien géré !

  • Yea 2
Posté

Finalement, peut-être que Nicolas ne paye pas assez.

 

Quote

Finalement, entendu en visioconférence depuis «l’Auvergne», où il est incarcéré, Nicolas Bengler se rapproche de la caméra et s’adresse directement au juge qui l’interroge. «Monsieur le juge, je jure que quand j’ai l’occasion, je t’envoie un commando te chercher chez toi. Je vais te mettre dans une cave. 

 

https://www.lefigaro.fr/marseille/il-suffit-d-evoquer-leur-nom-pour-faire-peur-les-freres-bengler-juges-a-marseille-pour-un-vaste-racket-20251209

 

 

Je reconnais que sans le prénom d'un des 2, je n'aurais pas posté, mais je n'ai pas résisté :D

 

Et en réfléchissant à ça je me suis demandé si cette expression de Nicolas qui paye n'était pas une référence à Sarkozy.

Posté

Plus de 257 millions d’euros pour un système inutilisable : le logiciel pénal de la police nationale étrillé par la Cour des comptes

 

Citation

Ce document de plus de 500 pages, que Le Monde a pu consulter, d’une précision juridique et financière chirurgicale, décortique les responsabilités de cinq commissaires de police, de deux généraux de gendarmerie, de cinq directeurs généraux de la police et de la gendarmerie, de trois secrétaires généraux du ministère de l’intérieur et d’un administrateur civil pour des faits relevant de la « violation des règles de contrôle budgétaire » et, surtout, du « défaut d’organisation et de surveillance » d’un programme jugé pourtant « particulièrement structurant » à l’ère du numérique. L’outil est toujours inutilisable, dix ans après son lancement. L’histoire de cette gabegie hors norme avait fort mal commencé dès 2014, lorsque, à peine mis en service, le logiciel de rédaction de procédures de la police nationale (LRPPN) est « unanimement jugé inadapté » et « son remplacement envisagé » aussitôt

[...]

En mars 2016, une commissaire de police y est donc nommée afin de coordonner les travaux entre gendarmes et policiers en sa qualité de cheffe de projet. Elle ne dispose d’« aucune expérience en matière de systèmes d’information ni de gestion de projet » ? Qu’importe, la société Capgemini, attributaire d’un marché public d’assistance, l’épaulera. La coopération police-gendarmerie-privé, du reste, ne s’éternise pas.

En octobre 2016, sur fond de « rivalités interpersonnelles », de « tensions », et, comme le déplore un acteur du projet cité par la Cour des comptes, de chicaneries « de niveau cour d’école », la gendarmerie annonce un « moratoire » sur les travaux. En réalité, elle claque tout bonnement la porte, sans préavis, redoutant de voir les développements en cours entraver le fonctionnement de son logiciel maison.
 

Le coup est rude, mais ce faux bond ne suffit pas à expliquer la suite d’errements reconstituée par la Cour des comptes, moins due aux exécutants qu’aux lourdeurs bureaucratiques et aux responsabilités diluées à l’infini. Enchevêtrement de structures chargées du numérique au ministère de l’intérieur avant leur rationalisation tardive, empilement de comités (« stratégique », « de pilotage » ou « de coordination »), « réforme de la gouvernance numérique de 2020 » suivie d’une « contre-réforme en 2023 »

D’emblée, loin des préoccupations des premiers concernés – les enquêteurs de la police judiciaire noyés sous un stock de dossiers –, le projet vise moins à assister les policiers en facilitant la rédaction de PV qu’à produire de la statistique, devenue l’indicateur de performance des forces de l’ordre et, par conséquent, de l’action ministérielle. Le 14 décembre 2018, soit presque trois ans après le lancement du chantier, un « comité stratégique » qui ne s’était jamais réuni jusque-là décide d’un changement d’orientation au terme d’un raisonnement à l’implacable logique : l’outil informatique de rédaction de procédure pénale… « doit être tourné en priorité vers le rédacteur pénal ».

[...]

Début juin 2021, le nouveau directeur technique du programme, nommé courant 2020, avait même jugé « irresponsable/impensable de lancer le moindre développement (…) tant qu[’ils] n’av[aient] pas fait table rase du passé ». Ses préconisations resteront lettre morte.

En janvier 2022, c’est au tour de la direction interministérielle du numérique de dresser le constat d’un projet « en crise systémique depuis son démarrage ». Depuis, le dossier est au point mort – ou presque. « La transformation numérique n’atteint pas les enquêteurs », se désespère le syndicat Unité, en février, et « XPN laisse peu d’espoir d’aboutir ».

[...]

Outre les pannes fréquentes, le logiciel mis à la disposition des enquêteurs par l’Etat ne permet toujours pas d’enregistrer le moindre fichier au format PDF si sa taille excède une résolution de 5 mégaoctets. Or, précise l’actuel directeur du programme XPN cité dans l’ordonnance, « une simple photographie peut avoir une taille supérieure ». Dès lors, pas d’autre choix que de « dégrader la qualité des images » pour les intégrer à un fichier et les rendre ainsi « inexploitables par les magistrats ». Les nouvelles dispositions en matière de garde à vue n’ont pas été davantage anticipées, malgré une importante réforme en juillet 2024. Le tout au risque de fragiliser des procédures de plus en plus formalisées.

Dorénavant, le déploiement du « nouveau » logiciel n’est pas prévu avant, au mieux, le troisième trimestre 2028… Un calendrier « ambitieux » selon la Cour des comptes et à propos duquel, sollicitée par Le Monde, la police nationale n’a pas souhaité s’exprimer.

 

Posté

Un salarié de la CPAM licencié pour avoir divulgué des infos concernant un ministre.

 

Alors il était raciste, regardait des films pornos sur son ordi du boulot, mais cela n'aurait pas été un problème si un ministre n'avait pas été visé.

 

Quote

les autres griefs — courriels racistes, fichiers personnels, contenu inapproprié — n’auraient jamais suffi à eux seuls à justifier un licenciement : « Le point clé, celui qui justifie réellement le licenciement, c’est la violation du secret professionnel. Si demain plus personne ne respecte son secret professionnel, plus rien ne fonctionne. C’est un pilier essentiel »

 

C'est sûr, il faut bien que le système se protège. Le reste ça va, faut protéger les agents problématique et les laisser en contact avec le public, mais si ils sont problématique envers un ministre, alors là...

 

A part ça, j'arrive pas à comprendre ceux qui regardent du porno sur leurs ordis du boulot et même plus, qui en télécharge.

Si vraiment ils sont drogué, ils ont leur smartphone.

 

C'est pas la première fois que l'on voit ça.

 

 

https://emploi.lefigaro.fr/fin-de-contrat/actualites-fin-de-contrat/2945-cpam-ministre/

 

Posté
Il y a 1 heure, Lancelot a dit :

Et donc les responsables sont-ils en prison, puisqu'on les connaît si bien ?


D’après l’enquête de l’IGPN, les faits ne se sont pas produits. 

Posté
22 minutes ago, Tramp said:

D’après l’enquête de l’IGPN, les faits ne se sont pas produits. 

77b.jpg

  • Haha 1
Posté
8 hours ago, Marlenus said:

Un salarié de la CPAM licencié pour avoir divulgué des infos concernant un ministre.

Complètement normal.

L'article est bizarrement complaisant à commencer par "un clic de trop". L'accès au dossier d'un tiers sans nécessité professionnelle devrait déjà être un motif de licenciement si l'administration était correctement gérée (mais j'ai des proches qui bossent au CHU de Grenoble, et vous ne croirez pas le nombre d'infirmières qui avait apparemment besoin d'accéder au dossier médical de Schumacher quand il y était hospitalisé - la seule conséquence a été une engueulade du directeur).

 

8 hours ago, Marlenus said:

C'est sûr, il faut bien que le système se protège. Le reste ça va, faut protéger les agents problématique et les laisser en contact avec le public, mais si ils sont problématique envers un ministre, alors là...

Ça n'est pas ce que dit ta citation... Et d'après l'article, sans la chaîne d'emails racistes personne n'aurait jamais fait attention à la fuite des données, ce qui est un sens des priorités un peu étrange.

 

La violation du secret professionnelle est bel et bien beaucoup plus grave que le reste, ministre ou pas (le reste, si on s'en tiens à l'article, est d'ailleurs assez véniel, on parle de fichier perso sur son ordi que personne n'avait vu avant l'enquête, et d'une chaîne d'emails qui a toute les chances de relever plus de l'humour beauf que de la propagande néo-nazi vu l'âge du bonhomme et les habitudes des personnelles administratifs - tu as l'âge pour te souvenir des chaînes d'emails avec un powerpoint à l'humour douteux forwardé entre deux cafés).

 

Ah, et le meilleur pour la fin

Quote

En 2019, les prud’hommes valident son licenciement. En 2022, la cour d’appel adopte la position inverse : elle juge le licenciement injustifié et lui accorde 28 000 euros d’indemnités. Mais en 2024, la Cour de cassation annule cette décision, estimant que la violation du secret professionnel rendait impossible le maintien du salarié.

La France est vraiment un pays magique.

Posté
8 hours ago, Marlenus said:

Un salarié de la CPAM licencié pour avoir divulgué des infos concernant un ministre.

 

Alors il était raciste, regardait des films pornos sur son ordi du boulot, mais cela n'aurait pas été un problème si un ministre n'avait pas été visé.

 

 

 

Oui, mais pas que. Je me souviens d'un cours de droit, il y a peu donc, où le prof nous avait relaté le cas suivant :

1/ employé avec problème de comportements

2/ boite mail anormalement grosse

3/ employeur, en présence d'un huissier, regarde les mails, découvre du contenu pédopornographique (illégal donc)

4/ il reporte au gendarmes (pedo) et licencie l'employé pour faute grave

5/ et se fait condamner pour licenciement abusif.

 

Les légistes du forum pourront peut être me dire s'il s'agit d'une légende, mais la barre pour licencier en France est assez haute... Et tu peux difficilement argumenter que ne pas maintenir le secret pro n'est pas un problème professionnel. Alors que les vidéos et blagues, privé toussa.

  • Yea 1
  • Huh ? 1
Posté
11 minutes ago, MXI said:

Oui, mais pas que. Je me souviens d'un cours de droit, il y a peu donc, où le prof nous avait relaté le cas suivant :

1/ employé avec problème de comportements

2/ boite mail anormalement grosse

3/ employeur, en présence d'un huissier, regarde les mails, découvre du contenu pédopornographique (illégal donc)

4/ il reporte au gendarmes (pedo) et licencie l'employé pour faute grave

5/ et se fait condamner pour licenciement abusif.

 

Les légistes du forum pourront peut être me dire s'il s'agit d'une légende, mais la barre pour licencier en France est assez haute... Et tu peux difficilement argumenter que ne pas maintenir le secret pro n'est pas un problème professionnel. Alors que les vidéos et blagues, privé toussa.

Ah mais le gars devait être viré.

Ce qui me dérange c'est que l'on ne puisse pas virer le gars qui regarde des vidéos pédopornographique sur son ordi du boulot.

Et que si il avait regardé les infos de son ex au lieu d'un ministre, il aurait sûrement gagné aux prud'homme.

 

  • Yea 1
Posté
1 hour ago, Jensen said:

Être en prison, ça n'est pas un motif de licenciement valable?

 

Pour faute grave?

Non.

 

Tu peux le licencier car son absence va être préjudiciable à l'entreprise, mais tu lui dois les dommages et intérêts légaux.

N'oublions pas que tant que la condamnation n'est pas définitive (i.e.: la cour de cassation a confirmé la condamnation), un gars est présumé innocent en droit français.

 

 

Posté
Ah mais le gars devait être viré.
Ce qui me dérange c'est que l'on ne puisse pas virer le gars qui regarde des vidéos pédopornographique sur son ordi du boulot.
Et que si il avait regardé les infos de son ex au lieu d'un ministre, il aurait sûrement gagné aux prud'homme.
 
Plutôt porno que pedo dans le cas présent
  • Yea 1

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...