Aller au contenu

Mes lectures du moment


Messages recommandés

C'est-à-dire que les autres auteurs libéraux sont généralement plus modestes, ils font de la philosophie politique, c'est tout, sans forcément te dire comment tu dois te comporter. Ceci dit je suis pas totalement sûr qu'on puisse dire qu'elle est plus profonde que Locke, Hume, Bentham, Mill, Mises, et Hayek. Disons plutôt que chez elle, l'unité de sa pensée est très forte.

 

Alors franchement, coller Locke, Hume et Mill dans le meme sac que Bentham Mises et Hayek, c'est mélanger les serviettes et les torchons, Locke, Hume et Mill avaient en effet une approche "complète" (ce qui, étant plus ambitieux, mène forcément à des plantages plus évidents :devil:), Bentham est un peu entre les deux, et Hayek, et encore plus Mises, sont en effet bien plus modestes dans leur approche, ce qui les rends plus solides sur leurs positions, mais donne des positions nettement moins intéressantes.

 

L'économie autrichienne justement, c'est un peu la première véritable séparation de l'économie et de la philosophie générale, les conclusions politiques ne sont pas maximalistes mais minimalistes et relativement flexibles, il n'y à pas de "modèle de societé" vendu dans le package, juste une approche critique qui permet de démonter certains modèles selon leurs propres fins, mais qui n'a par exemple aucun effet sur des modèles dons les fins sont cohérentes avec les moyens, c'est pour ça par exemple que le libéralisme, si il ne compte que sur les thèses économiques autrichiennes, n'a aucune arme face aux ecologistes "profonds", l'économie autrichienne est le vaccin contre le socialisme, c'est bien plus une critique q'un modèle, et quand Hayek essaye d'en tirer un modèle, il est perdu en territoire inconnu (contrairement à Popper, il sais qu'il est dans un domaine qu'il ne maîtrise pas du tout et évite d'affirmer n'importe quoi, c'est tout à son honneur).

 

 

Lien vers le commentaire

Je ne vois pas le rapport entre tes deux phrases.

L'isolationnisme de Rothbard est la continuation d'une tradition intellectuelle qui n'a de racine qu'aux États-Unis, parce que c'est là-bas qu'elle peut avoir du sens. Elle peut y avoir un sens parce qu'il s'agit d'un peuple qui a cru pouvoir bootstrapper une tradition politique en abandonnant tout ce qui les dégoûtaient chez leurs pères européens (la guerre, la diplomatie, le jeu des puissances et de l'influence). Elle peut aussi y avoir un sens parce que les Américains ont la chance d'avoir la géographie qui convient (géographie physique à l'ouest et à l'est, géographie physique au nord).

Mais hors des États-Unis, l'isolationnisme est comme un poisson hors de son bocal, ou comme une plante déracinée.

Lien vers le commentaire

Alors franchement, coller Locke, Hume et Mill dans le meme sac que Bentham Mises et Hayek, c'est mélanger les serviettes et les torchons, Locke, Hume et Mill avaient en effet une approche "complète" (ce qui, étant plus ambitieux, mène forcément à des plantages plus évidents :devil:), Bentham est un peu entre les deux, et Hayek, et encore plus Mises, sont en effet bien plus modestes dans leur approche, ce qui les rends plus solides sur leurs positions, mais donne des positions nettement moins intéressantes.

 

L'économie autrichienne justement, c'est un peu la première véritable séparation de l'économie et de la philosophie générale, les conclusions politiques ne sont pas maximalistes mais minimalistes et relativement flexibles, il n'y à pas de "modèle de societé" vendu dans le package, juste une approche critique qui permet de démonter certains modèles selon leurs propres fins, mais qui n'a par exemple aucun effet sur des modèles dons les fins sont cohérentes avec les moyens, c'est pour ça par exemple que le libéralisme, si il ne compte que sur les thèses économiques autrichiennes, n'a aucune arme face aux ecologistes "profonds", l'économie autrichienne est le vaccin contre le socialisme, c'est bien plus une critique q'un modèle, et quand Hayek essaye d'en tirer un modèle, il est perdu en territoire inconnu (contrairement à Popper, il sais qu'il est dans un domaine qu'il ne maîtrise pas du tout et évite d'affirmer n'importe quoi, c'est tout à son honneur).

Sauf que lorsque tu dis "économiste autrichien" on a l'impression que c'est très réducteur, alors qu'Hayek, comme tu le sais, n'est pas qu'un simple économiste, il s'est intéressé à de nombreux champs des sciences sociales (même la psychologie) qu'il a exploré, d'après moi, plus en profondeur que Rand. Et Hayek a aussi sa théorie des sources de l'éthique, sauf qu'il a une méthode totalement différente, étant évolutionniste et pas rationaliste comme Rand. Bref, ce que je veux dire par là, c'est que je vois pas bien en quoi on pourrait dire que Hayek (par exemple, mais je pourrais aussi dire la même chose de Mises et Bentham) est moins profond que Rand.
Lien vers le commentaire

Je vient de finir ce bouquin  http://www.publications-sorbonne.fr/fr/livre/?GCOI=28405100760890&fa=author&person_id=6058

Réinventer le monde, de Roman Krakovsky

C'est grandiose, facile et plaisant à lire, et à la fois extrêmement bien documenté.

 

Le premier chapitre parle de la reconstruction temporelle tenté par les coco avec la planification. Bon moi les histoires de temps linéaire et de temps cyclique ça me passe un peu au dessus de la tête, mais il prend l'exemple d'une entreprise Tchécoslovaque d'automobile et d'industrie lourde, KCR, concurrente de Siemen et et des grosses entreprises américaines avant la seconde guerre mondiale, et montre sa destruction, étape par étape, par la planification. C'est toujours cool d'avoir des exemples vraiment très concret où on voit les effets directs de chaque réforme, de chaque réorientation du plan et les catastrophe que ça entraine pour l'entreprise.

 

Le deuxième chapitre est au sujet de la récupération des dimanches par les cocos afin de s'en servir pour l'élévation du socialisme, sur une petite commune autour de Prague. Celui se passe à l'époque où les Tchèques avaient encore un avis favorable envers le communisme, au début des années 50, est très touchant et presque triste. Il montre le désintérêt croissant de la population pour l'action publique après que le parti l'ait investie. A un moment, après une découverte de doryphores dans un jardin, une grande campagne de ramassage de l'insecte est organisé un dimanche en tant qu'action patriotique, et dans la ville le dimanche prévu ils se retrouvent à 7, dont le délégué communal à l'agriculture, le secrétaire de la cellule locale du parti et ses deux fils. On dirait un type qui organise son anniversaire et il y a personne qui vient.

 

Le troisième chapitre c'est une étude sur les rapports de voisinage dans les appartements communautaires [il n'y a pas assez de logement ? Bah celui de ton voisin il est grand, tu vas aller habiter avec lui, on se retrouve à Prague dans les années 50 avec 3,50 personne par pièce.] Il est interessant car il montre la propension des populations à se tourner vers l'administration pour tout et n'importe quoi, les gens écrivent des lettres au président de la république en le tutoyant pour dire qu'ils ont vraiment besoin d'un appartement plus grand, mais ça va des problèmes de partage des salles de bain jusqu'aux divorces.

Et surtout, sur la destruction des relations communautaires, la haines des rapports forcés qui se développe dans ces conditions. Ca parle aussi des lois sur le "vivre ensemble socialiste" ou un collocataire pouvait avoir une amende ou son nom publié dans les journaux parce qu'il était sale et ne faisait pas la vaisselle.

Le tout est basé sur des extrait des lettres écrites par la population et récupérées aux archives, avec des passages horribles, par exemple une nana qui dénonce sa voisine du dessus parce qu'elle fait de la couture au black pour les habitants de l'immeuble, et que celle qui écrit la lettre est sur "qu'elle ne paye pas d'impôt sur ces revenus"

 

Le dernier chapitre est sur le premier mai, l'utilisation de l'espace et sa signification pour les cocos (qui mettre au premier rang etc) et sur l'effet de la ritualisation qui vide de son essence les manifestations individuelles.

 

C'est un livre d'histoire sociale très proche des gens, qui montre bien que le socialisme exacerbe ce qu'il y a de pire dans l'humanité.

Surtout, en plongeant dans l'intimité des gens, surtout des gens comme les collabos, les idéalistes, les égoïstes, ça permettra peut être au ubermensch du forum de relativiser un peu leurs positions morales ^^

Lien vers le commentaire

Sans déconner, vous ne lisez jamais de conneries, enfin, des trucs distrayants ? Me dites pas que vos lectures vous font vibrer d'émotion ! Je me sens si bête et inculte, la honte m'habite et me ronge

 

Le livre qui m'a donné le plus de plaisir de l'année : Gagner la guerre, de Philippe Jawoski

 

Le style est grandiose, et fait une bonne partie de l'intérêt du bouquin, donc, le résumé :

 

 

Au bout de dix heures de combat, quand j’ai vu la flotte du Chah flamber d’un bout à l’autre de l’horizon, je me suis dit : "Benvenuto, mon fagot, t’as encore tiré tes os d’un rude merdier." Sous le commandement de mon patron, le podestat Leonide Ducatore, les galères de la République de Ciudalia venaient d’écraser les escadres du Sublime Souverain de Ressine. La victoire était arrachée, et je croyais que le gros de la tourmente était passé. Je me gourais sévère. Gagner une guerre, c’est bien joli, mais quand il faut partager le butin entre les vainqueurs, et quand ces triomphateurs sont des nobles pourris d’orgueil et d’ambition, le coup de grâce infligé à l’ennemi n’est qu’un amuse-gueule. C’est la curée qui commence. On en vient à regretter les bonnes vieilles batailles rangées et les tueries codifiées selon l’art militaire. Désormais, pour rafler le pactole, c’est au sein de la famille qu’on sort les couteaux. Et il se trouve que les couteaux, justement, c’est plutôt mon rayon…

 

Et le premier paragraphe :

 

 

« Je n’ai jamais aimé la mer.

Croyez-moi, les paltoquets qui se gargarisent sur la beauté des flots, ils n’ont jamais posé le pied sur une galère. La mer, ça secoue comme une rosse mal débourrée, ça crache et ça gifle comme une catin acariâtre, ça se soulève et ça retombe comme un tombereau sur une ornière ; et c’est plus gras, c’est plus trouble et plus limoneux que le pot d’aisance de feu ma grand-maman. Beauté des horizons changeants et souffle du grand large ? Foutaises ! La mer, c’est votre cuite la plus calamiteuse, en pire et sans l’ivresse.

Je n’ai jamais aimé la mer, et ce n’était pas près de s’arranger. »

 

C'est une sorte d'héroïc fantasy dont le narrateur est un assassin au service d'une famille noble, dans un univers qui ressemble à la Florence de la renaissance, avec des petits bouts de Rome antique. Il n'y a pas beaucoup de magie, les magiciens servent en gros a faire avancer les bateaux plus vite, à faire des écoutes téléphoniques et à empêcher les autres magiciens d'agir.

 

Il n'y a pas non plus le décorum d'héroïc fantasy habituel, il y a bien un nain et un ou deux elfes a un moment, mais on dirait qu'ils sont là juste parce que l'auteur s'est rappelé a mi chemin qu'il faisait un livre d'héroïc fantasy.

 

C'est beau et crade à la foi, violent et léger, enlevé et gras, bref c'est grandiose !

Je le déconseille cependant aux amateurs d'heroïc fantasy parce que personnellement, je m'imagine mal retourner aux classiques après une claque comme celle là.

Lien vers le commentaire

Sans déconner, vous ne lisez jamais de conneries, enfin, des trucs distrayants ? Me dites pas que vos lectures vous font vibrer d'émotion ! Je me sens si bête et inculte, la honte m'habite et me ronge

 

Pour ma part, quand je lis de la fiction, j'ai déjà l'impression de m'octroyer un peu trop de distraction. Lire, ça prend beaucoup de temps et de concentration. Alors, lorsqu'on lit, il vaut mieux lire des écrits qui nous resteront. Bon, je dis ça mais je lis de la fiction la plupart du temps :D

Lien vers le commentaire

Que veut dire 'qui nous resteront' ? Lire c'est pas forcément se faire un capital de connaissances. C'est aussi pénétrer des univers différents, éprouver des émotions qui peuvent participer aussi à se construire, ou tout simplement passer un bon moment comme aller au cinéma. J'ai le sentiment que vous lisez un peu comme des étudiants, pour l'accès à un certain savoir. Ou bien ici on échange que sur les bouquins en relation avec le monde libéral des idées. :)

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Non, j'ai juste lu la majorité de ce que j'avais à lire au niveau fiction avant d’être majeur, et ça commence à faire un bout de temps, et la production annuelle de qualité ne me permet pas de lire plus d'un mois par an au grand maximum, donc de fait, la majorité de mes lectures sont en dehors de la fiction parce que la fiction de qualité suffisante est rare et que je ne suis plus le mort de faim que j'était capable de lire une bouse plutôt que de ne pas lire de fiction du tout :devil:.

Je crois aussi que j'ai passé l'age ou j'avais besoin de la fiction pour explorer l'univers des possibles au deal de mon expérience personnelle pour me construire, et que maintenant, ça m'est moins utile que ça ne l'était, parce que rare est l'auteur qui explore des domaines qui me font vraiment réfléchir au delà de me raconter une histoire (et je connais les schémas jung/campbelliens par cœur, d'un coté c'est cool, d'un autre coté, une fois qu'on à compris le truc, on se rends compte qu'on à déjà lu exactement la même histoire 50 fois et que quitte à se retaper un voyage initiatique ou un bad boy meets good girl, autant le faire au cinéma avec des explosions et une fille sexy à l'écran).

Lien vers le commentaire

Que veut dire 'qui nous resteront' ? Lire c'est pas forcément se faire un capital de connaissances. C'est aussi pénétrer des univers différents, éprouver des émotions qui peuvent participer aussi à se construire, ou tout simplement passer un bon moment comme aller au cinéma. J'ai le sentiment que vous lisez un peu comme des étudiants, pour l'accès à un certain savoir. Ou bien ici on échange que sur les bouquins en relation avec le monde libéral des idées. :)

 

Je ne parlais pas forcément de connaissances. Ce qui peut te rester, c'est de la nourriture pour l'imagination, une meilleure connaissance des différents caractères humains et donc une plus grande capacité empathie envers autrui, etc

Seul les grands auteurs sont capables de te laisser cela après leur lecture. Lire pour passer le temps, ça ne m'intéresse pas car, comme je l'ai dit, ça prend beaucoup de temps et de concentration. Pour passer le temps, autant mater une série ou un film.

Lien vers le commentaire

L'isolationnisme de Rothbard est la continuation d'une tradition intellectuelle qui n'a de racine qu'aux États-Unis, parce que c'est là-bas qu'elle peut avoir du sens. Elle peut y avoir un sens parce qu'il s'agit d'un peuple qui a cru pouvoir bootstrapper une tradition politique en abandonnant tout ce qui les dégoûtaient chez leurs pères européens (la guerre, la diplomatie, le jeu des puissances et de l'influence). Elle peut aussi y avoir un sens parce que les Américains ont la chance d'avoir la géographie qui convient (géographie physique à l'ouest et à l'est, géographie physique au nord).

Mais hors des États-Unis, l'isolationnisme est comme un poisson hors de son bocal, ou comme une plante déracinée.

La Belgique fut neutre de 1830 à 1945. C'est pas exactement de l'isolationnisme, mais c'est pas loin.

Puis de toute façon, dire que telle partie du libertarianisme US est déraciné (quand bien même c'est vrai), ça ne change rien. Ils n'ont pas connu non plus les ravage du socialisme. Et après ?

 

Sans déconner, vous ne lisez jamais de conneries, enfin, des trucs distrayants ? 

Ouais, lib.org, quoi !

Lien vers le commentaire

Sans déconner, vous ne lisez jamais de conneries, enfin, des trucs distrayants ? Me dites pas que vos lectures vous font vibrer d'émotion ! Je me sens si bête et inculte, la honte m'habite et me ronge

Je lis les oeuvres de Robert E. Howard (le créateur de Conan le barbare et dans une certaine mesure de la low-fantasy).

Lien vers le commentaire

La Belgique fut neutre de 1830 à 1945. C'est pas exactement de l'isolationnisme, mais c'est pas loin.

C'est vraiment pas pareil, ni dans l'attitude, ni dans la pratique. Le rêve de l'isolationniste est de supprimer le ministère des affaires étrangères et le caractère permanent de l'armée ; la pratique du pays neutre est, par exemple, de veiller à ce que les pays tiers ne viennent pas trop s'impliquer dans les affaires du pays, et à maintenir de bons liens - mais pas trop bons non plus - avec un peu tout le monde, ou encore de maintenir une armée dirigée vers la défense du territoire (et de ce point de vue, Suisses et Suédois sont sans doute plus pertinents que les malheureux Belges qui se sont fait passer dessus à plusieurs reprises). C'est un peu la différence entre être pacifiste et être pacifique, si tu veux.
Lien vers le commentaire

 

- L'histoire de la pensée juridique moderne de Villey:  pour le coup c'est une histoire de la philosophie, tu commence avec Socrate et tu finis avec Hobbes, cela vaut le détour 

 

Tu veux dire "La formation" plutôt que "L'histoire" ? http://www.amazon.fr/gp/product/2130619835?psc=1&redirect=true&ref_=ox_sc_act_title_2&smid=A1X6FK5RDHNB96

(ou alors c'est encore un autre ouvrage ?)

 

Je cherche un bouquin pour m'ouvrir au Droit et à son histoire. Celui-ci est-il accessible aux débutants en la matière ?

J'ai également repéré "Liberté et Droit" de Bruno Léoni.

Lien vers le commentaire

Oui pardon formation.

 

La base de l'ouvrage sont les poly de cours de Villey donc oui c'est accessible dans la mesure où un cours de niveau universitaire l'est. Cet ouvrage est toujours recommandé aujourd'hui dans les cours d'histoire du droit.

Lien vers le commentaire

OK, merci, je vais me le prendre sur Amazon.

 

Pour rappel, il est recommandé d'utiliser les balises [amazon] quand vous parlez d'un livre ce qui crée un lien d'affiliation et rapporte à l'association s'il est utilisé pour commander.

Lien vers le commentaire

Camarades, je recherche un bouquin intéressant sur les saints, si possible en lien avec l'histoire de l'art  :pape:

Est-ce que l'un d'entre vous a des références à me donner par charité ? :)

Lien vers le commentaire

Camarades, je recherche un bouquin intéressant sur les saints, si possible en lien avec l'histoire de l'art  :pape:

Est-ce que l'un d'entre vous a des références à me donner par charité ? :)

 

Je n'ai rien sur les saints en particulier, mais dans un domaine proche il y a Patrick de Rynck,Mythes et récits bibliques en peinture

 

Modifié par Sekonda
Balises
Lien vers le commentaire

Pas de titre en tête mais il y a une association appelée CASA, va demander sur leur groupe fb et tu auras ta réponse je pense.

 

Merci ! Association intéressante par ailleurs, je ne connaissais pas.

 

 

Je n'ai rien sur les saints en particulier, mais dans un domaine proche il y a Patrick de Rynck, http://www.amazon.fr/Mythes-récits-bibliques-peinture-Giotto/dp/9055447498/ref=asap_bc?ie=UTF8

 

Intéressant aussi ! Un livre de plus dans ma liste d'envie Amazon ;)

Lien vers le commentaire

Camarades, je recherche un bouquin intéressant sur les saints, si possible en lien avec l'histoire de l'art  :pape:

Est-ce que l'un d'entre vous a des références à me donner par charité ? :)

 

La Légende dorée de Jacques de Voragine

 

Lien vers le commentaire

Je n'ai rien sur les saints en particulier, mais dans un domaine proche il y a Patrick de Rynck,Mythes et récits bibliques en peinture

 

Pour bien utiliser les balises Amazon:

[amazon]9055447498[/amazon]
en mettant l'ISBN-10 que l'on trouve dans les "Détails sur le produit".
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...