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Moi aussi je suis féministe

Ben pas moi. Je n'ai pas besoin d'être féministe pour ne pas haïr les femmes tout comme je n'ai pas besoin d'être communiste pour ne pas haïr les pauvres. Qu'est-ce que c'est que ce terrorisme intellectuel encore ?
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Pas faux mais gentillet.

Selon l'historien Richard Evans : le féminisme désigne une perspective politique reposant sur la conviction que les femmes subissent une injustice spécifique et systématique en tant que femmes, et qu'il est possible et nécessaire de redresser cette injustice par des luttes individuelles ou collectives.

Si on se place au 19ième jusque dans les années 70, je vois pas en quoi c'est faux.

Pourquoi jusque dans les années 70 ?

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Moi oui je le remets en cause. Quelle folie d'avoir donné le droit de vote aux hommes, c'était pas pour l'étendre aux femmes non plus.

Tiens, ça me rappelle quelqu'un...

« Quant au droit de vote des femmes cela n'a été qu'une aggravation de la mascarade démocratique. »

-Alain Soral, Dialogues désaccordés (2013).

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Tiens, ça me rappelle quelqu'un...

« Quant au droit de vote des femmes cela n'a été qu'une aggravation de la mascarade démocratique. »
-Alain Soral, Dialogues désaccordés (2013).

 

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Tiens, ça me rappelle quelqu'un...

« Quant au droit de vote des femmes cela n'a été qu'une aggravation de la mascarade démocratique. »

-Alain Soral, Dialogues désaccordés (2013).

 

La première chose que les suffragettes ont fait aux USA après avoir obtenue le droit de vote, c'est prohiber l'alcool.

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La première chose que les suffragettes ont fait aux USA après avoir obtenue le droit de vote, c'est prohiber l'alcool.

 

S'il fallait un exemple concret de la nocivité du droit de vote, le voilà.

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Pour moi le féminisme ne fait de mal à personne. La société patriarcale n'était ni pire ni meilleure. Je ne trouve foncièrement légitime ni le pouvoir des femmes ni celui des hommes mais seulement celui des individus sur leur vie propre.

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Allons allons, pour qu'on trouve des entreprises politiques, il faut des entrepreneurs, mais aussi aussi des vendeurs et des clients : bref, les entreprises politiques n'existent que parce qu'il y a marché politique créé par l'élection.

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Allons allons, pour qu'on trouve des entreprises politiques, il faut des entrepreneurs, mais aussi aussi des vendeurs et des clients : bref, les entreprises politiques n'existent que parce qu'il y a marché politique créé par l'élection.

 

Mais n'y a-t-il pas des élections parce que des politiciens ont trouvé que ça serait un bon moyen pour eux d'accéder au magot ? Quand le suffrage est arrivé, il n'était pas universel (et aujourd'hui aussi on peut toujours discuter de son universalité), ils ont essayé de bien choisir qui pourrait voter ou non (cens, âge, sexe, nationalité, religion, race, emploi, etc). 

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J'admire ton sens de l'ironie, Snow.

 

 

Plus l'État est kafkaien et plus le droit de vote est néfaste. Les questions posées sont de plus en plus détaillées et hors de portée de l'expertise du quidam moyen. Ce n'est pas des questions de grandes orientations budgétaires, diplomatiques ou sociales, on demande aux gens d'être experts en assurance quand on parle de tiers payant par exemple. Donc même sans être libéral, on comprend l’imbécillité de la chose. Je suis pour le droit de vote, si je peux décider qui a le droit de voter.

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Mais n'y a-t-il pas des élections parce que des politiciens ont trouvé que ça serait un bon moyen pour eux d'accéder au magot ?

 

Ils y sont toujours parvenus, à toutes les époques, dans toutes les civilisations. Ce qui est nouveau, c'est moins la possibilité de concourir aussi que celle de les faire chuter du piédestal.

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Mais n'y a-t-il pas des élections parce que des politiciens ont trouvé que ça serait un bon moyen pour eux d'accéder au magot ? Quand le suffrage est arrivé, il n'était pas universel (et aujourd'hui aussi on peut toujours discuter de son universalité), ils ont essayé de bien choisir qui pourrait voter ou non (cens, âge, sexe, nationalité, religion, race, emploi, etc). 

 

Ne pas expliquer par la méchanceté ce qui peut s'expliquer amplement par la bêtise, ou la naïveté. Je ne suis pas persuadé que les révolutionnaires de 48 aient voulu "mettre la main sur le magot". Par contre, ils ont commencé à réfléchir quand ils se sont aperçus qu'une fois délivrés de leur condition servile, les masses se sont précipités dans les bras de Napoléon III quelques années plus tard.

 

Le suffrage censitaire était tout aussi soutenu par des idéalistes, qui pensaient, comme tous les doctrinaires (du genre Guizot) que le suffrage par les plus intelligents menait nécessairement à une politique plus raisonnable.

 

Dans les deux cas, ce qu'il faut avoir en tête, c'est que les institutions ne sont pas statiques, ni faites hors du temps, plus le temps passe, plus les idéalistes laissent la place aux professionnels, et les professionnels deviennent en démocratie des entrepreneurs : c'est là tout l'enseignement du public choice. Enfin, le mouvement historique vers la professionnalisation, c'est plus de moi (puisque le PC prétend à la logique pure des institutions avec comme postulats l'individualisme méthodologique et tout le toutim sur l'agent rationnel).

 

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