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Ces petites phrases qui vous ont fait plaisir…


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La France pointée du doigt au G20 http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/02/15/20002-20130215ARTFIG00401-le-cout-du-travail-juge-trop-cher-en-france.php

L'appétence pour le socialisme en France commence peut-être à devenir problématique pour les autres pays, peut-être à cause d'un chaos si les finances publiques venaient à manquer ?

Jusqu'à présent seuls les rosbifs nous faisaient la leçon et ce n'était pas recevable. Si des pays comme la Chine ou l'Inde s'y mettent, ça serait bon de clouer le bec à nos gauchistes nation aux, surtout si la France est isolée contre le consensus international.

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Je l'ai croisé il y a quelques jours dans le métro mais j'ai pas osé lui dire bravo pour son travail. C'est vrai que ça doit être l'un des journalistes les plus libéral de France.

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On sent les relents d'antigermanisme à la fin de l'article. Bien dégoûtant.

 

Il ne pouvait pas laisser passer une attaque en règle contre leur maître à penser.

 

Ces comiques nous expliquent qu'on a pas assez fait de relance dans la période 2000-2010 et préfèrent accuser les banques... LOL

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Allocations chômage : changeons de système

LE CERCLE. par Pascal Salin - La Cour des comptes vient de rendre public un rapport courageux, mais inquiétant sur le système français d'allocations chômage… Elle rappelle en effet que les déficits s'accumulent et que cette situation n'est pas tenable. 

 

Bien sûr, cette situation financière difficile est due au taux de chômage important, mais aussi au caractère trop généreux de l'indemnisation du chômage en France (par exemple le droit à indemnisation après seulement quatre mois de travail, une durée d'indemnisation longue et un taux de remplacement du salaire précédent par les allocations assez élevé). La Cour des comptes propose en conséquence un certain nombre de mesures, parmi lesquelles la dégressivité des allocations chômage dans le temps et « un remplacement décroissant des prestations d'assurance-chômage pour les niveaux d'indemnisation les plus élevés ».

En instaurant une plus grande dégressivité des allocations dans le temps ou en raccourcissant la période d'indemnisation, on réduirait le coût de financement du chômage et, simultanément, on inciterait les chômeurs à reprendre plus rapidement un travail. Pour énoncer cette vérité, il faut s'affranchir d'un tabou bien français. Elle n'est pourtant que la traduction d'un comportement logique : si l'on peut vivre correctement sans travailler, on est moins incité à faire un effort de travail. Cela est d'autant plus vrai qu'un certain nombre de chômeurs trouvent le moyen de travailler au noir pour compléter leurs allocations. Il est donc justifié, de la part de la Cour des comptes, de tirer le signal d'alarme au sujet du montant et de la durée de l'indemnisation du chômage.

Mais il est plus contestable de recommander une diminution particulièrement élevée des allocations pour les salariés disposant des salaires les plus élevés, c'est-à-dire essentiellement les cadres. En effet, ceux-ci paient des cotisations en proportion de leurs revenus, tout au moins jusqu'à quatre fois le plafond de la Sécurité sociale. Il est donc juste que leurs allocations soient, elles aussi, proportionnelles à leurs cotisations antérieures. On retrouve malheureusement ici une caractéristique fondamentale de tout le système de protection sociale français, à savoir de mélanger de manière inextricable un rôle d'assurance et un rôle de redistribution. Mais on y retrouve aussi cette autre caractéristique, à savoir que les droits des bénéficiaires potentiels de ce système sont soumis à l'arbitraire de décisions publiques qui sont inspirées non pas par le respect du droit et de la justice, mais par des considérations électorales, des préjugés idéologiques et des soucis d'ordre comptable.

Ce qu'il convient de faire n'est pas d'introduire quelques rapiéçages destinés à surmonter les difficultés financières, mais de changer radicalement de système (ce qui est vrai également pour l'assurance-maladie ou le système de retraite). La logique et le souci de la justice devraient l'imposer et ce devrait être une évidence pour tout le monde : les difficultés financières et les injustices du système actuel viennent du fait qu'il constitue un monopole public.

Imaginons que la concurrence existe dans le domaine de l'assurance-chômage. Chaque salarié déciderait de contracter avec l'assureur de son choix, qui lui proposerait - moyennant des cotisations plus ou moins importantes - un taux de remplacement plus ou moins élevé, une durée d'indemnisation plus ou moins longue, avec une dégressivité plus ou moins importante. On passerait ainsi d'un système de « protection sociale » (fondé sur une redistribution arbitraire) à un système de « protection individuelle », fondé sur la responsabilité personnelle, et l'on répondrait plus précisément à la diversité des besoins et des circonstances particulières.

Pourquoi ne pourrait-on pas enfin tourner le dos aux bricolages financiers et institutionnels continuels, aux conflits catégoriels, aux luttes de pouvoir entre prétendus partenaires sociaux, et rendre le pouvoir de décision aux individus concernés ? Telle serait la voie indispensable pour retrouver une France prospère et apaisée.

http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/social/emploi/221165010/allocations-chomage-changeons-systeme

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La vraie nature de la CGT

 

Le syndicalisme français est connu pour préférer le principe de l'affrontement à celui de la négociation. Cette vision peut paraître un peu cavalière mais il faut le reconnaître : l'attitude de la CGT la justifie pleinement. C'est son apport à l'exception française.

A Aulnay, chez PSA, quatre autres syndicats (CFE-CGC, FO et CFTC) en sont même venus à dénoncer publiquement les agressions verbales et physiques commises par ses représentants sur les salariés - majoritaires - désireux de poursuivre les négociations avec la direction. A Amiens, chez Goodyear, sa guerre de tranchées contre le projet de réorganisation condamne l'avenir de l'usine en difficulté. Hier, les mêmes agissements avaient conduit à la fermeture d'une usine en Rhône-Alpes, et auparavant au naufrage du port de Marseille ou de la SNCM. Sporadiquement, les coups de force de son Syndicat du livre privent les lecteurs de leurs quotidiens et aggravent les problèmes de la presse écrite… La liste serait longue.

Une analyse factuelle de ces comportements répétés conduit à un diagnostic objectif : la CGT semble avoir décidé de détruire méthodiquement l'appareil productif du pays. On voit comment; reste à savoir pourquoi. Pour ne pas perdre de temps, écartons d'emblée les vieilles lunes de la « lutte anticapitaliste » (bien que Lutte ouvrière, qui a infiltré la CGT d'Aulnay, s'en réclame bruyamment). Un examen attentif de ces divers coups de force permet néanmoins de dégager quelques constantes. On y retrouve dans tous les cas : un refus de toute évolution ; une défense d'acquis formels et souvent corporatistes ; une ignorance, ou une négation, des données de la concurrence et du marché ; une exploitation de la haine viscérale des « patrons ». Enfin un emploi devenu habituel de la violence contre les travailleurs indociles. Tous ces caractères sont, à y réfléchir, constitutifs d'un populisme armé, réactionnaire sous ses airs contestataires, manipulateur du peuple sous couleur de le défendre. Marine Le Pen ne s'y est pas trompée, qui dénonce aujourd'hui un gouvernement « social-traître ». Alors pourquoi ? Ici comme là, pour transformer en pouvoir l'exploitation des malaises sociaux. La nature de la CGT est d'y contribuer.

 

http://www.lesechos.fr/opinions/favilla/0202540690810-la-vraie-nature-de-la-cgt-536058.php

 

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La CGT est-elle un "syndicat fou" ?
Par Ivan Rioufol le 20 février 2013 12h54 | Réagir
 

Furax, le représentant de la CGT, majoritaire à l’usine Goodyear d’Amiens-Nord. Ce mercredi, sur RTL, Mickaël Wamen a estimé que le patron américain de Titan International était proche de "l’asile psychiatrique". Il est vrai que la lettre envoyée le 8 février par Maurice M. Taylor Junior à Arnaud Montebourg, rendue publique dans Les Echos de ce jour, ne s’embarrasse pas de subtilités contre le syndicat et le gouvernement. Ayant renoncé à reprendre Amiens-Nord, Taylor écrit notamment au ministre du redressement productif : "J’ai visite cette usine plusieurs fois. Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l’ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m’ont répondu que c’était comme ça en France. (…) Vous voulez que Titan démarre une discussion. Vous pensez que nous sommes si stupides que ça ? Titan a l’argent et le savoir-faire pour produire des pneus. Qu’a le syndicat fou ? Il a le gouvernement français (…)" "Ce n’est pas une lettre incendiaire, c’est une lettre insultante >, a rajouté Wamen. C’est exact. Reste à savoir si ce qu’écrit brutalement ce "yankee", qui prend visiblement plaisir à provoquer sa propre caricature, est totalement faux, un peu exagéré ou malheureusement exact. Pour ma part, je trouve que les attaques portées contre "le syndicat fou" sont recevables.

 Tout d’abord, Taylor n’est pas le seul à critiquer l’attitude de la CGT à Amiens-Nord. Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a estimé que ce syndicat non réformiste portait, à cause de sa "position dogmatique", une responsabilité dans la fermeture du site, faute d’avoir voulu négocier un accord pour sauver les 1200 emplois. En 2007, un tel accord avait permis le maintien du site voisin d’Amiens-Sud où travaillent un millier de salariés. En l’occurrence, la CGT a donc fait le choix du chômage et de l’assistanat  plutôt que d’un statut de salarié renégocié à la baisse. Il est permis de trouver cette attitude irresponsable. Surtout, le patron de Titan met le doigt sur la faiblesse intrinsèque du syndicalisme français, due à son absence de légitimité. Rappelons que seuls 8% des salariés sont syndiqués, surtout dans le secteur public. Le monopole de la représentativité, avalisé par le pouvoir, repose sur une chimère. Les syndicats n’existent que sous perfusion de l’Etat, des collectivités locales et des entreprises, puisque les cotisations ne représentent que 3 à 4%  de leurs budgets. Si bien que Taylor, en dépit d’un cynisme agaçant,  a raison quand il souligne que la CGT politisée, qui a appelé à voter Hollande et peut saboter un accord à sa guise, ne tient que grâce au gouvernement français. Il est bon que ces vieilles vérités oubliées soient rappelées…

http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2013/02/-furax-le-representant-de.html

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Ce n'est pas du tout une petite phrase qui m'a fait plaisir, mais plutôt qui m'a fait bien marrer (il manque un topic du genre) :

 

 

 

hash table ?

un terroriste.
on dirait un de ces corses nationalistes ou un intégriste voilé.
un terroriste, je vous dis.
ça devient lassant ces dialogues dans toutes les formes de media avec des choses sans identité.
sans intérêt.

 

http://www.atlantico.fr/decryptage/apres-9-mois-hollande-gouvernement-accouche-toujours-impots-hashtable-645505.html

 

 

:icon_pong:

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Deux articles qui m'ont fait, en partie, plaisir. Mais même cette petite partie n'a pas de prix par les temps qui courent ma bonne dame :

 

 

Un libéral de plus qui s'ignore ? :

 

http://www.jeanmarc-sylvestre.com/2013/02/21/jonathan-benassaya-deezer-%C2%AB-pour-voir-grand-la-france-doit-prendre-conscience-quelle-doit-s%E2%80%99ouvrir-%C2%BB

 

 

Au milieu du gloubi-boulga habituel du propos et face à l'ignorance crasse non-moins habituelle du "journaliste", qq parcelles de lumière malgrès tout dans cet article :

 

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/michel-volle-nous-vivons-la-troisieme-revolution-industrielle_373168.html#xtor=RSS-115

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Un(e) troll sur rue89 ?

Encore un effort et l'auteur se trouvera peut-être de l'attirance pour les idées libérales :mrgreen:

 

Les commentaires sont géniaux "bouh, vous choisissez l'argent, nous l'humain".

 

Les socialauds, ils ont tellement confiance en l'humain, ce sont tellement de grands humanistes (j'ai arrêté de compter le nombre de phrase qu'on m'a dit sur un ton "je ne comprends pas comment tu peux être libéral...je te pensais humaniste !" quand je faisais mon coming-out -pratique que j'ai laissé tomber d'ailleurs-), il y croient tellement en cette bonté naturelle de l'Homme, ce sont tellement des bons rousseauistes ... qu'il est impensable pour eux qu'on puisse imaginer un autre type de solidarité que le flingue du bras armé de l'Etat sur la tempe. Parce que, sinon, c'est clair, les pauvres crèveront dans la rue par milliers, les mères célibataires devront abandonner leurs enfants et se prostituer, les vieux préféreront se suicider plutôt que d'être un fardeau pour leurs familles et la plupart des gens ne pourraient pas se soigner. Bien sur, en bout de chaîne, c'est le retour du Marechal et de son pote Adolph. Ils ont la logique avec eux ces coco là. Humanistes, mais pas trop hein.

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Tiens tiens, après suggestion, ils ont rajouté une vidéo clownesque pour tourner en dérision le texte à la fin de son article, belle leçon de journalimse.

Décidément c'est de plus en plus relax la rigueur pro chez eux. Il me font penser au Matin suisse, devenu un vrai tabloïd.

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