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Il faut arrêter de prendre en compte les avis de communistes et croire que l'on peut discuter avec eux. Le mensonge et la mauvaise foi sont tout à fait normal selon eux.

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Il faut arrêter de prendre en compte les avis de communistes et croire que l'on peut discuter avec eux. Le mensonge et la mauvaise foi sont tout à fait normal selon eux.

Peut être mais bon nombre d'entre eux sont persuadés de chercher à construire un monde meilleur. C'est délicat de leur expliquer que leur paradis sera leur enfer.

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T'as les gauchistes qui nous accusent de légitimer les inégalités.

Et puis t'as les gauchistes qui nous accusent de tout rendre égal.

 

Et, pour paraphraser Coluche (décidément l'un des plus grands philosophes français récents), tu ne peux pas les réconcilier en remplaçant les uns par les autres, ce sont les même.

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'La Belgique est devenue le musée de toutes les taxes existant dans le monde'

Geert_Noels.pngDans un communiqué envoyé jeudi dernier à tous les médias, un groupe d'économistes belges de premier plan a tenu à nuancer ce qu'il avait annoncé plus tôt au cours de la même journée, concernant leur plaidoyer en faveur d'un assouplissement dans la politique des coupes budgétaires.

Geert Noels pour Econopolis et Peter Vanden Houtte de chez ING se sont étonnés, jeudi dans l'émission Terzake de la VRT, du ton employé dans le premier des deux communiqués. Pour Peter Vanden Houtte, le gouvernement doit poursuivre ses mesures d'économies afin de réduire la dette publique, s'opposant ainsi aux déclarations en ce sens du président du PS, Paul Magnette.

Tant Noels que Vanden Houtte ont pointé le fait que de réformes, il en a été fort peu question jusqu'ici, et que ce sont surtout les impôts qui ont augmenté, et des mesures "one shot" qui ont été prises.

La Belgique est devenue le musée de toutes les taxes existant dans le monde, estime Geert Noëls. De son côté, Peter Vanden Houtte confirme que les dépenses publiques ont continué à croître de manière soutenue, alors qu'elles sont financées au moyen des impôts. Un tel rythme de croissance doit être enrayé.

Pour Vanden Houtte, les autorités s'approprient donc des moyens sans commune mesure avec ce que l'économie peut produire. Une situation qui affuble le secteur privé d'un handicap en matière de création d'emplois.

Mais il conclut en précisant qu'une structure d'Etat pléthorique n'est pas uniquement un problème fédéral. Au niveau régional et communal aussi, le schéma des dépenses a fortement gonflé.

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T'as les gauchistes qui nous accusent de légitimer les inégalités.

Et puis t'as les gauchistes qui nous accusent de tout rendre égal.

 

Et, pour paraphraser Coluche (décidément l'un des plus grands philosophes français récents), tu ne peux pas les réconcilier en remplaçant les uns par les autres, ce sont les même.

Autre illustration du même phénomène : la production. Hier sous-production à cause des capitalistes, aujourd'hui sur-production à cause des capitalistes.

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Autre illustration du même phénomène : la production. Hier sous-production à cause des capitalistes, aujourd'hui sur-production à cause des capitalistes.

 

Remarque juste et intéressante..

...

Étrange.

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L'Etat ? Un déficit à 16 %

Par Dominique Seux

[...]Pourquoi la France, championne des dépenses publiques, ne peut-elle pas financer 100 kilomètres de nouvelles lignes de métro en Ile-de-France en moins de vingt ans alors que la ligne 1, en 1898, l'a été en vingt mois ? Réponse : étouffé par les dépenses ordinaires, l'Etat ne peut plus investir.

Après un tour de vis fiscal inédit par son ampleur en 2012-2013, le gouvernement promet de s'attaquer aux dépenses pour retrouver de l'air. Mais il ne faut pas croire qu'une année d'efforts suffira. Une habile présentation minimise depuis dix ans le déficit de l'Etat. Calculé en pourcentage du PIB, il paraît si léger ! En réalité, il s'élève à 62 milliards, soit 16 % de ses dépenses, et bien plus si on écarte les prélèvements directs pour l'Europe et les collectivités locales.  

http://www.lesechos.fr/opinions/edito/0202634016789-l-etat-un-deficit-a-16-545666.php

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Maurice Taylor, PDG de Titan :

Gonflé à bloc, le vilipendeur des Goodyear d'Amiens
 
Arnaud Montebourg ? « Il ferait mieux de se renommer "ministre des syndicats communistes" ». La CGT? « Puisqu'ils sont si intelligents, ils n'ont qu'à la reprendre, cette usine! Le problème, c'est qu'ils ne sont pas là pour défendre l'intérêt des salariés, mais le leur », dit-il en imitant, assez drôlement, le syndicaliste de l'usine d'Amiens qu'il surnomme Spike à cause de sa coiffure « en forme de tour Eiffel ». Cette usine, il la connaît bien. « Pourquoi n'a-t-on trouvé aucune solution en quatre ans ? C'est scandaleux! » Tout le monde en prend pour son grade : « Combien de jobs votre gouvernement a-t-il sauvés ? Et vos syndicalistes ? Moi, j'en ai créé des milliers et je sais de quoi je parle. Croyez-moi, je m'intéresse plus à l'emploi qu'eux. »
 
7 MARS 2013 - CHALLENGES N ° 335

 
Bon, il est aussi dit que :

Au début des années 2000, ce patron paternaliste et ultrapatriote s'est battu pour faire barrage au dumping social chinois, intentant un procès au gouvernement Bush contre les accords de libre-échange...

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Pareto en 1900 sur les socialistes

 

 

Bien plus, et c’est là où éclate l’inconséquence de leur doctrine si tant est qu’ils aient une doctrine — ils ne sauraient vivre et fournir aux besoins de leurs partisans, sans faire continuellement appel au capital privé. Quand ils rachètent, ainsi qu’ils le font largement en Angleterre, les usines à gaz, les tramways, les usines pour la production de l’électricité, etc., quand, ainsi qu’ils l’ont fait en d’autres pays, ils rachètent les chemins de fer, c’est au capital privé qu’ils ont recours sous forme d’emprunts. Quand leurs dilapidations ont mis à sec la caisse de l’Etat ou de la commune, c’est encore, toujours, à l’emprunt qu’ils ont recours, aujourd’hui, censeurs sévères, ils maudissent les capitalistes privés et stigmatisent la bourse, « où le capital célèbre ses orgies » demain, humbles quémandeurs, ils tendent la main, pour emprunter, à ces mêmes capitalistes et ne dédaignent pas de venir augmenter le nombre des clients de la bourse.

 

La suite ici : http://www.institutcoppet.org/2011/08/22/vilfredo-pareto-le-peril-socialiste-1900/

 

Je me tâte à acheter ce bouquin, 30e tout de même et je n'ai pas vu d'occaz moins cher :(

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J'aime bien comme cette éducation est décrite comme libérale dans les commentaires. Vraiment dafuq quoi.

Les gens pleurnichent de voir les ps fdg et pcf plongé dans le bain à pédagogol et critique une éducation libérale.

La simple possibilité qu'il y ait un rapprochement entre leur idéologie et le bordel actuel promus par la gauche ne les effleure même pas.

Franchement faut pas chercher d'où vient le problème en France, ces guignols ont le cerveau rincé.

En français, le mot libéral est un faux ami. Cela ne veut pas dire libéral mais "échec". Donc, quand on a un truc en échec, c'est un truc libéral.
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J'ai trouvé l'€urope libérale :

 

Deutsche Bahn n'apprécie guère la candidature de la RATP à l'appel d'offres d'une partie du réseau RER de Berlin. « Je trouve déconcertant que la RATP vienne à Berlin dire qu'elle est super alors qu'elle jouit en France d'une situation de monopole qui est illégal au regard du droit européen », s'est offusqué jeudi Ulrich Homburg, membre du directoire de Deutsche Bahn en charge du transport de passagers, évoquant le contrat de 36 ans dont bénéficie la Régie autonome des transports parisiens à Paris. « Ce ne sont pas des conditions de concurrence loyale ».

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0202656735529-deutsche-bahn-accuse-la-ratp-de-concurrence-deloyale-551380.php?xtor=RSS-2059&utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

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Bah c'était pas sur la monnaie, d'ailleurs Bastiat n'a pas écrit grand-chose sur la monnaie. C'était une citation sur les mauvais économistes qui ne pensent pas au long terme. Il avait même pris la peine d'écrire la phrase sur son Blackberry :wub:

 

C'était pour appuyer les propos d'Axel Weber qui a démissionné parce qu'il n'était pas d'accord avec la politique à mener alors que le poste de Draghi lui tendait bras, et qui depuis dit que les mesures de la BCE achètent seulement du temps.

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L'édito de Denis Kessler dans Challenges :

Le choc de confiance n'a pas eu lieu

 

En France, la nouvelle majorité est arrivée au pouvoir avec deux convictions fortes. Primo, les raisons de la crise économique résidaient dans la crispation qu'exerçait Nicolas Sarkozy dans l'opinion et, partant, chez les agents économiques. L'ancien président était présenté comme anxiogène, le retour à la normalité contribuerait à la reprise. Il fallait changer de style de management, comme l'on dit dans une entreprise en difficulté dont on remplace l'équipe dirigeante. Secundo, la politique du précédent gouvernement était trop libérale. D'où l'urgence de rompre avec ses orientations économiques. Le nouveau cap keynésien allait relancer l'économie. Il fallait créer un choc de confiance qui allait enclencher un cercle vertueux, restaurant les équilibres économiques. Une nouvelle ère s'ouvrait...

Dix mois plus tard, personne ne niera que la situation économique et sociale de la France s'est fortement dégradée. Notre pays entre en récession, le taux de chômage vient de dépasser les 10%, l'objectif de déficit public ne sera pas tenu en dépit d'une ponction fiscale historique, le déficit extérieur reste abyssal, l'investissement des entreprises est en berne, la compétitivité poursuit son plongeon, le nombre d'entreprises en grave difficulté se multiplie. Bref, la France n'est pas en panne, elle recule ! Le choc de confiance n'a pas eu lieu... Nous assistons, au contraire, à un choc de défiance particulièrement violent. Les anticipations de la grande majorité des ménages et des entreprises se sont dégradées. La défiance s'étend à l'ensemble du spectre politique et social. Notre premier partenaire européen - l'Allemagne - affiche désormais ouvertement sa profonde incompréhension de notre politique économique. Et les marchés attendent - arme des taux au pied - la confirmation de l'incapacité de la France à respecter ses engagements budgétaires...

Les deux convictions de départ se sont avérées erronées. La façon de gouverner de la nouvelle équipe apparaît plus anxiogène que celle de l'équipe précédente. On multiplie annonces, décisions et mesures, improvisées ou mal préparées, souvent suivies de démentis, désaveux et contre-arbitrages. La logique d'ensemble échappe. On voulait faire croire qu'un nouveau volontarisme étatique allait permettre le sursaut industriel. Admonestations et accusations riment avec gesticulations, voire avec déstabilisation. Le bruit médiatico-politique ainsi créé ne résout pas les difficultés croissantes de notre pays : il les amplifie ! La décision de ponctionner massivement le secteur productif de l'économie en refusant de réformer la sphère publique a été une erreur historique, alors que beaucoup d'entreprises traversent une mauvaise passe, liée, notamment, à l'âpreté de la compétition internationale, à la contraction du crédit et à la dégradation de la compétitivité monétaire. Et l'on s'étonne de la montée du chômage ? Les mesures successives qui ont touché tous les salariés des entreprises ont entamé la confiance. Les panons, cadres, investisseurs et innovateurs ont été la cible fiscale des pouvoirs publics. L'écart entre la situation du secteur exposé et celle du secteur protégé est ressenti de plus en plus négativement par le premier, alors que le second passe son temps à revendiquer bien plus. Et le pacte de compétitivité a été bien tardif, sans compter qu'il n'est toujours pas financé.

Mais c'est surtout sur la seconde conviction que l'erreur est manifeste. Loin d'être libérale, la ligne du précédent gouvernement a constamment hésité entre politique de l'offre et politique de la demande, entre discipline budgétaire et relance keynésienne, entre confiance envers l'initiative privée et volontarisme dirigiste, pour conduire au final une politique d'une facture sociale-démocrate traditionnelle : dépenses publiques mal maîtrisées, transferts sociaux croissants, déficits publics importants. Depuis 2007, les marges des entreprises n'ont fait que se dégrader, et le partage de la valeur ajoutée a évolué en faveur des ménages ! L'Etat et les collectivités locales n'ont pas été vraiment réformés, pas plus que la protection sociale. Le résultat de cette politique est conforme à ce que l'on pouvait redouter.

La crise de confiance s'explique par la grande confusion entre ceux qui croyaient qu'on allait passer d'une politique libérale à une politique sociale-démocrate, ceux qui pensaient qu'on allait passer d'une politique sociale-démocrate à une politique authentiquement socialiste, ceux qui pensaient qu'on allait passer d'une politique socialiste à une vraie politique de gauche... et qui vont découvrir que la seule issue possible pour retrouver la croissance est la rigueur budgétaire, la réforme de l'Etat et des collectivités, la refonte de la protection sociale, le retour aux 39 heures, la priorité donnée aux entreprises ; bref, une politique rigoureuse et libérale que devra mener un gouvernement qui s'est fait élire sur l'idée qu'on lui tournait définitivement le dos !

 

CHALLENGES N °336 -14 MARS 2013

 

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Dans les 'confidentiels' de Challenges du mois dernier :

Henri de Castries se désespère de son ami Francois Hollande

 

Rencontre sur le plateau du Club de l'économie de LCI avec Henri de Castries. Le patron d'Axa se déclare « pas surpris, mais inquiet » des mauvais points distribués par la Commission européenne à l'économie française. Inquiet également du point de vue qu'a exprimé Maurice Taylor, le patron de Titan, dans sa fameuse lettre à Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif. « Comme disent les enfants, il n'y a que la vérité qui blesse. » explique-t-il en évoquant l'onde de choc provoquée par l'industriel américain - dont l'opinion sur notre pays, selon lui, est partagée par nombre d'investisseurs et de patrons internationaux.

Ce PDG du CAC 40 qui faisait partie de la même promotion de l'ENA que le président de la République, parle de « spirale de la décroissance » ; estime que la situation française présente des points de similitude avec l’URSS finissante, avec « un mélange de gaspillages et de pénuries », et rappelle, à toutes fins utiles, que « certains pays peuvent sortir de l'histoire lorsqu'ils n'ont pas le courage de changer ». Poursuivant la conversation off the record après l'émission. Henri de Castries se lâche encore un peu plus en s'épanchant sur la façon de présider de son ami François, dont la principale réussite professionnelle, avant son élection, était la pratique de l'équilibre subtil entre des motions socialistes.

 

CHALLENGES N ° 334 - 28 FÉVRIER 2013

 

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Claude Tendil, PDG de Generali France

 

Comment jugez-vous la généralisation de la complémentaire santé d'entreprise prévue par l'accord national interprofessionnel sur l'emploi (ANI) ?

En tant que chef d'entreprise et président de l'association Dialogues, qui s'efforce de développer le dialogue social dans l'entreprise, je me félicite de la signature de cet accord. En revanche, je me désole qu'il ait été immédiatement bafoué, puisque le projet de loi introduit le retour des clauses de désignation alors que l'ANI laissait à l'entreprise la liberté de choix de son assureur. Sauf preuve du contraire, la concurrence est pourtant le garant de la meilleure qualité du service rendu pour l'assuré. Pourquoi veut-on réserver un monopole à une certaine catégorie, en l'occurrence les institutions de prévoyance ?

 

Comment voit-on la France depuis l'Italie ?

Je ne crois pas qu'il y ait une vision spécifique des Italiens sur la France, mais plutôt une vision des étrangers sur la France. On nous voit comme un pays un peu différent, arrogant, où le climat n'est pas très « business friendly ». Je ne sais pas si on a conscience qu'on ne vit plus en vase clos. Peut-être beaucoup de nos élites n'ont-elles pas assez voyagé...

 

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202653587224-claude-tendil-552055.php

 

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Hé bé. La dernière fois que j'ai ouvert Challenges, c'était pour voir des articles à vomir sur des prépas de bourges surestimés qui se masturbaient mutuellement.

 

C'est sympa de voir que ça rentre enfin, cette idée de la France "mal vue". Surtout que ça fait bientôt 30 ans (si ce n'est 40 ? ça passe vite !).

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