Aller au contenu

Un libéral président de l'UMP ?


Nicknem

Messages recommandés

J'ai quelques amis Algériens (dont le petit fils d'un des dirigeants historique du FLN), ils se considèrent Africains (et sont loin du délire afrocentriste, c'est en voiture avec eux que j'ai appris le mot "azi" -aucune idée de l'orthographe- pour gueuler sur les blacks qui roulent comme des clinches en voiture), idem pour l'une de leur femme marocaine. C'est un peu pareil pour ses frères et ses amis. Bizarrement, ils disent souvent "nous les Arabes" et quand je leur fais remarquer qu'ils disent aussi "on est pas Arabe (je suis Kabyle, je suis Africain, je suis Marocain, je suis Algérien, …)", j'ai droit à une explication sans queue ni tête entre le "c'est pour faire simple", le "c'est un peu vrai quand même ça dépend", et enfin le "c'est comme ça qu'on nous appelle alors…".

J'ai souvent l'impression qu'ils ne savent pas très bien eux-même et que ça dépend de l'humeur du jour, un peu comme moi je me considère un jour Wallon, un jour Belge, un jour autre chose…

Ceci est la différence entre l'appartenance et l'identité. On a tous du mal à définir nos appartenances, on en est tous là comme tu le soulignes.

Après, je ne vais pas me battre sur des mots : pour moi, des gens qui parlent l'arabe et l'on comme langue maternelle, qui lisent des livres en arabe, écoutent des chansons en arabe, etc. sont des arabes, voilà tout.

Bref.

Lien vers le commentaire

Ceci est la différence entre l'appartenance et l'identité. On a tous du mal à définir nos appartenances, on en est tous là comme tu le soulignes.

Après, je ne vais pas me battre sur des mots : pour moi, des gens qui parlent l'arabe et l'on comme langue maternelle, qui lisent des livres en arabe, écoutent des chansons en arabe, etc. sont des arabes, voilà tout.

Bref.

Moi je suis assez d'accord avec ça, de la même façon que je suis francophone ou simplement "blanc" quand je suis au Bénin (et donc dans le même sac que les Arabes, les Chinois… puisqu'ils utilisent le même mot, tout en sachant différencier un Indien d'un Chinois ou d'un Libanais)

Bicoland.

Bigotland ?

Lien vers le commentaire

Moi, j'adore le Liban…

Pour paraphraser Khalil Gibran,et son superbe poème, ( vous avez votre Liban, j'ai le mien)

je dirais, vous avez vos arabes, j'ai les miens…

Vous avez votre Liban avec son dilemme. J'ai mon Liban avec sa beauté.

Vous avez votre Liban avec tous les conflits qui y sévissent. J'ai mon Liban avec les rêves qui y vivent.

Vous avez votre Liban, acceptez-le. J'ai mon Liban et je n'accepte rien d'autre que l'abstrait absolu.

Votre Liban est un noeud politique que les années tentent de défaire. Mon Liban est fait de collines qui s'élèvent avec prestance et magnificence vers le ciel azuré.

Votre Liban est un problème international tiraillé par les ombres de la nuit. Mon Liban est fait de vallées silencieuses et mystérieuses dont les versants recueillent le son des carillons et le frisson des ruisseaux.

Votre Liban est un champ clos où se débattent des hommes venus de l'Ouest et d'autres du Sud. Mon Liban est une prière ailée qui volette le matin, lorsque les bergers mènent leurs troupeaux au pâturage, et qui: s'envole le soir, quand les paysans reviennent de leurs champs et de leurs vignes.

Votre Liban est un gouvernement-pieuvre à nombreux tentacules. Mon Liban est un mont quiet et révéré, assis entre mers et plaines, tel un poète à mi-chemin entre Création et Eternité.

Votre Liban est une ruse qu'ourdit le renard lorsqu'il rencontre l'hyène et que celle-ci trame contre le loup. Mon Liban est fait de souvenirs qui me renvoient les fredons des nymphettes dans les nuits de pleine lune, et les chansons des fillettes entre l'aire de battage et le pressoir à vin.

Votre Liban est un homme qui paie tribut et un autre qui le perçoit. Mon Liban est un seul homme, la tête appuyée sur le bras, se prélassant à l'ombre du Cèdre, oublieux de tout, hormis de Dieu et de la lumière du soleil.

Votre Liban est un échiquier entre un chef religieux et un chef militaire. Mon Liban est un temple que je visite dans mon esprit, lorsque mon regard se lasse du visage de cette civilisation qui marche sur des roues.

Votre Liban vit de navires et de commerce. Mon Liban est une pensée lointaine, un désir ardent et une noble parole que susurre la terre à l'oreille de l'univers.

Votre Liban est fait de commis, d'ouvriers et de directeurs. Mon Liban est la vaillance de la jeunesse, la force de l'âge et la sagesse du vieillard.

Votre Liban est fait de délégations et de comités. Mon Liban est fait de veillées d'hiver choyées par le feu de l'âtre, drapées par la majesté des tempêtes et brodées par la pureté des neiges.

Votre Liban est un pays de communautés et de partis. Mon Liban est fait de garçons qui gravissent les rochers et courent avec les ruisseaux.

Votre Liban est un pays de discours et de disputes. Mon Liban est gazouillement de merles, frissonnement de chênes et de peupliers. Il est écho de flûtes dans les grottes et les cavernes.

Votre Liban n'est qu'une fourberie qui se masque d'érudition empruntée, une tartuferie qui se farde de maniérisme et de simagrées. Mon Liban est une vérité simple et nue; comme elle se mire dans le bassin d'une fontaine, elle ne voit que son visage serein et épanoui.

Votre Liban est fait de lois et de clauses sur du papier, de traités et de pactes dans des registres. Mon Liban est un savoir inné, mais inconscient, une science infuse dans les mystères de la vie, et un désir éveillé qui effleure les pans de l'invisible, tout en croyant rêver.

Votre Liban est un vieillard qui, se tenant la barbe et fronçant les sourcils, ne pense qu'à lui-même. Mon Liban est un jeune homme qui se dresse telle une forteresse, sourit à l'instar d'une aurore et ressent autrui comme son être intime.

Votre Liban se détache tantôt de la Syrie, tantôt s'y rattache; il ruse des deux côtés pour aboutir dans l'entredeux. Mon Liban ne se détache ni ne se rattache, et ne connaît ni conquête ni défaite.

Vous avez votre Liban, j'ai le mien.

A vous votre Liban et ses enfants, à moi mon Liban et ses enfants. Et qui sont les enfants de votre Liban ?

Dessillez donc vos yeux pour que je vous montre la réalité de ces enfants.

Ce sont ceux qui ont vu leur âme naître dans des hôpitaux occidentaux. Ce sont ceux qui ont vu leur esprit se réveiller dans les bras d'un cupide qui feint la munificence.

Ce sont ces verges moelleuses qui fléchissent çà et là sans le vouloir, et qui tressaillent matin et soir sans le savoir. Ils sont ce navire qui, sans voile ni gouvernail, tente d'affronter une mer en furie alors que son capitaine est l'indécision et son havre n'est autre qu'une caverne d'ogres.

Et toute capitale européenne n'aurait-elle pas été une caverne d'ogres ? Ils sont forts et éloquents, entre eux. Mais ils sont impuissants et muets face aux Européens. Ils sont libéraux, réformateurs et fougueux, dans leurs chaires et leurs journaux. Mais ils sont dociles et arriérés devant les Occidentaux.

Ce sont eux qui coassent comme des grenouilles en se vantant de s'être esquivés de leur antique et tyrannique ennemi alors que celui-ci demeure enfoui dans leur chair.

Ce sont ceux qui marchent dans un cortège funèbre en chantant et en dansant, et s'ils croisent une procession nuptiale, leur chant deviendra lamentation et leur danse, coulpe. Ce sont ceux qui ignorent la famine sauf si elle ronge leurs poches. Et s'ils rencontrent celui dont l'esprit est affamé, ils le railleront et l'éviteront en le traitant d'une ombre errante dans le monde des ombres. Ils sont ces esclaves dont les chaînes rouillées sont devenues brillantes avec le temps et ils croient qu'ils ont été réellement affranchis. Voilà ce que sont les enfants de votre Liban ! Qui d'entre eux représenterait la force des rocs du Liban, la noblesse de ses hauteurs, le cristal de ses eaux ou la fragrance de son air ? Lequel d'entre eux pourrait dire : " Quand je mourrai, j'aurai laissé ma patrie légèrement mieux que ce queue était à ma naissance ?" Est-il un seul parmi eux qui oserait dire : " Certes, ma vie était une goutte de sang dans les veines du Liban, une larme dans ses prunelles, ou un sourire sur ses lèvres ?"

Voilà ce que sont les enfants de votre Liban !

Combien grands sont-ils à vos yeux, et infimes sous mes yeux. Arrêtez-vous un instant et ouvrez grands les yeux pour que je vous dévoile la réalité des enfants de mon Liban.

Ils sont ces laboureurs qui transforment les terres arides en jardins et vergers.

Ils sont ces bergers qui mènent leurs troupeaux d'une vallée à l'autre afin qu'ils s'engraissent et se multiplient en chair et en laine pour garnir votre couvert et couvrir votre corps.

Ils sont ces vignerons qui pressent le raisin pour en faire le vin et en tirer le raisiné. Ils sont ces pères qui veillent sur les mûriers et ces mères qui filent la soie.

Ils sont ces hommes qui récoltent le blé, et dont les épouses en ramassent les brassées. Ils sont ces potiers et ces tisserands, ces maçons et ces fondeurs de cloches.

Ils sont ces poètes qui versent leur âme dans de nouvelles coupes, ces poètes innés qui chantent des complaintes et des romances levantines. Ce sont eux qui quittent le Liban démunis, ils n'ont que de la fougue dans le coeur et de la force dans les bras. Et quand ils y reviennent, leurs mains sont inondées des richesses de la terre et leur front ceint de lauriers. Ils sont vainqueurs où qu'ils s'installent, et charmeurs où qu'ils se trouvent.

Ce sont ceux qui naissent dans des chaumières et qui meurent dans les palais du savoir. Voilà les enfants de mon Liban. Ils sont ces flambeaux qui défient le vent et ce sel qui désarme le temps.

Ce sont ceux qui avancent d'un pas ferme vers la vérité, la beauté et la plénitude. Que pourra-t-il bien rester de votre Liban et de ses enfants à la fin de ce siècle ? Dites-moi, que léguerez-vous à cet avenir sinon des belliqueux, des fabulants et des ratés ? Espérez-vous que le temps garde en mémoire les traces de vos louvoiements sournois, de vos duperies et de vos supercheries ?

Croyez-vous que l'éther engrange les ombres de la mort et les haleines fétides des tombes ?Caressez-vous toujours cette illusion qui prétend que la vie couvre son corps nu de haillons ? Je vous le dis, et la vérité m'est témoin. Le moindre semis d'olivier que plante le villageois au pied du Mont-Liban survivra à tous vos actes et vos exploits. Et le soc de la charrue tiré par les boeufs sur les versants du Liban est plus noble et plus digne que vos rêves et vos ambitions réunis. Je vous le dis, et la conscience de l'univers m'écoute. La chanson de la fillette, qui cueille des fleurs dans les vallées du Liban, vivra plus longtemps que les propos du plus puissant et du plus éminent verbeux parmi vous. Je vous le dis, vous ne valez rien. Et si vous le saviez, mon dégoût pour vous se transformerait en pitié et tendresse. Mais vous n'en savez rien. Vous avez votre Liban, j'ai le mien.

Vous avez votre Liban et ses enfants, alors contentez-vous-en. Ah, si vous parvenez à vous convaincre de cet amas de bulles vides… Quant à moi, je suis convaincu de mon Liban et de ses enfants, et dans ma conviction règnent fraîcheur, silence et quiétude.

(désolée, je ne sais pas où trouver la version arabe de ce texte sur le ouébe)

Vous avez vos arabes, j'ai les miens

Gardez les bien, si cela vous chante!

.Moi, je ne suis pas prête de faire l'échange…

Lien vers le commentaire

Ceci est la différence entre l'appartenance et l'identité. On a tous du mal à définir nos appartenances, on en est tous là comme tu le soulignes.

Après, je ne vais pas me battre sur des mots : pour moi, des gens qui parlent l'arabe et l'on comme langue maternelle, qui lisent des livres en arabe, écoutent des chansons en arabe, etc. sont des arabes, voilà tout.

Bref.

Tu défini donc l'appartenance arabe à l'emploi de la langue. je suis pas convaincu non plus, les wallon on beau parlé français, ils ne sont pas français, ils sont francophones.

Donc je dirais que tu confond arabes et arabophone si on peut se permettre l'expression

Mon collègue turque estime qu'il n'est pas arabes et que les iranien ne le sont pas non plus.

Il estime que les iraniens sont persan et que les irakiens sont un gros melting pot d'un peu de tout.

Il estime par contre que les magrébins sont arabes, mais il ne sait pas dire pourquoi (et je crois qu'il s'en fou)

Lien vers le commentaire

Tu défini donc l'appartenance arabe à l'emploi de la langue. je suis pas convaincu non plus, les wallon on beau parlé français, ils ne sont pas français, ils sont francophones.

Donc je dirais que tu confond arabes et arabophone si on peut se permettre l'expression

D'abord j'ai expliqué que "arabe" est un concept de même classe que "francophone", mais j'avoue avoir été imprécis.

La Mauritanie, le Soudan, le Tchad, la Somalie contient de nombreux arabophones qui ne sont pas du tout arabes. Je ne parle donc pas d'arabophones mais bien d'arabes.

Lien vers le commentaire

Les arabes sont partis de la péninsule arabique pour envahir l'Afrique du nord. Donc les turcs et les iraniens ne sont pas arabes. En revanche, partout où ils sont allés les arabes se sont mélangés avec les populations sur place, donc oui il y a des différences localement, berbères, africains, etc… mais oui il y a une certaine unicité ethnique. Il y a autant de différences entre arabes qu'entre européens.

Lien vers le commentaire

La langue, l'écriture alphabétique, l'art et la céramique phéniciens semblent beaucoup plus proches des civilisations mycéniennes, minoennes et philistines, autrement dit des peuples de la mer.

C’est au sortir des "siècles obscurs", vers la fin du IXème ou au début du VIIIème siècle av. J.C. que les Grecs ont constitué leur nouvel alphabet, qui résulte directement d’une adaptation de l'alphabet phénicien. Différentes hypothèses ont été émises sur les lieux où la communication de l’alphabet a pu se faire : la Beotie selon Hérodote, Eubée selon Plutarque…

Cependant, alors que les langues sémitiques s’accomodent bien de systèmes d’écriture dans lesquels seules les consonnes sont représentées (abjads), ce n’était pas le cas des dialectes grecs.

les Grecs adaptèrent donc l'alphabet phénicien d’abord en modifiant l’usage des consonnes selon les sonorités de leur langue, mais surtout, ils introduisent une grande innovation : l'écriture des voyelles. Ils utilisèrent pour cela certaines consonnes phéniciennes dont ils n'avaient pas l'usage, en ajoutant le I (iota). Dorénavant, les consonnes devaient être accompagnées d'une voyelle pour rendre la syllabe prononçable.

Les Grecs ont conservé grosso modo les noms des lettres phéniciennes, ainsi que leur "ordre alphabétique". Les premiers textes grecs, datant du VIIIème siècle, sont de plus écrits de droite à gauche. Par la suite, le sens variera, pouvant même adopter la disposition "en Boustrophédon" ("comme le bœuf trace le sillon", les lignes étant tracées alternativement de gauche à droite et de droite à gauche), avant de se fixer de gauche à droite.

http://sites-archeologiques.perso.sfr.fr/cartes-fr/grece-langue.html

Lien vers le commentaire

D'abord j'ai expliqué que "arabe" est un concept de même classe que "francophone", mais j'avoue avoir été imprécis.

La Mauritanie, le Soudan, le Tchad, la Somalie contient de nombreux arabophones qui ne sont pas du tout arabes. Je ne parle donc pas d'arabophones mais bien d'arabes.

Ben si ces gens parlent l'arabe et l'ont comme langue maternelle, lisent des livres en arabe, écoutent des chansons en arabe, etc … selon ta définition postée plus haut, ils sont arabes.

Lien vers le commentaire

J'ai lu ce topic enflammé en diagonal (je ne pensais pas qu'on pouvait dériver autant sur un sujet déjà bateau) et, sans prendre de position aucune, j'aimerai juste poser une poignée de faits:

Les arabes du Moyen-Orient ne reconnaissent pas le Maghreb comme arabe. Même d'un point de vue arabophone, les langues sont tellement mêlées à d'autres (principalement des mots de français) que, même linguistiquement, ils peuvent difficilement se comprendre avec les arabes classiques. Le Maghreb c'est avant tout des berbères et des juifs qui ont été arabisés et francisés (probablement aussi touchés par les espagnols, les wisigoths,… mais moins fortement). Si on considère les régions où les arabes ont su imposer leur culture, leur langue, bâtir et copuler lors de leurs conquêtes, la Sicile comme une grand partie de la péninsule ibérique devraient être arabes.

En revanche, j'ai déjà remarqué que les marocains se considèrent tous arabes ou presque. Le fait d'être berbère étant peu flatteur car ça rime souvent avec pauvreté. Le berbère, et ses différents patois, est d'ailleurs une langue qui se perd et, contrairement au wallon, sans que l'Etat ne l'interdise ou pousse sa population à s'en débarrasser.

Lien vers le commentaire

Après, je ne vais pas me battre sur des mots : pour moi, des gens qui parlent l'arabe et l'on comme langue maternelle, qui lisent des livres en arabe, écoutent des chansons en arabe, etc. sont des arabes, voilà tout.

Je veux pas étaler le peu de connaissance que j'ai sur le sujet, mais pour ce qui est de l'arabe, il y a très peu voir de rapport entre l'arabe parlé par un marocain et celui parler par un égyptien, ou encore plus loin un saoudien.

Les arabes du moyen orient que je peux connaitre sont incapables de discuter avec des maghrébins si ceux-ci ne maîtrisent pas l'arabe littéraire. Ce qui est plutôt rare.

Du coup ils se parlent en français le plus souvent.

Flûte j'ai pas fini le fil, skit a écrit ça mieux que moi.

Lien vers le commentaire

Récemment, un fait divers triste et choquant montrait un jeune garçon de sept ou huit ans, maghrébin d'origine, kidnappé et violé par un souchien. Le père pense que ce crime n'est arrivé que par la cohabitation culturelle entre sa famille et les souchiens. Qu'en penses-tu?

Je ne vois vraiment pas le rapport avec ma remarque.

Ma problématique est de savoir si une association gerant un territoire peu prendre des disposition désagréables ou agréable aux convictions de tel ou tel groupes ethnique/sexuel/philosophique/religieux/etc.

Du point de vu libéral je n'y vois aucune objection au non du droit des contrats et du droit de propriété.

Si ta question est de savoir si les préjugés rependus des uns et des autres doivent êtres pris en considération lors de l'élaboration de ces règles.

C'est pour moi évidement, Le mépris (interpersonnel ou intergroupes) est selon moi un facteur de criminalité et de pourrissement de la vie.

Ce qui protège la liberté, évite les excès, c'est la concurrence législative bien avant les bouts de papier que chacun interprète ou contourne à sa guise.

L'interdiction de partir (par la spoliation ou le meurtre) caractérise pour moi un système totalitaire.

A ce titre je vois les exit taxes d'un très mauvais oeuil.

C'est quoi ton délire ? C'est qui ce vous ? Ca y'est les français et l'état français ne font qu'un, Hollande avait bien raison dans son discours au Vel d'Hiv …En France il y a que les autorités pour lécher les babouches des saoudiens. Moi les séouds je les méprise, je les retourne et je les encule, ça te va comme élément d'explication ?

Pareil, ce régime esclavagiste est à vomir, d'ailleurs dans le conflit syrien, je ne suis pas sur que les "libérateurs" Qataris/Saoudiens soutenus par l'OTAN fassent de meilleur tyrans que l'actuel …

Je me range largement au point de vu de Ron Paul en ce qui concerne cette partie du monde.

sur le sujet Arabe, pas arabe au magreb

Lien vers le commentaire

Je veux pas étaler le peu de connaissance que j'ai sur le sujet, mais pour ce qui est de l'arabe, il y a très peu voir de rapport entre l'arabe parlé par un marocain et celui parler par un égyptien, ou encore plus loin un saoudien.

Les arabes du moyen orient que je peux connaitre sont incapables de discuter avec des maghrébins si ceux-ci ne maîtrisent pas l'arabe littéraire. Ce qui est plutôt rare.

Du coup ils se parlent en français le plus souvent.

Tu as raison, mais ce que tu dis est exagéré. Pour faire simple, en gros ce que tu dis est équivalent à dire que les paysans du fin fond des montagne de l'Ardèche qui ne sont jamais allés plus loin qu'à 5 km de leur lieu de naissance auront le plus grand mal à comprendre ce qu'un parisien pourrait lui dire. Contexte différent, vocabulaire très différent, accent différent, référentiel quotidien différent, etc. Il ne faut pas confondre la pratique d'une langue avec sa maîtrise réelle.

Une info, les discours de Ben Ali ont toujours été prononcés en arabe classique. Sauf le dernier de ses discours, celui où il devait vraiment se faire comprendre très précisément du peuple, sans ambiguité, et en se rapprochant de celui-ci.

sur le sujet Arabe, pas arabe au magreb

J'ai une vidéo de Zinedine Zidane qui apprend à faire le tournedos Rossini aussi, si tu veux je peux te la poster.

Lien vers le commentaire
Chitah tu peux me donner ton avis sur les jordanien qui ne considèrenet pas les magrebins commes des arabes ?

T'en avais déjà entendu parler ?

Tu sais d'om ça vient ?

Tu connais une explication logique à ça ou pas ?

Les gens de la péninsule arabique et des terres plus au nord se voient comme les seuls vrais Arabes, les autres (Persans, Indiens, Asiatiques à l'est ; Turcs au nord ; gens d'Afrique à l'ouest) sont juste des mecs colonisés, mais qui ne peuvent prétendre descendre des compagnons de Mahomet. La raison ? La plupart des humains sont racistes, et c'est encore plus flagrant hors d'Occident.

Et les phéniciens c'étaient des arabes ou pas ?

Non, ils ne parlaient pas arabe. Les Arabes ont commencé à déborder de leur péninsule désertique à compter de l'époque de Mahomet, mille ans plus tard.

Le berbère, et ses différents patois, est d'ailleurs une langue qui se perd et, contrairement au wallon, sans que l'Etat ne l'interdise ou pousse sa population à s'en débarrasser.

Allons bon…

L'arabe, c'est pas une langue, c'est une maladie de la gorge.

Tu veux dire, comme le flamand ?

Lien vers le commentaire

Tu veux dire, comme le flamand ?

Le flamand c'est pire, il ne s'assume pas.

:icon_biggrin:

Ca doit être un choc pour un Fransözen de découvrir le flamand pour la première fois ! (et de découvrir aussi le français est minoritaire en Belgique -Quoi ? Les Belges parlent pas tous Français ?-)

Lien vers le commentaire

Ouais, aussi.

(vraiment marrant ce sketch, mais je sais pas si ça peut faire rire autre chose qu'un Bruxellois/Wallon un peu dégourdi)

Aaah, cette vanne à 2.08:icon_bave: :icon_bave: :icon_bave: :icon_bave:

Y a aucun maire Français capable de faire ça :dentier:

Lien vers le commentaire

J'ai une vidéo de Zinedine Zidane qui apprend à faire le tournedos Rossini aussi, si tu veux je peux te la poster.

???

Il a tord ?

De toute façon, Copé n'est pas libéral et je parie que ce sera le prochain à diriger l'UMP.

Pour progresser dans un parti, il faut avoir la mentalité d'un petit maitre ou d'un esclave, voir les 2 tour à tour…

ça ne peut pas donner de bons libéraux ….

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...