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Gender studies & applications


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Ouep c'est un billet pour répondre aux hystéries féministes concernant les mecs qui écarteraient trop les jambes. Mais elle part complètement en vrille, comme une petite toupie.

Elle est méga anti-féministe, mais je suis pas sûr qu'on ait vraiment besoin de ce genre d'alliés pour faire sérieux.

J'ai hésité à ne faire qu'une citation sans la fin de l'article à vrai dire, mais rien que pour la réaction de JIM16 ça valait le coup :icon_ptdr:

Sinon je crois au contraire que c'est important d'avoir des gens qui répondent à ces conneries sur le même registre et avec le même ton. Ici être sérieux n'est pas vraiment l'enjeu, des analyses sérieuses sur le féminisme il y en a des tonnes qui n'ont jamais persuadé personne, et puis comment répondre sérieusement à une problématique de base aussi ridicule ?

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Je suis un peu d'accord avec tout le monde. Reste que les poussettes, c'est parfois emmerdant, surtout quand le gosse a clairement l'air de se tenir debout et qu'il a 2 ou 3 ans, ça s'assoit sur un siege ou sur tes genoux...

 

J'en ai déjà vu en dehors de leur poussette, ça, ça rend fou. L'avantage des vieux trams de Bruxelles, type 81, c'est un quidam doit déjà rentrer de biais tellement les portes sont étroites (perso, je ne passe pas en largeur), alors les poussettes, hein :icon_twisted:

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Je suis un peu d'accord avec tout le monde. Reste que les poussettes, c'est parfois emmerdant, surtout quand le gosse a clairement l'air de se tenir debout et qu'il a 2 ou 3 ans, ça s'assoit sur un siege ou sur tes genoux...

 

J'en ai déjà vu en dehors de leur poussette, ça, ça rend fou. L'avantage des vieux trams de Bruxelles, type 81, c'est un quidam doit déjà rentrer de biais tellement les portes sont étroites (perso, je ne passe pas en largeur), alors les poussettes, hein :icon_twisted:

Voila qui illustre ce dont je parlais dans le fil sur l'expatriation. C'est super lourd d'avoir des enfants en France (ou en Belgique apparemment), l’hostilité y est permanente.

Poney une autre attitude est possible: être heureux, sourire, aider la personne avec la poussette a monter dans le tram, jouer avec l'enfant, comprendre que ces petits tracas sont sans importance, et privilégier le lien humain sympathique avec les autres.

Un simple changement d’état d'esprit suffit souvent pour vaincre le stress et être heureux ! Rien que le fait de sourire a une énorme influence sur notre pysché et sur les gens autours.

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Je ne parle pas des poussettes en général, je parle des gamins de 3 ans en poussette qui pourraient très bien tenir debout ou assis un siege.

 

Tu es papa d'un rejeton de 3 ans. Tu as une série de courses a faire en ville, tu sais que tu en as pour 2 bonnes heures, et tu sais aussi que ton gosse ne tiendra pas 30 minutes a crapahuter.

 

Tu fais quoi?

 

Sinon, jubal, les francais raleurs, rien de nouveau hein :icon_twisted:

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Je postpose les courses, ou je fais avec le gosse, ou je le dépose chez quelqu'un.

 

J'en sais rien n'ayant pas de gosse, mais ça m'étonnerais très fort qu'il finisse dans une pousette maousse costaud alors qu'il sait très bien marcher.

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Poney une autre attitude est possible: être heureux, sourire, aider la personne avec la poussette àmonter dans le tram, jouer avec l'enfant, comprendre que ces petits tracas sont sans importance, et privilégier le lien humain sympathique avec les autres.

Un simple changement d’état d'esprit suffit souvent pour vaincre le stress et être heureux ! Rien que le fait de sourire a une énorme influence sur notre pyschée et sur les gens autour.

 

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Je postpose les courses, ou je fais avec le gosse, ou je le dépose chez quelqu'un.

 

J'en sais rien n'ayant pas de gosse, mais ça m'étonnerais très fort qu'il finisse dans une pousette maousse costaud alors qu'il sait très bien marcher.

 

ba voila.La conne de l'article est probablement dans la meme situation mais elle, elle fait un blog.

La poussette sert souvent a maitriser le gamin pour ne pas avoir a courir derriere lui partout.La vie avec les petits est pleine de choses comme ca, les cons qui jugent sont omnipresents et la plupart du temps moins les gens en savent, plus ils jugent.

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Donc les gens avec des enfants emmerdent les jeunes trentenaires, dynamiques (forcément), qui ont choisi de vivre au sein d'une grande ville, et sans enfant.

 

Dans une vraie société libérale, on pourra choisir de faire un apartheid avec tout ces connards d’égoïstes qui imposent leurs machins bruyants, sales, inutiles et coûteux dans la vie des autres.

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Bon, mon troll n'a pas très bien pris.

 

Je ferai mieux la prochaine fois.

 

 

Bon, mon troll n'a pas très bien pris.

 

Je ferai mieux la prochaine fois.

 

Ton troll n'a pas tres bien pris.

Tu feras mieux la prochaine fois.

 

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Ou à Cannes à la rigueur.

Les vieux aussi c'est très chiant dans les transports en commun. Je ne m'assois que très rarement dans le bus, et ça se permet tout de même beaucoup, ça joue des coudes sans politesse, en toute impunité. Ta photo montre très bien leur état d'esprit.
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dans la photo ce sont probablement des boomers.C'est fou de penser que la generation de nos parents ( vos granps pour les gamins) est une bande de gros encules.

Et c'est d'ailleurs comme ca que les adultes m'expliquaient l'etat quand j'etais petit: merde comme tu veux, l'etat rattrape.Fallait vraiment etre une tache en eco pour y croire.

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C'est fou de penser que la generation de nos parents ( vos granps pour les gamins) est une bande de gros encules.

Ce n'est pas ce que je pense, mais je t'assure que dans les transports en commun beaucoup de vieux sont soûlants, particulièrement à Cannes.

Après, ça ne m'empêche pas de rester poli et, comme dit jubal, ce n'est qu'un petit moment dans une journée. Si c'est vraiment abusé, je ne me gêne pas de le faire remarquer.

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Bon, mon troll n'a pas pris.

 

Je ferai mieux la prochaine fois.

 

 

Bon, mon troll n'a pas très bien pris.

 

Je ferai mieux la prochaine fois.

 

 

Ton troll n'a pas tres bien pris.

Tu feras mieux la prochaine fois.

 

 

Son troll n'a pas très bien pris.

Il fera mieux la prochaine fois.

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Je lis Introduction aux études sur le genre (c'est un manuel), voilà ce qui est dit dès les premières pages :

 

Les études sur le genre sont l'ensemble des recherches qui prennent pour objet les femmes et les hommes, le féminin et le masculin. Elles se sont développées "depuis les années 1970 à proximité ou dans le sillage des mouvements féministes". Selon les auteurs, les quatre "dimensions analytiques centrales" sont :

 

1/ Le genre est une construction sociale. La perspective anti-essentialiste est primordiale. "Les différences systématiques entre femmes et hommes ne sont pas le produit d'un déterminisme biologique, mais bien d'une construction sociale" ;

2/ Le genre est un processus relationnel. Les caractéristiques associées à chaque sexe sont socialement construites dans une relation d'opposition.

3/ Le genre est un rapport de pouvoir. Le rapport est hiérarchisé. "Dans la quasi-totalité des sociétés connues, la distribution des ressources (économiques, politiques) et des valorisations symboliques tend à être inégale [...] le terme de 'domination masculine' a également été utilisé dans certains travaux pour désigner les structures matérielles et symboliques de l'infériorisation des femmes par rapport aux hommes" ;

4/ Le genre est imbriqué dans d'autres rapport de pouvoir. Les catégories de sexe sont traversées par des clivages, c'est l'"intersectionnalité". Par exemple, être noire ne conduit à la même expérience en tant que femme qu'être blanche.

 

Plus loin, leur définition du féminisme :

 

"Le féminisme désigne une perspective politique reposant sur la conviction que les femmes subissent une injustice spécifique et systématique en tant que femmes, et qu'il est possible et nécessaire de redresser cette injustice par des luttes individuelles ou collectives".

 

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C'est pas que c'est faux, c'est que c'est complètement trivial, et ce ne sont même pas des connaissances acquise dans l'étude scientifique des phénomènes sociaux, c'est simplement l'adoption d'une vision du monde. S'ils s'arrêtaient là je n'aurai rien contre, je trouverai juste que c'est de la fumisterie. Et tu peux faire la même avec le couple, la famille, l'entreprise...

 

Le problème c'est qu'il y a une prescription morale qui ne passe que par l'implicite : défaites les constructions sociales, défaites les relations de pouvoir. Et comme ces injonctions sont implicites elle ne sont pas discutées.

 

 

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C'est pas que c'est faux, c'est que c'est complètement trivial, et ce ne sont même pas des connaissances acquise dans l'étude scientifique des phénomènes sociaux, c'est simplement l'adoption d'une vision du monde. S'ils s'arrêtaient là je n'aurai rien contre, je trouverai juste que c'est de la fumisterie. Et tu peux faire la même avec le couple, la famille, l'entreprise...

 

Le problème c'est qu'il y a une prescription morale qui ne passe que par l'implicite : défaites les constructions sociales, défaites les relations de pouvoir. Et comme ces injonctions sont implicites elle ne sont pas discutées.

 

Ce que j'avais en tête :

 

 

 

1/ Le genre est une construction sociale. La perspective anti-essentialiste est primordiale. "Les différences systématiques entre femmes et hommes ne sont pas le produit d'un déterminisme biologique, mais bien d'une construction sociale" ;

2/ Le genre est un processus relationnel. Les caractéristiques associées à chaque sexe sont socialement construites dans une relation d'opposition.

3/ Le genre est un rapport de pouvoir. Le rapport est hiérarchisé. "Dans la quasi-totalité des sociétés connues, la distribution des ressources (économiques, politiques) et des valorisations symboliques tend à être inégale [...] le terme de 'domination masculine' a également été utilisé dans certains travaux pour désigner les structures matérielles et symboliques de l'infériorisation des femmes par rapport aux hommes" ;

4/ Le genre est imbriqué dans d'autres rapport de pouvoir. Les catégories de sexe sont traversées par des clivages, c'est l'"intersectionnalité". Par exemple, être noire ne conduit à la même expérience en tant que femme qu'être blanche.

 

1) le genre est une construction sociale :  oui, encore qu'on lira avec plaisir l'article de B. Lahire "splendeur et misère d'une métaphore" au sujet de la construction sociale de la réalité. Le genre est en effet pensé de manière différente dans les différentes société. Tarte à la crème. Margareth Mead à montré il y a 75 ans que chez je ne sais plus quel peuple, les femmes sont vues fortes et les hommes faibles et sujets aux passions, presque "inférieur" pour certaines décision à prendre. Tout le monde sait que les femmes ne sont pas perçues de la même manière ici qu'en Arabie. Le genre est une construction sociale, bien. Dit comme ça, ça n'apporte rien. C'est pas faux mais quelque part entre l'eau ça mouille et le feu ça brule. Le truc sur la bio est dit un peu vite (je n'y connais rien en bio mais je suis prêt à croire que les hormones, la force physique, ... joue un rôle aussi), pour moi, ce n'est pas important car le rôle d'un sociologue est de comparer les variations d'un même phénomène social au sens d'un groupe social défini. Le sociologue s'occupe du social, qu'il occulte la biologie n'est pas grave. Si demain un biologiste vient faire de la sociologie de comptoir, on le renverra gentillement à ses éprouvettes. Pareil ici.

2)Le genre est un processus relationnel : tarte à la crème aussi. Vivre en société, c'est vivre en relation, quelle découverte. C'est bien sur "opposition" qui fait tilter, difficile de savoir si il est pris dans un sens "de combat" ou non.

3)le genre est un rapport de pouvoir : pareil, oui, les femmes sont dans la majorité des sociétés dominées dans un tas de rôle : la politique, l'éducation, bla bla bla. Mais voilà, on reprend Mead et on se souvient que "la domination féminine" existe aussi, même chez nous dans certains domaines précis (l'infirmerie, par exemple).

4) le genre est imbriqué dans d'autres rapports de pouvoir: 4eme tarte à la crème, c'est une collection. Remarquons qu'il est aussi imbriqué dans des rapports de soutiens mutuels, d'aide, d'amitié, d'amour, ... ce que ces militants de gauches déguisésen universitaires oublient.

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