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Gender studies & applications


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Mercredi, le changement de sexe d'un soldat faisait la une du quotidien britannique The Sun. Agée de 28 ans, Lucy Vallender est devenue la première femme transgenre convertie à l'islam et portant le voile.

Celle qui s'appellait il y a trois ans Laurens a épousé un Musulman qui ne savait pas qu'elle était un homme auparavant. Prochaine étape pour Lucy : avoir un enfant.

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-309484-morandini-zap-un-soldat-britannique-change-de-sexe-et-de-religion.html

 

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Why Gender Roles are Unlibertarian

 

(J'ai honnêtement du mal à me faire un avis éclairé sur le sujet)

Le C4SS est un site intelligent, mais ce n'est pas un site libertarien au sens où on l'entend ici. Leur idée, c'est que le libertarianisme à la Rothbard dernière époque et à la Hoppe est une déviation du vrai libertarianisme (ce qui est vrai), et que le vrai libertarianisme est avant tout libertaire avant d'être libéral (ce qui est faux).
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(J'ai honnêtement du mal à me faire un avis éclairé sur le sujet)

 

Pourtant le premier commentaire est clair :

 

Libertarianism is about using violence on people, not just random stuff you think is irrational or not good. Sorry, stop mixing the two. It's annoying, it stops libertarianism from being understood or spreading and... yeah.

Also, "if I don't like it it's not libertarianism" is the same kind of concept mixing statists use to justify forcing people to do stuff. It allows them to use violence to achieve a goal, and if you disagree with the violence, then you must disagree with the goal.

In the end, libertarianism allows for people to be feminists, sexists, or whatever else they want. Neither is unlibertarian -- unless they're violating the rights of others or something.

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Le C4SS est un site intelligent, mais ce n'est pas un site libertarien au sens où on l'entend ici. Leur idée, c'est que le libertarianisme à la Rothbard dernière époque et à la Hoppe est une déviation du vrai libertarianisme (ce qui est vrai), et que le vrai libertarianisme est avant tout libertaire avant d'être libéral (ce qui est faux).

 

Lol la déviation, elle ne date pas de Rothbard "dernière époque", elle date de F.Meyer au moins, bien avant les mamours avec la gauche anti-système, et Rothbard l'a toujours consideré comme un vrai libertarien.

 

Le fait que Rothbard ai fait des mamours aux libertaires pour des raisons tactiques qui lui semblaient bonnes à l'époque ne signifie pas que le mélange des genres grand angle qui en a resulté est le "vrai libertarianisme".

 

En fait, parler de "vrai libertarianisme" pour un modele social implique soit un gros mensonge, soit de se réduire à un minimum commun qui est indéniablement utile mais notoirement insuffisant.

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L'expression "vrai libertarianisme" est un mirage sémantique. Elle n'a pas plus de sens que l'expression "vrai marxisme", dans un débat qui opposerait des trotskistes à des léninistes. Il n'y a jamais eu de déviation parce qu'il s'agit au départ d'une idéologie critique, qui sert de véhicule à des projets doctrinaux opposés et sans cohérence, mise à part la revendication d'une souveraineté individuelle et la dénonciation des forces d'oppression. Les libertariens ne seront ainsi jamais capables de s'accorder sur ce que signifie "violer les droits" des individus, même s'il leur paraît nécessaire de maintenir l'illusion transcendantale d'un monde sans coercition, sans autorité et sans spoliation.   

 

On voit qu'en dernière instance, le libertarianisme est un système de justification idéologique. L'ambiguïté vient de son absence de hiérarchie dans les normes éthiques. C'est une idéologie sans colonne vertébrale, d'où le fait qu'on y trouve un chapelet de groupes antagonistes : des partisans de la théorie du genre, des égalitaristes, des progressistes, des pacifistes et des bellicistes, des conservateurs moraux, des élitistes anti-démocrates. C'est à la fois une force pour emporter la foi des anti-systèmes et une inconsistance dans le domaine des choix pratiques.  

 

édit : on y trouve aussi des républicains & des communautariens, opposition qui ne peut être arbitrée par le principe de non-agression.

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L'expression "vrai libertarianisme" est un mirage sémantique. Elle n'a pas plus de sens que l'expression "vrai marxisme", dans un débat qui opposerait des trotskistes à des léninistes. Il n'y a jamais eu de déviation parce qu'il s'agit au départ d'une idéologie critique, qui sert de véhicule à des projets doctrinaux opposés et sans cohérence,

J'irai même plus loin: l'absence de cohérence entre projets libertariens est une composante intrinsèque, nécessaire, du libertarianisme.

Des libertariens ne le sont que s'ils se disputent sur ce qui constitue réellement le libertarianisme. Et non ce n'est pas mon côté discordien qui s'ingère (ou à peine) :D

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L'expression "vrai libertarianisme" est un mirage sémantique. Elle n'a pas plus de sens que l'expression "vrai marxisme", dans un débat qui opposerait des trotskistes à des léninistes. Il n'y a jamais eu de déviation parce qu'il s'agit au départ d'une idéologie critique, qui sert de véhicule à des projets doctrinaux opposés et sans cohérence, mise à part la revendication d'une souveraineté individuelle et la dénonciation des forces d'oppression. Les libertariens ne seront ainsi jamais capables de s'accorder sur ce que signifie "violer les droits" des individus, même s'il leur paraît nécessaire de maintenir l'illusion transcendantale d'un monde sans coercition, sans autorité et sans spoliation.   

 

On voit qu'en dernière instance, le libertarianisme est un système de justification idéologique. L'ambiguïté vient de son absence de hiérarchie dans les normes éthiques. C'est une idéologie sans colonne vertébrale, d'où le fait qu'on y trouve un chapelet de groupes antagonistes : des partisans de la théorie du genre, des égalitaristes, des progressistes, des pacifistes et des bellicistes, des conservateurs moraux, des élitistes anti-démocrates. C'est à la fois une force pour emporter la foi des anti-systèmes et une inconsistance dans le domaine des choix pratiques.

 

 

+1

 

édit : on y trouve aussi des républicains & des communautariens, opposition qui ne peut être arbitrée par le principe de non-agression.

Je n'ai jamais vu de républicain libertarien, meme au sens le plus minimal du terme, leur libertarianisme s'arrete a leur républicanisme qui est prioritaire.

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L'expression "vrai libertarianisme" est un mirage sémantique. Elle n'a pas plus de sens que l'expression "vrai marxisme", dans un débat qui opposerait des trotskistes à des léninistes. Il n'y a jamais eu de déviation parce qu'il s'agit au départ d'une idéologie critique, qui sert de véhicule à des projets doctrinaux opposés et sans cohérence, mise à part la revendication d'une souveraineté individuelle et la dénonciation des forces d'oppression.

C'est une caricature absolue du libertarianisme.

Les libertariens ne seront ainsi jamais capables de s'accorder sur ce que signifie "violer les droits" des individus, même s'il leur paraît nécessaire de maintenir l'illusion transcendantale d'un monde sans coercition, sans autorité et sans spoliation.   

Ceci est encore une plus grosse caricature encore. Tu penses que les libertariens pensent que personne ne se fera spolier en Anarcapie, que les escrocs et charlatans n'existeront plus? Allons allons, c'est ridicule.

De même, la notion d'autorité est quelque chose d'anthropologique : il y a les meneurs d'homme, et les suiveurs. Le seul point à observer relève de la coercition qu'un leader naturel pourrait exercer.

On voit qu'en dernière instance, le libertarianisme est un système de justification idéologique. L'ambiguïté vient de son absence de hiérarchie dans les normes éthiques. C'est une idéologie sans colonne vertébrale, d'où le fait qu'on y trouve un chapelet de groupes antagonistes : des partisans de la théorie du genre, des égalitaristes, des progressistes, des pacifistes et des bellicistes, des conservateurs moraux, des élitistes anti-démocrates. C'est à la fois une force pour emporter la foi des anti-systèmes et une inconsistance dans le domaine des choix pratiques.  

 

 

 

C'est faux, sa colonne vertébrale c'est le Droit Naturel, c'est quand même pas compliqué.

 

Sur ce que j'ai souligné, c'est absolument faux, je ne connais pas de libertariens pensant cela.

 

Sur ce que j'ai mis en italique, tu as absolument raison, mais le souci c'est que tu ne comprends pas pourquoi ces contradictions existent. C'est tout simple et je vais te faire un exemple : la guerre. Tu as raison, il y a des bellicistes et des pacifistes tout comme il y a des libertariens qui détestent le Nutella (comme moi) et d'autres qui adorent, tout simplement parce que le libertarianisme n'a pas vocation a s'exprimer sur la question des guerres modernes, celles-ci impliquant des Etats non-minarchiques. La géopolitique contemporaine n'est pas incluse dans le libéralisme, de même qu'il n'y a pas de recette libertarienne de gâteau au chocolat. Ce qui ne veut pas dire que les libertariens ont chacun leur avis sur les recettes de gâteaux au chocolat.

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C'est faux, sa colonne vertébrale c'est le Droit Naturel, c'est quand même pas compliqué.

C'est vrai si on considère en priorité la logique/cohérence/beauté théorique (ce qui est mon cas).

Si on prend un point de vue plus sociologique c'est une opinion qui est loin d'être défendue par tous les libertariens, ou même une majorité, en témoignent ici les nombreux threads sur ce sujet.

 

Sinon sur le fond le libéralisme n'est pas un système moral suffisant et n'a pas la prétention de l'être, son domaine d'application est exactement égal au domaine d'extension de l'interventionnisme. Par conséquent tout ce qu'il a à dire sur le phénomène du genre est que toute politique du genre est inutile et néfaste.

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Je n'ai jamais vu de républicain libertarien, meme au sens le plus minimal du terme, leur libertarianisme s'arrete a leur républicanisme qui est prioritaire.

Il y a tous ceux qui prennent comme modèle les cités-Etat type Singapour, ou bien la Suisse avec sa défense de milices. Ce sont, au sens trict - pas des socialistes français - des républicains. Sans parler du crédo rousseauiste du contrat social repris par nombre de libertariens, ou des minarchistes hobbésiens.

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Je ne vois rien qui permet d'affirmer que le libertarianisme se résume à des exercices de justification idéologiques concurrents. En fait toutes les positions politiques, comme toutes les théories, peuvent potentiellement se révéler être des exercices de justification idéologique (c'est à dire être une traduction, une rationalisation des intérêts et des positions sociologiques de celui qui pose la théorie). 

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C'est le propre des idéologies que d'être une structure de dissimulation des intérêts de classe, des passions, ou de la volonté de puissance. Mais le libertarianisme ne reconnaît pas ses propres conditions politiques, il se prétend même apolitique et se présente comme une philosophie neutre du droit, ce qui est bien-sûr un écran de fumée pour assumer différentes positions critiques, contestataires et anti-système. Ce qui le caractérise est son incohérence dans les choix pratiques.

 

@ Jesrad : j'ai dû tomber dans l'agorisme quand j'étais petit, je suis naturellement discordien mais en essayant de me soigner.

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1) C'est le propre des idéologies que d'être une infrastructure de dissimulation des intérêts de classe, des passions, ou de la volonté de puissance.

 

2) Mais le libertarianisme ne reconnaît pas ses propres conditions politiques, il se prétend même apolitique et se présente comme un philosophie neutre du droit, ce qui est bien-sur un écran de fumée pour assumer différentes positions critiques, contestataires et anti-système. Mais ce qui le caractérise est son incohérence dans les choix pratiques.

 

 

 

Oui, mais toutes les théories libertariennes se résument-elles à de l'idéologie, définie au sens 1 ? Ces positions critiques, antisystèmes et contestataires motivent l'adoption des théories libertariennes, ou c'est en adoptant les théories libertariennes qu'elles débouchent sur des positions critiques, contestataires et anti-système ? (qui d'ailleurs sont des choix pratiques assez cohérents, non ?^^)

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Oui, mais toutes les théories libertariennes se résument-elles à de l'idéologie, définie au sens 1 ? Ces positions critiques, antisystèmes et contestataires motivent l'adoption des théories libertariennes, ou c'est en adoptant les théories libertariennes qu'elles débouchent sur des positions critiques, contestataires et anti-système ? (qui d'ailleurs sont des choix pratiques assez cohérents, non ?^^)

 

A mon sens ce sont toujours les passions, les intérêts, les instincts et la volonté de puissance, tout ce qu'on peut appeler le désir, qui vient en premier. L'idéologie vient après, avec ses justifications logiques et son apparence de droit. Ce n'est pas parce que nous jugeons qu'une chose est bonne que nous la désirons, mais c'est parce que nous la désirons que nous la jugeons bonne. Le libertarianisme fournit donc cette apparence de bon droit.

 

Maintenant, je dirais en somme que l'idéologie libertarienne, quand elle est comprise de façon modeste et ne veut pas renverser la table, reste un moindre mal politique par rapport au socialisme, en dépit ou sans doute grâce à son inconsistance, couplée à une démystification de l'Etat. De plus dans le contexte actuel de montée de la violence, du contrôle social et de la servitude, nous avons aujourd'hui besoin d'une idéologie critique. Je pense qu'il faut en effet assumer un certain gramscisme dans la guerre culturelle.

 

En revanche quand l'idéologie libertarienne se fait complice du nihilisme gauchiste (comme en soutenant la théorie du genre), du pseudo individualisme et de la servitude à l'égard des oligarchies, je ne vois pas de raison de ne pas la dénoncer.   

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Maintenant, je dirais en somme que l'idéologie libertarienne, quand elle est comprise de façon modeste et ne veut pas renverser la table, reste un moindre mal politique par rapport au socialisme, en dépit ou sans doute grâce à son inconsistance, couplée à une démystification de l'Etat.

Un libertarien qui te dit qu'il veut renverser la table pour d'autres personne que lui ou pour d'autres personne associées de manière consentante à lui n'est tout simplement pas un libertarien.

Ainsi si je te dis que je suis contre les armes à feu, si je dis "je ne veux pas que free jazz n'ait d'armes à feu, et je vais tout faire pour que ce soit le cas" je ne suis pas libertarien, si je dis "je ne veux pas que free jazz entre chez moi armée", je le suis.

 

En revanche quand l'idéologie libertarienne se fait complice du nihilisme gauchiste (comme en soutenant la théorie du genre), du pseudo individualisme et de la servitude à l'égard des oligarchies, je ne vois pas de raison de ne pas la dénoncer.

J'aimerai bien des exemples concrets. Qui soutient la théorie du genre par exemple? Et surtout comment l'a soutient-il? Après tout, en Anaracapie, si il y a des débiles pour vivre en conformité avec cette théorie farfelue, quel est le problème?

Et sur le reste, servitude à l'égard des oligarchies, tu penses à quoi?

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