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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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Où est-ce que tu as vu une chaîne du froid dans ces pays ? Les rares supermarchés n'ont même pas de rayon avec des frigos. Les méthodes de conservation principales restent la fermentation et la déshydratation.

Voilà.

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Je pense que Sarkozy, si il y a bien un truc auquel il excelle, c'est candidater.

 

Je pense qu'il sera président parce que :

 

-c'est un animal politique doué

-Hollande à dégouté et continue sur sa lancée de dégoût des Français pour la gauche de gouvernement

-Ca va jouer à fond la carte de l'alternative et pour les raisons 1 & 2, Sarko peut jouer cette carte là.

-le FN garde (un peu heureusement et un peu à raison) une image de parti d'extrême droite trop forte pour qu'une majorité d'électeurs se prononce pour eux

 

Je ne vois toujours pas comment on peut empêcher l'UMP de reprendre la main. La seule solution aurait été que durant tout le mandat d'Hollande, le centre se fasse entendre mais ils sont bien trop nuls pour ça.

 

Donc, Sarko 2017, je suis prêt à parier quelques bières dessus (d'ailleurs, je l'ai déjà fait avec mes amis bruxello-français).

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Tu vas tout de suite faire remonter ton taux d'alcoolémie. 

 

Mon petit Madiran m'a fait du bien.

 

M'enfin je parie plutôt un demi belge sur Hollande.

 

Jamais de la vie il passera.

 

Oh, pari tenu !

 

Non pas toi, toi t'as déja tout38 (qui a disparu de la circulation on dirait)

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Dans le débat de l'autre jour sur les précurseurs du socialisme, quelqu'un (peut-être bien Poney), soutenait que J.J. Rousseau pouvait être considéré à la fois comme un précurseur du socialisme et du libéralisme. Interprétation selon moi fausse, comme le montre le passage suivant:

"L'État, par rapport à ses membres est maître de tous leurs biens par une convention solennelle, droit le plus sacré qui soit connu des hommes."
-Jean-Jacques Rousseau, Du Contrat Social, p. 293. Ce passage, expurgé de la version courante du Contrat social, figurait dans le manuscrit genevois du traité (d'après Gopal Balakrishnan, in L'Ennemi. Un portrait intellectuel de Carl Schmitt, p. 328.

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Dans le débat de l'autre jour sur les précurseurs du socialisme, quelqu'un (peut-être bien Poney), soutenait que J.J. Rousseau pouvait être considéré à la fois comme un précurseur du socialisme et du libéralisme. Interprétation selon moi fausse, comme le montre le passage suivant:

"L'État, par rapport à ses membres est maître de tous leurs biens par une convention solennelle, droit le plus sacré qui soit connu des hommes."

-Jean-Jacques Rousseau, Du Contrat Social, p. 293. Ce passage, expurgé de la version courante du Contrat social, figurait dans le manuscrit genevois du traité (d'après Gopal Balakrishnan, in L'Ennemi. Un portrait intellectuel de Carl Schmitt, p. 328.

 

C'était moi et c'est toujours autant bidon puisque tu prends une phrase pour dire que c'était un socialiste.

 

Je vais donc faire pareil et prendre une phrase pour montrer que c'est un libéral :

 

"Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs. Il n’y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l’homme, et c’est ôter toute moralité à ses actions que d’ôter toute liberté à sa volonté. Enfin c’est une convention vaine et contradictoire de stipuler d’une part une autorité absolue et de l’autre une obéissance sans bornes. N’est-il pas clair qu’on n’est engagé à rien envers celui dont on a droit de tout exiger, et cette seule condition, sans équivalent, sans échange n’entraîne-t-elle pas la nullité de l’acte ? Car quel droit mon esclave aurait-il contre moi, puisque tout ce qu’il a m’appartient, et que son droit étant le mien, ce droit de moi contre moi-même est un mot qui n’a aucun sens.

 

Ce qui est donc en totale contradiction avec ta citation, ce qui explique probablement qu'il l'ait enlevé.

Le jeu des petites phrases, tout ça va nous mener loin.

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From a consequentialist point of view, Thatcher did huge damage by popularising the idea of selling off useful public resources to private rent-seeker parasites, whereas Bin Laden killed off many hundreds of the same sort of parasites (admittedly with a lot of unfortunate collateral damage), possibly delaying the financial crisis by 6 months or so. It’s distasteful to me to equate a bold but flawed activist like Bin Laden with a monster like Thatcher

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Il n'en est pas à son coup d'essai, pour rappel sa charge contre le jeu Assassin's Creed Unity qui avait eu l'outrecuidance de présenter une image peu reluisante de Robespierre.

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C'était moi et c'est toujours autant bidon puisque tu prends une phrase pour dire que c'était un socialiste.

 

Je vais donc faire pareil et prendre une phrase pour montrer que c'est un libéral :

 

"Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs. Il n’y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l’homme, et c’est ôter toute moralité à ses actions que d’ôter toute liberté à sa volonté. Enfin c’est une convention vaine et contradictoire de stipuler d’une part une autorité absolue et de l’autre une obéissance sans bornes. N’est-il pas clair qu’on n’est engagé à rien envers celui dont on a droit de tout exiger, et cette seule condition, sans équivalent, sans échange n’entraîne-t-elle pas la nullité de l’acte ? Car quel droit mon esclave aurait-il contre moi, puisque tout ce qu’il a m’appartient, et que son droit étant le mien, ce droit de moi contre moi-même est un mot qui n’a aucun sens.

 

Ce qui est donc en totale contradiction avec ta citation, ce qui explique probablement qu'il l'ait enlevé.

Le jeu des petites phrases, tout ça va nous mener loin.

 

Sauf que la définition de la liberté pour Rousseau se recoupe quasi exactement avec le droit de vote. Il n'aurait aucun problème à considérer la Corée du Nord comme lieu de liberté. Après tout, un de ses exemples préférés c'est la dictature théocratique totalitaire calviniste de Genève.

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Apparemment, pour Méchancon, parler de la royauté dans une émission d'histoire serait antirépublicain et donc un crime…

 

http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2015/05/27/secrets-d-histoire-trop-monarchiste-selon-jean-luc-melenchon_1317734

60% ! C'est très très peu finalement. La démocratie est très récente et l'ère des monarchies s'est étalée sur plusieurs siècles voire millénaires. Pour une émission d'histoire ça parait donc normal qu'on parle davantage de monarques. Quel con quand même.

 

Ça nous arrange cette sortie de Méchancon. 

Il rappelle qu'on est obligé de payer pour ça...

Certe télé publique toussa, mais ce n'est pas une mauvaise émission je trouve.

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Rousseau un admirateur de la Corée du nord, après avoir vu en Platon en communiste, continuons à tordre l'histoire.

 

Tu as l'air de dire que les libéraux sont les seuls a exalter l'idéal de liberté. C'est faux les socialistes aussi. Donc ton passage ne prouve rien.

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Bien sur qu'il ne prouve rien puisque j'essaye de dire que citer une phrase ou même un paragraphe hors contexte ne prouve rien.

 

Bon, j'arrête ce débat stupide.

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Rousseau un admirateur de la Corée du nord, après avoir vu en Platon en communiste, continuons à tordre l'histoire.

 

Pourquoi pas, après la "République" de Genève ?

 

Tu connais un peu les méthodes du père Calvin ?

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C'est faux les socialistes aussi.

 

Oui, et Hollande de dire hier lors de son discours pour les "panthéonisés" que les Français n'ont jamais peur de défendre la liberté.

 

C'est assez comique, dans un pays où on les rogne de plus en plus avec les applaudissements du peuple.

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Je vais donc faire pareil et prendre une phrase pour montrer que c'est un libéral :

 

"Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs. Il n’y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l’homme, et c’est ôter toute moralité à ses actions que d’ôter toute liberté à sa volonté. Enfin c’est une convention vaine et contradictoire de stipuler d’une part une autorité absolue et de l’autre une obéissance sans bornes. N’est-il pas clair qu’on n’est engagé à rien envers celui dont on a droit de tout exiger, et cette seule condition, sans équivalent, sans échange n’entraîne-t-elle pas la nullité de l’acte ? Car quel droit mon esclave aurait-il contre moi, puisque tout ce qu’il a m’appartient, et que son droit étant le mien, ce droit de moi contre moi-même est un mot qui n’a aucun sens.

Désolé mais ça ne démontre rien du tout. Ce n'est pas parce que le mot liberté est présent qu'elle est définie en termes libéraux. Alors que le fait d'attribuer à l'Etat le droit d'user des propriétés de ses citoyens à sa guise est clairement antilibéral. Que Rousseau est retiré ce passage de la version finale ne change pas le fait que cette idée lui est parue acceptable pendant un moment, ce qui dit quelque chose de sa pensée politique en général.

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Désolé mais ça ne démontre rien du tout. Ce n'est pas parce que le mot état ou propriété est présent qu'ils sont définis en termes socialistes, qui n'existait pas encore à l'époque. Alors que le fait d'attribuer à l'Humain la caractéristique de libérté comme fondamentale est clairement libéral. Que Rousseau est laissé ce passage de la version finale ne change pas le fait que cette idée lui est parue importante durant tout son travail, ce qui dit quelque chose de sa pensée politique en général.

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Mais c'est un festival, Oriane Borja.

 

 

 

La DDHC, avec un C n'est-ce pas, comme citoyen, comme Cité, comme société.
Notre Cité se confond avec notre Etat, notre Cité est la res publica qui se confond avec l'intérêt général et qui honnit les intérêts privés, individuels.
Cela est notre héritag
e gréco romain que nos rois ont structuré en Etat et que notre république a repris.
Du reste, la DDHC s'inspire elle-même du décalogue.

Vos libéraux, d'inspiration anglo saxonne, ont simplement voulu couvrir leur défauts individualistes par un humanisme inspiré par le bien commun en reprenant à leur compte des principes qui les dépassent largement.

 

:lol:

 

 

 

Votre idéologie ne pourra jamais rien contre la France éternelle qui a ciselé l'idée d'Etat comme aucune civilisation n'a jamais réussi à le faire, et dans l'intérêt de son peuple.

Vos petits intérêts privés mesquins n'arriveront jamùais à la cheville de la grande idée de la France.

 

 

 

A vous en croire et à en croire les gourous libertariens des petits copains de Patrick Buisson via leur organe propagandiste Atlantico (mais je vous rassure cet argumentaire sort tout droit des lobbyistes de l'IFP formés à Washbington), le libéralisme et l'Etat se confondent.

Il me semble que vous sortez là une de vos propres stupidités étatistes.

 

J'ai au moins 3 douzaines de wat.

 

 

Google est simplement en retard sur le Larousse, prenez donc un livre, ça vous fera le plus grand bien, le terme est entré dans le dictionnaire à présent, et j'espère ne pas y être étrangère.

 

 

Rangez vos fouyayametres les gars.

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Pour avoir flâné sur son blog, elle me semble quand même légèrement désaxée, limite parano :

- elle voit des libéraux/libertariens partout, dans tous les partis, dans toutes les organisations (depuis la manif pour tous, en passant par les partisans du mariage pour tous, au Front de Gauche, au PS, à l'UMP, au FN, chez les pro-américains, chez les poutinistes, chez les Soraliens, etc.), œuvrant en France pour mettre fin à ce qui fait (d'après elle) sa force, à savoir son État puissant,

- elle se gargarise de sa propre importance, ayant par exemple (toujours d'après elle) introduit le terme libertarien auprès du grand public ou découvert les soit-disant accointances libérales de Soral, etc.

- elle réécrit les faits dans le sens qui l’arrange (pour elle, la France est un pays centralisé depuis toujours par exemple, le libéralisme est une idéologie anglo-saxone, les auteurs libéraux français étant un mythe de la CIA, etc.).

 

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J'avais consulté son blog, j'ai jamais vu une nana aussi barge. J'ai toujours pensé que si un jour un dictateur revenait, des gens seraient à nouveau prêts à le suivre, malgré ce qu'on nous dit qu'aujourd'hui cela serait impossible. Cette nana en ferait partie c'est sûr.

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