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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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Je crois que Bob essaye de dire que personne n'as raison, personne n'as tord, mais que lui mieux que tout le monde, et du coup il peut juger les opinions de Gio comme dramatiquement horribles et lui demander quels malheurs perso il a vécu dans sa vie pour devenir libéral.

 

Des mecs comme ça quand j'en croise, je me casse très vite, sinon j'ai envie de les gifler très fort.

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Je crois que Bob essaye de dire que personne n'as raison, personne n'as tord, mais que lui mieux que tout le monde, et du coup il peut juger les opinions de Gio comme dramatiquement horribles et lui demander quels malheurs perso il a vécu dans sa vie pour devenir libéral.

C'est ce que je crois aussi depuis le début.
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Aie aie, j'ai lu un peu les commentaires sous l'article de rue89 que H16 avait linké dans son article: c'est un vrai nid, je pourrais tout citer. Mais je vais juste coller le commentaire qui a eu le plus de votes positifs:

 

 

Par ailleurs interdire UberPop c’est aussi défendre les chauffeurs d’UberPop, de la même façon qu’interdir le travail au noir sur un chantier c’est aussi défendre les ouvriers. Ce qui fait la « complexité » du truc c’est que le fait qu’une personne sous-qualifiée accepte, à titre individuel, sous la pression d’un faux choix, de travailler au noir pour survivre, c’est compréhensible. Mais c’est pas pour autant que c’est acceptable, parce que pour améliorer les conditions de vie des chauffeurs ou ouvriers il faut envisager la question non pas d’un point de vue individuel mais du point de vue de l’ensemble des travailleurs, qui doivent s’unir pour lutter contre des conditions de travail inacceptables. Parce qu’il ne faut pas oublier que les chauffeurs UberPOP ne sont pas plus de vrais « indépendants » que des « non-professionnels » arrondissant leurs fins de mois, ils sont avant tout des travailleurs exploités par Uber, qui prend des marges phénoménales et va tout cacher dans des paradis fiscaux.

 

 

http://rue89.nouvelobs.com/2015/06/20/suis-chauffeur-uberpop-jai-droit-dexister-259870

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Ils sont vraiment beaux:

 

 

 

La ’débrouille individuelle’, face à la tyrannie du capital, c’est une impasse et la mort de la solidarité.

 

Celui la:

 

 

C’est marrant, cette jeune génération qui fait tout pour scier la branche sur laquelle elle est assise, tout en trouvant merveilleux de galérer avec des petits boulots style plongeur ou balayeur de rue, et qui va jusqu’à y voir un progrès.

Mais bon, il y a au moins l’avantage de la flexibilité : quand l’auteur de cette tribune en aura marre (ou qu’on en aura marre de lui), il pourra facilement retrouver du boulot. Chez Amazon, dans les chiottes du MacDo, dans un call center. Pendant que les patrons de ces boîtes s’octroyent des salaires qui défient l’entendement.

Chiez-moi dessus, mon bon maître, j’adore ça. N’arrêtez surtout pas.

 

suivi de

 

 

Ces gens qui n’ont pas de problèmes pour payer leur loyer ont su préserver l’héritage des anciens qui se sont battus, parfois au prix de leur vie, pour faire bouger les choses au lieu de se résigner à survivre. Héritage que les plus jeunes galvaudent pour en revenir à la situation initiale, celle qui prévalait à la fin di XIXe siècle.

Si vous vous en contentez, au lieu de vous battre pour faire péter le système, libre à vous. Mais vous allez trouver la vie trèèès longue, croyez-moi. Et très frustrante, aussi.

 

c'est exactement ce qui avait été abordé ici il n'y a pas longtemps: on a à faire à des ultra-conservateurs complètement enfermés dans leur vision du travail datant des générations précédentes: le boulot infini, hiérarchisé, zéro individualisation et surtout pas d'entreprise personnelle. Le bonheur c'est d'être fonctionnaire, le malheur c'est de vivre par soi-même.

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Ouais. Il changera de discours quand il aura compris que sa retraite et ses zakisicios pour lesquels il a trimé toute sa vie vont lui passer sous le pif, que son CDI ultra protégé ne vaudra rien quand sa boite fera faillite et qu'il se retrouvera chez popol emploi à 55 ans, sans aucune autre perspective que des formations parking rémunérées 400 €/mois parce que personne ne veut embaucher un type qui prendra sa retraite dans 5 ans.

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Ouais. Il changera de discours

 

J'aime beaucoup ton humour.  :mrgreen:

 

Si ça va mal, ce sera de la faute à l'Etat qui a pas su être assez fort face à l'ultralibéralisme et aux riches, épicétou.

 

Cette histoire d'Uber, ça a une sorte d'effet positif sur une partie des gauchistes modérés qui se retrouvent presque à reconnaître les bienfaits de la concurrence et prôner la libéralisation (et que c'est très tentant de lancer sur celle des sévices publics du coup). Mais ce genre de fanatique, là, ça crèvera avec encore un portrait de Staline dans les bras.

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Mais bon, il y a au moins l’avantage de la flexibilité : quand l’auteur de cette tribune en aura marre (ou qu’on en aura marre de lui), il pourra facilement retrouver du boulot. Chez Amazon, dans les chiottes du MacDo, dans un call center. 

 

 

Le call center c'est plutôt peinard physiquement comme boulot, et personne à McDo n'est spécialement préposé aux chiottes. C'est quoi ces arguments à la con. Même Marx n'était pas dédaigneux avec le travail ouvrier. Quel enfoiré celui qui a écrit ça.

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Le call center c'est plutôt peinard physiquement comme boulot, 

Cela dépend ce que tu appelles physiquement.

 

J'ai connut pas mal d'entreprises qui donnait des conditions de travail plus intéressantes aux salariés en call center car justement ils trouvaient que c'était épuisant.

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Parmi les étendards du Pouvoir Blanc et de ses déclinaisons « antiracistes », il en est un qui ne souffre aucune remise en question: celui des « mariages mixtes », et son corollaire, le métissage. Cette question est la frontière ultime entre les gens du progrès et ceux de la régression. « L’amour » triomphant de « la Haine », détruisant les frontières raciales, existe-t-il plus belle image, plus beau remède à toutes les dominations? Cette belle image, il faut pourtant la piétiner, n’en déplaise à Serge Halimi[1]. Celui qui ose le faire ne peut être, à coup sûr, qu’un ennemi de l’humanité vraie, un partisan du « séparatisme racial », un raciste, un vrai.

Les Blancs aiment « l’Amour », tout comme ils aiment « la Paix », avec des majuscules et un silence de cathédrale tout autour. Notre silence. Car qui mieux que les non-blancs pour connaitre le véritable visage du sauveur blanc? Derrière sa générosité, derrière son amour, derrière ses lois et sa paix universelle, nous connaissons son vrai visage, celui de la domination. Les relations intimes, les corps, les identités, n’échappent pas à la violence des rapports sociaux de race. Le « mariage mixte » et son produit, « le métis », sont le théâtre de cette violence. Et on n’échappe pas d’un rapport de force, on y prend position.

« Le métissage » sert aujourd’hui d’argument pour contrer l’antiracisme matérialiste, une injonction sacrée, une stratégie de défense du pouvoir blanc. Car c’est ce qu’est d’abord le métissage, une stratégie, à double tranchant.

 

Le PIR encore... Ils sont vraiments fous.

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Bob épisode 10
 
Épisode précédent

Moi :

Merci de ta réponse.

Sous un autre paradigme je pourrais être considéré malhonnête, par exemple à travers l'esprit d'un parano.

Cela signifie t-il que d'après un autre paradigme, l'idée d'après laquelle tu es sincère envers moi est fausse ? (Ou pourrait être fausse.)


 
Bob :

Pourrait être fausse. Le conditionnel me permet de dézoomer et de considérer (avec fragilité certes) des points de vue potentiellement opposés au mien, mais en me tenant strictement à mon point de vue et mon expérience du présent, je dirais que cette réalité n'existe pas.

Ta question m'a fait penser au chat de Schrödinger. Je ne suis pas un expert de la physique quantique, mais c'est le genre de domaine qui élargit mon champ de vision.



Moi :

Si l'idée d'après laquelle tu es sincère pourrait être fausse, je ne vois pas bien ce qui justifie ta réaction, mais passons.

En supposant que tu ne te trompes pas, est-ce que l'idée d'après laquelle, dans un autre paradigme tu pourrais ne pas être sincère avec moi, est absolument vrai ou alors elle pourrait être fausse dans un autre paradigme ?



Bob :

Oui parce que l'absolument vrai et l'absolument faux dépend du point de vue.



Moi :

C'est une contradiction dans les termes : si c'est absolument vrai ou absolument faux, alors cela ne dépend pas d'un point de vue. Ou alors ce n'est pas absolu, c'est relatif.

Mais je n'ai pas compris ta réponse de toute façon : Oui à quoi ?

A/ Oui, l'idée d'après laquelle, dans un autre paradigme tu pourrais ne pas être sincère avec moi est absolument vraie ?

Ou bien :

B/ Oui, l'idée d'après laquelle, dans un autre paradigme tu pourrais ne pas être sincère avec moi pourrait être fausse dans un autre paradigme ?

A ou B ? (Nous partons du principes que ta pensée n'est pas erronée, je le rappelle.)



Bob :

J'emploie peut être pas les meilleurs mots.

Quand je dis oui, je dis oui aux deux possibilités car je pars du principe qu'il peut y avoir des paradigmes convergeants sur certains points et divergeants sur d'autres.

Pour la contradiction des termes peut être ne devrais-je plus utiliser "absolu" ou peut être devrais-tu me définir ce qu'il représente pour toi.
Ce que je voulais porter à travers ma phrase c'était l'idée que le vrai et le faux nait dans un point de vue, depuis un point de vue. Si tout le monde était naturellement aveugle, les couleurs n'existerait pas. Dans ce cas là, est-ce que ça voudrait dire que "les couleurs n'existe pas" est une vérité absolue ? Elle serait une vérité absolue basé sur le point de vue, le paradigme biologique de la race humaine. Connaitre et affirmer une vérité absolue c'est toujours implicitement ou inconsciemment l'inscrire dans, le rendre relatif à un cadre/point de vue/etc.
J'essaye peut être à tord de parler le plus largement possible de ce thème, mais si tu veux on peut cloisonner le truc pour moins de confusion.



Moi :

Non pas de problèmes pour moi.

J'entends par absolu le contraire de relatif, ce qui ne dépend pas de quelqu'un, de quelques uns ou de quelque chose qui pourrait modifier ou supprimer ce qui est absolu.
Le vrai, c'est lorsque le discours coïncide avec la réalité. (Même de façon imprécise ou incomplète, car une vérité partielle est toujours vrai, et aucun discours ne peut évidemment décrire la réalité dans sa totalité.)
La réalité c'est ce qui est, indépendamment de nos idées, pensées, opinions, points de vue. Le romancier Philip K. Dick a définit la réalité dans une belle formule : « Reality is that which, when you stop believing in it, doesn't go away » ("La réalité, c'est ce qui ne disparaît pas lorsqu'on cesse d'y croire.") D'après ce que tu dis, la réalité n'existe pas.
 

Quand je dis oui, je dis oui aux deux possibilités car je pars du principe qu'il peut y avoir des paradigmes convergeants sur certains points et divergeants sur d'autres.

Une chose ne peut pas être absolu et relative à la fois.
Si c'est absolu, alors cela marche pour toi, moi et pour tout le monde sans exception, peu importe nos paradigmes.
Si c'est relatif, cela dépend du paradigme d'un individu.

Je rappelle que la question peut se résumer ainsi (en supposant toujours que tu ne te trompes pas) :

Les paradigmes dont tu parles existent-ils absolument ou bien dépendent-ils d'un paradigme ?
Ou encore, dit autrement :
Le relativisme que tu défends est-il une vérité absolue ou bien est-il relatif ?
 

Si tout le monde était naturellement aveugle, les couleurs n'existerait pas. Dans ce cas là, est-ce que ça voudrait dire que "les couleurs n'existe pas" est une vérité absolue ?

Je pense que ce n'est pas la bonne question. La question est plutôt :
Est-ce que l'idée d'après laquelle, si tout le monde était naturellement aveugle les couleurs n'existeraient pas, est une vérité absolue ?
(C'est toujours la même question que celles qui sont formulées plus haut.)

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En quoi ? Il est responsable de la tournure que ça prend (ça ne me gêne pas, mais je vois pas le rapport avec le courage), s'il lisait bien attentivement et répondait directement et clairement aux questions sans tourner autour du pot et parler d'autres choses, on serait passé à autre chose depuis longtemps. Je ne lui reproche pas ceci dit, moi j'ai tout mon temps et cela ne me dérange pas du tout qu'on avance beaucoup plus lentement qu'on ne le pourrait.

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En quoi ? Il est responsable de la tournure que ça prend (ça ne me gêne pas, mais je vois pas le rapport avec le courage), s'il lisait bien attentivement et répondait directement et clairement aux questions sans tourner autour du pot et parler d'autres choses, on serait passé à autre chose depuis longtemps. Je ne lui reproche pas ceci dit, moi j'ai tout mon temps et cela ne me dérange pas du tout qu'on avance beaucoup plus lentement qu'on ne le pourrait.

 

Dans mon paradigme, j'ai l'impression que tu vas le tuer à l'usure.

 

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Heureusement que Gio est prof d'arts plastiques et pas de philo.

Avant de commencer à dessiner j'aimerais que vous répondiez à deux questions très simples : Qu'est-ce que l'art ? Qu'est-ce que le plastique ?

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Il est responsable de la tournure que ça prend (ça ne me gêne pas, mais je vois pas le rapport avec le courage), s'il lisait bien attentivement et répondait directement et clairement aux questions sans tourner autour du pot et parler d'autres choses, on serait passé à autre chose depuis longtemps

 

 

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Dixit ouiki
 

(Arts) Relatif au modelage.
 
1. Art plastique, Art de modeler toutes sortes de figures et d’ornements en plâtre, en terre, en stuc, etc.
 
2. (Par extension) Tous les arts du dessin.

 
et plaste (l'origine étymologique) :
 

Du latin plastes (« modeleur ») et plus avant, du grec ancien πλάστης, plástês (« modeleur, formateur »).

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