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[modéré]Hollande, le départ du comique français


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Ce sexisme assumé m'insupporte au plus haut point .

 

Pourquoi pas racisme pendant que tu y es ?

 

Je me fous que ce soit une femme ou même un poney. Comme son président, elle s'exprime mal et connait mal ses dossiers et ses chiffres. 

Elle est jeune et inconnue à la base. Clairement, personne d'autre n'a voulu porter cette réforme. Si c'est un premier choix, je me les coupe.

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Pourquoi pas racisme pendant que tu y es ?

 

Je me fous que ce soit une femme ou même un poney. Comme son président, elle s'exprime mal et connait mal ses dossiers et ses chiffres. 

Elle est jeune et inconnue à la base. Clairement, personne d'autre n'a voulu porter cette réforme.

C'était une malheureuse tentative de troll... Je partage ton constat !

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Elle s'exprime mal et connait mal ses dossiers et ses chiffres. 

Elle est jeune et inconnue à la base.

Son incompétence notoire et son inexpérience n'entrent pas en ligne de compte dans les petits calculs solfériniens. Ce qui est important, c'est qu'elle ait la bonne couleur de peau pour faire des clins d'œil une partie de l'électorat.

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Son incompétence notoire et son inexpérience n'entrent pas en ligne de compte dans les petits calculs solfériniens. Ce qui est important, c'est qu'elle ait la bonne couleur de peau pour faire des clins d'œil une partie de l'électorat.

Fallait surtout trouver quelqu'un qu'on pourrait jeter comme un kleenex au cas où, donc pas trop connu. C'est pour ça que l'autre aigrefin de Rebsamen s'est barré pour lui laisser la place.
  • Yea 1
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 C'est vrai que je pense de plus en plus qu'Hollande n'ira pas. 

 

 Son camp veut le forcer à aller à la primaire. Mais c'est un peu la honte pour le président sortant de participer à une primaire... Surtout si c'est pour perdre. Mieux se retirer "digne".

 

 D'ailleurs je commence à penser pareil de Sarko. Il souhaite revenir, c'est certain. Mais il n'a toujours pas officialisé sa candidature. Peut-être parce qu'il ne compte pas y aller si les sondages le donnent perdant ? Non car vous imaginez l'humiliation ? 

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Le ministre, en poste depuis deux mois, rappelle avoir dit à son arrivée que « la justice était au bord de l’embolie ». « Depuis que je pousse la porte des juridictions, je dis plutôt qu’elle est sinistrée… », s’alarme-t-il. Par exemple, « la direction de l’administration pénitentiaire a 36 millions d’euros de factures impayées pour des hospitalisations de détenus ».

« Plus d’argent pour les ramettes de papier »

Ou encore, « l’État a une dette de 170 millions d’euros » de frais d’interprètes, de laboratoires d’analyses ADN, d’experts, d’écoutes téléphoniques… « Tous ces prestataires privés sont payés au minimum avec quatre mois de retard », déplore le ministre. Jean-Jacques Urvoas assure qu'« énormément d’efforts » ont été faits depuis 2012 « sur les créations de postes », de magistrats notamment. Mais, dit-il, « les budgets de fonctionnement n’ont pas suivi ». Ainsi, poursuit le ministre, « je connais même un tribunal où on n’imprime plus les jugements, parce qu’il n’y a plus d’argent pour les ramettes de papier ».

http://www.20minutes.fr/societe/1818451-20160403-jean-jacques-urvoas-justice-francaise-sinistree

 

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Après Le Foll, c'est Valls qui fait la pub de Hollande :

 

 

"François Hollande est la voix de l'intérêt général. Celui qui doit incarner cette parole, c'est celui qui a été élu par les Français, qui est président et candidat, s'il le décide. La logique, c'est qu'il soit candidat puisqu'il est président", argumente le Premier ministre. "Je ne vois pas d'alternative à François Hollande à gauche", martèle-t-il encore, jugeant le chef de l'État "lucide et combatif".

 

http://www.lepoint.fr/politique/le-soutien-sans-faille-de-manuel-valls-a-francois-hollande-03-04-2016-2029632_20.php

 

L'expression "intérêt général" est vraiment utilisée pour toute et n'importe quoi.  :huh:

 

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Après Le Foll, c'est Valls qui fait la pub de Hollande :

 

 

http://www.lepoint.fr/politique/le-soutien-sans-faille-de-manuel-valls-a-francois-hollande-03-04-2016-2029632_20.php

 

L'expression "intérêt général" est vraiment utilisée pour toute et n'importe quoi.  :huh:

 

C'est à se demander pourquoi des élections seraient encore nécessaires... Si Hollande exprime l'intérêt général par sa sainte parole...

 

#culte-de-la-personnalité

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C'est à se demander pourquoi des élections seraient encore nécessaires... Si Hollande exprime l'intérêt général par sa sainte parole...

#culte-de-la-personnalité

C'est de la bonne communication. S'il précise que Hollande incarne l'intérêt général, c'est pour rappeler que Sarkozy incarne des intérêts particuliers de grands patrons, etc.

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Voilà une information qui donne une idée plus précise de la manière dont s'entoure François Hollande, celui qui était censé être "l'ennemi de la finance". Selon Mediapart, l'un de ses conseilleurs, Jean-Jacques Barbéris, un jeune trentenaire, "à l'allure de trader de la City", dixit L'Obs dans un portrait publié en 2015, s'apprête à quitter l'Elysée. Après avoir été promu "conseiller pour les affaires économiques et financières nationales et européennes" auprès de François Hollande, ce haut fonctionnaire est finalement "attendu en mai chez Amundi, la société de gestion d'actifs issue du rapprochement de Crédit agricole Asset Management et de Société générale Asset Management", avec un salaire annuel évalué à "environ 400 000 euros", assure Mediapar

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Jean-Jacques Barbéris, un jeune trentenaire, "à l'allure de trader de la City"

Pétalol, plutôt à l'allure de chroniqueur rubrique coquetterie chez Libération.

Qu'est-ce que va foutre Amundi d'un type pareil ? IEP, ENA, communication ratée de la présidence, il ne sait visiblement rien faire dans le privé de productif.

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C'est parfaitement scandaleux que la mission essentielle de l'État soit aussi laissée à l'abandon, au profit de ces autres p... de ministères bouffe pognon

C'est d'autant plus inadmissible vu le taux de prélèvement parmi les plus élevés des démocraties occidentales. Et incroyable que ça ne choque pas plus que ça (soyons clairs: tout le monde connait l'État de déliquescence profond des services judiciaires depuis longtemps, ce ministre à au moins le mérite de reconnaître une vérité connue depuis longtemps).
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«Le socialisme est une idée morte» juge Jean-Pierre Mignard, ami de Hollande

 

L'ancien responsable de la haute autorité éthique du Parti socialiste souhaite plus de parlementarisme et l'avènement d'une nouvelle gauche sociale-démocrate.

 

Récent démissionnaire de la direction de la haute autorité éthique du Parti socialiste, l'avocat Jean-Pierre Mignard n'a visiblement plus très envie d'entendre parler de Solférino. Fâché par le débat sur la déchéance de nationalité, embarrassé par les atermoiements de Jean-Christophe Cambadélis au sujet de la primaire socialiste, cet ami de longue date du président Hollande a préféré «reprendre sa liberté de parole». Une liberté dont il use ce mercredi dans les colonnes de l'Opinion pour enterrer dans un même élan le «socialisme traditionnel» et la Ve République. «Le socialisme est une idée morte, d'un point de vue historique et affectif. Ce n'est plus qu'un mot. L'avenir de la gauche est à un grand parti démocrate, ou social-démocrate, couvrant un très large spectre d'opinions très diverses», lâche Jean-Pierre Mignard. «À l'avenir, trois personnalités pourraient, par exemple, incarner ce grand parti démocrate aux vastes sensibilités: Anne Hidalgo, Manuel Valls et Emmanuel Macron. Faut-il encore qu'ils le veuillent». Une chose semble acquise pour l'ancien rocardien: François Hollande appartient au passé.

 

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Un audit de la nouvelle région Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes (ALPC) a mis au jour la « situation financière alarmante » de l'ex-Poitou-Charentes de Ségolène Royal.Un caillou dans la chaussure de la ministre de l'environnement. Un audit de la nouvelle région Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes (ALPC) a mis au jour la « situation financière alarmante » d'une des mariées, l'ex-Poitou-Charentes, tandis que l'opposition de droite a émis « un sérieux doute » sur la sincérité des comptes et demandé à son ex-présidente PS, Ségolène Royal, de « s'expliquer ».

L'audit commandé par le président PS de la grande région Alain Rousset a souligné les ratios financiers « performants » de la nouvelle région à la veille de la fusion (31 décembre 2015), mais masquant des « hétérogénéités », en particulier une « forte dégradation » de la situation de Poitou-Charentes.

Au bord de la faillite sans la fusion ? Sans la fusion (des trois régions), « nous serions vraisemblablement en train de constater la faillite et la banqueroute de la région » Poitou-Charentes, a affirmé le président de la commission des Finances d'ALPC, Olivier Chartier (Les Républicains), en présentant à la presse les résultats de l'audit mené par Ernst & Young.

« Points noirs » de l'audit concernant le Poitou-Charentes: des retards de paiements s'élevant à 132 millions d'euros, et qui avaient déjà été révélés en février par M. Rousset. Mais aussi une épargne « quasi-nulle » avec un taux net de 0,05%, une sous-budgétisation, « des dépenses qui ne sont pas inscrites au budget en fonction de la réalité des besoins », a énuméré pour sa part le vice-président de cette commission de Finances, le PS Florent Boudié.

« Doute sur la sincérité des comptes »Le cabinet relève aussi, parmi les emprunts, « 56 millions d'euros à très haut risque » qui nécessiteront un plan de désengagement, et 46 millions d'euros d'emprunts « à risque ». Pèsent, enfin, deux crédits-bails pour le renouvellement de TER, obérant la capacité de désendettement.

« C'est une gestion absolument pas maîtrisée, et qui connaît une accélération de sa dégradation très forte » depuis 2013, a résumé M. Boudié. M. Chartier a déploré un « volontarisme politique » en forme de « fuite en avant, un tas de sable de dépenses reportées à des années ultérieures pour éventuel financement ». Il a émis « un sérieux doute sur la sincérité des comptes présentés à l'époque ».

Rapport de la chambre régionale des comptes attenduLa Chambre régionale des comptes, saisie, devrait rendre un rapport à l'automne. C'est au juge des comptes, qu'il reviendra d'apprécier « d'éventuelles responsabilités », et d'engager le cas échéant des procédures, ont indiqué les élus.

D'ici là, Olivier Chartier a indiqué qu'un complément d'audit, plus poussé, sera engagé, et a estimé qu'il revient à la présidente de Poitou-Charentes de 2004 à 2014, et son successeur Jean-François Macaire « de s'expliquer, d'une façon ou d'une autre, sur la situation ».

 

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