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Je Raconte My Life 2Π-1 Résurrection


José

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:lol:

Les théories racialistes ont déjà fait leurs preuves par le passé. Après tout c'est tellement bien défini les races humaines que c'est pas comme si on avait obligés certains à porter des signes distinctifs pour les identifier.

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Je ne crois pas que les frontières puissent être plus nettes chez les autres animaux. Pourquoi le seraient-elles ?

 

Pour que certains critères morphologiques ou génétiques deviennent exclusifs ou tout du moins caractéristiques d'une sous-espèce (mais cela fonctionne pareil pour les espèces), il faut plusieurs générations. Sinon les caractères communs perdurent et il n'est pas possible de discriminer deux sous espèces bien distinctes. C'est pour cela que l'isolement géographique est très efficace de ce point de vue, car il permet à des groupes d'individus d'évoluer et de développer des caractères différents chacun de leur côté : mais cela n'est pas visible dès la première génération d'individus séparés. Il faut qu'une tendance émerge et se généralise à l'ensemble de ce qui deviendra une sous-espèce.

Si on prend l'exemple des éléphants, il y a deux genres : Elephas (pour l'éléphant d'Asie) et Laxodonta (pour l'éléphant d'Afrique). Chez l'éléphant d'Asie, il n'y a qu'une seule espèce et 4 sous espèces distinctes qui correspondent en fait aux animaux qui habitent sur des iles comme Sumatra, Bornéo, Sri Lanka... Ces sous espèces sont clairement isolées et on peut donc définir des critères génétiques et morphologiques propres, qui sont parfaitement vérifiables sur des échantillons des différents groupes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89l%C3%A9phant_d%27Asie#Phylog.C3.A9nie_et_syst.C3.A9matique

 

 

Chez les humains, la reproduction implique en temps normal une vie commune et donc de la communication. Les différences culturelles et dans les langues sont un témoin de l'éloignement géographique passé.

 

Les ethnies ne sont pas des "races". Ces distinctions au sein de l'espèce humaine sont le fait d'ethnologues, d'anthropologues et d'archéologues, elles ne reflètent pas pour autant une distinction biologique entre les individus.

 

 

Ainsi que les cheveux (formes et couleurs), les couleurs des yeux (les yeux bleus ne sont pas présents partout), la forme du visage et du nez. Et je ne suis pas spécialiste, si ça se trouve il existe des différences moins apparentes.

 

Vous pourrez effectivement lever une liste de critères qui vous semblent discriminants pour découper l'espèce humaine en groupe, que vous appellerez "race" si cela vous chante. Par contre, vous pourrez ajouter autant de critère que vous désirez, ils ne seront pas suffisants pour coller à la définition d'une sous-espèce ou d'une race, biologiquement parlant. La diversité génétique de l'humain ne va pas sans la variabilité. Il faudrait par exemple, que vous trouviez un caractère présent chez tous les individus d'un groupe et absent chez les autres. Ce qui n'est pas possible !

 

 

Et sur la couleur de la peau la situation n'est pas la même que, par exemple, chez les bouledogues de NoName. Si l'enfant de deux bouledogues blancs est lui-même blanc c'est une coïncidence (ou plus surement une plus grande probabilité) car deux bouledogues blancs peuvent en faire un noir. Avec les humains non. La couleur fait donc bien partie de la race différenciation. C'est complètement évident pour tout mon entourage mais il faut dire que je n'habite pas en France.

 

Il y a déjà eu des cas de parents blancs qui donnaient naissance à un enfant noir ou métisse. C'est le jeu de la génétique, qui reflète parfois des caractères issus des générations précédentes et restés sous silence jusqu'alors.

Plus généralement sur la couleur de peau, puisque cela te semble un caractère évident : comment définis-tu les différentes sous-espèces (ou races) ? Car il ne faut pas oublier que le spectre de couleur de peau est continu à l'échelle du globe et qu'il n'y a donc pas de ruptures nettes ou strictes entre des teintes foncées ou claires. On retombe sur notre cas où les limites sont floues, tellement au point qu'il n'est pas possible de faire des groupes.

http://www.hominides.com/html/dossiers/race.php

 

 

Mais le processus est juste commencé et on croise toujours facilement des individus issus de lignées qui ne se sont pas croisé depuis des milliers ou des dizaines de milliers d'années : par exemple les amérindiens répondent facilement au critère d'éloignement géographique.

 

Et tu remarqueras chez les amérindiens une diversité importante, mais pas suffisamment spécifique pour pouvoir définir une sous-espèce amérindienne. Il y a vraisemblablement eu du brassage génétiques chez les différents peuples présents sur ce continent, ce qui n'a pas permis à un groupe de prendre un "chemin biologique" différent du reste de l'humanité. Nous sommes une espèce relativement moderne... :icon_wink:

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Il y a déjà eu des cas de parents blancs qui donnaient naissance à un enfant noir ou métisse. C'est le jeu de la génétique, qui reflète parfois des caractères issus des générations précédentes et restés sous silence jusqu'alors.

J'ai du mal à croire qu'en Europe du Moyen Âge une situation pareille ait pu exister. J'ai lu un cas aux USA durant l'apartheid, c'est un résultat du métissage. Mais je suis tenté de renverser l'argument : si les métis existent, il faut bien que les races aussi…

Plus généralement sur la couleur de peau, puisque cela te semble un caractère évident : comment définis-tu les différentes sous-espèces (ou races) ? Car il ne faut pas oublier que le spectre de couleur de peau est continu à l'échelle du globe et qu'il n'y a donc pas de ruptures nettes ou strictes entre des teintes foncées ou claires. On retombe sur notre cas où les limites sont floues, tellement au point qu'il n'est pas possible de faire des groupes.

Une limite floue n'empêche pas la différenciation. Le spectre des couleurs de peaux est continu. Nous avons par exemple un dégradé qui va du franchement noir au sud du Sahara jusqu'au franchement blanc au nord de l'Europe et avec tout le panel des intermédiaires entre les deux. Le fait que la répartition des couleurs suive un dégradé correspondant bien à l'éloignement géographique des deux extrêmes noirs / blanc (au lieu d'avoir des noirs, des blancs et des bruns qui apparaitraient selon une distribution aléatoire) montre selon moi qu'il y a eu différenciation puis métissage.

Maintenant je ne suis pas sûr de comprendre ton point de vue. Selon toi, y a-t-il différenciation mais les mots "races" et "sous-espèces" ne sont pas équivalents à "différenciation" ? Ou bien n'y a-t-il pas de différenciation ?

L'argument classique des lunettes de généticiens. Ce sont des lunettes de petits joueurs. Je propose celles d'un chimiste pour faire disparaitre les espèces, ou celles d'un physicien nucléaire pour confondre le vivant avec l'inerte.

Là encore, qu'ils essaient leurs arguments sur d'autres animaux et on en reparle.

Et tu remarqueras chez les amérindiens une diversité importante, mais pas suffisamment spécifique pour pouvoir définir une sous-espèce amérindienne. Il y a vraisemblablement eu du brassage génétiques chez les différents peuples présents sur ce continent, ce qui n'a pas permis à un groupe de prendre un "chemin biologique" différent du reste de l'humanité. Nous sommes une espèce relativement moderne... :icon_wink:

Je remarque qu'il existe là encore des différenciations… :s

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comment définis-tu les différentes sous-espèces (ou races) ?

Elles sont appelées des "types". C'est la même chose que "race" ou "sous-espèce", nous sommes bien dans des différenciations biologiques puisque que ces termes servent à qualifier des squelettes en observant surtout la forme des cranes… On trouve couramment le type "caucasien" pour les européens. "Négroïde" est utilisé par exemple par l'historien Joseph Ki-Zerbo pour les noirs dans l'Égypte des pharaons.

Une parenthèse à propos d'anthropologie. La distinction entre les cultures (ethnies) pose les mêmes problèmes de limites floues et de superposition que ici nos différenciations en biologie. Si l'on cherchait des limites franches on ne les trouverait pas. Cela n'empêche pas les cultures d'être nommées et distinguées. À mon avis, d'une manière générale, les taxonomies et autres conventions de nommage sont imparfaites dans l'absolu, elles donnent du sens dans un contexte donné et permettent le raisonnement. L'imperfection n'empêche pas le raisonnement scientifique.

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C'était quoi le débat de départ ? L'origine et la pertinence du mot "racisme" ?

 

Ca manque d'insultes personnelles, d'attaques gratuites et de jeux de mots foireux.

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Citation trouvée sur internet et pour le coup intéressante :

 

 

Le libéralisme choisit systématiquement ce qui peut augmenter la circonférence de ce qu'il nomme liberté. Le culte de la neutralité est en soi un choix et une idéologie. On ne va pas en débattre parce que c'est de toute façon impossible, et j'ai eu ce genre de discussions au moins 1000 fois.

Toujours est-il que je suis tout à fait saisi de constater, à chaque fois, chez mes amis libéraux, une cécité absolue.

Dernier exemple en date, j'ai lu quelqu'un qui se fait le champion de la cause, et qui s'étonnait que des gens, dans l'occident libéral, puissent tolérer d'abdiquer leur liberté. Or, si l'on est VRAIMENT libéral au sens contemporain, pourquoi s'en offusquer ? L'important, c'est en effet d'être libre intransitivement, ce qui implique de pouvoir aller se faire défoncer la rondelle à la phystinière.

 

D'ailleurs, parce que ce choix semble absurde et ridicule, il est d'autant plus libre : moins la liberté semble assujettie à un telos, plus elle est libre, s'il l'on me permeyt cette tautologie. Croire que le libéralisme est la neutralité est d'une naïveté touchante, puisque rien n'est neutre, et surtout pas la neutralité elle même, qui ne supporte rien auprès d'elle. C'est l'application dans le champ social des théories de Milton Friedmann.

 

Dernièrement, j'ai beaucoup rigolé en lisant quelqu'un qui déplorait par exemple que de plus en plus de jeunes européens se convertissent à un islam hyper-littéraliste et liberticide. Comment ne pouvait-il pas voir qu'un vrai libéralisme créait les conditions ad-hoc pour cela ? Si la liberté est détachée de sa fin, devient sa propre fin, on en arrive logiquement à de tels cas. Il suffit de réfléchir trois secondes...

 

Et sa réaction désespérée ne prouve qu'une chose : comme tous les utopisme, le libéralisme tel qu'on l'entend aujourd'hui est un monisme philosophique : il ne peut supporter des conduites qui le rendent impossible ou caduc. C'est une idéologie de combat. Point barre. Ainsi, ce que je reproche le plus aux libéraux, c'est leurs efforts pour faire accroire qu'ils ne défendent pas leur weltanschauung, mais des valeurs universelles. Ce sont, comme les marxistes leurs ennemis, des enfants des Lumières.

 

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Plus précisément, le gars mélange tout, il part avec des prémisses bancales, pas étonnant que sa conclusion soit foireuse.

 

Le libéralisme, ce n'est pas l'absence de convictions morales (bien au contraire) mais le refus catégorique d'imposer les siennes par la force légale. Conséquemment, tout ce qui se trouve après

 

 

 

Le culte de la neutralité est en soi un choix et une idéologie.

 

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En fait, le thèse du gars revient à dire que si l'Etat ne fait pas de prescriptions morales, les gens sont perdus et font n'importe quoi.

 

Ensuite, partant du présupposé que nous avons vécu 40 ans d'ultralibéralisme.

Et au fait que les libéraux, militent pour que l'Etat moule le moins possible les gens.

Il en déduit qu'ils sont responsables des délires contemporains, et se gausse de leur aveuglement s'ils ne reconnaissant pas là les conséquences de ce qu'ils promeuvent.

 

C'est une thèse classique, si on fait le ménage dans les apories à la cons, les syllogismes crétins, et les barbarismes.

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Vous pouvez suivre la conversation sur la page fb Philippe Muray aurait adoré et en trouvant l'article : "Je choisis ce que je mets en moi", la pub hyper-bobo pour lubrifiant bio sur le mur.

D'ailleurs, je vois qu'une participante, plutôt libérale, répond à la personne qui a envoyé le message dont j'ai fait le partage.

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Les contorsions françaises sur les mots ne suppriment pas la notion.

Le mot "race" souffre de son histoire et est connoté. Les contorsions sur ce mot ne font pas oublier qu'il est évident pour tout le monde qu'il y a bien des lignées humaines. C'est délicat cependant d'en appeler à la science car la proximité génétique entre les individus et les populations n'est pas celle que nous pourrions croire en regardant les phénotypes.

Mais encore une fois, ça n'empêche pas l'existence des lignées humaines.

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Le mot "race" souffre de son histoire et est connoté. Les contorsions sur ce mot ne font pas oublier qu'il est évident pour tout le monde qu'il y a bien des lignées humaines. C'est délicat cependant d'en appeler à la science car la proximité génétique entre les individus et les populations n'est pas celle que nous pourrions croire en regardant les phénotypes.

Mais encore une fois, ça n'empêche pas l'existence des lignées humaines.

 

"La Science" ça ne signifie pas "La Génétique", le génétiscime est une plaie scientifique quand il est appliqué de façon doctrinaire.

 

L'écart type à l'interieur d'une population est quasi systématiquement bien supérieur aux différences de moyennes entre populations, tant q'on le rapelle objectivement (c'est à dire en le mesurant bien sur !) à chaque étude sur les différences entre populations, il n'y a de probleme que dans la tete des racistes et des anti-racistes, et ces gens la, objectivement, on s'en tape les roubignolles quand il s'agit de chercher la vérité.

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Le libéralisme choisit systématiquement ce qui peut augmenter la circonférence de ce qu'il nomme liberté.

 

Pas très clair mais pourquoi pas.

 

Le culte de la neutralité est en soi un choix et une idéologie.

 

Je suis d'accord mais quel est le lien avec la première phrase ?

 

On ne va pas en débattre parce que c'est de toute façon impossible

 

Ah. Donc on n'aura jamais de précision là dessus, n'est-ce pas ?

 

Or, si l'on est VRAIMENT libéral au sens contemporain

 

Qu'est-ce que ça veut dire, le VRAI libéralisme au sens contemporain ? Les libertariens ?

 

D'ailleurs, parce que ce choix semble absurde et ridicule, il est d'autant plus libre : moins la liberté semble assujettie à un telos, plus elle est libre.

 

There's your problem. La très banale confusion entre liberté au sens politique et philosophique.

Une action est libre au sens du libéralisme dans la mesure où il n'y a pas eu de coercition et ça s'arrête là.

Au delà de ça, savoir si un type qui décide de courir le marathon à cloche-pied ou de se nourir exclusivement de poivrons est "d'autant plus libre" au sens philosophique, on s'en moque totalement.

 

Croire que le libéralisme est la neutralité

 

Qui croit ça ?

 

C'est l'application dans le champ social des théories de Milton Friedmann.

 

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Si la liberté est détachée de sa fin, devient sa propre fin, on en arrive logiquement à de tels cas. Il suffit de réfléchir trois secondes...

 

Est-ce que la fin de la liberté ne consiste pas justement à laisser chacun déterminer ses propres fins ?

Est-ce que ce n'est pas une fin finalement plus fine que les fins imposées sans fin par les fins hommes d'état ?

 

comme tous les utopismes, le libéralisme tel qu'on l'entend aujourd'hui est un monisme philosophique

 

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Est-ce que la fin de la liberté ne consiste pas justement à laisser chacun déterminer ses propres fins ?

Est-ce que ce n'est pas une fin finalement plus fine que les fins imposées sans fin par les fins hommes d'état ?

Et c'est enfin la fin des petites faims. Twix deux doigts coupe faim

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Procédure pour visiter les locaux des RG.

 

Aller sur un forum du deep web connecté à des réseaux de vente illégaux.

Sortir.

Taper "cocotte minute", puis "sac à dos", puis "explosif" dans son moteur de recherche favori.

Patienter un peu.

 

C'est prêt.

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Fonctionne pas.

 

 

Procédure pour visiter les locaux des RG.

 

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Taper "cocotte minute", puis "sac à dos", puis "explosif" dans son moteur de recherche favori.

Patienter un peu.

 

C'est prêt.

 

T'as essayé ?

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Fonctionne pas.

 

Tu as configuré TOR comme il faut ? Puis pour les RG soyez un peu sérieux on est déjà surveillé  :icon_mdr: On est sur un forum libéral ici. Si ils sont malins, ils ne vont perdre leur temps à m’interroger...

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Tu as configuré TOR comme il faut ? Puis pour les RG soyez un peu sérieux on est déjà surveillé  :icon_mdr: On est sur un forum libéral ici. Si ils sont malins, ils ne vont perdre leur temps à m’interroger...

 

Les liberaux refusent de prendre le pouvoir. A partir de la, les etatistes sont peinards. Le plus gros risque pour la sécurité de l'Etat, c'est si on fait trop de bruit et que le reste du pays veut faire une shoah des libéraux. Faut avouer que ca ferait désordre.

 

Au moins ca nous permettrait de se rencontrer IRL. "donnez-moi la liberté ou donnez-mois la mort!" bah écoute on sait ce qu'on va te donner, pas sur que ca te fasse plaisir par contre.

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C'est bien ce que je pensait, si on ne visite pas des sites pro-djihad, complotiste et que l'on est libéral, on peu très bien se balader tranquillement sur TOR. Un libéral qui achèterait du Semtex, ce serait pour dé-tauper (oui le Semtex a des utilisations légitimes)  :mrgreen:

 

Des attentas libéraux, on en a jamais vu, autant surveiller les cégétistes qui eux sont vraiment dangereux.

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Des attentas libéraux, on en a jamais vu, autant surveiller les cégétistes qui eux sont vraiment dangereux.

 

Des attentats par des anarchistes, c'est relativement courant. Nanars écolos ou communistes, certes, mais nanarchistes quand même.

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Des attentats par des anarchistes, c'est relativement courant. Nanars écolos ou communistes, certes, mais nanarchistes quand même.

 

Ils ne commettent pas des attentats car ils sont anarchistes mais car ils sont collectivistes, les ecolo et socialo non anarchiste sont aussi sanguinaires qu'eux...

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