POE Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 Son premier ministre, Raymond Barre, fut tout de même le dernier à boucler un budget à l'équilibre.
POE Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 Quoi donc ? Le budget à l'équilibre ou le fait qu'il soit le dernier ?
Tramp Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 il y a 5 minutes, POE a dit : Quoi donc ? Le budget à l'équilibre ou le fait qu'il soit le dernier ? Le fait qu’il soit le dernier. Ou autrement dit, le premier à faire des déficits permanents.
Rincevent Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 Il y a 1 heure, Tramp a dit : Le fait qu’il soit le dernier. Ou autrement dit, le premier à faire des déficits permanents. Le "autrement dit" est de trop, puisque de mémoire le dernier budget à l'équilibre est précisément le dernier budget Barre (en tous cas en théorie, les socialistes ayant flingué les prévisions de dépenses dès leur arrivée).
Tramp Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 Il y a 2 heures, Rincevent a dit : Le "autrement dit" est de trop, puisque de mémoire le dernier budget à l'équilibre est précisément le dernier budget Barre (en tous cas en théorie, les socialistes ayant flingué les prévisions de dépenses dès leur arrivée). Le dernier budget équilibré c’est 74, Mitterrand est arrivé en 81.
Rincevent Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 il y a 6 minutes, Tramp a dit : Le dernier budget équilibré c’est 74, Mitterrand est arrivé en 81. Indeed quand on parle du solde final ; mais de mémoire le dernier budget Barre n'avait pas de déficit primaire (i.e. avant intérêts de la dette).
Tramp Posté 20 mai 2019 Signaler Posté 20 mai 2019 il y a 1 minute, Rincevent a dit : Indeed quand on parle du solde final ; mais de mémoire le dernier budget Barre n'avait pas de déficit primaire (i.e. avant intérêts de la dette). Pour le coup je ne sais pas qui a inventé ce concept parce qu’en comptabilité privé, s’il y a un truc qu’on ne met pas de côté quand on regarde la solvabilité et liquidité c’est bien le service de la dette 4
GilliB Posté 21 mai 2019 Signaler Posté 21 mai 2019 En 1980 le budget de l'état était équilibré, ainsi que les comptes sociaux, seules les dépenses des collectivités locales (mairies de gauche) étaient en déficit, ce qui fait au total en 80 des comptes publiques en déficit.
frigo Posté 21 mai 2019 Signaler Posté 21 mai 2019 il y a 54 minutes, GilliB a dit : En 1980 le budget de l'état était équilibré, ainsi que les comptes sociaux, seules les dépenses des collectivités locales (mairies de gauche) étaient en déficit, ce qui fait au total en 80 des comptes publiques en déficit. Je soupçonne les mairies de gauche d'être les responsables de la crise financière de 2008 et de nous avoir fait prendre quarante points d'endettement en faisant courir l'infâme rumeur que c'était pour sauver le capitalisme.
Largo Winch Posté 21 mai 2019 Signaler Posté 21 mai 2019 9 hours ago, Tramp said: Pour le coup je ne sais pas qui a inventé ce concept parce qu’en comptabilité privé, s’il y a un truc qu’on ne met pas de côté quand on regarde la solvabilité et liquidité c’est bien le service de la dette En compta privée, il y a l'EBE qui se rapproche de cette idée... Ce n'est donc pas la solvabilité ou la liquidité qu'on cherche à apprécier ici, àmha.
RaHaN Posté 23 mai 2019 Signaler Posté 23 mai 2019 Article disponible pour les non-abonnés. Après, je sais pas.
Tramp Posté 24 mai 2019 Signaler Posté 24 mai 2019 Citation Il faut protéger la liberté de la presse mais aussi la liberté des barbouzes C’est pas moi c’est le procureur que j’ai imposé contre l’avis du Ministre de la Justice Le Monde - Journalistes convoqués à la DGSI : « le gouvernement n’y est pour rien », assure Emmanuel Macron Le chef de l’Etat a assuré que c’est le procureur qui a demandé à ce que la journaliste du « Monde » Ariane Chemin soit auditionnée, après la plainte d’un sous-officier de l’armée cité dans des articles. https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/24/journalistes-convoques-a-la-dgsi-le-gouvernement-n-y-est-pour-rien-assure-emmanuel-macron_5466912_3224.html
Bézoukhov Posté 31 mai 2019 Signaler Posté 31 mai 2019 Et allez, la protection du climat à l'article 1 de la Constitution. On creuse encore.
Adrian Posté 1 juin 2019 Signaler Posté 1 juin 2019 Et donc plus de latitude réglementaire/législatif pour le gouvernement ..
Azref Posté 4 juin 2019 Signaler Posté 4 juin 2019 Le 01/06/2019 à 01:37, Bézoukhov a dit : Et allez, la protection du climat à l'article 1 de la Constitution. On creuse encore. Ca a des chances de passer cette nouvelle horreur?
cedric.org Posté 5 juin 2019 Signaler Posté 5 juin 2019 C'est simplement la suite logique de la charte de l'environnement j'imagine. Déplacement, fenêtre, overton, toussa...
RaHaN Posté 5 juin 2019 Signaler Posté 5 juin 2019 Il y a 7 heures, Azref a dit : Ca a des chances de passer cette nouvelle horreur? Et bientôt ce message passible d'une amende oui.
Zagor Posté 10 juin 2019 Signaler Posté 10 juin 2019 https://www.liberation.fr/politiques/2019/06/10/chez-lrem-la-politique-cynique-du-parti-unique_1732818 Après Russie Unie, va t'on avoir la création de France Unie comme grand parti?
Johnathan R. Razorback Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 Pendant ce temps, le clivage politique recoupe toujours davantage une fracture de classes jamais vue depuis l'avant-seconde guerre mondiale au moins: "Ce n’est pas un hasard si c’est Gérald Darmanin qui est monté au créneau pour s’inquiéter de la fracture béante entre Emmanuel Macron et les classes populaires. La République en marche (LRM) ne doit pas devenir le parti des « bourgeois » et des « élites » sans « l’adhésion des classes populaires », a déclaré le ministre de l’action et des comptes publics dans un entretien au Point, publié le 6 juin. Certes issu de la droite, M. Darmanin vient lui-même d’un milieu modeste – sa mère était femme de ménage – et a été élu dans la ville de Tourcoing (Nord). Un pedigree qui lui permet, plus qu’à d’autres au sein du gouvernement et de l’entourage du président de la République, d’appeler l’exécutif à « parler plus au peuple ». « Gérald Darmanin pointe une réalité », juge Brice Teinturier, le directeur général délégué d’Ipsos, qui rappelle que lors des élections européennes, 40 % des ouvriers et 27 % des employés ont voté pour le Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen. Soit plus que la moyenne nationale (23,31 %). Le scrutin du 26 mai, qui a placé la majorité présidentielle juste derrière la liste conduite par Jordan Bardella, a encore accentué une réalité qui s’était imposée à l’élection présidentielle de 2017 : l’extrême droite continue à siphonner le vote populaire. Quant à l’électorat LRM, s’il s’est largement étoffé du côté des Français aisés de droite, au détriment d’une partie qui l’a quitté pour revoter à gauche ou pour Europe Ecologie-Les Verts, il demeure toujours aussi faible parmi les catégories populaires. « C’est notre faute » « Structurellement, tout oppose l’électorat d’Emmanuel Macron et celui de Marine Le Pen, explique Brice Teinturier. D’un côté, on a un électorat urbain, diplômé, aisé, confiant dans l’avenir. De l’autre, un électorat angoissé par les fins de mois, que la mondialisation a broyé, inquiet face à l’immigration et en demande de sécurité et d’autorité. »."
Rübezahl Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 il y a 40 minutes, Johnathan R. Razorback a dit : que la mondialisation a broyé ... c'est dingue ces inversions de causalité. C'est l'état qui les broie vifs dans sa moulinette à taxes, c'est la mondialisation qui leur rend du pouvoir d'achat. ... et c'est la mondialisation qu'on incrimine. 5
Carl Barks Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 ... Macron dénonce à l'OIT les dérives d'un "capitalisme fou" https://www.lepoint.fr/politique/macron-denonce-a-l-oit-les-derives-d-un-capitalisme-fou-11-06-2019-2318207_20.php
Liber Pater Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 il y a 4 minutes, Carl Barks a dit : ... Macron dénonce à l'OIT les dérives d'un "capitalisme fou" https://www.lepoint.fr/politique/macron-denonce-a-l-oit-les-derives-d-un-capitalisme-fou-11-06-2019-2318207_20.php Il faudrait mettre en place une manifestation capitaliste à Biarritz lors du G7
Johnathan R. Razorback Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 Souvenons-nous que ce n'est pas nouveau: « Je suis pour tourner la page d’une Europe ultralibérale. » -Emmanuel Macron, Entretien au Journal du Dimanche, 29 septembre 2018.
Mégille Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 Il faudrait recenser tous ses discours clairement contre le antilibéraux et anticapitalistes (je veux dire, où le libéralisme et la capitalisme sont ouvertement pris pour cible). Il y avait aussi celui du nouvel an, je crois. Quand est-ce que ça lui a pris ? Il se revendiquait encore libéral en début de campagne présidentiel. Est-ce qu'il y a eu un tournant (dans sa perception de lui-même, au moins), ou bien est-ce une stratégie de com ?
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